Larnagol

Larnagol est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Cajarc, le plus petit des quatre causses du Quercy, enserré dans les méandres du Lot et du Célé.

Larnagol

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
André Ortalo-Magne
2020-2026
Code postal 46160
Code commune 46155
Démographie
Population
municipale
138 hab. (2019 )
Densité 5,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 38″ nord, 1° 46′ 42″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 385 m
Superficie 24,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Larnagol
Géolocalisation sur la carte : France
Larnagol
Géolocalisation sur la carte : Lot
Larnagol
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Larnagol

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lot, le ruisseau de Verboul et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot) et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Larnagol est une commune rurale qui compte 138 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 874 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Larnagolois ou Larnagoloises.

    Géographie

    Commune située dans le Quercy sur le Lot et sur l'ancienne route nationale 662 entre Saint-Martin-Labouval et Cajarc.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 893 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 43 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[21],[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] :

    • les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » (841 ha), couvrant 4 communes du département[24] ;
    • le « cours moyen du Lot » (1 543 ha), couvrant 33 communes dont huit dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[25],
    • les « pelouses landes et bois de la combe Bédis, du pech Ladret et du bois Commun » (843 ha), couvrant 4 communes du département[26] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[23] : la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 ha), couvrant 36 communes dont huit dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Larnagol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[28],[I 1],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,3 %), prairies (13,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), eaux continentales[Note 7] (2,5 %), terres arables (2 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Selon Gaston Bazalgues, le nom Larnagol aurait une origine germanique et serait une forme contractée formée de arn (aigle) et de hard (fort, dur). Une origine à partir de Larnac serait aussi possible[31].

    Histoire

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 1797 Hoste Jean Bessac    
    1797 1800 Jean Gimbergues    
    1800 1816 Jacques Louis Vinel    
    1816 1829 Pierre Joseph Vinel    
    1829 1835 Jean Laubard    
    1835 1870 Auguste Vinel    
    1870 1871 Gustave Vinel    
    1871 1874 Jacques Calmettes    
    1874 1878 Henri Saint Chamarand (de)    
    1878 1881 Jean Delluc    
    1881 1884 Jean Auguste Desplat    
    1884 1920 Gustave Jean Baptiste Vinel    
    1920 1928 Ludovic Vinel    
    1928 1959 Albert Toulza    
    1959 1983 Wilfrid Ortalo Magne    
    1983 2001 Raymond Theil    
    2001 2007 Pierre Cassoulet    
    2008 En cours André Ortalo-Magne    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2019, la commune comptait 138 habitants[Note 8], en augmentation de 2,22 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    781774874795656774750776784
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    780783784784791751738683616
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    569535508402402348322274211
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    207182169177159157138133135
    2018 2019 - - - - - - -
    139138-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]3,7 %9 %12,7 %
    Département[I 5]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 63 personnes, parmi lesquelles on compte 79,4 % d'actifs (66,7 % ayant un emploi et 12,7 % de chômeurs) et 20,6 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 7]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 43 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 50, soit un indicateur de concentration d'emploi de 80,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,6 %[I 8].

    Sur ces 50 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 70 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 48 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 16 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 34 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    11 établissements[Note 10] sont implantés à Larnagol au [I 11]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 63,6 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 11 entreprises implantées à Larnagol), contre 29,9 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    La commune est dans la vallée du Lot », une petite région agricole s'étendant d'est en ouest et de part et d'autre du cours du Lot, particulièrement réputée pour ses vignes, celles du vignoble de Cahors plus précisément[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations25111310
    SAU[Note 12] (ha)3934651 110708

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 11 en 2000 puis à 13 en 2010[39] et enfin à 10 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 60 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[40],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 393 ha en 1988 à 708 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 71 ha[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    château de Larnagol
    la Peyro lebado

    Les plus anciens vestiges du château de Larnagol datent du XIIIe siècle et sont classés au titre des monuments historiques[44] mais l'état actuel correspond à une reconstruction complétée d'une importante opération de décoration effectuée au XVIIIe siècle, ce qui lui a valu un second classement. Acquis au XXe siècle par le ferronnier d'art Raymond Subes.

    Les Dolmens de Mas-de-Jantou, site qui regroupe deux dolmens : le dolmen no 1 et le dolmen no 2 respectivement appelé autrefois la Peyro lebado et la Peyro cotado. Le dolmen no 1 est inséré dans un tumulus long de 24 mètres à son extrémité est. La table est cassée mais les deux orthostates sont encore en place. Le dolmen no 2 a été classé[45].

    Le cimetière de Seuzac, où sont enterrés Françoise Sagan, Robert Westhoff et Peggy Roche.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé: aux 1er et 4e d'or à trois bandes de gueules, aux 2e et 3e cinq points d'argent équipollés à quatre points de gueules.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Article connexe

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Larnagol et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Larnagol et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    21. « Réserve naturelle d'intérêt géologique du département du Lot. », sur www.reserves-naturelles.org (consulté le )
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    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Larnagol », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    27. « ZNIEFF la « Moyenne vallée du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    32. « Les maires de Larnagol », sur Site francegenweb, (consulté le ).
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    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    43. « Ancienne église paroissiale », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    44. « Castrum ou château de Larnagol », notice no PA46000023, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Dolmen dit Peyro Cotado », notice no PA00095126, base Mérimée, ministère français de la Culture, le 12 juillet 1989 : la table est endommagée mais toujours en place. Coordonnées des implantations : 44° 29′ 32″ N, 1° 45′ 05″ E et 44° 29′ 33″ N, 1° 45′ 11″ E.

    Notes

      Liens externes

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