Pontault-Combault

Pontault-Combault est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

« Combault » redirige ici. Pour les articles homophones, voir Combo et Combot.

Pour les articles homonymes, voir Pontault.

Pontault-Combault

Le château de Combault, siège de l'hôtel de ville.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Intercommunalité CA Paris - Vallée de la Marne
Maire
Mandat
Gilles Bord
2020-2026
Code postal 77340
Code commune 77373
Démographie
Gentilé Ponto-Combalusiens ou Pontellois-Combalusiens
Population
municipale
37 617 hab. (2019 )
Densité 2 758 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 05″ nord, 2° 36′ 27″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 113 m
Superficie 13,64 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Pontault-Combault
(bureau centralisateur)
Législatives 9e circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
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Pontault-Combault
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Pontault-Combault
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Pontault-Combault
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Pontault-Combault
Liens
Site web pontault-combault.fr

    Pontault-Combault est la quatrième ville la plus peuplée du département après Meaux, Chelles et Melun et avant Savigny-le-Temple.

    Géographie

    Localisation

    Pontault-Combault est située à 23 km au sud-est de Paris et 33 km au nord de Melun[Carte 1].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Hydrographie

    Le système hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau :

    • le Morbras, long de 17,28 km[2], affluent de la Marne ;
      • le ru de la Longuiolle, 2,10 km[3], et ;
      • le fossé 01 de la Commune de la Queue-en-Brie, 2,26 km[4], affluents du Morbras ;
    • le canal 02 de la Commune d'Emerainville, 1,71 km[5], qui conflue avec le cours d'eau 01 de la Commune de Champs-sur-Marne

    La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 4,31 km[6].

    Climat

    Pontault-Combault, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique.

    Voies ferroviaires

    Pontault-Combault est desservie par une gare de la SNCF (Émerainville - Pontault-Combault) placée à l'origine sur la ligne de chemin de fer Paris-Belfort. Elle appartient aujourd'hui à la ligne E du RER et relie la ville à la gare d'Haussmann - Saint-Lazare en 34 min et en 15 minutes la gare de Tournan.

    Transports par bus

    La ville de Pontault-Combault est desservie par des lignes des réseaux SITUS, Meaux et Ourcq, Marne-la-Vallée, RATP et Sit'bus et la nuit par le Noctilien.

    Voies routières

    Les liaisons nord-sud sont facilités depuis le milieu des années 1980 et l'ouverture de l'autoroute A104, la Francilienne. La route nationale 4 et l'autoroute A4 sont toujours les axes principaux des relations est-ouest.

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Pontault-Combault comprend sept ZNIEFF de type 1[Note 1],[7],[Carte 2] :

    • les « Bois Saint-Martin » (287,26 ha), couvrant 5 communes dont 2 en Seine-et-Marne, 1 dans la Seine-Saint-Denis et 2 dans le Val-de-Marne[8] ;
    • les « Boisements et friches du Plessis-Saint-Antoine » (69,98 ha), couvrant 3 communes dont 1 en Seine-et-Marne et 2 dans le Val-de-Marne[9] ;
    • la « Batterie des Grandes Friches » (3,3 ha)[10] ;
    • la « Mare aux Fougères » (0,91 ha), couvrant 2 communes du département[11] ;
    • la « Mare des Sablières » (0,96 ha)[12] ;
    • les « Mares de la Garenne » (1,98 ha)[13] ;
    • les « Parc de la Malnoue et bois de Célie » (164,75 ha), couvrant 2 communes du département[14] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[7], les « Bois Notre-Dame, Grosbois et de la Grange » (3 410,1 ha), couvrant 15 communes dont 4 en Seine-et-Marne, 2 dans l'Essonne et 9 dans le Val-de-Marne[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Pontault-Combault est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[19] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

    Occupation des sols

    En 2018[24], le territoire de la commune se répartit en 46,6 % de zones urbanisées, 25,4 % de forêts, 14,7 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 10,9 % de terres arables, 1,5 % d’espaces verts artificialisés non agricoles et 0,9 % de prairies[6],[25].

    L'implantation forestière est présente au sud : une partie de la forêt de Notre-Dame, et au nord-ouest : un bout du Bois Saint Martin.

    Morphologie urbaine

    Le territoire de la commune, presque complètement urbanisé, comprend essentiellement des quartiers issus d'une forte urbanisation : Le bourg de Pontault, le Clos Dame Gille, le Clos du Village, le Pavé de Pontault (situé sur la grande route historique de Paris), Combault, le Val du Muguet, le Bouquet de Pontault, l'Ocil, le Village Anglais, le Bois la Croix, les Tourelles, les Berchères, les Hantes, Pontillault, l'Aubepine, la Montagne[réf. nécessaire].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 15 168 dont 53,2 % de maisons et 46,4 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 95,2 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants[Note 5].

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 60,7 % contre 37,8 % de locataires[26] dont, 18,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et, 1,5 % logés gratuitement.

    Toponymie

    Panneau d'entrée.

    Pontault et Combault, par ordonnance royale du , ont fusionné pour former Pontault-Combault.

    Pontault

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Pontelz en 1079[27].

    Il est issu du dérivé roman de pont[28], à savoir *pontelce du bas latin ponticellu[m] qui a donné aussi le mot français ponceau « petit pont ». Il s'agissait sans doute d'un petit pont sur le ru de Morbras. Ponticellu > *Pontilce, *Pontelce par métathèse > Pontelz > *Ponteauz. Devrait s'orthographier *Ponteaux conformément à l'étymologie. La graphie actuelle de la terminaison est, comme pour Combault, influencée par celle du suffixe -aud (germanique -(w)ald), parfois notée -ault dans certains noms propres (Cf. Renault pour Renaud). Il s'agit donc d'une cacographie.

    Combault

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Cumbellis au XIIe siècle[29].

    Il s'agit d'une forme diminutive en -ellu[m] (voir suivant) du gaulois latinisé cumba « vallée encaissée »[28], parfois « vallée sèche » > ancien et moyen français combe « vallée » (qualifié de « vieilli » au XVIIe siècle). Devrait s'orthographier *Combeau conformément à l'étymologie.

    Microtoponymie

    Berchères procède du bas latin bercheria « bergerie », et Pontillault est un diminutif de Pontault.

    Remarque générale

    Ces caractéristiques rendent assez difficile la prononciation du nom de cette ville, il semblerait d'ailleurs qu'une pétition visant à modifier le nom de la commune ait été lancée en 1984[réf. nécessaire].

    Histoire

    La commune fut formée en 1839 par fusion des communes de Pontault et de Combault. L'une des gloires de Combault fut d'avoir eu le maréchal François Joseph Lefebvre pour maire entre 1813 et 1820. Lefebvre était l'époux de Catherine Hubscher, popularisée sous le nom de « Madame Sans-Gêne » par Victorien Sardou dans la pièce de théâtre du même nom.

    L'évolution de la commune depuis le début du XXe siècle est typique des cités pavillonnaires de la banlieue Est de Paris. Les premiers lotissements dans la commune de Pontault-Combault remontent à 1904, date à laquelle l’avocat Reitlinger, propriétaire du château de Combault, vend les premiers terrains face à la gare à un promoteur immobilier. Devant le succès de cette première vente, il cède en 1906 aux frères Bernheim les 70 hectares restants de son domaine, dont une partie revenant au lotissement du Val du Muguet. Les premières ventes commencent en 1910.

    Pendant toute l'entre-deux-guerres, ces zones pavillonnaires constituent de nouveaux quartiers qui donnent progressivement un aspect urbain à ce qui n'étaient encore que deux villages : outre le quartier de la gare, ce sont le Val du Muguet ou encore le Bouquet de Pontault. Mais ces quartiers pavillonnaires sont pour l'essentiel des « lotissements défectueux » : c'est-à-dire sans réelle viabilisation, au réseau de transport sommaire et sans raccordement aux réseaux d'eau, d'égouts ou d'électricité. Il faut attendre en général les années 1950 pour voir une réelle viabilisation de ces quartiers, avec l'aide de la municipalité. Mais à cette époque, la ville subit à nouveau une crise du logement. L'association Emmaüs fait construire en 1954 un lotissement de 75 logements de première nécessité, qui existe toujours : c'est la cité du Pré Saint-Martin. Il y aura également plus tard, la cité d'urgence, la cité des Castors et la cité de la Pépinière. Plus tard, à la fin des années 1960, un « petit grand ensemble » est construit au centre de la ville, le long de l'avenue du Pré-Saint-Martin, à l'initiative du bailleur social l'OCIL (organisme chargé de la collecte du 1 % patronal).

    La commune, qui comptait 15 000 habitants il y a vingt-cinq ans, a largement dépassé aujourd'hui[Quand ?] les chiffres fixés par le SDRIF. Ce ne sont pas les grands ensembles qui sont à l'origine de cette explosion démographique, mais deux grandes zones pavillonnaires de 1 200 logements chacune. Elles ont consommé tant de surface que la ville, située dans une des fameuses « zones pyjamas », commence à manquer de terrains constructibles.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1994 dans l'arrondissement de Torcy du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la neuvième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie, de 1793 à 1975, du canton de Tournan-en-Brie, année où elle intègre le canton de Roissy-en-Brie. En raison de la croissance démographique du secteur, le canton est scindé, et la commune devient en 1985 le chef-lieu du canton de Pontault-Combault[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de une à trois communes.

    Intercommunalité

    La commune, jusqu'alors isolée, s'est alliée en 2010 avec Roissy-en-Brie pour former la communauté d'agglomération de la Brie Francilienne.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération de Marne et Chantereine, de la communauté d'agglomération de Marne-la-Vallée - Val Maubuée et de la communauté d'agglomération de la Brie Francilienne[31] »[32].

    C'est dans ce cadre qu'est créée le la communauté d'agglomération Paris - Vallée de la Marne, dont la ville est désormais membre.

    Politique locale

    Les élections municipales de 2014, qui ont vu la réélection de Monique Delessard, ont été annulées par le Conseil d’État le , en raison de la rédaction illégale des bulletins de vote de la liste dirigée par Cédric Pommot, un ancien adjoint de Mme Delessard qui se présentait contre elle[33]. Lors des élections municipales partielles qui se sont tenues les 15 et , la liste dirigée par Monique Delessard remporte le second tour dans le cadre d'une quadrangulaire en recueillant 36,76 % des voix, devant son ex-adjoint Cédric Pommot (27,86 %), les listes UDI-LR (21,27 %) et le Front national (14,12 %)[34]. Le conseil municipal du la réélit maire pour la fin du mandat 2014-2020[35].

    Monique Delessard démissionne fin 2017[36] et son ancien premier-adjoint, Gilles Bord est élu maire par le conseil municipal le [37]

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1839 (fusion de Pontault et de Combault)
    Période Identité Étiquette Qualité
    1839 1843 Pascal Pierre Moiana   Propriétaire à Pontillault
    1843 1847 Pierre Nicolas Desvignes   Cultivateur à Pontault
    1847 1849 Paul Gustave de Hautgard   Propriétaire à Combault
    1849 1851 Pierre Jacques Miquelard   Épicier à Pontault
    1851 1856 Pierre Nicolas Desvignes   Cultivateur à Pontault
    1856 1871 Charles Marie de Rosset de Letourville   Propriétaire à Pontault
    1871 1881 Antoine Chevalier   Garde-chasse à Pontault
    1881 1889 Jacques Alfred Colmet   Avocat à la cour d'appel de Paris
    1889 1892 Louis Julien Bachelard   Négociant en vin à Pontault
    1892 1917 Julien Frédéric Guillaume   Agriculteur à Pontault
    1917 1919 Guillaume Welter   Directeur d'école honoraire (Ville de Paris)
    1919 1925 Auguste Théodore Privé   Négociant en vin à Pontault
    1925 1944 Émile Pajot Rad.ind. Agriculteur à Pontault,
    conseiller d'arrondissement du canton de Tournan-en-Brie
    1944 1944 Maurice Duhaupas   Artiste peintre
    1944 1945 Joseph Vital Lacaze   Professeur à l'École des arts décoratifs (Ville de Paris)
    1945 1947 Alphonse Henri Moreau   Commerçant à Combault
    1947 1953 Charles Niclot   Directeur d'école honoraire
    1953 1959 Louis Granet   Surveillant principal honoraire
    1959 1977 Robert Pestel   Commerçant
    1977 octobre 2007 Jacques Heuclin PS Pilote automobile puis cadre administratif
    Député de Seine-et-Marne[38] (1991→ 1993 et 1997 → 2002)
    Conseiller général de Roissy-en-Brie (1979 → 1985)
    puis
    de Pontault-Combault
    Décédé en fonction
    2007 janvier 2018[39],[36] Monique Delessard[35] PS Cadre de banque
    Conseillère générale puis départementale de Pontault-Combault (1998 → )
    Présidente de la CA de la Brie Francilienne (2012 → 2014)
    Démissionnaire
    janvier 2018[37] En cours
    (au 26 mai 2020)
    Gilles Bord PS Cadre RATP
    Arbitre de Hand ball
    Vice-président de la CC Paris - Vallée de la Marne (2016 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[40]

    Jumelages

    Villes jumelées avec Pontault-Combault
    VillePaysPériode
    AbidjanCôte d’Ivoire
    Anyama[41]Côte d’Ivoiredepuis
    Beilstein[41]Allemagnedepuis
    Caminha[41]Portugaldepuis
    Rădăuți[41]Roumaniedepuis

    La ville de Pontault-Combault possède un site internet pour les jumelages, le Comité de jumelages de Pontault Combault[42].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[43],[Note 7]

    En 2019, la commune comptait 37 617 habitants[Note 8], en diminution de 0,61 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    417388395426435460547550509
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    579689782620640676732730710
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7267127679522 2403 5664 1243 1294 552
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7 4659 28216 76119 03726 80432 88634 54636 45838 326
    2019 - - - - - - - -
    37 617--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipements scolaires

    Les enfants de la commune sont scolarisés[Quand ?] dans les établissements scolaires suivants[45],[46] :

    • école maternelle Pablo-Neruda, Émile-Pajot, Candalle, Jacques-Prévert, Anne-Frank, Aimé-Césaire, Jean-Rostand, Pablo-Picasso, Les Trois Merlettes, Marginéa et Jean-Berberet ;
    • école élémentaire Jacques-Dubus, Louis-Granet (Boisramé), Aimé-Césaire, Jean-Rostand, Jacques-Prévert, Émile-Pajot (regroupement des 2 écoles Emile Pajot 1 et 2), Pablo-Picasso, Marginéa, Anne-Frank et Marcel-Pagnol ;
    • collège Jean-Moulin, Monthéty et Condorcet ;
    • lycée Camille-Claudel.

    Équipements culturels

    Situé au sud de la ville, le complexe culturel Les Passerelles a ouvert ses portes au début de l’année 2010 et est constitué d'une salle de spectacle d’une capacité de 375 places, d'une médiathèque, d'une salle d’exposition consacrée aux arts visuels et plus particulièrement à l’art contemporain, de trois studios de répétition et une salle d’activités culturelles[réf. nécessaire].

    Équipements de santé

    Pôle de Santé : Clinique La Francilienne

    Manifestations culturelles et festivités

    Chaque année l’Association portugaise culturelle et sociale organise avec le soutien du comité des fêtes et de la municipalité de Pontault-Combault, la Fête franco-portugaise regroupant défilé, festival, et concert de célébrités françaises et portugaises.

    Sports et loisirs

    Le handball est l'un des sports vedettes de la commune grâce au Pontault-Combault Handball qui a évolué 11 saisons en Division 1 entre 1994 et 2008. Il évolue en Division 2 jusqu'en 2018, avant de retrouver la Division 1 pour la saison 2018-2019. Jacques Heuclin, maire de Pontault-Combault de 1977 à 2007, a fait partie de la première équipe de hand-ball locale[réf. souhaitée].

    Le Stade Pontellois (code FFR 7918X) évolue en Fédérale 2. Le stade de rugby est le stade Jean Moulin.

    Un parc de loisirs est basé à Pontault-Combault. Loisirs Prod propose du paintball, parcours aventure arbres, lasergame extérieur, combat de Sumos, babyfoot humain[réf. nécessaire].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 37 113 , ce qui plaçait Pontault-Combault au 4 442e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[47].

    Entreprises et commerces

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    ZI Pontillault, Le Pré Fusé. Environ 1 200 artisans et commerçants[Quand ?].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • Église Saint-Denis (XIIIe siècle). Cette église a une énorme cloche appelée Sainte Marie.
    • Église évangélique luthérienne Saint-Matthieu.
    • Église protestante baptiste.
    • Église des Pèlerins d'Emmaüs.
    • Salle de prière de l'Ocil.

    Lieux et monuments

    • Château de Combault (actuellement l'hôtel de ville), datant du XVIIIe siècle. L'intérieur a été entièrement remodelé en 1970. Il a abrité après la guerre et jusque dans les années 1960, l'OPJEJ (Office de protection des enfants juifs). Ces enfants étaient tous scolarisés au groupe scolaire Émile-Pajot (primaire et collège).
    • Château Candalle (actuellement une école), reconstruit au cours du XIXe siècle. Il a longtemps abrité une école maternelle et une école primaire avant la construction du groupe scolaire des Acacias.
    • Château du Bois La Croix, fin du XIXe siècle (résidence de l'écrivain Georges Ohnet).
    • Centre Photographique d’Île-de-France, centre d'art consacré à la photographie et à l'image contemporaine.

    Personnalités liées à la commune

    Pontault-Combault dans les arts

    • Guy Bedos cite Pontault-Combault dans la chanson Le tube de l'hiver (1975)[48].
    • Pontault-Combault est citée à plusieurs reprises dans le film L'auberge espagnole de Cédric Klapisch (2002).
    • Cauet a parodié la ville à plusieurs reprises dans ses sketchs[49].
    • Au mois de , une équipe de tournage de TF1 est venue tourner un téléfilm nommé Hé M'sieur, à la bibliothèque de Pontault-Combault, la médiathèque François-Mitterrand. Le rôle du directeur de la médiathèque était joué par Jean-Marie Bigard.

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    D'azur au chevron d'argent, accompagné de trois trèfles d'or, au chef d'or chargé de trois merlettes de sable.
    Ornements extérieurs
    Timbré d'une couronne murale d'or, accolé de branches de chêne d'or liées en sautoir par la tige et soutenu en pointe d'un dextrochère armé d'argent[50].
    Détails
    Le champ est celui des Blanchet, sires de Pontault au XIVe siècle, et le chef reprend les merlettes des sires de Combault. Le dextrochère honore les armes du maréchal Lefebvre[51].
    Délaissé au profit du logo.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Édouard Lebeau, Trois paroisses de la Brie française : Pontault, Berchères, Combault. Éditions Raimbault à Saint-Maur, 1974 (contient une bibliographie).
    • Le Patrimoine des Communes de la Seine-et-Marne. Flohic Éditions, tome II, Paris 2001, p. 1230-1235, (ISBN 2-84234-100-7)
    • Bernard Huchet, Pontault-Combault, 1994
    • Construire la ville. L'urbanisme en Seine-et-Marne au XXe siècle, Archives départementales de Seine-et-Marne, coll. "Mémoire et Documents", 2007 (en vente aux Archives départementales)
    • Abruti de fonctionnaire, livre satirique sur Pontault-Combault et la fonction publique écrit par un employé de la ville. Éditions du Panthéon, 2011. (ISBN 2754711988). Réédité en 2014 sous le titre de "On ne réveille pas un fonctionnaire qui dort" aux éditions l'Archipel (ISBN 2809813833)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
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    36. Sébastien Blondé, « Pontault-Combault : Monique Delessard quittera son fauteuil de maire en janvier : La maire PS de la ville va céder sa place à son 1er adjoint, avant de se retirer définitivement à la fin de ses mandats », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « À 70 ans, elle ne souhaite pas faire le mandat de trop. Après dix ans passés dans le fauteuil de maire de Pontault-Combault, Monique Delessard (PS) va céder sa place au début du mois de janvier. Celle qui a succédé à Jacques Heuclin (PS) à sa mort fin 2007 passe la main à son 1er adjoint Gilles Bord (PS » (...) Monique Delessard restera conseillère municipale jusqu’aux prochaines élections municipales, en 2020. Cela lui permet de terminer ses mandats à Paris-Vallée de la Marne et au conseil départemental.
    37. Sébastien Blondé, « Pontault-Combault : Gilles Bord succède à Monique Delessard à la tête de la mairie : Élu à la suite de la démission de Monique Delessard (PS), l’ancien premier adjoint élu maire a été arbitre international de handball jusqu’à la finale olympique femmes de handball à Pékin en 2008. Portrait », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
    38. « Jacques Heuclin (1946-1977) », Assemblée nationale (consulté le ).
    39. Sébastien Blondé, « Pontault-Combault : derniers vœux en forme de bilan pour Monique Delessard : La maire (PS) de la ville a présenté ses derniers vœux à la population et officiellement annoncé qu’elle passait la main à Gilles Bord. Une soirée pleine d’émotions. », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
    40. Sébastien Blondé, « Pontault-Combault : Gilles Bord élu maire par le conseil municipal : Le maire sortant, successeur de Monique Delessard, a été élu par 32 voix sur 39 lundi soir lors du conseil municipal d’installation », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Vainqueur au premier tour des élections municipales avec 60,43 % des suffrages, Gilles Bord (PS), le maire sortant de Pontault-Combault, a été élu maire ce lundi, lors du conseil municipal d'installation ».
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