Saint-Chels
Saint-Chels est une commune française, située dans l'est du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Cajarc, le plus petit des quatre causses du Quercy, enserré dans les méandres du Lot et du Célé.
Saint-Chels | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Figeac |
Intercommunalité | Communauté de communes Grand-Figeac |
Maire Mandat |
Alain Gouget 2020-2026 |
Code postal | 46160 |
Code commune | 46254 |
Démographie | |
Population municipale |
139 hab. (2019 ) |
Densité | 7,8 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 31′ 47″ nord, 1° 48′ 07″ est |
Altitude | Min. 157 m Max. 394 m |
Superficie | 17,86 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Causse et Vallées |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.saint-chels.fr |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Célé, le ruisseau de Verboul et par deux autres cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « basse vallée du Célé »), un espace protégé (la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot) et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Chels est une commune rurale qui compte 139 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 576 habitants en 1856. Ses habitants sont appelés les Saint-Chélois ou Saint-Chéloises.
Géographie
Le bourg est situé entre les vallées du Célé et du Lot sur le causse de Saint-Chels dans le département du Lot. La commune fait partie du canton de Cajarc.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].
Un autre espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[21],[22].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « basse vallée du Célé »[24], d'une superficie de 4 702 ha, abritant une faune, une flore et des milieux naturels remarquables, riches et diversifiés. 15 habitats naturels et 18 espèces, désignés au titre de la directive habitats, y ont été identifiés. Ont également été, mis en évidence la présence de plusieurs espèces remarquables et patrimoniales d'oiseaux, dont le Hibou grand-duc, le Faucon pèlerin et le Circaète Jean-le-Blanc (inscrits à la directive oiseaux)[25].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[26] :
- les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » (841 ha), couvrant 4 communes du département[27] ;
- les « combe de Bazos, bois de Mars, Camp du Verdier et pech de Fourès » (590 ha), couvrant 4 communes du département[28],
- la « rivière Célé » (1 383 ha), couvrant 15 communes du département[29] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[26] : la « basse vallée du Célé » (4 063 ha), couvrant 15 communes du département[30].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Chels est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[I 1],[32]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,4 %), forêts (35,4 %), zones agricoles hétérogènes (19,5 %), prairies (1,6 %)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Selon Gaston Bazalgues, le toponyme Saint-Chels est basé sur l'hagiotoponyme chrétien Adelphus qui a donné Sant Elf puis Sant Chèl[34].
Dans ses monographies consacrées aux paroisses du diocèse de Cahors, le chanoine Edmond Albe affirme que le vrai nom de la paroisse de Saint-Chels serait celui du patron titulaire de l'église : saint Celse, qui fut martyr à Milan, avec saint Nazaire, sous le règne de Néron[35].
Les noms suivants sont mentionnés :
- S. Haelf en 1225, dans un acte des archives de Cajarc[36] ;
- Saint-Chels en 1286, dans pour un legs, dans le testament de Dorde Barasc[37]
- S. Hoelfs en 1231, nom d'un templier du Bastit, Arnaud de S. Hoelfs, témoin lors d'une donation faite à Leyme[38] ;
- St Sels, en 1348 dans un registre de Cajarc[39] ;
- prioratus sancti Adelphi seu Helphi de Chancelz en 1549, dans une bulle pontificale[40]. L'Adelphi de cette bulle prouve que le moine qui avait fait la supplique voyait dans le titulaire de l'église non pas le martyr Celse, mais quelque abbé de l'ordre de Saint Benoit : Adelphus, abbé de Remiremont au VIIe siècle (fête le 11 sept.) ou Hadulphus, abbé de Saint Vaast au VIIIe siècle (fête le 19 mai).
Histoire
Mentions de la paroisse
La paroisse est mentionnée en 1225 sous le nom de S. Haelf[36] ; en 1286, Saint-Chels, pour un legs, dans le testament de Dorde Barasc[37] ; en 1348, St Sels[39] ; en 1549, prioratus sancti Adelphi seu Helphi de Chancelz, dans une bulle pontificale.
L'église de Saint-Chels était une annexe de l'église paroissiale Saint-Jean (ou Notre-Dame) de Marcilhac et toutes deux sont unies dès le XIIIe siècle au moins, à l'office de célerier du monastère.
Les curés sont ceux de Marcilhac. Il y avait un vicaire pour faire le service.
Quelques curés de la paroisse : Pradels, 1658 - Combettes, 1718 - Day, 1723 - Blanc, 1736 - Delpech ou Delpuech, 1737 - Larnaudie, 1742 - Delpech, 1748 - Louis Roques, 1748 - Bousquet, 1752 - Doucet, 1757 - Delsouc, 1758 - Combier, 1759 - Escalier, 1762 - Roques, 1789 - Rayssac, 1790 - Bessières, 1791. Ce dernier, malgré l'exemple donné par Combarieu, curé de Marcilhac, ne voulut prêter (février 91) le serment constitutionnel, qu'avec une réserve relative aux lois de l’Église romaine.
Saint-Chels faisait partie de l'archiprêtré de Figeac et, dès le XVIIe siècle, fut une des paroisses (avec Marcilhac) de la congrégation foraine d'Espédaillac. Il fait aujourd'hui partie du doyenné de Cajarc.
Les remaniements de 1860 et 1866 n'ont laissé absolument rien de l'église ancienne.
Village de Saint-Béro (?) de la commune, mais en partie seulement de la paroisse - Est-ce pour Saint-Véran ?
La seigneurie
Elle était rattachée à la seigneurie de Larnagol et appartient par suite aux mêmes familles de Calvignac, Puycornet, Cessac (voir Larnagol). Un état de 1631 porte : "Le sieur de Cessac, en est seigneur et le revenu est compris avec celui de Larnagol. "Le sieur Méja, juge de Marcillac, a un tènement noble et seigneurial appelé du Rostat (ou Durestat, en la commune de Marcillac, mais plus près de Saint-Chels) et vaut 100 livres. "La dîme est à 11. Elle vaut au célérier de Marcillac compris le quart du curé (lequel dépend de l'abbé, avec l'investitute de Cahors), 50 charges de blé par tiers (froment, seigle, baillarge). "Il y a 25 feus" (Arch. Lot F 84) en 1639, noble Charles de Cajarc avait du bien dans Saint-Chels (A Lot B 142). En 1678, Saint-Chels appartenait aux de Laporte, seigneurs de Larnagol. Famille Pezet : notaires de Saint-Chels XVII-XVIIIè. L'un d'eux, Benoit Pezet, bourgeois de Saint Cels, fut enterré, en 1755, dans la chapelle qu'il avait fait construire dans l'église de Saint-Chels. On trouve en 1778, Pierre-François Marmont de Pezet, écuyer, rue du Pin, à Figeac. en 1788, Benoit Pezet, receveur particulier des finances - alliance avec la famille Dufau (note Champeval).
La communauté
Saint-Chels était une communauté distincte de Marcillac, de l'élection de Figeac. elle payait 1 835 livres d'imposition en 1787, dont 57 livres de charges locales. Sa situation sur le causse, entre Lot et Célé, fit convoiter le fort par les compagnies anglaises qui s'en emparèrent à plusieurs reprises pendant la guerre de Cent Ans. Il reste encore quelques débris de fortifications.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2019, la commune comptait 139 habitants[Note 8], en diminution de 1,42 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 5,8 % | 6,3 % | 12 % |
Département[I 5] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 75 personnes, parmi lesquelles on compte 65,3 % d'actifs (53,3 % ayant un emploi et 12 % de chômeurs) et 34,7 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 7]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 45 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 41, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,2 %[I 8].
Sur ces 41 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 80,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
11 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Chels au [I 11]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,4 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 11 entreprises implantées à Saint-Chels), contre 13,9 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 28 | 23 | 16 | 11 |
SAU[Note 12] (ha) | 889 | 891 | 1 222 | 960 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 23 en 2000 puis à 16 en 2010[48] et enfin à 11 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 61 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[49],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 889 ha en 1988 à 960 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 87 ha[48].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Celse de Saint-Chels.
- Moulin à vent du XVIIIe siècle, restauré en 1976.
- Vallée du Célé Site inscrit 30 août 1974.
Mégalithisme
La commune dispose d'un très riche patrimoine mégalithique, dont 4 dolmens classés aux Monuments historiques, avec une forte proximité d'implantation géographique entre eux.
- Dolmen du Mas de Pezet : la table est brisée mais les longs orthostats sont encore en place. les fouilles y ont mis au jour un crâne humain daté du néolithique. Inscrit MH (1988) Notice no PA00095225 44° 30′ 32″ N, 1° 48′ 05″ E
- Dolmen du Bout-de-la Combe : petit dolmen de 2 mètres de long pour 1 mètre de large qui a perdu sa table.
- Dolmen de Pourquayret : dolmen à vestibule dont les orthostats dépassent les 3 mètres de long. La table a disparu. Sa destruction fut en partie volontaire dans les années 1930[50].
- Dolmen du Devès.
- Dolmen d'Aubin : il dispose d'une table de 6,5 tonnes Classé MH (1989) Notice no PA00095224 44° 32′ 48″ N, 1° 48′ 48″ E
- Dolmen des Agars : sous sa table de 4 mètres de long, les orthostats se sont un peu affaissés vers la droite. Classé MH (1989) Notice no PA00095223 44° 32′ 51″ N, 1° 49′ 03″ E
- Dolmen du Pech d'Agaïo : le dolmen s'est effondré sur lui-même. Classé MH (1989) Notice no PA00095226 44° 32′ 39″ N, 1° 49′ 00″ E
- Dolmen du Pech d'Agaïo.
- Dolmen des Agars.
- Dolmen d'Aubin.
Article connexe
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Chels » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Chels » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Chels » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Chels et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Chels et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
- [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
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- « Réserve naturelle d'intérêt géologique du département du Lot. », sur www.reserves-naturelles.org (consulté le )
- « la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Chels », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300913 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Chels », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « combe de Bazos, bois de Mars, Camp du Verdier et pech de Fourès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 116 (lire en ligne)
- Edmond Albe, Paulette Aupoix (transcription) et François Petitjean (transcription), Monographies des paroisses de la région Vers-Lot-Célé, Archives diocésaines de Cahors, Éditions Quercy.net,
- Archives de Cajarc (DD 67)
- Guillaume Lacoste, Histoire générale de la province de Quercy, t. 2 (1re éd. 1883) (lire en ligne), p. 369.
- Archives de Cajarc (DD 67), Doat, 124, f. 157
- registre de Cajarc de 1348
- Reg. Vatic., 1782, f. 21
- « Les maires de Saint-Chels », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Chels - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
- Bruno Marc, Dolmens et menhirs du Quercy : 25 circuits de découverte préhistorique, Sète, Nouvelles Presses du Languedoc, , 115 p. (ISBN 978-2-35414-036-6), p. 59.
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Liens externes
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