Pont-de-Roide-Vermondans

Pont-de-Roide-Vermondans, issu de la fusion en 1973 des communes de Pont-de-Roide et Vermondans est une commune française située dans le département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Pont (toponyme).

Pont-de-Roide-Vermondans

Vue sur Pont-de-Roide depuis le site des Roches.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Pays de Montbéliard Agglomération
Maire
Mandat
Denis Arnoux
2020-2026
Code postal 25150
Code commune 25463
Démographie
Gentilé Rudipontains
Population
municipale
4 124 hab. (2019 )
Densité 304 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 23′ 07″ nord, 6° 46′ 15″ est
Altitude Min. 344 m
Max. 817 m
Superficie 13,58 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valentigney
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Pont-de-Roide-Vermondans
Géolocalisation sur la carte : France
Pont-de-Roide-Vermondans
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Pont-de-Roide-Vermondans
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Pont-de-Roide-Vermondans
Liens
Site web ville.pdr.free.fr

    Ses habitants sont les Rudipontains et Rudipontaines[1].

    Géographie

    Le Doubs et la mairie de Pont-de-Roide-Vermondans.

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    La gare de Pont-de-Roide, au début du XXe siècle.

    Pont-de-Roide-Vermondans est traversée par l'ancienne ligne de chemin de fer Voujeaucourt - Saint-Hippolyte, dont le trafic voyageurs a été supprimé en 1938 ; il ne subsista ensuite plus qu'un très faible trafic fret (desserte de l'usine métallurgique de Pont-de-Roide) aujourd'hui totalement abandonné au profit de la route (2010-2011).

    Pont-de-Roide-Vermondans est desservie par une ligne de bus du département du Doubs, reliant Pontarlier à Montbéliard (transport essentiellement scolaire). La municipalité a mis en place un système de minibus gratuit parcourant toute la ville de Pont-de-Roide-Vermondans, le Rudibus (fusion du mot rudipontain et bus).

    Urbanisme

    Typologie

    Pont-de-Roide-Vermondans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pont-de-Roide-Vermondans, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[5] et 5 622 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,5 %), zones urbanisées (17,2 %), prairies (10,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,4 %), terres arables (1,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Pour Châtey : Sancta Maria in Gastro en 1040 ; Castro Sancte Marie en 1136 - Pour Pont-de-Roide : du Pont-de-Roide en 1319 ; du Pont en 1402 ; le Pont de Roide'e au XVe siècle ; le Pon de Royde en 1575[12].

    Cette ville est située sur le Doubs et la route départementale 437, à 357 m d'altitude, entre Montbéliard et Morteau.

    Pont-de-Roide a été fusionnée, par arrêté préfectoral du 15 septembre 1972, avec Vermondans le 1er janvier 1973.

    La commune était nommée Pont-de-Roide avant le 6 décembre 2014[13], date à laquelle est ajouté le nom de l'ancienne commune de Vermondans.

    Histoire

    Les Premiers habitants préhistorique

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (mars 2022). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

    Les abris sous roche de la plage

    Entre St-Hippolyte et Montbéliard, le Doubs forme des méandres dans une vallée encaissée. Il recoupe l'anticlinal du Lomont entre Villars-sous-Dampjoux et Pont-de-Roide. La rivière y a creusé son lit dans les couches calcaires du jurassique supérieur en créant d'impressionnantes falaises. Au sud de Pont-de-Roide, les crues du Doubs et le gel ont créé de beaux abris sous roche au pied des falaises, dite "Grottes de la Plage".

    L'abri sous roche de Rochedane, proprement dit, se trouve du côté sud de la trouée de l'ancienne voie de chemin de fer coupant le rocher de Rochedane en deux. Cet abri a une longueur d'environ 10 m, une profondeur de 15 m et une hauteur de 4,50 m. Il est situé à une dizaine de mètres au-dessus du niveau actuel de la rivière et a été découvert, du point de vue archéologique, en 1877 lors de la construction de la voie ferrée. Cet abri est mondialement connu pour avoir livré 77 galets gravés et 122 galets peints datés de la période azilienne (11000 à 9500 ans BP). Ainsi que du mobilier de la période Magdalénienne exposé aux Musées de Besançon et de Montbéliard. Et une gravure au fond de l'abri de Rochedane, daterais du Mésolithique ainsi qu'une autre gravure du Moyen Âge qui est un X. D'ailleurs une légende locale, attesterait que l'abri de Rochedane aurait été la demeure de la Fée Arie et de son âne Marion.

    L' étude des galets

    Les galets peints sont tous constitués de calcaire local. Leur longueur varie entre 5 et 23 cm, leur largeur entre 2 et 13 cm et leur épaisseur entre 1 et 3 cm. Ils sont également de forme rectangulaire ou ovalaire avec une surface très lisse et de coloration plus claire que les galets gravés. Ces derniers ayant certainement été très manipulés par leurs auteurs. Certains des galets gravés présentent également des traces de couleur. Tous les galets ont été peints avec une couleur rouge (faible, sombre, brun rougeâtre ou brun rougeâtre foncé) constituée d'oxyde de fer. Cette peinture a été appliquée au doigt ou avec un tampon de fourrure. Certains motifs montrent également l'utilisation d'un pinceau fin à poils souple. Les galets sont peints selon différents motifs. Les points isolés en position apicale, les points longitudinaux alignés sur une face et les points disséminés sur toute la face représentent 20 % des motifs. Les bandes épaisses transversales sur une face, les bandes ceinturant le galet et les bandes fines transversales représentent 35 % des motifs. Les bandes longitudinales sur galets courts constituent 5 % des motifs. Les motifs particuliers (zoomorphe (?), trapèze et empreinte de mains) sont 7 % et les bandes transversales ou longitudinales avec des points et les motifs non reconnus représentent le reste.Les études réalisées sur les galets de l'art azilien ont fait ressortir trois zones artistiquement distinctes : une zone méridionale (Pyrénées/Languedoc), une zone centrale (Périgord/Quercy) et une zone orientale (axe rhodanien/Jura). Sur des supports identiques, cet art présente des gravures schématiques de trois types différents (Rochedane, Mas d'Azil et l'abri Pagès) et des représentations peintes très simples (point et bande). Ces gravures et dessins avaient une importance symbolique connue et reconnaissable par tous les humains de cette culture. Ces galets, bien que manipulés par un grand nombre, étaient que très rarement utilisés comme outil. Leur usage était donc certainement culturel.

    Vestiges de l'Âge du Bronze

    Objets en bronze issus des dépôts retrouvés au Mont-Julien à Pont-de-Roide-Vermondans, Bronze final, au musée du Château de Montbéliard.

    Au Mont-Julien a été découvert un site de hauteur fortifié, qui semble avoir été occupé à la fin du Bronze final. Celui-ci a livré des dépôts d'objets en bronze, datés de cette période et qui sont aujourd'hui exposés au musée du château de Montbéliard [14],[15].

    L'origine romaine

    À l'est de la ville, en bordure du Doubs, se trouve le lieu-dit Chatey autrefois Châtel ou Châté dérivé du latin Castrum qui désigne un lieu peu étendu clos de murs. C'était un hameau de quelques maisons construites au pied de Château-Julien. L'origine de ce hameau pourrait être romaine comme le laisse penser la découverte sur place d'armes et de traces d'ouvrages de cette époque. Peut-être Chatey est-il lié à la forteresse que l'Empereur Julien avait fait construire dans les environs vers l'an 360[16].

    Les Neuchâtel-Bourgogne

    Il semble que l'origine de Pont-de-Roide soit l'existence d'un pont défendu par une tour ou un château féodal désigné sous le nom de "Pons Rigidus" dans les registres paroissiaux, ce pont sera réparé en 1683 avec les matériaux tiré des vestiges du château de Neuchâtel sauf sa tour qui sera détruite[16]. Pont-de-Roide appartenait à la seigneurie de Neuchâtel (Neuchâtel-Urtière), plus précisément de la "'Fermetey" au même titre que Vermondans, Ortières, Rémondans, Vaivre, Dambelin, et le bourg de Neuchâtel. La "Fermetey" désignait les villages entourés de vastes forêts ; à l'opposé des villages de la "Prévoté" de Mathay ou des "Villages" du Lomont. À ce titre les habitants avait le droit de se réfugier au château de Neuchâtel en cas de guerre[16].

    Hommage et franchises

    Au XIVe siècle, il existait des foires à Pont-de-Roide comme le signale un titre de 1318 par lequel Thiébaud IV de Neuchâtel-Bourgogne échangeait avec Henri de Verchamps des droits seigneuriaux qu'il avait sur « Poset » ainsi que les rentes et les ventes des foires de Sainte-Marie-du-Châtel et des moulins de la Barbèche contre le château et la seigneurie de Verchamps[16]. À la fin de ce siècle, il est fait mention de Guillaume de Laissey, fils de Thiébaud de Laissey, qui était venu prêter hommage au seigneur de Neuchâtel-Bourgogne pour ce qu'il possédait à Feule, Vermondans, Neuchâtel et Pont-de-Roide[16].

    Dans un titre de 1402, le seigneur de Neuchâtel-Bourgogne affranchissait Jacob Guillemenot « à condition qu'il resterait à côté de la tour au village de Pont-de-Roide et qu'en cas de besoin il prêterait main-forte aux gardes »[16]. Le , le village de Pont-de-Roide puis Dambelin, l'Isle-sur-le-Doubs et Granges-Grammont furent ravagés par les Suisses qui venaient raser Blamont[17]. Il est possible alors que les habitants des petits villages détruits se regroupèrent à Pont-de-Roide[16].

    Contestation de l'héritage

    Au début du XVIe siècle moururent en l'espace de dix-huit mois les trois frères (Henri, Claude et Guillaume) qui formaient la branche aînée de la maison de Neuchâtel-Bourgogne. Tout l'héritage devait revenir à Jean III et Ferdinand de Neuchâtel-Montaigu mais les époux des nièces du dernier fils de la branche directe des Neuchâtel-Bourgogne, Guillaume de Fürstemberg et Félix de Verdemberg, vinrent s'emparer des diverses seigneuries des Neuchâtel au nom de leurs épouses. C'est à Pont-de-Roide que se livrèrent les derniers combats entre les envahisseurs et les gardiens du château qui perdirent la bataille. Les Allemands s'installèrent dans la contrée jusqu'à ce que Philippe de Bourgogne en ordonne la restitution aux héritiers légitimes[16].

    Moulins, scierie et église

    Des moulins existaient à Pont-de-Roide dès 1596 où ils firent l'objet d'une amodiation par les Neuchâtel. En 1606, ils sont vendus par la propriétaire qui était l'Abbesse de Baume-les-Dames à Jean Guyot, de Maîche, écuyer, époux d'Eve Bannelier, de Bourguignon, pour la somme de 2600 francs. Ils seront réparés en 1686 et en 1720 par le seigneur de Neuchâtel-Urtière qui les avait rachetés. À cette époque, une scierie existait également sur le Doubs. En 1792 est construit un haut-fourneau sur la Ranceuse par Bouchot Pierre-François et Jean-Louis son frère[16].

    Alors que Châtel possédait une chapelle, il n'y avait pas d'édifice religieux à Pont-de-Roide. Le l'Archevêque de Besançon y autorisait la construction d'une église. Les travaux commencés en 1750 furent achevés en 1756[16].

    Limite du territoire

    Le territoire de la commune a été délimité en 1740 avec l'accord du seigneur de Neuchâtel-Bourgogne. Dans ce titre il est défini comme étant cantonné à Pont-de-Roide les bois du Falot, de la Motte du Château-Julien, de la côte du Preslot, de celle des Champs des Vignes, de la Foule, de la Combe des Eaux, de trente-sept arpents dans le Lomont et d'une partie de la forêt du Fays[16].En 1757, la route qui relie Pont-de-roide à Saint-Hippolyte fut achevée. Les travaux avaient été exécutés par les paysans de la région[16].

    Les temps modernes

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ville est libérée le . Après cela, un front se met en place pour libérer le village voisin de Vermondans. Il faudra deux mois de combats pour y parvenir (Vermondans est libérée le 15 novembre).

    En 1973, Vermondans fusionne avec Pont-de-Roide.

    Politique et administration

    Liste des maires

    L'hôtel de ville.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Albert Etevenot    
    1947 1965 Constant Laubepin    
    1977 1995 Michel Tarreinbergue PS Conseiller général (1979-1992)
    1995 En cours
    (au 31 mai 2020 [18])
    Denis Arnoux [19]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    PS Retraité de l'enseignement
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Ses habitants sont appelés les Rudipontains.

    Au 6 février 1657 il est recensé à Pont-de-Roide et Chastel 16 ménages comptant 71 personnes. On y trouve des Matatoz, Peletier, Marchand, Joly, Morel, Rabur, Bouchot, Grosin, Grunel, Jeanperrin et Tournier[20]


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

    En 2019, la commune comptait 4 124 habitants[Note 3], en diminution de 3,22 % par rapport à 2013 (Doubs : +2 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3923513914066247347559101 047
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3501 7812 2712 2962 6543 0632 9282 7762 774
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7582 8102 9172 7692 9452 9082 7952 8143 147
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3 7444 3815 3424 9584 9834 7814 6394 6194 309
    2017 2019 - - - - - - -
    4 1854 124-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Les usines au bord du Doubs.

    La ville comporte plusieurs industries, dont la principale est Aperam filiale du groupe Arcelor Mittal, et qui traite des aciers inoxydables semi-finis. Cette usine était anciennement l'une des nombreuses usines Peugeot de la région. On y fabriquait des baleines de parapluie, des enjoliveurs, des pare-chocs, etc.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de la Nativité-de-Notre-Dame.
    Grotte suspendue, dans la falaise de Rochedane.

    L'église a été construite de 1927 à 1931 par l'architecte Lucien Reboux. Elle remplaçait l'ancienne église de 1753.

    L'attraction touristique majeure de la ville se nomme le site des Roches. C'est un point de vue des hauteurs de Pont-de-Roide, proche d'un fort de l'époque 1870 (la Batterie des Roches), d'où l'on a une vue imprenable sur une partie de la vallée du Doubs. Un secteur du site constitue la Réserve naturelle régionale du Crêt des Roches.

    La commune est dotée d'un cinéma, nommé le Foyer, qui a été inauguré en janvier 1937. Totalement rénové en 1999, il est désormais géré par une équipe de bénévoles.

    Accords de solidarité

    L'action Solidarité Agboville menée par la JOC de Pont-de-Roide a créé un lien entre Agboville et Pont-de-Roide.

    Personnalités liées à la commune

    • Jules Bonnot, chef de la « Bande à Bonnot », né à Pont-de-Roide en 1876, mort en 1912.
    • James Jackson (1771-1829), industriel britannique, propriétaire d'une aciérie à Pont-de-Roide.
    • Paul-Claude Racamier, psychiatre et essayiste français

    Héraldique

    Blason
    Écartelé au 1) de gueules à la tour d'argent ouverte ajourée et maçonnée de sable, au 2) d'azur au pont trapézoïdal alésé d'argent maçonné de sable, aux trois dégueuloirs ouverts du champ, soutenu d'une jumelle ondée alésée aussi d'argent, au 3) d'azur semé de billettes d'argent au lion du même lampassé de gueules brochant, au 4) de gueules à la roue d'engrenage sans rayon de douze dents d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Histoire de la Confédération Suisse, volume 7, J.V.Muller, R.G.Blozheim, J.J.Hottinger, C.Monnard, L.Vulliemin, 1840, p. 402.
    • La population de la Franche-Comté, tome 2, ouvrage collectif, Presses Univ. Franche-Comté, p. 56.
    • Recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel au comté de Bourgogne, Jean François Nicolas Richard, 1840, p. 18, 19, 20, 22, 23, 127, 165, 184, 217, 227, 228, 258, 266, 274, 290, 305, 338, 348, 353, 376.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Le nom des habitants du 25 - Doubs - Habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Pont-de-Roide-Vermondans », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Jean COURTIEU, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 5, BESANÇON, CÊTRE, .
    13. Décret no 2014-1447 du 3 décembre 2014 portant changement du nom de communes.
    14. Jean-François Piningre, « Entre Jura et Saône, les sites fortifiés de l’âge du Bronze et du premier âge du Fer, un état de la question », Documents d’archéologie méridionale. Protohistoire du Sud de la France, no 40, , p. 197–225 (ISSN 0184-1068, DOI 10.4000/dam.5198, lire en ligne, consulté le )
    15. « Les collections archéologiques », sur www.montbeliard.fr (consulté le )
    16. Recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel
    17. Histoire de la confédération suisse
    18. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
    19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    20. La population de la Franche-Comté
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 1999, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017, 2018 et 2019.
    • Portail du Doubs
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.