Nadaillac

Nadaillac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ne doit pas être confondu avec Nadaillac-de-Rouge, commune du Lot

Nadaillac

L'église Saint-Denis de Nadaillac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fénelon (nouvelle)
Maire
Mandat
Jean-Claude Veyssière
2020-2026
Code postal 24590
Code commune 24301
Démographie
Gentilé Nadaillacois, Nadaillacoises
Population
municipale
384 hab. (2019 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 23″ nord, 1° 23′ 55″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 347 ou 351 m
Superficie 26,90 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Brive-la-Gaillarde
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Terrasson-Lavilledieu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Nadaillac
Géolocalisation sur la carte : France
Nadaillac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Nadaillac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Nadaillac
Liens
Site web nadaillac.fr

    Géographie

    Généralités

    Nadaillac est la commune la plus orientale de la Dordogne.

    Son sol calcaire est planté d'arbres truffiers (très prospère au début du XIXe siècle).

    Communes limitrophes

    Nadaillac est limitrophe de sept autres communes dont deux en Corrèze et une dans le Lot. Au sud-ouest, son territoire est éloigné d'environ 620 mètres de celui de Paulin.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Nadaillac est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1]. Elle est dans le causse de Terrasson qui concerne quelques communes, au sud de Terrasson-Lavilledieu, sur les coteaux en rive gauche de la Vézère.

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j2-3(Bz), date du Bajocien moyen au Bathonien inférieur, composée de calcaires micritiques et sublithographiques à oncolithes et de stromatolithes en alternance avec des niveaux de marnes noires en bancs réguliers. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 784 - Terrasson » et « no 785 - Brive-la-Gaillarde » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Nadaillac.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 197 mètres[6] au nord-ouest, près de la fontaine du Roc, et 347[6] ou 351 mètres[7] dans le sud-est, au nord-ouest du lieu-dit Souzet[8].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 26,90 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 27,65 km2[3].

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Compte tenu de la nature karstique du sol, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[16],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[18].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[17]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 971 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[21] complétée par des études régionales[22] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cressensac », sur la commune de Cressensac-Sarrazac, mise en service en 1991[23] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[24],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 021,9 mm pour la période 1981-2010[25]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 17 km[26], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[27], à 12,7 °C pour 1981-2010[28], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[29].

    Milieux naturels et biodiversité

    Nadaillac n'est pas mentionnée parmi les communes faisant partie de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II Secteur forestier de Borrèze[30]. Cependant, une vingtaine d'hectares au sud-ouest de la commune en fait néanmoins partie, comme le montre la carte du site[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Nadaillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,7 %), zones agricoles hétérogènes (48,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), prairies (0,1 %)[37].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Nadaillac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[38] :

    • Bois de Fouret
    • Bois de la Forêt
    • Bois de Menissou
    • Bois de Peyrissou
    • Bois de Rouvès
    • Combe Vieille
    • Fontaine de la Belle
    • Fontaine du Roc
    • Gouffre de Leyge
    • La Forêt
    • La Pimaurie
    • La Raymondie
    • La Chambroisie (où se trouve la Chapelle Sainte-Marie-Madeleine de Chambrezès)
    • La Vignotte
    • Lafage
    • Lalbat
    • Le Bassel
    • Le Bos
    • Le Breuil
    • Le Clédoux
    • Le Faget
    • Le Lacco
    • Le Poustor
    • Le Tilleul
    • Le Verdier
    • Le Vignal
    • Les Arlins
    • Les Bois
    • Les Bois du Mons
    • Les Boussuges
    • Les Bouyges
    • Les Campagnes
    • Les Clauds
    • Les Fargadoux
    • Les Fontenilles
    • Les Garennes
    • Les Grangettes
    • Les Millarets
    • Les Pernégoux
    • Les Places
    • Les Salles
    • Mas Del Sartre
    • Mialodre
    • Nadaillac
    • Pech Buffet
    • Pechgouyrand (parfois orthographié Pégouyras)
    • Pichagne
    • Pouille
    • Roussel
    • Rouvès
    • Ségonfond
    • Souzet

    Toponymie

    Origine du nom : le mot provient d'un nom de personnage gallo-roman suivi de « acum », ce nom Natalius formé à partir du latin Natalis signifiant « natal ».

    En occitan, la commune porte le nom de Nadalhac[39].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Nadaillac a, dès 1790, été rattachée au canton de la Cassagne qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Salignac (devenu canton de Salignac-Eyvignes en 1965, puis renommé en canton de Salignac-Eyvigues en 2001), dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

    Fin 2009, Nadaillac intègre la communauté de communes du Salignacois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays de Fénelon.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[40],[41].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 1953 mars 2001 Jean Veysset   Instituteur, puis directeur d'école
    mars 2001 mars 2008 François Veyssière   Employé de banque
    mars 2008
    (réélu en juin 2020[42])
    En cours Jean-Claude Veyssière SE[43] Artisan électricien

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Nadaillac relève[44] :

    Démographie

    Les habitants de Nadaillac se nomment les Nadaillacois, Nadaillacoises[45].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].

    En 2019, la commune comptait 384 habitants[Note 9], en augmentation de 17,07 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    794803741769874838917908912
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    840840911872930929914869812
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    734699647544512496488437380
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    313308296304285341339339341
    2017 2019 - - - - - - -
    376384-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[49], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 155 personnes, soit 43,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quinze) a diminué par rapport à 2010 (vingt) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quarante-trois établissements[50], dont dix-sept au niveau des commerces, transports ou services, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans la construction, et deux dans l'industrie[51].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Bousquet médecin, décédé à Paris le . Médecin à Paris, il lègue par testament le à la fabrique de Nadaillac (Dordogne) « tous les livres et manuscrits de piété qui m'appartiendront à mon décès et tous ceux qui y seront ajoutés avec l'argent que produira la vente de mes livres de médecine et les autres livres qui ne concernent pas la religion... désirant ardemment que mes co-paroissiens deviennent aussi pieux que l'étaient nos bons aïeux. Je donne et lègue en toute propriété à perpétuité ma maison avec le jardin attenant, que j'ai dans le bourg dud(it) Nadaillac, à la fabrique dud(it) Nadaillac, pour être employé uniquement à une école pour les garçons et une pour les filles de la dite paroisse de Nadaillac... Je donne et lègue de plus à la fabrique de Nadaiilac, en toute propriété et à perpétuité, cinquante francs de rente perpétuelle... pour aider à favoriser et à entretenir la dite école... »
    • Jean Veysset, maire de Nadaillac pendant 48 ans, fut élu en 1953 à l'âge de 26 ans, ce qui en faisait le plus jeune maire de France[53].

    Distinctions culturelles

    Nadaillac fait partie des communes ayant reçu en 2010 l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à l'épée haute d'argent accostée de deux lions affrontés d'or ; au chef d'or chargé d'une étoile d'azur[54].
    Devise
    1099 - Nadaillac - 2004
    Détails
    L'épée est celle des armes de la famille Esclafer de Laforce, les lions sont ceux présents sur le linteau de porte d'une maison de la rue Noire et l'étoile de Noël renvoie au nom de la commune : le « domaine de Noël » (ou Natalius en gallo-roman, Nadal en occitan).

    Création de Jean-René Bousquet adoptée en 2004.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[20].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Nadaillac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Nadaillac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Nadaillac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 785 - Brive-la-Gaillarde de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. « 351 » sur Géoportail (consulté le 9 juillet 2022)..
    8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Nadaillac », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Nadaillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    18. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    19. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    20. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    21. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    22. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    23. « Station Météo-France Cressensac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    25. « Station Météo-France Cressensac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    26. « Orthodromie entre Nadaillac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    27. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    28. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    30. [PDF] - Secteur forestier de Borrèze (Identifiant national 720008196), Comité des inventaires Aquitaine, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    31. Carte de la ZNIEFF 720008196, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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