Moulismes
Moulismes est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Moulismes | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Montmorillon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vienne et Gartempe | ||||
Maire Mandat |
Nathalie Tabuteau 2020-2026 |
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Code postal | 86500 | ||||
Code commune | 86170 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
367 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 19′ 50″ nord, 0° 48′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 108 m Max. 206 m |
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Superficie | 29,06 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Montmorillon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montmorillon | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.moulismes.com | ||||
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montmorillon », sur la commune de Montmorillon, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 789,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 48 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Moulismes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montmorillon, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,1 %), terres arables (33,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), forêts (5 %), zones urbanisées (1,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Moulismes accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires[20].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].
En 2019, la commune comptait 367 habitants[Note 8], en diminution de 5,9 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 14 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Économie
Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[27], il n'y a plus que 20 exploitations agricoles en 2010 contre 23 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 956 hectares en 2000 à 1 689 hectares en 2010. 28 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges), 4 % pour les oléagineux (tournesol) , 42 % pour le fourrage et 20 % reste en herbes. En 2000, un hectare (zéro en 2010) était consacré à la vigne[27].
Trois exploitations en 2010 (contre 6 en 2000) abritent un élevage de bovins (478 têtes en 2010 contre 473 en 2000). Quatorze exploitations en 2010 (contre 18 en 2000) abritent un élevage important d'ovins (6 672 têtes en 2010 contre 6 992 têtes en 2000)[27]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7% de 1990 à 2007[28]. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300[29].
L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie[27].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil et religieux
- Une croix hosannière est disposée sur un large socle monolithique, à l'angle duquel est creusée une cavité qui était peut-être destinée à recueillir de l'eau bénite. Le montant de la croix comme la traverse est chanfreiné. Il est constitué de deux morceaux reliés par des tiges métalliques. La croix hosannière tire son nom de l'hébreu "hosanna", premier mot d'une hymne chantée le jour des Rameaux. Il était de tradition, dans les villages, de se rendre en procession jusqu'au cimetière où se trouvait la croix. Les villageois se réunissaient au pied de ce calvaire et y chantaient l'Hosanna.
- Église Saint-Hilaire de Moulismes.
Le site du bois de l'Hospice, de l’étang de Beaufour et des environs
Cette zone classée englobe un vaste secteur appartenant à la région naturelle des Brandes du Montmorillonais. Elle est centrée sur un massif forestier de 400 hectares : le bois de l’Hospice (voir article précédent). Mais, elle englobe également un étang ancien bordé d’une roselière. Ces deux sites sont entourés d’un bocage ouvert où les prairies maigres sont historiquement vouées au pâturage ovin. Cette zone est à cheval sur le territoire de quatre communes: Moulismes, Persac, Saulgé et Sillars.
Ce site est particulièrement remarquable pour son avifaune: 55 espèces font l’objet d’une protection sur tout le territoire français. En outre, sur ces 55 espèces, 31 sont menacées dans toute l’Europe de l’Ouest. Les rapaces et les oiseaux d’eau - canards, grands et petits échassiers - sont les mieux représentés. L’étang et ses alentours constituent un lieu privilégié de repos, de halte migratoire et d’hivernage pour de nombreux oiseaux d’eau, alors que les haies du bocage environnant abritent plusieurs espèces de pies-grièches.
- Alouette lulu qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Autour des palombes, une espèce rare en France et dont la population totale n’excède pas 3 000 couples. Il a longtemps été persécuté par l’homme en raison de sa prédilection pour les oiseaux de bassecour et, plus particulièrement, les pigeons domestiques, dont la capture était plus aisée que ses proies sauvages (geais, pigeons, tourterelles, corneilles),
- Balbuzard pêcheur qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Bondrée apivore qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Bouvreuil pivoine, une espèce normalement plutôt nordique et "montagnarde", très disséminée en région Poitou-Charentes.
- Bruant des roseaux,
- Busard cendré qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Busard des roseaux qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Busard Saint-Martin qui bénéficie d’une protection sur le sol français. C’est un élégant rapace gris des landes et des forêts ouvertes,
- Butor étoilé qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Canard chipeau,
- Canard colvert,
- Canard souchet,
- Cigogne noire qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Circaète Jean-le-blanc qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Combattant varié,
- Courlis cendré,
- Engoulevent d’Europe qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Faucon hobereau,
- Faucon pèlerin qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Fauvette pitchou qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Fuligule milouin,
- Garrot à œil d’or,
- Grande Aigrette qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Grèbe à cou noir,
- Grèbe castagneux,
- Grèbe huppé,
- Gros-bec casse-noyaux qui un passereau au régime alimentaire original constitué par les akènes, graines et baies de divers arbres et arbustes,
- Grue cendrée qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Héron pourpré qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Huppe fasciée,
- Locustelle luscinioide qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Locustelle tachetée,
- Martin-pêcheur qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Mésange huppée,
- Milan noir qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Moineau friquet,
- Œdicnème criard qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Outarde canepetière,
- Petit Gravelot qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Phragmite des joncs,
- Pic noir qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
- Pie-grièche à tête rousse,
- Pie-grièche écorcheur qui bénéficie d’une protection sur le sol français,
En dehors de l’aspect ornithologique, le site est aussi un conservatoire pour d’autres animaux. Ainsi, la Martre, un hôte rare des forêts de la région a pu être recensé, alors que les batraciens sont représentés par la Grenouille rousse, une espèce peu fréquente.
Les sols sont dans leur grande majorité argilo-sableux et localement hydromorphes. Ils deviennent progressivement calcaires et plus secs au nord-ouest site. Le site abrite plusieurs micro-habitats qui ne couvrent plus que de faibles surfaces mais qui hébergent encore un important patrimoine végétal comme pour les sources tourbeuses. Ainsi, 36 espèces végétales rares ont été recensées de la zone :
- Achillée sternutatoire,
- Avoine de Thore est une grande Graminée originaire de la péninsule ibérique et qui se trouve ici aux marges septentrionales de son aire de répartition. Elle a été découverte en 1850 par le botaniste anglais James Lloyd, auteur d’une très importante « Flore de l’Ouest de la France ».
- Bartsie visqueuse,
- Blechnum en épi,
- Calamagrostide faux-roseau est une espèce montagnarde rarissime dans les plaines atlantiques et qui se maintient là depuis sa découverte vers le milieu du XIXe siècle par les botanistes. On peut trouver cette plante en forêt de Lussac.
- Centenille naine,
- Cicendie filiforme,
- Cicendie fluette,
- Cresson rude,
- Droséra à feuilles rondes,
- Dryoptéris étalé,
- Gaillet fragile,
- Grassette du Portugal,
- Jonc en têtes,
- Laîche en étoile,
- Laîche filiforme qui se trouve autour de l’étang de Beaufour. Cette cariçaie trouve ici sa deuxième localisation en Poitou-Charentes. C’est avant tout une espèce nord-européenne et montagnarde,
- Laîche lisse,
- Laîche puce,
- Laser à feuilles larges,
- Linaigrette à feuilles étroites: c’est une Cypéracée inféodée aux tourbières et bas-marais acides, devenues rarissimes dans la région poitevine avec la disparition des zones humides ;
- Ophrys sillonné,
- Orchis élevé,
- Orchis grenouille,
- Oseille maritime,
- Phalangère bicolore,
- Phalangère à fleurs de lis,
- Pilulaire à globules : c’est une petite fougère semi-aquatique aux curieuses fructifications en forme de noisette.
- Porcelle à feuilles tachetées,
- Potamot hétérophylle,
- Rhynchospore blanche : c’est une Cypéracée inféodée aux tourbières et bas-marais acides, devenues rarissimes dans la région poitevine avec la disparition des zones humides ;
- Saule à oreillettes,
- Scirpe ovale,
- Séneçon à feuilles d’adonis,
- Thélyptéris des marais,
- Utriculaire citrine,
- Violette laiteuse.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Sources
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Montmorillon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Moulismes et Montmorillon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Montmorillon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Moulismes et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montmorillon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 186
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
- Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
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