Nadaillac-de-Rouge
Nadaillac-de-Rouge est une commune française, située dans le nord-ouest du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.
Ne doit pas être confondu avec Nadaillac, commune de la Dordogne
Nadaillac-de-Rouge | |
Église et château. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Gourdon |
Intercommunalité | Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne |
Maire Mandat |
Francis Chastrusse 2020-2026 |
Code postal | 46350 |
Code commune | 46209 |
Démographie | |
Population municipale |
163 hab. (2019 ) |
Densité | 21 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 51′ 00″ nord, 1° 25′ 47″ est |
Altitude | Min. 86 m Max. 273 m |
Superficie | 7,73 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Gourdon (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Souillac |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | nadaillac-de-rouge.fr |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Tournefeuille et par un autre cours d'eau. Elle est incluse dans le bassin de la Dordogne.
Nadaillac-de-Rouge est une commune rurale qui compte 163 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 349 habitants en 1800. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon. Ses habitants sont appelés les Nadaillacais ou Nadaillacaises.
Géographie
Nadaillac-de-Rouge est situé sur le plateau calcaire qui domine au sud la vallée de la Dordogne. Commune boisée (chênes verts et pins) où quelques agriculteurs pratiquent encore l'élevage des bovins. C'est surtout une commune résidentielle dont les habitants travaillent à Souillac, Gourdon voire Martel, sont des artisans du bâtiment ou des retraités.
Communes limitrophes
Nadaillac-de-Rouge est limitrophe de cinq autres communes, dont une dans le département de la Dordogne. Au sud-ouest, son territoire est éloigné d'environ 170 mètres de celui de Masclat.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prats de Carlux », sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 908,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 13 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].
Urbanisme
Typologie
Nadaillac-de-Rouge est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[I 1],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,3 %), zones agricoles hétérogènes (27,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,7 %), prairies (5,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le toponyme Nadaillac-de-Rouge est composé d'abord de Nadaillac basé sur l'anthroponyme Natalius terminé par -ac issu du suffixe gaulois -acon et latinisé en -acum et ensuite de De Rouge dont une forme Roco de Rogis indique une personne dont le nom serait d'origine germanique : Hrogis d'après Marie-Thérèse Morlet[21].
Histoire
Cette dénomination remonte au moins à cinq siècles. Il en est fait mention, dans l'arrentement fait le par Alamande de la Magnanie, femme de Guillaume du Pouget, Dame de Nadaillac de Roges. Les biens nobles de Pierre du Pouget sont ainsi répertoriés :
« Nadaillac de Rouges relevant de Monsieur de Belcastel, avec toutes justices, 18 charges de froment, 6 d'avoine, 6 livres 15 sous, 80 gélines, 2 charges de froment, 80 journées de corvée et 10 livres de cire ; trois livres pour la baillie ; un moulin qui vaut six charges de mixture, une borie d'une paire de bœufs rapportant cinq charges de blé, 30 journaux de vigne et trois de pré. Sur le mas de Rigal, paroisse de Gourdon, juridiction de Cazals, 4 charges deux quartons et demi de froment, 30 sous, une livre de cire, 6 poulailles et deux charges d'avoine ».
Depuis une date comprise entre 1800 et 1806 et jusqu'en 1928, Nadaillac-de-Rouge a fusionné avec Le Roc[22].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de 11[23],[24].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes Causses et vallée de la Dordogne[25] et du canton de Souillac.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2019, la commune comptait 163 habitants[Note 6], en diminution de 1,81 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 74 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 142 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 220 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,2 % | 6 % | 8,7 % |
Département[I 7] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 92 personnes, parmi lesquelles on compte 63 % d'actifs (54,3 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 37 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gourdon, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 14 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 53, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 39,9 %[I 10].
Sur ces 53 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun et 5,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
8 établissements[Note 9] sont implantés à Nadaillac-de-Rouge au [I 13]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 8 entreprises implantées à Nadaillac-de-Rouge), contre 12 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 13 | 7 | 2 | 2 |
SAU[Note 10] (ha) | 90 | 36 | 3 | 143 |
La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 3]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 143 ha[32],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Nadaillac-de-Rouge, château classé au titre des monuments historiques en 1930[33]. Face à l'église, vous découvrirez l'arrière du château appartenant à la famille du Pouget de Nadaillac. Cet édifice fut rasé par les Anglais au cours de la guerre de Cent Ans, puis reconstruit, développant une architecture Renaissance.
La tourelle jouxtant le clocher porte sous le toit « les armes de la Famille du Pouget de Nadaillac ». On remarque les impacts des boulets tirés par les arquebusiers anglais depuis la terrasse du château. Le seigneur de l’époque ayant sorti les de vin, pour faire boire les soldats anglais, ceux-ci partirent sans démolir l’église après avoir déchargé leurs arquebuses.
- Église Saint-Pierre. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1930[34], Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[34]. L'édifice date du XVe siècle. Elle possède un clocher-mur gothique et une abside pentagonale. C'est l’ancienne chapelle du château.
- En 1923 fut inauguré le monument aux morts. Cette manifestation fut troublée par des échauffourées conduisant au lynchage de trois camelots du Roi, extrémistes de droite à l'époque. Lynchage effectué par les républicains venus nombreux des communes du canton et des cantons limitrophes.
Personnalités liées à la commune
- Edmond Jouve (1937-), politologue, né à Nadaillac-de-Rouge.
Voir aussi
Bibliographie
- Christophe Loiseleur des Longchamps, Les fortifications médiévales dans le canton de Gourdon, Mémoire de Maîtrise. Université de Toulouse - Le Mirail, 1994.
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Nadaillac-de-Rouge » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Nadaillac-de-Rouge » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Nadaillac-de-Rouge » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Nadaillac-de-Rouge » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station Météo-France Prats de Carlux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Nadaillac-de-Rouge et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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- « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 117.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Préfecture du Lot, « Intercommunalité : Création de Causses et vallée de la Dordogne », sur Préfecture du Lot, (consulté le ).
- « Les maires de Nadaillac-de-Rouge », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Nadaillac-de-Rouge - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Château de Nadaillac-de-Rouge », notice no PA00095180, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 28 novembre 2011.
- « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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