Le Puy-Notre-Dame
Le Puy-Notre-Dame est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Pour les articles homonymes, voir Le Puy.
Le Puy-Notre-Dame | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Isabellon 2020-2026 |
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Code postal | 49260 | ||||
Code commune | 49253 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ponot, Ponote | ||||
Population municipale |
1 186 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 75 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 07′ 30″ nord, 0° 14′ 01″ ouest | ||||
Altitude | 103 m Min. 32 m Max. 106 m |
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Superficie | 15,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Doué-en-Anjou (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Doué-en-Anjou | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site du Puy-Notre-Dame | ||||
Géographie
Commune située au sud du département dans le Saumurois, à la limite des Deux-Sèvres dont elle est séparée par un ruisseau au sud et à l'est par le Thouet, Montreuil-Bellay se trouve à six kilomètres, Doué-la-Fontaine et Thouars à douze kilomètres, la ville de Saumur à vingt-trois kilomètres.
Une forte majorité de la population se situe dans le bourg, environ un millier, le reste se répartissant dans les villages attenant de Sanziers, Chavannes et Cix.
La superficie de la commune est de 1 604 hectares dont 540 de vignes, le reste étant en cultures céréalières.
De nombreuses galeries souterraines créées par l’extraction du tuffeau et du falun utilisés comme matériau de construction, s’étendent dans le sous-sol du Puy-Notre-Dame et même au-delà (de Saumur à Doué-la-Fontaine).
Certaines de ces galeries ont servi d’habitations appelées troglodytes et d’autres, grâce à une température constante de 12°, servent encore à la conservation des vins et à la culture du champignon de Paris[1] et autres espèces.
La commune est classée parmi les villages de charme du département de Maine-et-Loire.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont.-Bellay », sur la commune de Montreuil-Bellay, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 599,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, dans le département de la Vienne, mise en service en 1921 et à 73 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Le Puy-Notre-Dame est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Doué-en-Anjou, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,6 %), cultures permanentes (27,7 %), zones agricoles hétérogènes (26,5 %), prairies (6,9 %), zones urbanisées (6,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie et héraldique
Toponymie
Le nom Puy vient du latin podium pouvant se traduire par éminence ou petite butte.
Héraldique
Blason | D'or, à une Notre-Dame de carnation vêtue d'azur et de gueules, tenant dans ses bras l'enfant Jésus de la carnation. |
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Détails |
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Présence protohistorique.
Moyen Âge
Au XIe siècle, une église romane dédiée à Marie avait été érigée sur une colline d’un peu plus de 100 m de hauteur, la « Colline de Marie » (ecclesia beatae Mariae de Podio).
Vers 1100, Guillaume IX, duc d'Aquitaine, au retour d’une croisade en Palestine y déposa un reliquaire de la Sainte Ceinture de la Vierge. Cette relique, (bande de tissu de soie et de lin, longue d’1,50 m) fit l’objet d’une grande dévotion et attira de nombreux pèlerins (coquille Saint-Jacques sculptée sur la façade d'une maison) et hauts dignitaires.
Saint Louis, Charles VII[22] et Louis XI viennent successivement faire leurs dévotions. Anne de Bretagne l’utilisera pour le dauphin Charles. Anne d’Autriche la fera venir peu avant la naissance de Louis XIV (copie d’une lettre datée du détenue à l’église)[23]. Charles Louvet, maire de la ville de Saumur, écrivit[24] à Napoléon III afin de proposer à l’impératrice Eugénie les bienfaits de la Sainte Ceinture pour la future naissance du prince Louis-Eugène.
En effet, on disait que cette relique possédait la vertu de favoriser la naissance d’enfant mâle, d’adoucir les souffrances des femmes enceintes et de faciliter les accouchements. À la fin du XIIe siècle, la petite-fille de Guillaume IX, Aliénor d’Aquitaine, en hommage à la Sainte Vierge, fit commencer la construction de l'église Notre-Dame sur l'emplacement de la précédente.
Se pose alors une interrogation sur le pèlerinage effectué le par Isabelle Romée, mère de sainte Jeanne d'Arc, au "Puy" : s'agit-il du Puy-en-Velay ou du Puy-Notre-Dame, sachant qu'ensuite elle rencontre sa fille le à Chinon ? Le de cette année était jour de Jubilé au Puy-en-Velay, mais "Passer par la cité mariale vellave représente un sérieux détour de pénitence, au Sud, compte tenu des moyens de transport de l'époque et des périls encourus" (professeur Roger Briand)[25].
Collégiale Notre-Dame
Cet édifice, commencé vers 1154 et achevé vers 1250, s'inspire du plan de la cathédrale de Poitiers ; il offre un mélange de style gothique poitevin et angevin Plantagenêt : trois nefs à six travées, transept et abside à chevet rectangulaire. Il a été complété au XVe siècle par un haut clocher avec flèche de pierre et clochetons, puis restauré au XIXe siècle par Charles Joly Leterme, (architecte connu pour ses nombreuses réalisations) et complété d’une salle désignée comme l’oratoire de Louis XI et d’une salle capitulaire (sacristie actuelle).
Ville close durant la guerre de Cent Ans et saccagée au XVIe siècle pendant les guerres de religion où fut détruite une grande partie de l'enceinte fortifiée, le Puy-Notre-Dame présente encore quelques vestiges de cette enceinte médiévale. Montreuil-Bellay reste la dernière ville close d'Anjou.
En 1478, Louis XI y créa un chapitre, qui donnera le nom de collégiale à l'église. Afin que des enfants de chœur soient formés, Louis XI créa également une psalette (maîtrise de l’église) avec un maître à leur tête. Le roi ordonna en , par lettres patentes, la fondation d'un corps et collége de gens de l'église séculiers[26].
Dans le chœur de la collégiale, on peut admirer des stalles magnifiquement sculptées en chêne massif du XVIe siècle servant de siège rabattable aux membres du clergé. La miséricorde était un appui discret quand le clergé était debout durant les offices.
On peut également admirer une huile de Jean Boucher[27] peinte en 1621 représentant l’Assomption de la Vierge avec la transcription : JOANNES BOUCHER BITURT INVENIT ET FECIT 1620 OU 1621[28].
Époque contemporaine
En 1793, Le Puy-Notre-Dame porte le nom de Puy-la-Montagne.
Vers 1880, le vignoble du Puy-Notre-Dame est dévasté par le phylloxéra réduisant à néant les espérances des vignerons. Les replantations s'effectuent au début du XXe siècle grâce à des plants plus résistants venus des États-Unis.
Quelques vignerons du Puy-Notre-Dame, Vaudelnay, Brossay et Saint-Macaire-du-Bois se sont regroupés en association et ont pris comme emblème la Régalade de Moine, motif stylisé d'un détail d'une stalle de la collégiale.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2019, la commune comptait 1 186 habitants[Note 7], en diminution de 2,63 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 570 hommes pour 618 femmes, soit un taux de 52,02 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations
- Pèlerinage de la « Sainte Ceinture de la Vierge », le dimanche après le .
Économie
Sur 131 établissements présents sur la commune à fin 2010, 40 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 39 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Moulins[39].
- Les rives du Thouet sont jalonnées d'anciens moulins et celui du Puy-Notre-Dame, le Moulin de Couchéx, est un ancien moulin à eau à chaussée, qui transformait le blé en farine. Il est détruit au XVIIIe siècle et reconstruit au XIXe siècle en pierre de tufeau et pierre de taille ; sa toiture est en ardoise, matériau utilisé pour la plupart des constructions de la région. Avec son pignon en pointe, ce bâtiment à trois étages ressemble à une étrave de bateau. Ce moulin cesse son activité dans le courant du XXe siècle. La roue à aubes n'existe plus et son mécanisme est dissimulé sous de fausses poutres.
- Église Notre-Dame[40]
- Vestiges de l'enceinte[41]
- Maisons XVIe siècle, anciens relais de pèlerins.
- Souterrains-refuges sous le bourg et à Sanziers.
- Château Le Lys à Sanziers (pressoir)[42].
- Fuie souterraine (petit colombier) à la Hupponnière.
- Moulin cavier en ruine.
- Chapelle du cimetière XVe siècle[43].
- Ancienne chapelle du couvent des cordelières (grange).
Spécialités culinaires régionales
- Les pommes tapées : le fruit est épluché, séché et aplati pour une meilleure conservation (technique datant de la Révolution)
- Les galipettes : chapeau d'un gros champignon cuit dans un four à pain ou sur des braises avec une farce de beurre, ail et persil ou une farce de rillettes (le chapeau est si lourd qu'il fait une galipette en tombant)
- Les fouées : boule de pain cuite dans un four à bois et garnie soit de rillettes, de fromage de chèvre, confiture ou autre ingrédient.
Personnalités liées à la commune
- Isabelle Rommée (ou Isabeau Rommée) (1377– ), mère de Jeanne d'Arc, venue faire un pèlerinage a Le Puy.
- Pierre Quétineau (1756-1794), général des armées de la République, guillotiné à Paris le 27 ventôse an II, y est né.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie du Puy-Notre-Dame
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- (fr) « La biologie et physilogie du "champignon de Paris" » sur le site personnel Rue des lumières, consulté le 17 août 2009
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Mont.-Bellay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Puy-Notre-Dame et Montreuil-Bellay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont.-Bellay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Puy-Notre-Dame et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Louis Archon, Histoire De La Chapelle Des Rois De France, , 793 p. (lire en ligne), p. 356.
- Louis Archon, Histoire De La Chapelle Des Rois De France, , 793 p. (lire en ligne), p. 779.
- Site de la commune du Puy-Notre-Dame
- Livre "La Haute-Loire insolite", page 134, du professeur Roger Briand, juillet 2016.
- Lettres patentes de Louis XI, Thouars, janvier 1482 (1481 avant Pâques)
- Encyclopédie Bourges, Jean Boucher
- Ministère de la Culture - Base Palissy
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Le Puy-Notre-Dame. Première : une femme dans le fauteuil de maire », sur ouestfrance.fr, Ouest France, (consulté le ).
- « Le Puy-Notre-Dame. Isabelle Isabellon, maire multitâches », sur angers.maville.com, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Puy-Notre-Dame (49253) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Le Puy-Notre-Dame (49), consultées le 8 mai 2013
- « Moulins à Le Puy-Notre-Dame (49) », notice no IA00054023, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église », notice no PA00109241, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fortification d'agglomération », notice no IA00054026, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir Notre-Dame dit Château du Lys », notice no IA00054090, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle funéraire Saint-Sauveur », notice no IA00054029, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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