Cajarc

Cajarc (prononcé [kaʒaʁ], le c final ne se prononce pas) est une commune française, située dans le sud-est du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Cajarc, le plus petit des quatre causses du Quercy, enserré dans les méandres du Lot et du Célé.

Cajarc

Vue de Cajarc.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Jacques Viratelle
2020-2026
Code postal 46160
Code commune 46045
Démographie
Gentilé Cajarcois, Cajarcoises
Population
municipale
1 119 hab. (2019 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 29′ 11″ nord, 1° 50′ 37″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 394 m
Superficie 25,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cajarc
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Cajarc
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Cajarc
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Cajarc
Liens
Site web Site officiel de la mairie de Cajarc

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lot, le ruisseau de Lantouy, le ruisseau de Verboul et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot) et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Cajarc est une commune rurale qui compte 1 119 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Cajarcois ou Cajarcoises.

    Géographie

    La commune est située dans l'ancienne province du Quercy. Adossée au Causse de Saint-Chels, elle se blottit dans un cirque de plateaux calcaires au pied du Lot.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe du département de l'Aveyron.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 884 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villeneuve », sur la commune de Villeneuve, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 941,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 46 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie de parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[21],[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] :

    • les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » (841 ha), couvrant 4 communes du département[24] ;
    • le « cours moyen du Lot » (1 543 ha), couvrant 33 communes dont huit dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[25] ;
    • « la Fin du Monde, Puczats, Pique Merle et Roc de Conte » (501 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;
    • la « montagne de Gaïfié et combes des ruisseaux de l'Oule et de Soubeyre » (1 461 ha), couvrant 7 communes dont quatre dans l'Aveyron et trois dans le Lot[27] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[23] : la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 ha), couvrant 36 communes dont huit dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Cajarc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[I 1],[30]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,6 %), prairies (12,9 %), terres arables (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %), eaux continentales[Note 7] (3,8 %), zones urbanisées (2,5 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Cajarc aurait pour origine le nom germanique Cachihardus selon Ernest Nègre ou d'une altération de l'occitan cajaròca, du latin casa, désignant une pauvre maison, une hutte, peut-être point de départ du village[32].

    Histoire

    Cajarc connut un habitat gallo-romain[33].

    Elle fut une ville importante du Quercy dotée d'une charte des coutumes en 1226[33]. Ses seigneurs, les Hébrard de Saint-Sulpice, bâtirent des prieurés et protégèrent la population pendant la guerre de Cent Ans. Aussi désigne-t-on par « Hébrardie » la région autour de la vallée du Célé.

    Cajarc fut longtemps résidence des évêques de Cahors.

    Cajarc, tout comme Figeac, opta pour la Réforme et fut démantelée par Louis XIII en 1622[33].

    Une possible attaque de la préfecture de Corrèze est envisagée. Ces actions auront pour objectif de montrer la force du maquis et s’inscriront dans le cadre de « l’insurrection nationale » réclamée par la direction du parti communiste et celle des Francs-tireurs et partisans. L’opération du 1er mai est considérée comme un succès, avec plusieurs occupations de localités dans le département. Les responsables FTP, avec leur nouveau chef, Jean-Jacques Chapou, qui s’est illustré par l’occupation le 10 avril 1944 de la petite commune de Cajarc dans le Lot, réfléchissent à l’occupation de la ville de Tulle.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1794 Jean Lacariere    
    1794 1796 Antoine Lagarrigue    
    1796 1798 Andrieu    
    1798 1800 Jacques Paben    
    05.1800 06.1800 Claude Duphénieux    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36]. En 2019, la commune comptait 1 119 habitants[Note 8], en diminution de 1,5 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9111 9752 2202 0011 8892 0532 0552 1431 837
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8911 9281 9171 9421 8471 9341 9591 8181 661
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5051 5271 4091 2601 2051 1661 1001 3251 002
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 0201 0441 0281 0591 0331 1141 0961 0881 119
    2015 2019 - - - - - - -
    1 1301 119-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 555 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 053 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 390 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]10,2 %11,9 %12 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 527 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (62,4 % ayant un emploi et 12 % de chômeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 490 emplois en 2018, contre 502 en 2013 et 484 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 344, soit un indicateur de concentration d'emploi de 142,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,5 %[I 10].

    Sur ces 344 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 198 travaillent dans la commune, soit 58 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 73 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 17,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    171 établissements[Note 11] sont implantés à Cajarc au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble171100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    2112,3 %(14 %)
    Construction169,4 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    4526,3 %(29,9 %)
    Information et communication31,8 %(1,8 %)
    Activités financières et d'assurance52,9 %(2,8 %)
    Activités immobilières63,5 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1911,1 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    4325,1 %(12 %)
    Autres activités de services137,6 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,3 % du nombre total d'établissements de la commune (45 sur les 171 entreprises implantées à Cajarc), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[39] :

    • Districaj, supermarchés (6 803 k€)
    • Vinghes, commerce de détail de viandes et de produits à base de viande en magasin spécialisé (461 k€)
    • SARL Benniks, boulangerie et boulangerie-pâtisserie (329 k€)
    • Entreprise Veuve Roques Et Fils, réparation d'équipements électriques (47 k€)
    • Indifaro, activités des sociétés holding (21 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la vallée du Lot », une petite région agricole s'étendant d'est en ouest et de part et d'autre du cours du Lot, particulièrement réputée pour ses vignes, celles du vignoble de Cahors plus précisément[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations47221715
    SAU[Note 14] (ha)673492612577

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 47 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 22 en 2000 puis à 17 en 2010[42] et enfin à 15 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 68 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[43],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 673 ha en 1988 à 577 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 14 à 38 ha[42].

    Culture et festivités

    Art contemporain

    Maison des Arts Georges et Claude Pompidou, centre d'art contemporain labellisé Centre d'art contemporain d'intérêt national[44]. La MAGCP propose des expositions toute l'année et un parcours d'art contemporain en vallée du Lot chaque été (16e édition en 2020). Elle est également chargée des résidences d'artistes des Maisons Daura, à Saint-Cirq-Lapopie.

    Festival

    Depuis 1999 se tient fin juillet Africajarc, un festival pluridisciplinaire consacré à la musique et aux cultures d'Afrique.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • « La maison de l'Hébrardie » aux fenêtres gothiques date de la fin du XIIIe siècle[33] et constitue un vestige du château de la puissante famille des Hébrard de Saint-Sulpice. Elle est classée monument historique en 1924[47].
    • À proximité du bourg, on peut voir une cascade de 25 mètres de haut, dénommée la Caougne ; dans le cirque de plateaux, on aperçoit, au nord, le « Roc de Conte » et à flanc de coteau, le « château des Anglais ».
    • En amont de la ville se trouve le « Saut de la Mounine », point de vue sur la vallée et les méandres du Lot.
    • Dolmens du Camp d'Inou Tou : 3 dolmens.
    • Dolmens du Verdier : 3 dolmens.

    Patrimoine ferroviaire

    La gare de Cajarc et une grue hydraulique datant de 1890.

    Cajarc se situe sur la ligne de chemin de fer Cahors - Capdenac. Bien que la gare soit désaffectée, Cajarc conserve plusieurs bâtiments ferroviaires ainsi qu'un réservoir d'eau et deux grues hydrauliques qui étaient utilisés pour approvisionner les locomotives à vapeur. L'association des cheminots et amis du rail du Pays de Cajarc gère un musée du rail installé dans un ancien bâtiment ferroviaire situé à proximité de la gare ; ce musée présente une collection de matériel ferroviaire. La gare est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1989[48].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Son blasonnement est : « D'azur, à un château d'or donjonné de deux tours de même, la porte ouverte, et les donjons chargés chacun d'une croix de sable, et accostés d'une aigle d'argent. »[52]


    Le pèlerinage de Compostelle

    C'était un relais très fréquenté par les pèlerins de Saint-Jacques. Un hôpital existait déjà en 1269, il est cité de nombreuses fois dans les textes.

    Un pont est construit sur le Lot en 1320 pour le passage des pèlerins.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cajarc » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cajarc » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cajarc » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cajarc » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Villeneuve - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cajarc et Villeneuve », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Villeneuve - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cajarc et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    20. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Réserve naturelle d'intérêt géologique du département du Lot. », sur www.reserves-naturelles.org (consulté le )
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    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cajarc », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF le « cours moyen du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF « la Fin du Monde, Puczats, Pique Merle et Roc de Conte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF la « montagne de Gaïfié et combes des ruisseaux de l'Oule et de Soubeyre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF la « Moyenne vallée du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. Gaston Bazalgues et Jacqueline Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 p. (ISBN 2-910540-16-2, BNF 40220401), p. 108.
    33. Michel de la Torre, Lot - L'art et la nature de ses 340 communes, Nathan, 1985
    34. « Les maires de Cajarc », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    41. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    42. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Cajarc - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    44. Site Internet de la MAGCP
    45. « Église paroissiale Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    46. « Chapelle des Mariniers », notice no PA00095032, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Maison de l'Hébrardie », notice no PA00095033, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Gare », notice no PA00095285, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. Françoise Sagan : Bonjour New York suivi de Maisons louées. Réédition posthume.2008.
    50. Eh bien bonjour, le Schmilblick est aujourd'hui à Cajarc, petite ville de l'Aveyron (sic). Je rappelle brièvement que le Schmilblick est presque rond, qu'il contient du jaune, qu'il tient dans la main, qu'on peut le faire cuire de différentes façons et qu'un navigateur le faisait tenir debout. A vous Cajarc ! A vous Simone ! Premier candidat…. Le sketch est une réalisation de Martin Lamotte, qui joue le rôle de Guy Lux, Christine Dejoux étant Simone Garnier. Coluche lui piquera aussi l'idée du Cancer du bras droit
    51. Loïc Sellin et Denis Taranto, « Sagan : l'album retrouvé », Vanity Fair n°26, août 2015, pages 140-149.
    52. Victor Adolphe Malte-Brun, Lot : Géographie - Histoire - Statistique - Administration, Les éditions du Bastion, (réimpr. 1980), 58 p., p. 49.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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