Pierre de Saxe-Cobourg-Gotha

Pierre Auguste Louis Marie Michel Raphaël Gonzague de Saxe-Cobourg-Gotha, prince de Saxe-Cobourg, connu également sous le nom de Pierre de Saxe-Cobourg-Kohary[N 1], est né à Rio de Janeiro, au Brésil, le , et il est mort à Tulln an der Donau, en Autriche, le .

Pierre de Saxe-Cobourg-Gotha
Pierre de Saxe-Cobourg-Gotha à Cannes en 1888.
Biographie
Titulature Prince de Saxe-Cobourg
Dynastie Maison de Saxe-Cobourg
Nom de naissance Pedro Augusto Luis María Miguel Rafael Gonzaga de Sajonia-Coburgo y Braganza
Naissance
Rio de Janeiro, Empire du Brésil
Décès
Tulln an der Donau, Autriche
Sépulture Église Saint-Augustin de Cobourg
Père Auguste de Saxe-Cobourg-Gotha
Mère Léopoldine du Brésil
Religion Catholicisme romain

Signature

Aîné des petits-enfants de l'empereur Pierre II du Brésil, il demeure son héritier présomptif de 1866, jusqu'à la naissance de son cousin, Pierre d'Orléans-Bragance, en 1875. Pierre n'admet pas d'être rétrogradé dans l'ordre de succession au trône. En 1888, il s'installe au palais Leopoldina qu'il rénove, tout en poursuivant ses projets monarchistes personnels.

En 1889, lors de la chute de la monarchie brésilienne, Pierre et sa famille reviennent en Europe. La mort de ses grands-parents en 1889 et 1891 bouleverse le prince qui tente de se donner la mort. Son état psychique requiert son internement à la fin de l'année 1892. Il ne recouvre jamais la raison et demeure, jusqu'à sa mort en 1934, interné en Autriche.

Diplômé de l'école polytechnique de Rio de Janeiro, et également membre honoraire de l'Institut d'Histoire et de Géographie du Brésil, le prince Pierre est l'auteur de plusieurs articles scientifiques de minéralogie et de numismatique.

Famille

Le prince Pierre est le fils aîné du prince Auguste de Saxe-Cobourg-Gotha (1845-1907) et de son épouse la princesse Léopoldine du Brésil (1847-1871). Son prénom rend hommage à son grand-père maternel[1].

Par sa mère, le prince est donc le petit-fils de l'empereur Pierre II du Brésil (1825-1891) et de son épouse la princesse Thérèse-Christine des Deux-Siciles (1822-1889) tandis que, par son père, il descend du prince Auguste de Saxe-Cobourg-Gotha (1818-1881) (1818-1881) et de son épouse la princesse Clémentine d'Orléans (1817-1907). Il est également un neveu de Ferdinand Ier de Bulgarie[1].

Biographie

Héritier en second au trône du Brésil

Pierre et ses parents Auguste et Léopoldine vers 1867.

La naissance de Pierre est très attendue car son grand-père, l'empereur du Brésil n'a que deux filles : Isabelle et Léopoldine. L'aînée, bien que mariée à Gaston d'Orléans depuis 1864, n'a pas encore d'enfant, tandis que la cadette, Léopoldine a subi un avortement spontané lors de sa première grossesse[2]. Le Conseil des ministres, les parlementaires et les membres du Conseil diplomatique attendent impatiemment la délivrance de la princesse Léopoldine qui met au monde, au palais Leopoldina, le , un fils tant désiré, appelé Pierre et aussitôt surnommé « le favori »[3]. Son baptême a lieu le suivant à la cathédrale Notre-Dame-du-Mont-Carmel de Rio de Janeiro. Le nouveau-né a pour parrain son grand-père Pierre II et pour marraine son arrière grand-tante la reine des Français Marie-Amélie (morte le précédent, ce que l'on ignorait outre-Atlantique, en raison de la lenteur des communications) représentée par l'impératrice du Brésil[4].

En vertu d'un accord conclu lors du mariage de ses parents Gaston et Léopoldine, ces derniers s'engagent à demeurer durant une partie de l'année au Brésil avec leurs fils jusqu'à ce que la succession de la princesse Isabelle soit assurée. Pierre passe donc sa petite enfance entre l'Europe et le Brésil avec ses parents et ses frères cadets : Auguste (1867-1922), Joseph (1869-1888) et Louis (1870-1942)[5].

Quelques mois après la naissance de son dernier fils, Léopoldine contracte une fièvre typhoïde et meurt, après trois semaines de maladie, le à Vienne. Après la mort de leur mère, se tient un conseil de famille pour décider du devenir de ses enfants orphelins. Selon les vœux de ses grands-parents brésiliens, le petit Pierre, âgé de cinq ans, et son frère cadet Auguste, doivent quitter leur père, Auguste de Saxe-Cobourg-Gotha - qui choisit de rester en Autriche avec ses deux fils cadets - pour s’installer, en , avec son frère cadet Auguste auprès de ses grands-parents, à Rio de Janeiro[6].

Aîné des descendants de l’empereur Pierre II du Brésil, le prince Pierre est l’héritier en second du trône brésilien pendant ses neuf premières années. À la demande de l'empereur, Manuel Pacheco da Silva, médecin, est désigné comme précepteur des princes Pierre et Auguste. Il constate que ses élèves parlent mal le portugais et ne s'expriment qu'en allemand. En 1874, Pierre est inscrit au Colégio Pedro II[7].

Rétrogradé dans l'ordre de succession

Pierre de Saxe-Cobourg par Alberto Henschel en 1877.

Pierre reçoit donc une éducation extrêmement soignée qui vise à le préparer à son rôle de futur empereur. Cependant, en 1875, sa tante, la princesse impériale Isabelle, donne le jour à un premier fils, le prince Pierre d'Orléans-Bragance. Pierre perd dès lors son statut d’héritier présomptif du trône et devient héritier en second[8]. De surcroît, la naissance de son cousin Pierre est suivie par celles de ses deux frères : Louis d'Orléans-Bragance (en 1878) et Antoine d'Orléans-Bragance (en 1881). Ce changement de position dynastique affecte Pierre durant toute son adolescence. Il est sujet à des migraines, de l'insomnie, des tremblements et de l'arythmie cardiaque. Marqué par la fin prématurée de sa mère, il nourrit des peurs concernant sa propre mort. Ce qui préoccupe son père et ses grands-parents[9].

En 1881, Pierre obtient, à quinze ans, un baccalauréat en sciences et lettres. Le jour où il devient bachelier, son oncle Gaston écrit : « Il a fière allure en queue de pie et cravate blanche qu'il porte pour la première fois. Il possède en fait toutes les qualités. Il est bien dommage que, fort de ses théories étranges, l'empereur ne souhaite pas en faire un soldat ; il aurait pu être très utile[7]. ». En dépit de cet éloge flatteur, la préférence que son grand-père témoigne à son petit-fils Pierre indispose la princesse impériale Isabelle et alimente les spéculations sur un éventuel changement de l'ordre de succession. La division familiale est relatée par la presse et la correspondance diplomatique : Isabelle apparaît comme dévote et son mari Gaston nourrirait des ambitions politiques[10].

Un prince scientifique

Adolescent, le prince accompagne à plusieurs reprises ses grands-parents dans leurs voyages au Brésil et à l'étranger. Le , Pierre est diplômé en génie civil de l'école polytechnique de Rio de Janeiro, bien que ses résultats aient apparemment été seulement satisfaisants. Il donne plusieurs conférences relatives à la minéralogie, dont il est féru, au Brésil et en Europe, notamment à Rio de Janeiro à l'école polytechnique[11] et à Paris à l'Académie des Sciences dont il devient correspondant pour le Brésil[12]. Nommé en 1884 membre de la société française de minéralogie et de cristallographie[13], il publie, par la suite, plusieurs articles scientifiques consacrés à la minéralogie qui démontrent, à l'instar de son grand-père Pierre II, de réelles capacités pour les sciences. Le , il est désigné membre honoraire de l'Institut historique et géographique du Brésil, grâce à ses publications scientifiques[14]. Selon l'historien Olivier Defrance, il aurait désiré embrasser une carrière militaire en qualité d'ingénieur[7]. Enfin, Pierre est reconnu dans les milieux numismatiques européens car il possède au Brésil son propre médaillier et permet aux chercheurs d'y accéder en vue de leurs publications[15]. Cette collaboration lui vaut d'être nommé membre d'honneur de la Société belge de numismatique le en faveur de laquelle il rédige quelques articles relatifs aux monnaies rares. Il est également l'auteur de plusieurs articles relatifs aux monnaies grecques dans la Revue française de numismatique[16].

Un jeune prince ambitieux

Le prince Pierre entouré de ses grands-parents, l'empereur Pierre II et l’impératrice Thérèse-Christine du Brésil.

N'ayant jamais été très proche de sa tante et de la famille de celle-ci, l'adolescent est constamment sous le contrôle de son grand-père l'empereur Pierre II. Ce dernier, sujet à des ennuis de santé, emmène l'impératrice et son petit-fils Pierre qui vient juste de terminer ses études en Europe. Ils se rendent notamment en Belgique en [17]. En , alors qu'il séjourne à Paris, l'empereur est sujet à un accès de fièvre dû à une pleurésie. L'impératrice, sa dame d'honneur et Pierre ne quittent plus le chevet du souverain qui est la proie d'un violent délire passager. Le médecin impérial attitré appelle son confrère neurologue Charcot qui se montre rassurant quant au caractère isolé de cet accès de délire[18]. D'autre part, en dépit des soucis de santé de son grand-père, la tournée européenne prend des allures de triomphe pour le jeune prince qui est reçu fastueusement dans nombre de cours royales. Il excursionne en Italie, en Suisse, en France (à Aix-les-Bains, à Cannes, à Paris). En France, le président Sadi Carnot l'élève au rang de chevalier de la Légion d'Honneur[19].

De retour d'Europe en , Pierre apprend la mort inopinée de son frère Joseph qui a succombé en quelques jours à une pneumonie en Autriche. Au Brésil, Pierre obtient l'autorisation de s'installer indépendamment au palais Leopoldina, ancienne résidence de ses parents. Il entreprend la rénovation des lieux et les décore avec des souvenirs ramenés d'Europe[20]. Au Brésil, certains monarchistes constatant le déclin de la santé de l'empereur Pierre II, s'inquiètent de sa succession et évinceraient sa fille Isabelle au profit de Pierre, devenu très populaire dans l'empire. Au palais Leopoldina, Pierre favorise les réceptions et les banquets, formant autour de lui une cour informelle avec laquelle il se montre d'une grande générosité. Les sommes d'argent qu'il demanda à son père augmentent considérablement[21]. Ambitieux, il ne dissimule pas son désir de ceindre la couronne impériale, au détriment de sa tante Isabelle qu'il qualifie publiquement de « bigote, étroite d'esprit et pas nationaliste pour un sou, subissant l'influence de son époux[22]. » Ces paroles sont répétées et amplifiées, engendrant des tensions entre l'empereur et son gendre le comte d'Eu. En , Pierre tombe malade à Cannes et il paraît submergé par ses obsessions politiques. De retour au Brésil, Pierre commence à user d'intrigues et de manipulations, tirant un plaisir de son rôle d'intrigant[23]. Il est d'abord soutenu dans ses projets monarchiques par Adalberto Gastão de Sousa Dias, ancien président du Conseil des ministres[24]. Pierre bénéficie progressivement de nouveaux soutiens politiques de renom, tels le baron de Maia Montero, le comte de Figueirido, ou le marquis de Paranaguà, et compte également sa grand-mère l'impératrice parmi ses appuis. En revanche, son frère Auguste le met en garde contre trop d'enthousiasme[25].

La chute de la monarchie au Brésil

Pierre (assis) et son frère Auguste à Cannes le .

En dépit de ses succès, son comportement, parfois étrange, inquiète ses proches. Victime d'idées fixes, il prétend que son oncle et sa tante veulent l'empoisonner ou ne forcent l'empereur à abdiquer. Tandis que Pierre serait envoyé en Europe afin de l'y marier et d'empêcher son retour outre-Atlantique[23]. Cependant, les idées de persécution se réalisent en partie, lorsque le , un coup d'État républicain renverse le régime impérial, mettant ainsi fin aux projets de Pierre et l'obligeant à partir en exil en Europe avec sa famille. La famille impériale, à l'exception du jeune Auguste alors en mer, embarque aux premières heures du matin le , à bord du bateau à vapeur Alagoas escorté par un cuirassé jusqu'à la limite des eaux territoriales brésiliennes, à destination de Lisbonne[26]. Durant la traversée de l'Atlantique qui ramène la famille impériale brésilienne en Europe, Pierre adopte un comportement psychotique, tentant d'étrangler le capitaine de l'Alagoas, l'accusant de comploter contre sa famille. Il est dès lors confiné dans sa cabine[27]. Il présente de nouveau des troubles psychiques qui le mettent dans un état parfois léthargique, parfois d'excitation. Il est sujet à des idées de persécution, refusant de se nourrir et ne dormant presque pas. Craignant que le navire soit bombardé, il porte une bouée de sauvetage et envoie des messages d'alerte dans des bouteilles[28].

Son état s'améliore lorsque les militaires chargés de sa surveillance abandonnent cette tâche. Quand la famille impériale débarque à Lisbonne pour être prise en charge par les souverains portugais, Pierre est emmené à Graz afin d'y suivre un traitement psychiatrique. L'impératrice Thérèse-Christine, grand-mère de Pierre et son seul soutien familial dans ses projets monarchiques, meurt à Porto le [29]. Pierre est rejoint par son frère Auguste et s'installe à Cannes. Là, Pierre mène une vie assez ennuyeuse et, n'acceptant pas son exil, il envoie des missives à quelques hommes politiques restés à Rio de Janeiro. Ses lettres expriment des plans insensés, dans lesquels il imagine revenir au Brésil pour restaurer l'empire qu'il dirigerait, mais avertis de ses troubles psychiques, ses partisans se détournent bientôt de lui[30]. En outre, son comportement devient très agressif envers sa famille et l'entourage impérial. Il semble que ce soit lui qui, au sein de sa famille, ait le plus mal vécu la chute de la monarchie[29].

Internement pour raisons psychiques

L'éloignement de ses derniers partisans conspirateurs, en raison de l'état psychique de leur favori, aggrave les troubles de Pierre. Examiné par le neurologue Jean-Martin Charcot, ce dernier l'adresse à Sigmund Freud. Le psychanalyste ne constate « aucun symptôme monomane ou d'excitation incontrôlée chez [le prince] qui est sujet à une profonde dépression et est épuisé ». Il conseille donc du repos afin d'améliorer l'état du jeune homme[31]. Bien qu'il retrouve temporairement la raison, ses soutiens brésiliens choisissent son frère Auguste comme prétendant au trône déchu[32].

Sépulture de Pierre de Saxe-Cobourg à l'église Saint-Augustin de Cobourg.

Le , la mort à Paris de son grand-père l'empereur exilé bouleverse son petit-fils qui perd le contact avec la réalité et l'entraîne jusqu'à la folie. Sa mélancolie et ses manies de persécution l'atteignent de nouveau. Il accuse son oncle Gaston et sa tante Isabelle de répandre des rumeurs sur sa santé mentale et prétend que des journalistes doutent de sa virilité[33]. Au début d', Pierre tente de se donner la mort par défenestration depuis sa chambre au palais Cobourg où il était retenu[34]. Par décision de son père, Pierre est dès lors interné dans la maison de santé de Tulln an der Donau, en Basse-Autriche, car il souffre des mêmes troubles psychiques que sa cousine Charlotte de Belgique, jadis impératrice du Mexique ou que son cousin Siegfried en Bavière[35]. Il doit être nourri de force et tente de bouter le feu à sa chambre. Optimistes au début de son internement, les médecins ne constatent, au fil des ans, aucune amélioration. Sa grand-mère paternelle, Clémentine d'Orléans, souhaite lui rendre une visite en , mais les médecins défendent qu'elle se rende auprès de son petit-fils[36]. Le , tous ses effets personnels sont mis en vente aux enchères à Vienne[37].

Pierre meurt finalement à Tulln an der Donau le , où il était interné depuis 42 ans[N 2]. Il est inhumé à l'église Saint-Augustin de Cobourg.

Ascendance

Honneurs

Pierre de Saxe-Cobourg est[39] :

Publications scientifiques

Pierre de Saxe-Cobourg est l'auteur de plusieurs publications au sujet de la minéralogie :

  • (pt) D. Pedro Augusto de Saxe Coburgo Gotha, Apotamentos sobre mineraes do Brazil : Ensaio de estatistica e geographia mineralogica, Rio de Janeiro, G. Leuzinger & Filhos, , 28 p. (lire en ligne).
  • (pt) D. Pedro Augusto de Saxe Coburgo Gotha, Algumas palavras sobre quartzo no Brazil, Rio de Janeiro, G. Leuzinger & Filhos, , 21 p. (lire en ligne).
  • (pt) D. Pedro Augusto de Saxe Coburgo Gotha, Quadro synoptico da classificação dos feldspathos, organisado de conformidade com as theorias modernas, Rio de Janeiro, G. Leuzinger & Filhos, , 3 p..

Notes et références

Notes

  1. Ce nom ne fait pas l'unanimité auprès des historiens et nombreux sont ceux qui, comme Olivier Defrance, considèrent que la famille d'Auguste n'a jamais adjoint le nom de Kohary à celui de Saxe-Cobourg. De fait, la correspondance de la reine Victoria montre qu'elle-même doutait qu'une telle modification ait été faite à l'occasion du mariage des grands-parents paternels d'Auguste. Malgré tout, le nom de Saxe-Cobourg-Kohary est largement utilisé dans la littérature consacrée à la famille (Defrance 2007, p. 68).
  2. Le lieu de décès de Pierre de Saxe-Cobourg est sujet à caution. Maintes publications indiquent Vienne : L'Allemagne dynastique[5], Les Manuscrits du CEDRE[14], La descendance de Marie-Thérèse d'Autriche[38]. Cependant, sachant qu'il a été interné à Tulln an der Donau jusqu'à sa mort, il est logique que son lieu de décès soit Tulln an der Donau, à environ 40 km de Vienne, ainsi que l'indique l'Almanach de Gotha (édition de 1936). En revanche, les quatre publications précitées s'accordent sur le jour de sa mort (le et non le 7 comme l'indiquent certains articles sur le web), confirmant l'inscription gravée sur sa sépulture à Cobourg.

Références

  1. Defrance 2007, p. 213.
  2. Del Priore 2007, p. 30.
  3. Del Priore 2007, p. 31-32.
  4. Carlos Tasso de Saxe-Coburgo e Bragança 2008, p. 286.
  5. Huberty et Giraud 1976, p. 541.
  6. Defrance 2007, p. 233-234.
  7. Defrance 2007, p. 300.
  8. Defrance 2007, p. 299.
  9. Del Priore 2007, p. 63.
  10. Del Priore 2007, p. 67-69.
  11. (pt) D. Pedro Augusto de Saxe Coburgo Gotha, Apotamentos sobre mineraes do Brazil : Ensaio de estatistica e geographia mineralogica, Rio de Janeiro, G. Leuzinger & Filhos, , 28 p. (lire en ligne).
  12. D. Pedro Augusto de Saxe-Cobourg-Gotha, « Fer oligiste spéculaire cristallisé de Bom Jesus dos Meiras, province de Bahia, Brésil », Bulletin de l'Académie des Sciences de Paris, vol. 108, , p. 1069-1070.
  13. M. Frossard, « Compte rendu de la séance du 11 décembre 1884 », Bulletin de la Société minéralogique de France, no 9, , p. 459 (lire en ligne, consulté le ).
  14. Tourtchine 1987, p. 67.
  15. « Mélanges », Revue belge de numismatique, vol. 46, , p. 144.
  16. « Communications », Revue belge de numismatique, vol. 48, , p. 499-642.
  17. « La ville », L'Indépendance Belge, no 281, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
  18. « La maladie de l'empereur du Brésil », Le Figaro, no 197, , p. 2-3 (lire en ligne, consulté le ).
  19. Del Priore 2007, p. 124.
  20. Defrance 2007, p. 301.
  21. Del Priore 2007, p. 70.
  22. Defrance 2007, p. 301-302.
  23. Defrance 2007, p. 302.
  24. Del Priore 2007, p. 73.
  25. Del Priore 2007, p. 132-150.
  26. Del Priore 2007, p. 218-219.
  27. Del Priore 2007, p. 220.
  28. Del Priore 2007, p. 219-220.
  29. Defrance 2007, p. 303.
  30. Del Priore 2007, p. 240-243.
  31. Del Priore 2007, p. 245.
  32. Del Priore 2007, p. 246-247.
  33. Del Priore 2007, p. 246-252.
  34. Del Priore 2007, p. 257-258.
  35. Bilteryst, Defrance et van Loon 2022, p. 26.
  36. Defrance 2007, p. 305.
  37. Carlos Tasso de Saxe-Coburgo e Bragança 2004, p. 205.
  38. Enache 1999, p. 694.
  39. Énache 1999, p. 694.

Voir aussi

Ouvrages

Blason des Saxe-Cobourg brésiliens.

 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Olivier Defrance, La Médicis des Cobourg : Clémentine d’Orléans, Bruxelles, Racine, , 368 p. (ISBN 978-2-87386-486-6 et 2-87386-486-9, lire en ligne). .
  • Nicolas Énache, La descendance de Marie-Thérèse de Habsburg, Paris, Éditions L'intermédiaire des chercheurs et curieux, , 795 p. (ISBN 978-2-908003-04-8). 
  • Michel Huberty et Alain Giraud, L'Allemagne dynastique : HESSE-REUSS-SAXE, t. I, Le Perreux-sur-Marne, , 597 p. 
  • Jean-Fred Tourtchine, Les Manuscrits du CEDRE : Le Royaume de Portugal - L'Empire du Brésil, vol. III, t. I, Clamecy, Imprimerie Laballery, , 192 p..
  • (pt) Mary Del Priore, O Principe Maldito : Traição e loucura na família imperial, Rio de Janeiro, Objetiva, , 307 p. (ISBN 978-8-57302-867-6). .
  • (de) Moritz Schanz, Das heutige Brasilien Land, leute und wirthschaftliche Verhaeltnisse, Hambourg, Inktank Publishing, , 376 p. (ISBN 978-3-75015-401-8).

Articles

  • (pt) Carlos Tasso de Saxe-Coburgo e Bragança, « Palácio Leopoldina », Revista do Instituto Histórico e Geográfico Brasileiro, vol. 438, , p. 281-300 (ISSN 0101-4366).
  • (pt) Carlos Tasso de Saxe-Coburgo e Bragança, « Príncipe Dom Pedro Augusto de Saxe-Coburgo e Bragança e o "Leilão em Viena" », Revista do Instituto Histórico e Geográfico Brasileiro, vol. 422, , p. 205-259 (ISSN 0101-4366).
  • Damien Bilteryst, Olivier Defrance et Joseph van Loon, « Les Biederstein, cousins oubliés de la reine Élisabeth, années 1875-1906 », Museum Dynasticum, vol. XXXIV, no 1, , p. 2-26 (ISSN 0777-0936).

Articles connexes

Liens externes

  • Portail du Brésil
  • Portail de l'Autriche
  • Portail de l’Allemagne
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.