Poupry

Poupry est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Poupry

La mairie et l'église Notre-Dame.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Beauce
Maire
Mandat
Dany Bertheau
2020-2026
Code postal 28140
Code commune 28303
Démographie
Population
municipale
101 hab. (2019 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 01″ nord, 1° 50′ 22″ est
Altitude Min. 118 m
Max. 129 m
Superficie 14,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Orléans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Villages Vovéens
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Poupry
Géolocalisation sur la carte : France
Poupry
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Poupry
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Poupry
Liens
Site web www.mairie-poupry.fr

    Géographie

    Situation

    Poupry est au sud est de l'Eure-et-Loir, limitrophe du département du Loiret avec les communes d'Artenay et Sougy.

    Communes et département limitrophes

    Communes limitrophes de Poupry
    Baigneaux
    Lumeau Dambron
    Terminiers Sougy (Loiret) Artenay (Loiret)

    Hydrographie

    Le relief du bassin versant amont de la rivière Conie met en évidence le réseau hydrographique fossile, ses assecs et la dépression de la cuvette de Poupry, dont le village se trouve sur la bordure sud.

    Relief du bassin versant amont de la Conie et la cuvette de Poupry

    Voies de communication

    Traversée par l'autoroute A10, la commune constitue le point d'entrée sud de l'Aquitaine dans le département d'Eure-et-Loir. Poupry, bénéficiant de la sortie no 13 de cette autoroute, développe la zone d’activité de Villeneuve avec des entreprises de logistique et de grande distribution.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 657 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trinay », sur la commune de Trinay, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 637,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Orléans - Bricy », sur la commune de Bricy, dans le département du Loiret, mise en service en 1937 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Poupry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orléans, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,1 %), forêts (1,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Poupry est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment l'Eure et le ruisseau de l'Étang Chaud. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2016[22],[20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Poupry.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 81 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 53 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 52 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[24].

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].

    Toponymie

    • Porpriacum, Purpiriaco, Porpreium, Praperye, Pourpry, Poupry
    • Buxetum, Boissei, Boissay (ensemble de buis)
    • Mansus Meraldi (la manse de Mérault), citée dans le Cartulaire de Sainte-Croix d'Orléans en 972 ; Mémerault jusqu'au XVIIIe siècle, Mamerault
    • Ferme de Rochefort, paroisse de Poupry.

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Des restes d'habitations préhistoriques et de l'Antiquité ont fait l'objet de fouilles archéologiques sur la commune de Poupry.

    Lors de la construction de l'autoroute, un site protohistorique a été fouillé, comprenant des fosses silos et du mobilier du second âge du fer (période gauloise avant la conquête romaine)[26].

    Une fumière et des traces de bâtiments agricoles ont été trouvées[27]

    Au bois d'Auneux existe un site gallo-romain où a été trouvée de la céramique sigillée. À plusieurs endroits sur le territoire de Poupry, on trouve des tuiles (tegulae), de la céramique. Une exploitation agro-pastorale gallo-romaine a fait l'objet de fouilles au hameau de Villeneuve[28].

    Moyen Age

    Le lieu-dit Villeneuve sur le territoire de Poupry est, au Moyen Âge, un péage-droit de passage du seigneur du Puiset[29] occupé dès le Xe siècle[30]. Il est devenu le péage de l'autoroute A10 fin du XXe siècle.

    Guerre de Cent ans

    Durant la Guerre de Cent ans,L'armée du comte de Salisbury prend « Janville, en Beauce, fin août 1428, qui sera longtemps l'une des bases importantes du dispositif anglais pour la conquête des villes de la Loire et le siège devant Orléans[31]. » « De Janville sont lancées, dans plusieurs directions, des colonnes volantes. L'une d'elles, par Artenay, Poupry, Terminiers et Patay, alla soumettre plusieurs petites places entre cette dernière ville et Châteaudun, Sougy, (...)[31]. » Parmi les 40 villes que Salisbury déclare avoir conquises, notons « Yenville, Lapesett, Towry, Saint Ely, Praperye, Termenerys, Sowche, Harteney, Patoye[32] ». Salisbury met ensuite le siège devant Orléans le . Poupry est libéré des Anglais après la bataille de Patay le .

    Attaque de la ferme du Milhouard en 1798

    Dans la nuit du , la bande de brigands appelée les Chauffeurs d'Orgères se déplace, en provenance du bois de Goury et passant par Lumeau, allant vers le bois Pussin à l'est après Poupry. Ils volent et assassinent Nicolas Fousset, cultivateur du hameau du Milhouard[33]. Les membres de la bande sont alors arrêtés, interrogés et enfermés dans les caves du château de Villeprévost, quatre vingt deux d'entre eux sont déferrés au tribunal de Chartres : quarante sont condamnés au bagne et vingt trois sont condamnés à mort.

    Bataille du

    Lors de la guerre franco-allemande de 1870, les allemands arrivent à Poupry le . « Les Prussiens s'établissent à Toury au nombre de 5 000 hommes, se répandent à Janville, le Puiset, Mervilliers, etc, puis le 28 dans le canton de Voves et dans quelques communes du canton d'Orgères, où ils font immédiatement les plus onéreuses réquisitions[34]. »

    Le champ de bataille du entre l'Armée de la Loire et la confédération prussienne et bavaroise s'étend de Loigny à Lumeau et Poupry. Se font face d'une part le 15e corps d'armée du général Martin des Pallières basé à Artenay et le 16e corps d'armée du général Chanzy basé à Terminiers, et d'autre part la 17e division d’infanterie prussienne basée à Lumeau et la 22e division d’infanterie prussienne basée à Baigneaux. À 9 heures, les combats commencent à Lumeau et Loigny. Tandis que la 3e division du 16e corps, commandée par le général Morandy, attaque Lumeau, en provenance de Terminiers et Neuvilliers, les Prussiens ripostent. « Après une canonnade d'une demi-heure, l'infanterie française attaque Lumeau ; nos soldats atteignent déjà les premières maisons du village de Lumeau, lorsque les Allemands reçoivent d'importants renforts. La 22e division prussienne, arrivée à Baigneaux, n'a devant elle qu'une faible portion de notre 15e corps ; son chef s'empresse de diriger vers Auneux la 44e brigade avec 6 batteries d'artillerie, pour venir en aide à la 17e division, et le bataillon de chasseurs, resté à Baigneaux, rallie sa division à Lumeau. Le combat est engagé sur toute la ligne d'Auneux-Neuvilliers à la ferme d'Écuillon (vers Loigny et Goury) Le général von Treskow, jugeant alors l'attaque suffisamment préparée, lance sa division sur les régiments du général Morandy et les repousse de tous côtés[35]. »

    « Vers une heure de l'après midi, la 43e brigade de la 22e division prussienne d’infanterie, arrivée à Lumeau, combat à Auneux, prend Domainville, Milhouard et Mamerault et poursuit au sud de Poupry contre une brigade du 15e corps d'armée français venu d'Artenay. » Les Prussiens établissent des batteries d'artillerie à Milhouard et Mamerault. « Le 15e corps (divisions Peytavin et Martineau), après avoir repoussé les forces qu'il avait devant lui, se portait sur Mamerault et Domainville. »

    Néanmoins, à l'autre extrémité du champ de bataille, à Loigny, l'ordre de retraite est donné à 3 heures de l'après midi. « Les 16e et 17e corps d'armée se replient de Guillonville-Villepion-Terminiers sur la ligne Péronville-Patay-Sougy. » « À six heures, le 15e corps d'armée se replie sur la ligne Chevilly-Creuzy-Artenay-Villereau. » La 22e division d'infanterie prussienne quitte Poupry vers 10 heures du soir et se replie sur Lumeau et Auneux. Le lendemain, « la 22e division d'infanterie occupe Poupry[36]. »

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie de Poupry.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Yves Chenu    
    février 2016 En cours Dany Bertheau[37],[38]   Professeure, profession scientifique

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

    En 2019, la commune comptait 101 habitants[Note 8], en diminution de 0,98 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    201250270237231251248214244
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    244263272241259258253234235
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    223210205196209219191190193
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    175162123115103110103100103
    2015 2019 - - - - - - -
    107101-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    En complément des activités agricoles traditionnelles de la Beauce, la commune valorise sa position stratégique vis-à-vis de l'autoroute A10 pour accueillir de grandes entreprises de logistique et de distribution telles que XPO Logistics, STEF et Carrefour[43].

    À cet égard, les entrepôts de stockage présentent certains risques industriels qui peuvent être dangereux, comme le site de XPO Logistics, classé Seveso « seuil haut »[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame
    • Zone d'activité de Villeneuve, à la sortie de l'autoroute A10

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Dans le voisinage

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Trinay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Poupry et Trinay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Trinay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Poupry et Bricy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Poupry », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    26. Anne Ollagnier, Dominique Joly et Michel Provost (dir.), Carte archéologique de la Gaule : L'Eure-et-Loir, 28, Paris, Fondation maison des sciences de l'homme, coll. « Académie des inscriptions et belles-lettres ; Ministère de la culture et de la francophonie ; Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche », , 372 p. (ISBN 2-87754-032-4 et 9782877540322, BNF 35838160).
    27. Fumière du lieu-dit Villeneuve à Poupry : cf. Grégory Poitevin et al., « La question des fumières antiques dans le secteur de la Loire moyenne : identification, caractérisation et interprétation des structures archéologiques », dans Frédéric Trément (dir.), Produire, transformer et stocker dans les campagnes des Gaules romaines. Problèmes d’interprétation fonctionnelle et économique des bâtiments d’exploitation et des structures de production agro-pastorale., Bordeaux, Aquitania, supplément 38, (ISBN 978-2-910763-00-8), p. 285-303.
    28. Aurélien Hamel, Pierre Perrichon, Quentin Borderie, Justin Hahn et Yannick Mazeau, Une exploitation agropastorale gallo-romaine à Poupry “ Villeneuve ” (Eure-et-Loir), t. 60, coll. « Revue archéologique du Centre de la France », (lire en ligne).
    29. Ch. Cuissard, « Les péages du Puiset », Bulletin de la Société dunoise : archéologie, histoire, sciences et arts, vol. IX, , p. 330-332 (ISSN 0335-9166, BNF 34375323, lire en ligne).
    30. Sophie Liegard, « Poupry (Eure-et-Loir). Villeneuve [notice archéologique] », Archéologie médiévale, no 47, (lire en ligne).
    31. « Jeanne d'Arc, sa famille, son épopée, ses traces dans l'Histoire », sur fr.geneawiki.com.
    32. Abbé Sainsot, « Un document du XVe siècle concernant la Beauce : lettre du comte de Salisbury au maire et aldermen de la cité de Londres (5 septembre 1428) », Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, , p. 230-242 (ISSN 1149-7238, BNF 34427921, lire en ligne).
    33. Armand Fouquier, Causes célèbres de tous les peuples. : Les Chauffeurs. La bande d'Orgères, Lebrun, 1858-1867 (BNF 30453979, lire en ligne), p. 17.
    34. Albert Le Guay (dir.) et Lucien Merlet, Aperçu général sur l'invasion prussienne dans le département d'Eure-et-Loir ; rapport du préfet, Chartres, Conseil général d'Eure-et-Loir, , 384 p. (lire en ligne), p. 286, 285, 290, 317.
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