Quiévrechain
Quiévrechain est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Ne doit pas être confondu avec Quiévrain.
Quiévrechain | |||||
Logements d'une cité minière de Quiévrechain. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Valenciennes | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Valenciennes Métropole | ||||
Maire Mandat |
Pierre Griner 2020-2026 |
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Code postal | 59920 | ||||
Code commune | 59484 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Quiévrechinois, Quiévrechinoises | ||||
Population municipale |
6 362 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 1 351 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
334 571 hab. (2019) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 46″ nord, 3° 40′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 24 m Max. 118 m |
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Superficie | 4,71 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Valenciennes (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valenciennes (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Marly | ||||
Législatives | Vingtième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.quievrechain.fr | ||||
Adhérente à l'intercommunalité de la Communauté d'agglomération de Valenciennes Métropole, Quiévrechain fait également partie de l'unité urbaine de Valenciennes qui est la troisième du département du Nord.
C'est aussi par Quiévrechain que la vaste agglomération de Valenciennes est attenante à la Belgique.
Géographie
Petite ville située à 15 km au nord-est de Valenciennes où elle fait partie de son unité urbaine, elle est frontalière avec la Belgique sur sa bordure Est.
Par rapport à la Belgique voisine, Quiévrechain se situe à 20 km de Mons et se trouve face à la ville de Quiévrain.
Quiévrechain fait partie du territoire du parc naturel régional Scarpe-Escaut.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Voie de communication et transport
La commune est desservie par le tramway de Valenciennes.
Urbanisme
Typologie
Quiévrechain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[17] et 334 571 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (57,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (53,9 %), terres arables (32,6 %), prairies (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), zones agricoles hétérogènes (1,7 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
La similitude des noms semble indiquer que Quiévrechain aurait été à l'origine un hameau de Quiévrain.
Histoire
En 636, le roi Dagobert concède à saint Landelin, moine bénédictin, des terres situées à Crespin, pour la fondation d'une abbaye de son ordre : Quiévrechain tient son origine de cette abbaye.
En 820, moins de deux siècles plus tard, le roi Lothaire Ier accorde aux moines de Crespin, un certain lieu-dit : Kiévrechin. Les moines y construisent une modeste chapelle. Brûlée en 881, elle est reconstruite en 900.
Le village, groupé autour de sa petite église (à l'emplacement actuel de l'église Saint-Martin), se développe plus rapidement que celui de Crespin. Au XIIe siècle, Quiévrechain est la paroisse mère de Crespin.
À partir du XIVe siècle, la petite église Saint-Martin subit de nombreuses transformations pour répondre aux besoins du petit village qui s'étend de plus en plus vers Blanc-Misseron.
Le château est brûlé en 1426 par la garnison du Quesnoy. L'abbaye des Dames de Beaumont déclare posséder des biens dans le village en 1602[24].
Depuis 1713, date de la division du Hainaut, en Hainaut impérial et Hainaut français, Quiévrechain a pour rôle central de servir de barrière douanière.
La frontière franco-belge est constituée par le cours de l'Aunelle. C'est en 1779 seulement que le roi de France cède aux Pays-Bas autrichiens la partie du territoire de Quiévrechain qui se trouvait au-delà de cette rivière (entre autres, le château du XVIIIe siècle).
Après la Révolution, l'exploitation du sous-sol de Quiévrechain est concédée à la compagnie de Saint-Saulve puis à celle d'Anzin, mais cette dernière abandonne la partie au sud de la ligne Valenciennes-Crespin à Grégoire Joseph Libert qui, plus heureux que ses prédécesseurs, fait des sondages couronnés de succès en 1830. En 1836, il fonde la compagnie des mines de Crespin couvrant les territoires de Crespin, Onnaing, Sebourg, Quiévrechain, Quarouble et Rombies. La concession reste inexploitée de 1842 à 1875. Le puits no 1 est exploité de 1880 à 1949, le no 2 de 1902 à 1950[25].
En 1801, Quiévrechain a 445 habitants.
Dès la fin du XIXe siècle, de nombreuses entreprises sont créées à Blanc-Misseron.
En 1892, la petite église Saint-Martin étant devenue trop exiguë pour les 1 271 habitants, la construction d'une seconde église, le Sacré-Cœur, commence à Blanc-Misseron.
En 1901, 2 763 habitants ; en 1931, 6 282 habitants ; et en 2001, 6 131 habitants.
En 1962, la commune offrait 2 771 emplois dans l'industrie.
En 1972, avec la création de l'autoroute A2 Paris - Bruxelles, la fonction de barrière douanière perd toute son importance au même titre d'ailleurs que le pôle industriel qu'elle avait fait prospérer dans son ombre, durant près d'un siècle.
C'est grâce à sa forte industrialisation et donc à un chômage faible et des entreprises ancrées dans la vie communale, que la ville fait preuve d'une effervescente (vie associative et festive) durant les années 1970 ; on pourrait citer les « 24 heures de Quiévrechain » (course cycliste et fête non-stop pendant 24 heures courant juin) ou encore la fête de la bière. Des associations influentes s'investissent dans ces manifestations, comme la fanfare des sapeurs-pompiers, la société des 8 (« les gros zozios »). Une radio locale apparaît même sur les ondes dès 1981 (loi sur la radio libre) : nommée Radio Aunelle, celle-ci s'éteindra en 1991 après avoir changé de nom pour passer momentanément sous le nom de Radio Atlantis.
Depuis le milieu des années 1970, la ville connit une désindustrialisation conséquente, avec notamment de nombreuses fermetures d'usines métallurgiques, verrerie, etc., entraînant une hausse du chômage et la migration de population vers d'autres territoires plus attractifs en matière d'emplois. Elle continue cependant son développement, notamment avec une modernisation des réseaux de transports, la construction de la salle des sports François-Denis en 1971, de la piscine du SIVOM en 1977, et la création du centre socio-éducatif Louis-Henocq.
Quiévrechain est mentionné dans le film de Steven Spielberg : Cheval de guerre, sorti en 2011.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1824 dans l'arrondissement de Valenciennes du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la vingt et unième circonscription du Nord.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Valenciennes-Est[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Marly.
La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Un établissement pénitentiaire pour mineurs d'une capacité de 60 places se trouve sur le territoire de la commune de Vanneaux[27].
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté d'agglomération Valenciennes Métropole, créée fin 2000.
Liste des maires
Maire en 1802-1803 : Montfort[28].
Pierre Griner est au moment de son élection le plus jeune maire du Nord-Pas-de-Calais[29],[30],[31]
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
Antoine Briche (d)[32] ( - ) | 6 ans | divers droite | ||
Michel Lefebvre (d)[33],[34] ( - ) | 37 ans | Parti communiste français | ||
Pierre Griner (d)[35],[36] (né le ) | En cours | 8 ans, 5 mois et 3 jours | divers droite |
Jumelages
La ville de Quiévrechain est depuis 2015 ville jumelle de celle de Merzenich (ALLEMAGNE) qui est située en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].
En 2019, la commune comptait 6 362 habitants[Note 8], en augmentation de 0,71 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 058 hommes pour 3 297 femmes, soit un taux de 51,88 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Quiévrechain fait partie de l'académie de Lille.
Sports
- Chaque année, au mois de décembre, est organisée une course de 10 kilomètres baptisée La Quivérainoise, car elle se déroule en partie à Quiévrain, de l'autre côté de la frontière.
- En 2007, un club de floorball a été fondé : les Grizzlys du Hainaut. Il évolue depuis 2010-2011 en Division 2 du Championnat de France, après avoir évolué en 2009-2010 en Division 1. Il a remporté le championnat de D2 en 2008-2009, et joue à domicile au Complexe de la Corderie, situé près de la piscine, inauguré en 2004. Le club accueille un week-end par an, où tous les clubs de sa poule se rendent, comme le veut le règlement de Floorball France.
- La ville dispose d'autres associations amateurs dans de nombreux sports : tennis de table, football, judo, natation, tennis, etc.
Média
La ville est régulièrement mentionnée dans l'édition de Valenciennes-Denain de La Voix du Nord et dans l'Observateur du Valenciennois.
L'action principale du film "Cheval de Guerre" de Steven Spielberg se déroule à Quievrechain. Faits peu probables au regard de la ligne de front de la première guerre mondiale.
Le film Si on chantait se déroule à Quievrechain… Tourné sur place en août-septembre 2020, il est sorti au cinéma le 3 novembre 2021.
Cultes
Le culte catholique est pratiqué dans deux églises : Saint-Martin, dans le centre ville (rue de l'Église) et celle du Sacré-Coeur au Blanc-Misseron.
Il y a deux mosquées à Quiévrechain : la plus ancienne mosquée Al Fath à la rue des Groseilliers, sunnite orthodoxe, et la mosquée An'Nour à la rue Valeriani, proche de la Société des Frères musulmans.
Économie
- Locomotives Blanc-Misseron
- Compagnie des mines de Crespin
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Église du Sacré-Cœur (dite de Blanc-Misseron)
La construction de l'église du Sacré-Cœur de Blanc-Misseron a commencé en et fut terminée et consacrée à la fin de 1894, pour répondre aux besoins des 1271 habitants. L'église Saint-Martin était devenue trop exiguë et sa transformation impossible. À peine ouverte, elle fut interdite au culte en raison d'une certaine opposition communale et fut finalement reconnue comme chapelle de secours par Décret du Président de la République, du (en vertu du Concordat de 1801, l'exercice du culte était réglementé par l'État). En , elle fut fortement endommagée par les explosions successives d'un dépôt de munitions allemand et, c'est en piteux état qu'elle fut cédée le , à la Compagnie des Mines de Crespin. En 1946, après la nationalisation des mines, elle a appartenu aux Houillères Nationales. Aujourd'hui, depuis une dizaine d'années, le diocèse de Cambrai en est le propriétaire.
Personnalités liées à la commune
- La famille de l'écrivain Constant Malva a vécu à Quiévrechain de 1911 à 1912[42].
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Quiévrechain et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Quiévrechain et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- [PDF] Archives départementales du Nord
- E. Chavatte, Creusement du puits de Quiévrechain, Saint-Etienne, Impr. Théolier et Cie, (lire en ligne), p. 768-799.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Etablissement pénitentiare pour mineurs de Quiévrechain », sur justice.gouv.fr (consulté le ).
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
- Myriam Zenini, « Pierre Griner, 23 ans : il voulait la mairie de Quiévrechain, il l'a eue : C'est un jeune maire qui tient désormais les rênes de la mairie de Quiévrechain, depuis dimanche soir. Un début de destin politique que Pierre Griner caressait depuis longtemps, malgré son jeune âge », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Quiévrechain : Pierre Griner, 23 ans, portrait du plus jeune maire du Nord-Pas-de-Calais : Élu dimanche avec 60 % des voix, Pierre Griner, 23 ans, est aujourd'hui le plus jeune maire du Nord Pas-de-Calais. Reportage à Quiévrechain de Yves Asernal et Bertrand Théry. », France 3 Nord-Pas-de-Calais, (lire en ligne, consulté le ).
- « Pierre Griner, maire de Quiévrechain : « On se sent un peu abandonné » : Dans une ville où l’abstention et le vote Front national sont devenues des valeurs refuges, le maire, Pierre Griner confie son désarroi, deux jours après l'incendie qui a ravagé les services techniques. Ultime épisode d'une trop longue série », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- J.-M. C., « Quiévrechain : disparition d’Antoine Briche, ancien maire », La Voix du Nord, : « Élu pour la première fois conseiller municipal en 1947, le docteur Antoine Briche a été maire de Quiévrechain de 1971 à 1977. »
- Catherine Bouteille, « Quiévrechain : l’ancien maire Michel Lefebvre a mis fin à ses jours », La Voix du Nord, : « Il aura marqué plusieurs générations de Quiévrechinois puisqu’il a été à la tête de la municipalité de 1977 à 2014. »
- Sébastien Chédozeau, « Quiévrechain : Michel Lefebvre, le vieux loup de mer a définitivement mis les bouts », La Voix du Nord, : « En retrait de la vie publique depuis que Pierre Griner a mis fin, en 2014, à son long règne ininterrompu de trente-sept ans comme maire de Quiévrechain, Michel Lefebvre a fait le choix de quitter définitivement ce monde, à l’âge de 78 ans. »
- « Quiévrechain : Pierre Griner, 23 ans, provoque la chute d’une figure du Parti communiste », La Voix du Nord, : « Dimanche 23 mars 2014, à Quiévrechain (Valenciennois). En remportant 60 % des suffrages, Pierre Griner, 23 ans, a fait tomber un des maires les plus indéboulonnables de l’arrondissement : Michel Lefebvre. »
- Jean-Marc Rivière, Sophie Filippi-Paoli, Sébastien Leroy et Romain Musart, « Dossier spécial : le maire, un élu toujours aussi populaire », La Voix du Nord, no 24007, , p. 1-8 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Pierre Griner, maire de Quiévrechain, 6300 habitants. »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Quiévrechain (59484) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- https://objectifplumes.be/author/constant-malva/
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