Pujo-le-Plan
Pujo-le-Plan (en occitan Pujòu e Lo Plan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Pujo-le-Plan | |||||
L'église Saint-Martin de Pujo. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Landes | ||||
Arrondissement | Mont-de-Marsan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Villeneuve en Armagnac Landais | ||||
Maire Mandat |
Florence Lesparre 2020-2026 |
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Code postal | 40190 | ||||
Code commune | 40238 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pujolais, Pujolaises | ||||
Population municipale |
622 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 51′ 45″ nord, 0° 19′ 51″ ouest | ||||
Altitude | 73 m Min. 51 m Max. 116 m |
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Superficie | 18,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Mont-de-Marsan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Adour Armagnac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Landes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Situation
Pujo-le-Plan est à 4 km au sud-sud-ouest de Villeneuve-de-Marsan et à 12 km à l'est de sa préfecture Mont-de-Marsan[1],[2].
Le parc naturel régional des Landes de Gascogne est à 18 km au nord-nord-ouest[1].
La commune est traversée par l'autoroute A65 Langon - Pau[1], mise en service fin 2010. L'entrée-sortie d'autoroute la plus proche est à 16 km au nord au péage du Calloy (sortie no 4) sur Gaillères. Vers le sud, 'entrée-sortie la plus proche est la no 6 à Aire-sur-l'Adour, à 19 km[2]. Une entrée-sortie no 5 proche de Villeneuve-de-Marsan a été prévue avant la fin de la concession en cours en 2021.
Le GR654 ouest (voie verte) traverse la pointe nord-ouest de la commune[1].
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est traversée dans le sens sud-est / nord-ouest par le Ludon, affluent de rive gauche (côté sud) du Midou et qui rejoint ce dernier à Bougue, la commune voisine au nord-ouest[1].
Géologie, relief
Hormis les basses terrasses[Note 1] du fond de la vallée du Ludon faites de galets et sables (« Fx »[5], en gris clair sur la carte géologique[6]), et les alluvions récentes de graviers, galets et sables (« Fy-z »[7], en blanc[6]) encaissées dans les alluvions des basses terrasses, la commune est pratiquement entièrement installée sur les « sables fauves » typiques du bassin aquitain, de couleur ocre et plus ou moins hématisés (« m4 »[8], en jaune à pois rouges sur la carte géologique[6]).
On trouve aussi quelques petites formations de glaises bigarrées (argile plastique versicolore) datant du Miocène supérieur (« m5 »[9], en jaune avec des tirets horizontaux[6]) ; dont une de 34 ha[6] au nord de Carnette[1], une autre de 11,8 ha à environ 1 km au nord-est de Nauton (à cheval sur la limite de communes avec Villeneuve)[6].
- Altitudes
La formation de glaises bigarrées au nord de Carnette est aussi le point le plus élevé de la commune, avec une altitude de 116 m. C'est le seul endroit de la commune où se trouvent des vignes[1].
Le point le plus bas est à 51 m d'altitude, à l'endroit où le Ludon sort de la commune[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grenade-sur-Ad », sur la commune de Grenade-sur-l'Adour, mise en service en 1990[16] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 983,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et à 14 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,5 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[22].
Urbanisme
Typologie
Pujo-le-Plan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[24],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,6 %), forêts (26,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones urbanisées (1,5 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Préhistoire
- Site gravettien au Hin de Diou
Le diagnostic d'archéologie préalable à la construction de l'autoroute A65 Langon - Pau a révélé un site de plein air daté de la fin du Gravettien moyen ou du Gravettien récent, au Hin de Diou[29], hameau situé en limite sur de la commune à environ 1,7 km au sud de la mairie[30]. L'exploration a révélé trois zones de concentration des vestiges. Une partie du matériel lithique est mise en relation avec des tessons de céramique non tournée attribués à une occupation résiduelle de la fin du Néolithique. Le niveau gravettien, correspondant au sables fauves, se serait mis en place après 26 000 cal. AP[31],[29].
L'ensemble du matériel lithique a été sourcé au sud-ouest de Pujo, avec des silex de type flysch provenant de sites dans les Pyrénées occidentales distants d'au moins 60 à 80 km, et des silex de Chalosse provenant d'Audignon, Bastennes et Tercis soit entre 20 et 60 km[29].
XVIIIe siècle
La carte de Cassini montre un habitat rural relativement dense : les hameaux sont au moins aussi nombreux que de nos jours. À cette époque, Pujo est appelé Lijo. Un pont est signalé au village[32].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2019, la commune comptait 622 habitants[Note 8], en augmentation de 1,97 % par rapport à 2013 (Landes : +4,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin de Pujo.
- Église Saint-Jean-Baptiste du Plan.
- Villa gallo-romaine des Bignoulets, presbytère.
Personnalités liées à la commune
- Henri Fouques-Duparc (1903-1976), homme politique, mort dans la commune.
Galerie
- Ancien moulin à eau de Gageat, sur le Ludon.
- Lavoir restauré de Pujo-le-Plan.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Toutes les vallées principales des systèmes hydrographiques de la Garonne et de l'Adour sont caractérisées par cinq niveaux de terrasses alluviales, marquant les principaux niveaux d'écoulement de ces deux fleuves en corrélation avec les glaciations du Quaternaire[3] et connues sous les appellations de « nappe culminante » (Donau), « haute terrasse » (Günz), « moyenne terrasse » (Mindel), « basse terrasse » (Riss) et « basses plaines » (Würm)[4].
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Pujo-le-Plan, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
- « Pujo-le-Plan », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (dans l'onglet à gauche de l'écran, cliquer sur "Itinéraires").
- [Vialet 2019] Amélie Vialet, « Interruption dans le processus de transmission du savoir : exemple des grottes préhistoriques de Montmaurin (Haute-Garonne) fouillées par Louis Méroc (1904-1970) », dans Michel Sot (dir.), Pratiques de la médiation des savoirs, Paris, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, , sur books.openedition.org (ISBN 9782735508983, lire en ligne), p. 4, paragr. 4.
- [Crégut-Bonnoure et al. 2010] Évelyne Crégut-Bonnoure, Nicolas Boulbes, Claude Guérin, Jacques Pernaud, André Tavoso et Raoul Cammas, « Le contexte géomorphologique et faunique de l'homme de Montmaurin (Haute-Garonne) », Préhistoires Méditerranéennes, (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ), paragr. 25.
- [Capdeville et al. 1990] Jean-Pierre Capdeville, Patrick Andreieff (microfaune), Alain Cluzaud (macrofaune), Jean-François Lesport (macrofaune), Geneviève Farjanel (microflore) et Danièle Fauconnier (microflore), Notice explicative de la carte de géologie au 1/50000e « Mont-de-Marsan » no 951, Orléans, BRGM, , 41 p. (lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr), p. 26.
- « Pujo-le-Plan, carte géologique interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Géologie » activées. Les surfaces sont mesurées à l'aide de l'outil « Mesurer une surface » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
- Capdeville et al. 1990, p. 28.
- Capdeville et al. 1990, p. 16.
- Capdeville et al. 1990, p. 19.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Grenade-sur-Ad - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pujo-le-Plan et Grenade-sur-l'Adour », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Grenade-sur-Ad - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pujo-le-Plan et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- [Remicourt et al. 2010] Maxime Remicourt, Thomas Briand, Pascal Tallet, Paul Fernandes, Mathieu Rué, Aurélien Simonet, Amaranta Pasquini, Nicolas Fedoroff, Régis Picavet et Cyril Bernard, « Les occupations gravettiennes de Hin de Diou à Pujo-le-Plan (Landes) » (Rapport de recherche. Opération d'archéologie préventive du 05 octobre au 18 décembre 2009), Paléotime, SRA Aquitaine, (lire en ligne [sur hal.archives-ouvertes.fr], consulté en ), p. 15.
- « Hin de Diou, à Pujo-le-Plan, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
- [Bertran et al. 2009] Pascal Bertran, Gisèle Allenet, Thierry Gé, Filipa Naughton, Philippe Poirier et Maria F. Sanchez Goñi, « Coversand and Pleistocene palaeosols in the Landes region, southwestern France », Journal of Quaternary Science, vol. 24, no 3, , p. 259-269 (résumé). Cité dans Remicourt et al. 2010, p. 15.
- « Pujo-le-Plan, carte de Cassini interactive » sur Géoportail. Couches « Carte de Cassini » et « Cartes IGN classiques » activées.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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