Mourvilles-Basses

Mourvilles-Basses est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne et la région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Mourvilles.

Mourvilles-Basses

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Terres du Lauragais
Maire
Mandat
Axel de Laplagnolle
2020-2026
Code postal 31460
Code commune 31392
Démographie
Gentilé Mourvillais
Population
municipale
78 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 11″ nord, 1° 42′ 14″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 273 m
Superficie 4,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Revel
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Mourvilles-Basses
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Mourvilles-Basses
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Mourvilles-Basses
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Mourvilles-Basses

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Marcaissonne et par divers autres petits cours d'eau.

    Mourvilles-Basses est une commune rurale qui compte 78 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 290 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Mourvillais ou Mourvillaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 2001.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Mourvilles-Basses se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 25 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 24 km de Revel[2], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Caraman[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Caragoudes (1,6 km), Varennes (1,6 km), Saint-Germier (2,9 km), Labastide-Beauvoir (3,1 km), Ségreville (3,2 km), Toutens (3,5 km), Tarabel (3,6 km), Mauremont (3,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Mourvilles-Basses fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[4].

    Mourvilles-Basses est limitrophe de cinq autres communes.

    Carte de la commune de Mourvilles-Basses et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Mourvilles-Basses[5]
    Tarabel Caragoudes
    Labastide-Beauvoir
    Varennes Saint-Germier

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 458 hectares ; son altitude varie de 187 à 273 mètres[6].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Marcaissonne, le ruisseau de l'Albarède et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    La Marcaissonne, d'une longueur totale de 26,5 km, prend sa source dans la commune de Beauville (47) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 14 communes[9].

    Réseaux hydrographique et routier de Mourvilles-Basses.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 743 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ségreville », sur la commune de Ségreville, mise en service en 1961[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à 30 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[19], à 14,1 °C pour 1981-2010[20], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22],[23],[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Mourvilles-Basses est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[I 2],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,3 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), forêts (7,5 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    Accès avec les lignes régulières de transport interurbain réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).

    Histoire

    La commune faisait partie du comté de Caraman

    L'histoire de la commune se confond avec celle de la famille de Villèle. Ces derniers sont seigneurs de Campauliac et de Fourtounens. En 1306, Jean de Villèle achète la terre à la famille de Villeneuve en échange de celle de Cessales.

    La seigneurie reste dès lors dans le patrimoine de la famille jusqu'à la révolution. Au début du XIXe siècle, Louis François Joseph de Villèle entreprend de moderniser l'agriculture locale en vulgarisant les prairies artificielles, la suppression de la jachère, l'introduction du mouton mérinos et les plantations de haies d'aubépines et de peupliers d’Italie.

    Après avoir fait fortune à l'île de la Réunion, son fils Joseph de Villèle, participe en 1814 au soulèvement royaliste de Toulouse et devient maire de Toulouse en 1815. Député, ministre des finances en 1821, et président du Conseil l'année suivante.

    Héraldique

    Son blasonnement est : Palé de sinople et d'argent de quatre pièces.


    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[28],[29].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne communauté de communes des Terres du Lauragais et du canton de Revel (avant le redécoupage départemental de 2014, Mourvilles-Basses faisait partie de l'ex-canton de Caraman) de la septième circonscription de la Haute-Garonne jusqu'en 2012 et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Cœur Lauragais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1971 José de Villèle   Agriculteur
    1971 1995 Françoise de Villèle    
    1995 1998 Jean de Laplagnolle    
    1998 2013 Henri de Villèle   Cadre
    2013 En cours Axel de Laplagnolle   Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2019, la commune comptait 78 habitants[Note 7], en augmentation de 6,85 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    194201247233216270269290252
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    208227234224215212201180175
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    151154141132130135129130118
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    938050585760605772
    2015 2019 - - - - - - -
    7078-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
    Rang de la commune dans le département 522 553 497 532 513 539 529 521
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Mourvilles-Basses fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal de la maternelle au primaire, qui regroupe les communes de Tarabel, Maureville, Caragoudes, Segreville et Toutens.

    Puis le collège de Caraman.

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SIPOM de Revel[38].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 5]2 %8,9 %3,8 %
    Département[I 6]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 50 personnes, parmi lesquelles on compte 84,6 % d'actifs (80,8 % ayant un emploi et 3,8 % de chômeurs) et 15,4 % d'inactifs[Note 8],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 8]. Elle compte emplois en 2018, contre 5 en 2013 et 6 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 40, soit un indicateur de concentration d'emploi de 14,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 71 %[I 9].

    Sur ces 40 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 4 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 90,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,8 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Activités hors agriculture

    5 établissements[Note 9] sont implantés à Mourvilles-Basses au [I 12]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 5 entreprises implantées à Mourvilles-Basses), contre 12 % au niveau départemental[I 13].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations4126
    SAU[Note 10] (ha)22483107394

    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 4]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 394 ha[41],[Carte 5],[Carte 6].

    Patrimoine

    Lieux et monuments

    Château de Campauliac

    Château de Campauliac du XVIe siècle

    La famille de Villèle s'est établie dans le château de Campauliac. Le bâtiment actuel est encadré de deux tours carrées, en brique rose avec des pierres d'angle. Le château a pu être élevé avec la fortune amassée dans la fabrication et le négoce du pastel. Il reste plus de cents inhabité, servant de grenier à céréales avant d'être restauré dans la seconde moitié du XXe siècle.

    Château de Mourvilles

    Château de Mourvilles du XVIIe siècle

    Le château de la famille de Villèle est établi au bord de la vallée de la Marcaissonne à mi-pente d'un coteau dans un grand parc (environ 40 hectares). La façade nord ne semble pas de la même époque que celle du sud. Cette dernière semble antérieure et présente notamment deux clefs d'arc énigmatiques, à la porte principale et à celle de l'aile ouest, ornées de masque d'un art des plus primitifs lesquels détonnent dans un ensemble Louis XIV.

    Église de Saint André
    Église Saint-André de 1890 en brique et pierre[42].

    En 1570, église et village sont détruits par les Huguenots lors des guerres de religion. En 1672, institution d’une messe matitunale (matinale), ce qui laisse supposer que l’église avait été remise en état. En 1827, le cadastre Napoléonien fait figurer une église dont l’emprise au sol est comparable à celle d’aujourd’hui, sur le même emplacement. En 1890, la comtesse Geneviève de VILLELE (née de Mauléon) fait construire une nouvelle église en briques, sur la base de l’ancienne.

    L'église est assez originale notamment par ses volumes dissymétriques, sa crypte dans une des chapelles, son clocher inachevé par manque de fonds et son intérieur néogothique. La nef se compose que de deux travées agrémenté de statues de saints, les piliers et les voutes transversales sont en briques apparentes, le reste est couvert d’un enduit blanc. Une tribune avec accès par un escalier hélicoïdal (architecture en bon état et rare dans la région) est présente au fond de l’édifice et domine la nef.

    L'église est dotée d’une balustrade sculptée dans la pierre blanche. Avant le chœur, on trouve deux chapelles latérales dont une surmontée d’un autel avec un vitrail. Celui-ci représente les armes de la famille de Villèle avec celle de la famille de Mauléon ainsi que la devise de la famille. Le sanctuaire est pentagonal avec des piliers en briques pourvus de chapiteaux sculptés à décor végétal. Le clocher abrite deux cloches datant de 1811 dont une refondue en 1932. Ces dernières ne sont pas électrifiées (rare dans la région). En 1899, commande de 14 vitraux à l’artiste peintre verrier Paul Chalons de Toulouse.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Mourvilles-Basses » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Mourvilles-Basses » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Mourvilles-Basses » (consulté le ).
    10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Mourvilles-Basses » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Mourvilles-Basses et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Mourvilles-Basses et Revel », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Mourvilles-Basses », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Mourvilles-Basses », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    9. Sandre, « la Marcaissonne »
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Ségreville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Mourvilles-Basses et Ségreville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Ségreville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Mourvilles-Basses et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mourvilles-Basses », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Mourvilles-Basses », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des espaces protégés sur la commune de Mourvilles-Basses », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    38. http://www.sipom.fr/fr/index.html
    39. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    40. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    41. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Mourvilles-Basses - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Mourvilles-Basses » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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