Espédaillac

Espédaillac est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Espédaillac

Mairie d'Espédaillac.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Gérard Magne
2020-2026
Code postal 46320
Code commune 46094
Démographie
Population
municipale
268 hab. (2019 )
Densité 7,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 38′ 20″ nord, 1° 46′ 24″ est
Altitude Min. 255 m
Max. 444 m
Superficie 34,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Figeac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Espédaillac
Géolocalisation sur la carte : France
Espédaillac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Espédaillac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Espédaillac
Liens
Site web http://www.espedaillac.fr/

    Exposée à un climat océanique altéré, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Espédaillac est une commune rurale qui compte 268 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 073 habitants en 1793. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Figeac. Ses habitants sont appelés les Espédaillacois ou Espédaillacoises.

    Géographie

    Commune du Quercy située dans le parc naturel régional des Causses du Quercy.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Espédaillac[1]
    Durbans Livernon
    Quissac Grèzes
    Blars Marcilhac-sur-Célé
    (sur 60 m)
    Brengues,
    Saint-Sulpice

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 007 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21] : les « chênaie et lande du pech de Bar, du pech Pointu et de bois Grand » (226 ha), couvrant 3 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Espédaillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[I 1],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,2 %), forêts (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), prairies (9,5 %), zones urbanisées (1 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Espédaillac est basé sur le terme latin hospitis. Le suffixe possessif -ac a été ajouté pour marquer l'appartenance à un domaine. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[26]. En latin hospes qualifie celui qui donne l'hospitalité.

    Histoire

    Préhistoire

    Le territoire d'Espédaillac a attiré les hommes depuis les temps les plus reculés. En 1999, un biface taillé dans un galet de quartzite a été trouvé au Pech Ventoux et a été rattaché au Paléolithique[27].

    Le dolmen du Mas de l'Artillou

    De nombreux dolmens et des tumuli sont encore visibles sur les terrains calcaires du causse[28],[29] :

    • Dolmen de l'Artillou au lieu-dit le Mas de l'Artillou au sud-est du village, à 460 mètres à l'est de la D40, en propriété privée. Il dispose de sa table sur ses deux ortholites 44° 36′ 59″ N, 1° 47′ 13″ E.

    Les Hospitaliers

    Au moyen Âge, la seigneurie d'Espédaillac était partagée entre un seigneur laïc (Les Barasc puis les Cadaillac) et l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La maison de l'Hôpital (commanderie, domus hospitalis) d'Espédaillac est attestée depuis le XIIIe siècle au sein du grand prieuré de Saint-Gilles puis elle devint un membre de la commanderie de Durbans[30].

    Église Saint-Blaise d'Espédaillac est une ancienne église de la commanderie des hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem. D'après l'abbé Clary (op. cit.), l'église a été reconstruite au 17e siècle, et elle est dite "neuve" en 1693[31].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1804 Jean Audral    
    1804 1805 Jean Richard    
    1805 1812 Antoine Moizen    
    1812 1813 Jacques Vielhescazes    
    1814 1815 Jean Miret    
    1815 1821 Jean Clément Capral    
    1821 1848 Jacques Vielhescazes    
    1848 1856 Jean Antoine Audral    
    1856 1859 Jacques Vielhescazes    
    1859 1865 Jean Cavalie    
    1865 1870 Jules Cassagner    
    1870 1884 Jean Pierre Gabriel Audral    
    1884 1900 Edouard Pradie    
    1900 1902 Larnaudie    
    avant 1988  ? Baptiste Bouyssi PCF  
    2001 2008 Jean Loret    
    2008 2014 Jacques Gorse    
    2014 En cours Gérard Magne    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2019, la commune comptait 268 habitants[Note 7], en augmentation de 6,77 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0738328589471 066880919918955
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9801 010937851847843786776690
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    617643613567514504502360281
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    251219212260230241255257253
    2017 2019 - - - - - - -
    270268-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 125 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 249 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 600 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]6 %6,9 %8,8 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 124 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (65,6 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 33 emplois en 2018, contre 23 en 2013 et 25 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 84, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41 %[I 10].

    Sur ces 84 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,9 % les transports en commun, 1,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    33 établissements[Note 10] sont implantés à Espédaillac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble33
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1545,5 %(14 %)
    Construction618,2 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    618,2 %(29,9 %)
    Activités financières et d'assurance26,1 %(2,8 %)
    Activités immobilières13 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    13 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    13 %(12 %)
    Autres activités de services13 %(8,7 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 45,5 % du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 33 entreprises implantées à Espédaillac), contre 14 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations22191310
    SAU[Note 13] (ha)1 1651 0411 4701 606

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 19 en 2000 puis à 13 en 2010[39] et enfin à 10 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 55 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[40],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 1165 ha en 1988 à 1606 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 53 à 161 ha[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Blaise d'Espédaillac. D'après l'abbé Clary (op. cit.), l'église a été reconstruite au 17e siècle, et elle est dite "neuve" en 1693[31].
    • Église Sainte-Appolonie de Ginouillac. au hameau de Ginouillac, modeste église probablement construite au Xe siècle, est la 1ère église d'Espédaillac, puis partiellement reconstruite au XIIe siècle, située dans une exploitation agricole[41],[42].
    • Gariotte du Mas de l'Artillou :  Inscrit MH (1978) Notice no PA00095069, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    • Dolmen du Mas-de-l'Artillou : orthostates de plus de 4 mètres de long soutenant une table monumentale (plus de 20 tonnes) creusée à sa surface de cupules avec des rigoles. 44° 36′ 59″ N, 1° 47′ 13″ E
    • Dolmen de Ginouillac : dolmensimple qui a conservé son tumulus, la table s'est cassée en deux morceaux mais ils sont restés en place. 44° 35′ 48″ N, 1° 46′ 27″ E
    • Dolmen de Peyrefit : dolmen recouvert d'une monumentale table (5 mètres de long pour 2 mètres de large et 1 mètre d'épaisseur) gravée de cupules. La chambre sépulcrale fait 3,40 mètres de long pour 1,05 mètre de large et 1,60 mètre de haut. Les orthostates latérales sont épaisses de 0,30 mètre[43]. 44° 37′ 18″ N, 1° 47′ 28″ E
    • Dolmen de Place-del-Sol : beau dolmen intégré dans un mur de champs. La table de couverture (3,75 mètres de long pour 1,10 mètre de large et 0,20 mètre d'épaisseur) avoisine les 4 tonnes. La chambre sépulcrale fait 2,90 mètres de long pour 1,10 mètre de large et 1,30 mètre de haut. L'entrée est rétrécie par de grosses pierres et un faux linteau colmaté par des cailloux pour le transformer en abri pour les brebis[43].
    • Dolmen de Vichelle : c'est un imposant dolmen dont la table monumentale, désormais brisée en trois morceaux (taille initiale 5,40 mètres de long pour 4,60 mètres de large, soit un poids d'environ 20 tonnes) est restée en place. Elle recouvre une belle chambre sépulcrale (3,40 mètres de long pour 1,60 mètre de large)[43]. Le dolmen porte le nom du hameau le plus proche situé lui sur la commune de Livernon. 44° 38′ 42″ N, 1° 48′ 42″ E
    • Dolmen du Pech Ventoux : il s'agit d'un ensemble monumental de deux dolmens adjacents. Le dolmen situé à l'est dispose de deux orthostates sensiblement de même longueur (4,50 mètres pour l'un, 4,40 mètres pour l'autre), il a conservé sa dalle de chevet mais sa table s'est brisée en trois morceaux, dont le plus gros (3,40 mètres par 2,10 mètres) est resté en position. Le dolmen ouest, de proportions beaucoup plus modestes (orthostates respectifs de 2,40 mètres et 2,65 mètres) a perdu sa table mais conservé sa dalle de chevet. 44° 38′ 11″ N, 1° 48′ 03″ E

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Espédaillac » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Espédaillac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Espédaillac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Espédaillac » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Espédaillac et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Espédaillac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    20. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Espédaillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « chênaie et lande du pech de Bar, du pech Pointu et de bois Grand » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne)
    27. Exaprint), Espédaillac : village des Causses du Quercy : histoire & patrimoine., Édicausse, dl 2021 (ISBN 978-2-917626-23-8 et 2-917626-23-2, OCLC 1263218175, lire en ligne)
    28. Carte IGN 2138OT O Cahors et 2137 SB Gramat-Rocamadour - 1/25000
    29. « Géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le )
    30. Albe 2005, p. 146-159
      Durbans ne dépendait pas du grand prieuré de Toulouse mais ses archives étaient stockées à l'hôtel Saint-Jean de Toulouse d'où l'erreur d'Edmond Albe . Elle dépendait de celui de Saint-Gilles si on réfère à Antoine du Bourg, Histoire du grand prieuré de Toulouse, 1883, p. 552 et à l'abbé C. Nicolas, Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806, 1906, p. 114.
      .
    31. : Patrimoines en Occitanie, église Saint-Blaise d'Espédaillac
    32. « Les maires de Espédaillac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    38. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    39. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Espédaillac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    40. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
    41. Patrimoine du Lot : église paroissiale Sainte-Appolonie (Espédaillac)
    42. Patrimoine Occitanie : église paroissiale Sainte-Appolonie
    43. Jean Clottes, « Les dolmens du Lot : réutilisations et destructions à l'époque moderne », Bulletin de la Société préhistorique de France, no Tome 60, N. 7-8, , p. 438-446 (lire en ligne).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Bibliographie

    • Edmond Albe (transcription: Gérard Peyrot), Monographies des paroisses autour de Thémines : entre Causse et Limargue, , 347 p. (ISBN 978-2-84701-174-6)
    • Jacques Juillet, Templiers et Hospitaliers en Quercy : Commanderies et prieurés sur le chemin de Notre-Dame de Rocamadour, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 3e éd. (présentation en ligne)
    • Yoan Mattalia, Les établissements des ordres militaires aux XIIe et XIIIe siècles dans les diocèses de Cahors, Rodez et Albi : approche archéologique et historique, Toulouse, , 394 p. (présentation en ligne)

    Liens externes

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