Souillac

Souillac (en occitan Solhac) est une commune française, située dans le nord du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Martel, une région naturelle constituant le plus septentrional des quatre causses du Quercy, entre Limousin, vallées de la Tourmente et de la Dordogne.

Pour les articles homonymes, voir Souillac (homonymie).

Souillac

Vue générale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
(siège)
Maire
Mandat
Gilles Liébus (LREM)
2020-2026
Code postal 46200
Code commune 46309
Démographie
Gentilé Souillagais
Population
municipale
3 201 hab. (2019 )
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 02″ nord, 1° 28′ 45″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 314 m
Superficie 25,92 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Souillac
(ville-centre)
Aire d'attraction Souillac
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Souillac
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Souillac
Géolocalisation sur la carte : France
Souillac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Souillac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Souillac
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne, la Borrèze et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de la Dordogne quercynoise »), un espace protégé (le « cours lotois de la Dordogne ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Souillac est une commune rurale qui compte 3 201 habitants en 2019. Elle est ville-centre de l'agglomération de Souillac et fait partie de l'aire d'attraction de Souillac. Ses habitants sont appelés les Souillagais ou Souillagaises.

    Depuis 2009, des démarches sont en cours pour changer son nom en Souillac-sur-Dordogne[1].

    Géographie

    Souillac est une commune du nord du département du Lot, dans l'ancienne province du Quercy. Elle fait partie de l'unité urbaine de Souillac et de son aire urbaine. C'est une petite ville commerçante et touristique au centre d'une région fertile qui contraste par sa richesse avec la pauvreté des causses de Martel et de Gramat.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe du département de la Dordogne à l'ouest[2]..

    Carte de la commune de Souillac et des proches communes.

    Communications et transports

    La commune est située sur la route départementale D 820 (ancienne RN 20), à 63 kilomètres au nord de Cahors, et 37 kilomètres au sud de Brive-la-Gaillarde (Corrèze). Elle est également accessible par l'autoroute A20 (sortie no 55 sur la commune ) et par la SNCF Gare de Souillac.

    Le sentier de grande randonnée GR 6 passe par Souillac, reliant Rocamadour au sud-est et Sarlat à l'ouest.

    L’aéroport de Brive-Souillac est en service depuis le . Il est desservi par des avions pour Paris toute l'année et pour Ajaccio, Lyon, Porto et Londres en saison.

    La gare de Souillac accueille des Intercités Paris-Cahors/Toulouse et des TER Brive-Toulouse.

    Une liaison routière Transpérigord existe également ; elle relie Sarlat à Souillac avec 3 allers-retours par jour, 4 pendant les grandes vacances.

    Hydrographie

    Souillac est située dans la vallée de la Dordogne, dont le cours délimite la ville au sud. Un autre cours d'eau, la Borrèze, traverse le centre-ville.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 929 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prats de Carlux », sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 908,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 20 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[17],[18].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : le « cours lotois de la Dordogne », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 569,6 ha[19].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Dordogne quercynoise »[21], d'une superficie de 5 567 ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23] :

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[23] : la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 28 communes[Note 7] : deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[30].

    Souillac n'est pas mentionnée parmi les communes faisant partie de la ZNIEFF de type 2 « secteur forestier de Borrèze »[31]. Cependant, près de 80 hectares dans le sud-ouest et dans le nord de la commune  notamment près des lieux-dits Bourzolles et la Forge  en font néanmoins partie, comme le montre la carte du site[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Souillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[I 1],[34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Souillac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 4 076 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Souillac, dont elle est la commune-centre[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,2 %), zones urbanisées (10,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), prairies (8,3 %), terres arables (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), eaux continentales[Note 10] (1,2 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Souillac, en occitan Solhac, d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Solius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. C'est le domaine de Solius[36].

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Trente-un-Mai[37].

    Ses habitants sont les Souillagais.

    Histoire

    Préhistoire

    L'Igue du Lion, ou aven du Lion, est découvert en 1997 à l'occasion de travaux sur l'autoroute[38]. Il a livré le squelette d'une lionne des cavernes[39] de moins de deux ans[40], morte à cet endroit peu avant que la cavité devienne inaccessible, ce qui a préservé les vestiges du lion sans interférence extérieure, pas même celle d'animaux fouisseurs[38]. Les caractères morphologiques de cet animal le rapprochent de l'espèce actuelle[39]. L'intérêt de cette découverte est en rapport avec le très petit nombre d'individus entiers retrouvés : lion de Cajarc (Lot) découvert en 1892, lion de Montmaurin (Haute-Garonne) découvert en 1956, lion de la grotte de Foissac (Aveyron) découvert en 1965 (conservé in situ), et les lions de l'Igue des Rameaux à Saint-Antonin-Noble-Val (Tarn-et-Garonne)[40].

    Le gisement de Bramefond se trouve au lieu-dit du même nom, entre l'autoroute et le bourg, à environ 2,2 km de la rive droite de la Dordogne[2]. Il a été découvert en même temps que l'aven du Lion[39] par N. Constans, lors du décaissement les assises calcaires de l'autoroute après les évaluations et sondages archéologiques systématiques[41]. En partie détruit depuis sa découverte, c'est une fissure remplie d'une sédimentation détritique. La faune de son remplissage est dominée par les grands herbivores : cheval, boviné[39] (17 restes de bison et 228 restes d'aurochs)[41], renne, cerf (Cervus Cervus simplicidens) et rhinocéros laineux (Coelodonta antiquitatis). La présence de Equus caballus germanicus associé à Cervus Cervus simplicidens date le site au stade isotopique 5. Une datation par ESR sur dent et une autre datation par U/Th sur plancher stalagmitique indiquent le sous-stade isotopique 5b[39] (82 à 87 ka).

    Moyen Âge

    Au XIIIe siècle, Souillac grandit autour d'une abbaye dépendant du monastère bénédictin d'Aurillac (Cantal). Quand les Bénédictins s'installent dans la plaine de Souillès, ainsi nommée d'un mot local "souilh" signifiant "lieu boueux et marécageux où se vautraient les sangliers"[42], ils remplacent une communauté fondée à cet endroit par Saint Eloi[43]. Les moines assèchent sans relâche et transforment le marécage en un riche domaine. Plusieurs fois ruinée et saccagée par les Anglais au cours de la guerre de Cent Ans, Souillac se relève grâce à la ténacité des abbés, mais les guerres de religion lui causent encore de plus grands désastres: en 1562, des bandes protestantes pillent le monastère: dix ans plus tard, les bâtiments conventuels sont la proie des flammes, seule l'église abbatiale, bien protégée par ses coupoles, échappe à l'incendie[44].

    XVIIIe siècle

    Entre 1795 et 1800, La commune absorbe celle voisine de Saint-Étienne-Lacombe, peuplée de 218 habitants au recensement de 1793[45].

    XIXe siècle

    Entre 1801 et 1806, elle absorbe la commune voisine de Bourzoles[37], peuplée de 87 habitants au recensement de 1800[46],[47].

    En 1819, la commune de Beaurepos, peuplée de 202 habitants au recensement de 1800[46], qui faisait partie du département de la Dordogne est rattachée à celui du Lot et fusionne avec Souillac[37],[48].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 2008 Alain Chastagnol RPR puis UMP Conseiller général
    mars 2008 mars 2014 Jean-Claude Laval PS  
    mars 2014 mai 2020 Jean-Michel Sanfourche UMP  
    mai 2020 En cours Gilles Liébus LREM[50] conseiller départemental (2015-2021)

    Politique environnementale

    En 2003, Souillac était récompensée par une fleur au palmarès du concours des villes et villages fleuris[51].

    Jumelages

    Auparavant, Souillac avait été jumelée avec  Denny (Royaume-Uni), jusqu'à la disparition de la commune écossaise dans une fusion administrative au début des années 2000[52].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[54].

    En 2019, la commune comptait 3 201 habitants[Note 11], en diminution de 8,31 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3061 5671 4322 6033 0963 0463 0873 0763 248
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 2803 1283 1003 1153 1103 5863 6273 2183 069
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 1542 8812 7612 4612 5012 5132 6433 0092 907
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    3 2093 6303 8453 5703 4593 6713 8983 9703 864
    2014 2019 - - - - - - -
    3 3663 201-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[56] 1975[56] 1982[56] 1990[56] 1999[56] 2006[57] 2009[58] 2013[59]
    Rang de la commune dans le département 5 5 6 6 4 4 4 6
    Nombre de communes du département 340 340 340 340 340 340 340 340


    Enseignement

    • Lycée Louis-Vicat : enseignement général, technologique et professionnel du BEP/CAP au Bac pro et BTS (construction, menuiserie, énergétique [clim], génie civil)
    • Lycée des métiers hôteliers Quercy-Périgord
    • Collège du Puy d’Alon
    • École de musique

    Sports

    Culture et manifestations

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 547 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 2 798 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 800 [I 7] (20 740  dans le département[I 8]). 37 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (44,9 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]10,2 %14,9 %14,9 %
    Département[I 10]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 758 personnes, parmi lesquelles on compte 68,6 % d'actifs (53,7 % ayant un emploi et 14,9 % de chômeurs) et 31,4 % d'inactifs[Note 14],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Souillac[Carte 2],[I 12]. Elle compte 2 205 emplois en 2018, contre 2 415 en 2013 et 2 674 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 971, soit un indicateur de concentration d'emploi de 227,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,7 %[I 13].

    Sur ces 971 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 627 travaillent dans la commune, soit 65 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 74,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 17,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    458 établissements[Note 15] sont implantés à Souillac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble458100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    408,7 %(14 %)
    Construction398,5 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    17337,8 %(29,9 %)
    Information et communication81,7 %(1,8 %)
    Activités financières et d'assurance183,9 %(2,8 %)
    Activités immobilières275,9 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    6113,3 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    5612,2 %(12 %)
    Autres activités de services367,9 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,8 % du nombre total d'établissements de la commune (173 sur les 458 entreprises implantées à Souillac), contre 29,9 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[60] :

    • Souillac Distribution, hypermarchés (enseignes E.Leclerc, Brico E.Leclerc et E.Leclerc Drive) (40 433 k€) ;
    • G.Pivaudran, métallurgie pour le packaging de luxe (19 000 k€) détentrice du label EPV « Entreprise du Patrimoine Vivant » et sélectionné dans le cadre du dispositif France Relance et Territoires d’Industrie depuis 2020[61] ;
    • Val-Causse Distribution, commerce de gros (commerce interentreprises) de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail (11 592 k€) ;
    • Traitements Informatiq Professionnel S O - Tipso, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (2 746 k€) ;
    • Albareil, installation de machines et équipements mécaniques (cuisines professionnelles[62]) (1 956 k€) ;
    • S46, activités des agences de travail temporaire (enseigne Temporis) (917 k€).

    Agriculture

    La commune est dans la vallée de la Dordogne », dans une petite région agricole occupant une petite partie (7 communes) du nord du territoire du département du Lot[63]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations39241611
    SAU[Note 18] (ha)365291192119

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 24 en 2000 puis à 16 en 2010[65] et enfin à 11 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 72 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[66],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 365 ha en 1988 à 119 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 11 ha[65].

    Cité de la mode et des arts créatifs

    Initié en 2017, un gigantesque projet de construction d'une « Cité de la Mode et du Luxe » vise a redynamiser le territoire en créant un ensemble immobilier de 30 hectares, constitué d'une centaine de magasins, un centre de formation, des restaurants haut de gamme et un hôtel 5 étoiles ; le tout représentant un investissement de plus de 130 millions d'euros. Toutefois, le projet est critiqué[67] pour son aspect « pharaonique » et ses conséquences économiques[68] et environnementales.

    En , dans un contexte de crise économique liée à la pandémie de Covid-19, les prétentions du projet sont revues à la baisse[69],[70]

    Lors du conseil communautaire du , le projet, jugé irréaliste, est finalement déclaré abandonné par la collectivité Causse et Vallée de la Dordogne, faute d'investisseurs[71],[72].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Sainte-Marie de Souillac et anciens bâtiments conventuels attenants.
    Le beffroi.
    Enseigne animée.
    • La halle
      Le viaduc de la Borrèze vue de Souillac
      Les bâtiments de l'abbaye Sainte-Marie, rebâtis aux XVIIe et XVIIIe siècles, inscrits le au titre des monuments historiques[73].
    • L'église abbatiale Sainte-Marie de Souillac du XIIe siècle, classée en 1840 au titre des monuments historiques[74]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[74]. Elle possède un orgue de tribune Stoltz, dont la partie instrumentale datant de 1850[75] a été classée le au titre des monuments historiques[76]. Il a été restauré en 1988[75], puis en 2017[77], par le facteur d'orgues Daniel Birouste. Son organiste titulaire est Christophe Loiseleur Des Longchamps depuis 1991[78].
    • l'ancienne église Saint-Martin et son beffroi, classée en 1925 au titre des monuments historiques[79].
    • Dolmen Laval, également appelé Tumulus Laval :  Classé MH (1984) Notice no PA00095264 44° 54′ 57″ N, 1° 27′ 17″ E
    • Le Pont Louis-Vicat, le premier au monde utilisant du ciment artificiel[Note 20].
    • Les berges de la Dordogne romantiques et réputées.
    • Le viaduc de la Borrèze, aussi surnommé viaduc des Aubugues, du nom du quartier qu'il surplombe, construit de 1881 à 1885 au-dessus de la Borrèze, inscrit le au titre des monuments historiques[80]. Il est le plus long des sept ouvrages ferroviaires (avec le viaduc du Sorbier, le viaduc du Boulet, le viaduc des Marjaudes, le viaduc de Présignac, le viaduc de Lamothe et le viaduc de Bramefond) qui ont valu à Souillac son surnom de Ville aux sept viaducs[81].
    • Le musée de l'automate. Il abrite notamment une collection de plus de 300 automates et jouets mécaniques des XIXe et XXe siècles d'une des maisons les plus importantes dans le domaine : la maison Roullet-Decamps[82].
    • Autour de ce musée fut constitué un parcours d'enseignes animées dans les rues de la ville, réalisées pour la plupart par un ferronnier d'art local.
    • La halle construite de 1832 à 1836, inscrite en 2004 au titre des monuments historiques[83].
    • Ateliers d'artistes.
    • L'ancienne chapelle Notre-Dame du Port, détruite pour la construction du pont Louis-Vicat.
    • Chapelle Saint-Étienne Lacombe de Custals.
    • Église de Bourzolles. Alors qu'elle devait être rasée, l'église est vendue par la ville de Souillac à Étienne Cluzel, un passionné des vieilles pierres, qui l'a restaurée, en compagnie de proches[84].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Souillac se blasonnent ainsi : D'or au chevron d'azur, accompagné en pointe d'une hure de sanglier de gueules, allumée et défendue d'argent.

    La devise de la commune est : « Je fais front ».


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marguerite Vidal (conservateur des musées de Moissac), Jean Maury (agrégé de l'université), Jean Porcher (conservateur en chef du cabinet des manuscrits à la Bibliothèque nationale) et Jean Dieuzaide (photographies), Quercy roman, La Pierre-Qui-Vire (Yonne), éditions Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 10), , 342 p. (ISSN 0768-0937, OCLC 77369786, BNF 33215348, SUDOC 007394829, présentation en ligne), p. 251-287.
    • [Pons 1923] P. Pons, Souillac et ses environs, Aurillac, Imprimerie de La Liberté, .
    • [Astruc et al. 1995] Jean G. Astruc, René Cubaynes (terrains liasiques), Jean-Paul Fabre (hydrogéologie karstique du causse de Martel), Jacques Galharague (substances minérales exploitées en carrières), Andrée Lefavrais-Raymond (terrains liasiques et itinéraire d'excursion géologique), Raymond Marcouly (chapitres « Sols, végétation et cultures » et « Pédologie »), Thierry Pélissié (terrains dû Jurassique moyen-supérieur), Jacques Rey (stratigraphie séquentielle du Jurassique), Régine Simon-Coinçon (terrains crétacés et tertiaires) et Alain Turq (préhistoire et archéologie), Notice explicative de la carte géologique à e no 809 « Souillac », Orléans, (ISBN 2-7159-1809-7, BNF 40846306, lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr).
    • Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.

    Souillac dans la littérature française

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en Corrèze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en Corrèze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[64].
    20. Le pont est en pierre. C'est pour réaliser la surface des fondations superficielles des piles que Louis Vicat a fait des recherches sur les ciments qui lui ont permis la mise au point des ciments artificiels. Le pont permet le franchissement de la Dordogne par la route de Paris à Toulouse par Montauban - Archim : Atlas Trudaine « Partie de la route de Paris à Toulouse depuis Souillac jusqu'à Montauban ».
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    Notes sur la démographie

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      Autres sources

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      2. « Souillac, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
      3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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      81. Abad, « Les Viaducs », De Chanterane à Barnicou, bulletin de l'association Les Amis du Vieux Souillac, no 23, (ISSN 0762-3461).
      82. « La collection »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur musee-automate.fr, Le musée de l'automate (consulté le ).
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      84. Stéphanie Claude, « Il se consacre au sauvetage de châteaux », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 12-13.
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