Mesnil-Panneville

Mesnil-Panneville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Mesnil-Panneville

Carte postale du village vers 1920.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité CC Yvetot Normandie
Maire
Mandat
Rémy Patin
2020-2026
Code postal 76570
Code commune 76433
Démographie
Gentilé Mesnil-Pannevillais, Mesnil-Pannevillaises
Population
municipale
729 hab. (2019 )
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 31″ nord, 0° 53′ 31″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 154 m
Superficie 11,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Notre-Dame-de-Bondeville
Législatives 5e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mesnil-Panneville
Géolocalisation sur la carte : France
Mesnil-Panneville
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Mesnil-Panneville
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Mesnil-Panneville

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Mesnil-Panneville
    Croix-Mare Motteville Cideville
    Limésy
    Blacqueville Bouville Pavilly

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 924 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Mesnil-Panneville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), prairies (18,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), forêts (3,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Mesnil : est attesté sous les formes In parrochia de Mesnillo Durescu et quædam capella Sancti Theobaldi vers 1240; Ad capellam de Menillo Durescu en 1266; De Mesnillo Duri Scuti en 1275; de Mesnillo Dur escu en 1292; Du Mesnil Durescu en 1307[21]; Mesnillum Durescu en 1337; Mesnil Dur escur en 1319[22]; Mesnil Dur Escu en 1431 (Longnon); « Capella Sancti Theobaldi fundata infra metas parrochie de Mesnillo Duri Scuti » en 1453[23]; Theobaldi de Mesnillo Duri Scuti en 1471[24]; Le Mesnil Durescu en 1472[25]; Notre Dame du Mesnil Durescu au XVe siècle[26]; Ecc. parr. S. Albini de Mesnillo Duri Scuti en 1501[27]; Notre Dame du Mesnil du Récu en 1717[28]; Seigneurie du Mesnil Durescu en 1396, 1397, 1399 et en 1406[29]; Fief du Mesnil Durescu entre 1462 et 1538[30]; Le Mesnil Durescu en 1419[31]; le Mesnil Durescu en 1560; Fief du Mesnil Durécu en 1594; Mesnil Dur Escu en 1648 (Pouillé); Le Mesnil du Récu en 1715 (Frémont); Menil du Recu en 1757 (Cassini); Le Mesnil dur Ecu 1788; Le Mesnil (hameau du Mesnil Panneville) en 1879[32].
    Mesnil est un ancien nom commun tombé en désuétude et qui se retrouve aujourd'hui dans de nombreux toponymes. Mesnil désignait jusqu'à l'Ancien Régime un « domaine rural ».

    Panneville : est attesté sous les formes de Penevilla in Penevillam en 1203 ; Pennevilla vers 1240; Paneville en 1337; Seigneurie de Penneville en 1397 et en 1405[33]; Panneville en 1403; Fief de Paneville entre 1406 et 1415[34]; Panneville en 1431 (Longnon); Fief de Penneville en 1493[35]; En la paroisse de Panneville en 1503 et en 1623[36], en 1675 et en 1684[37], Penneville entre 1648 et 1704(Pouillé); Panneville en 1715 (Frémont) et en 1757 (Cassini).

    Histoire

    La commune de Mesnil-Panneville naquit de la fusion, en 1822 et 1823, de quatre petites communes indépendantes instituées par la Révolution française  : Le Mesnil-Durécu, Panneville, Hardouville et Cidetot, d'où la présence actuellement de nombreux vestiges publics et privé[38].

    Avant la Révolution, Panneville se trouvait dans le bailliage et l'élection de Caudebec, les trois autres paroisses relevaient du bailliage de Rouen.

    [réf. nécessaire]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Jacques-Joseph Dubosc   Cultivateur
    Ancien maire de Mesnil-Durécu
    Premier maire de la commune
    1874   Jean Niel    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 10 août 2020)
    Rémy Patin   Réélu pour le mandat 2020-2026[39]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

    En 2019, la commune comptait 729 habitants[Note 8], en augmentation de 7,84 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    198240193242610633694693594
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    573534528546514505472499432
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    425436413379406415400397337
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    321308272466492515608635676
    2018 2019 - - - - - - -
    727729-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Carte postale de l'église vers 1910.

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame-de-l'Assomption

    Elle a été entièrement reconstruite au XIXe siècle en deux tranches après démolition de l'ancien monument devenu trop petit à la suite de la fusion de Mesnil-Durécu, avec Cidetot, Hardouville et Panneville, trois paroisses voisines disparues. Les plans existent aux archives départementales. Le chantier commença par le clocher sur plan carré à l'entrée du monument, dans le pur roman normand avec des arcatures aveugles et quatre baies à l'étage des cloches, surmontées chacune d'un arc en plein cintre et non pas brisé comme à Notre-Dame de Bouville, paroisse voisine. La construction du massif clocher porche est indissociable de la nef objet de la seconde tranche. L'architecte Martin à Caudebec respecta le style roman normand dans la conception du robuste clocher et la décoration de la nouvelle nef. Les paroissiens participèrent largement au financement et tout particulièrement Charles Jourdainne de Panneville. On utilisa la pierre des carrières de Rançon pour le clocher, la pierre blanche de Duclair à l'intérieur pour la nef, avec des motifs en silex taillé sur la façade, et l'ardoise d'Angers pour la couverture. À l'origine, il n'était pas prévu de refaire le chœur et la sacristie mais grâce à l'effort financier de Jourdainne, le maçon Aubé de Betteville obtint le marché pour 11 000 F. Il utilisa la pierre de Caumont, des briques et du silex taillé pour les murs, de la pierre de liais de Tonnerre pour le carrelage du chœur. marqua la fin de cette phase ultime. La sacristie reconstruite sur le côté, et non pas derrière le chœur, permit à la lumière de pénétrer dans le sanctuaire le matin.

    Château de Panneville

    Construit en 1732, resté inachevé car le corps principal n'est accosté que par une seule aile. La chapelle du château a été édifiée à partir des matériaux de l'ancienne église paroissiale de Panneville, démolie en 1780[43].

    Personnalités liées à la commune

    Liste des morts pour la France de Mesnil-Panneville dans la Guerre de 1914-1918

    Héraldique

    Blason
    Écartelé: au 1er de gueules à l'écusson d'or chargé d’une gerbe de blé de sinople surmontée de l’inscription «Durescu» en lettres de sable, au 2e d'azur à la fleur de lis d'or, au 3e échiqueté d'azur et d'argent à la croix de Saint Lazare de sinople, au 4e de gueules à la tour couverte d'or, maçonnée et ouverte de sable; sur le tout, de gueules à deux léopards d'or armés et lampassés d'azur l'un au-dessus de l'autre.
    Détails
    Création J.M. Marcoz. Adopté le 30 août 2012.

    Chacun des quadrants illustre l'une des quatre communes ayant fusionné en 1822-1823 pour former Mesnil-Panneville : Mesnil Durecu, Hardouville, Panneville et Cidetot :

    • En haut à gauche, Mesnil Durecu, avec l'écu qui rappelle la famille seigneuriale des Durescu : dur écu. La gerbe représente le caractère rural de la commune.
    • En haut à droite, Hardouville, ancien fief appartenant directement au Royaume de France, comporte forcément la fleur de lys de France sur fond bleu de France également.
    • En bas à gauche, Panneville, montre la Croix de Saint Lazare de Jérusalem, emblème des chevaliers qui possédaient la commanderie de Saint Antoine de Grattemont. Le fond en damier des Flavigny rappelle le propriétaire actuel du château.
    • En bas à droite, Cidetot est illustré par son pigeonnier qui a été translaté à Pavilly.
    • Au centre, le blason de la Normandie avec ses deux léopards passants.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Philippe Gaury, Mesnil-Panneville,Carville-la-Folletière, Fréville, étude historique, Edit Bertout, 2003, 145p, (ISBN 2-86743-492-0)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Mesnil-Panneville et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Mesnil-Panneville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Archives départementales de la Seine-Maritime, 19 H — Cart. Ia pars — 38.
    22. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267.
    23. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1409.
    24. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 4.
    25. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1963.
    26. Archives départementales de la Seine-Maritime, 27 H.
    27. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 9492.
    28. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 741.
    29. Archives départementales de la Seine-Maritime, G. Tab. Rouen reg. 7 f. 71 v., reg. 8 f. 415, reg. 12 f. 100.
    30. Archives départementales de la Seine-Maritime, tab. Rouen.
    31. Archives Nat. P. 305-213.
    32. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 643.
    33. Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen reg. 8, f. 134 v., 11 f. 20.
    34. Archives Nat. P. 303-152, 221, 413.
    35. Archives départementales de la Seine-Maritime, 9 H.
    36. Archives départementales de la Seine-Maritime, E fds Manneville — Terr. de Trubleville.
    37. Archives départementales de la Seine-Maritime, II B 411.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    43. Notice no IA00020974, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    • Portail de la Seine-Maritime
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.