Quillebeuf-sur-Seine

Quillebeuf-sur-Seine (/kilbəsyʁsɛn/) est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Quillebeuf-sur-Seine

L'église Notre-Dame-de-Bonport,
 Classé MH (1862).

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes de Pont-Audemer / Val de Risle
Maire
Mandat
Carine Boquet
2020-2026
Code postal 27680
Code commune 27485
Démographie
Gentilé Quillebois
Population
municipale
833 hab. (2019 )
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 22″ nord, 0° 31′ 37″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 23 m
Superficie 10,11 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-Achard
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Quillebeuf-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Quillebeuf-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Eure
Quillebeuf-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Quillebeuf-sur-Seine

    Ses habitants sont les Quillebois.

    Géographie

    Localisation

    Quillebeuf-sur-Seine est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure située au sein du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

    Localisée sur la rive gauche de la Seine, la commune est un ancien port.

    Un bac (le dernier avant l'estuaire) relie son passage d'eau à celui de la commune de Lillebonne (Port-Jérôme), dans la Seine-Maritime.

    Les marins de Quillebeuf avaient[Quand ?], avec ceux de Caudebec-en-Caux, le monopole du pilotage des navires de mer remontant la Seine jusqu'à Rouen.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 838 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[9] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 35 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Quillebeuf-sur-Seine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    La commune, bordée par l'estuaire de la Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), prairies (21,6 %), eaux continentales[Note 8] (15,1 %), zones urbanisées (4,7 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Quelibos en 1018 (charte de Richard II); Cheliboey ou Cheliboy en 1025, ainsi que Chilebo, Chilebue et Chileboi en 1170[26]; Kilebue en 1235; Quileboium et Kileboium en 1258 (cartulaire de Jumiéges), Kilebuf en 1197 (cartulaire de Bonport); Kilebof en 1203; Kileboë en 1238 (Barabé); Quilleboues en 1392 (aveu de Richart, évêque de Dol); Quillebeuf sur Seine en 1450 (charte de Charles VII), Quitbœuf en 1631 (Tassin, Plans et profilz); Qvillebæve en 1648 (Chastillon, Topogr. française); Quilbeuf en 1704 (Th. Corneille); Quidebeuf en 1781 (Berey, Carte particul. du dioc. de Rouen); Quillebeuf-sur-Seine en 1810 (ann. de l’Eure)[27].

    Henri IV, vers 1592, lui donna le nom Henricarville ou Henriqueville qui n’a pas survécu à son règne[27].

    François de Beaurepaire a inclus Quillebeuf dans la série des toponymes en -beuf issu du vieux norrois bóð (both) « baraque », sans toutefois donner d'explication à l'élément Quille- qu'il considère comme obscur[26]. Il écrit, en outre, que les formes anciennes semblent « suspectes ». Or elles peuvent très bien s'expliquer par l'évolution romane régulière du vieux norrois boði « rocher à fleur d'eau ».
    Le vieux norrois boði a bien été identifié comme second élément du rocher Quillebœuf (au large de Gatteville-le-Phare, Manche), lieu où se sont produits de nombreux naufrages. On ignore la nature du lien qui unit ce toponyme à Quillebeuf, au bord de la Seine, mais l'endroit était réputé également dangereux, à cause du rétrécissement de la Seine après le coude qu'elle forme et l'augmentation de la vitesse du courant. Il est encore visible aujourd'hui malgré l'aménagement du fleuve à l'époque moderne.

    Jean Renaud a vu dans le premier élément Quille-, le vieux norrois kelda « source »[28], or, les formes anciennes devrait être en Quelde-, Kelde- > Queude- et il n'y a pas de source à Quillebeuf. En revanche, Quille- est peut-être le même que le mot quille en français, issu du vieux norrois kilir « quilles » (au pluriel), [r] s'étant régulièrement amuï devant une autre consonne. Certains spécialistes, comme René Lepelley, y voient plutôt le vieux norrois kill « long bras de mer, crique étroite, estuaire », pour d'autres « passage, chenal »[29]. On peut en déduire qu'il a pu être utilisé au sens de « passage étroit dans la Seine ». Le sens global est donc celui de « rocher des quilles » ou « rocher du chenal », surnom d'un rocher ou écueil qui jadis effleurait à marée basse. La principale objection se trouve dans la nature des formes les plus anciennes qui montrent qu'on avait initialement Keli- qui a évolué en Kile-. À noter que l'on dit traditionnellement « kilbeu ».

    Quillebeuf se situe sur la rive gauche de la Seine.

    Le terme dialectal de la Hague boue ou bau « rocher lointain dégagé par la marée basse » procède de boði. On le retrouve dans la Grande Boue, rocher au large de Sulvy à Saint-Germain-des-Vaux et dans les différents le Bau nom de plusieurs rochers au large de la Hague.

    Histoire

    Henri IV en fit une place forte et donna aux habitants l'exclusivité du pilotage. Les fortifications furent démantelées en 1621[30].

    Le , naufrage du brick Télémaque qui d'après une tradition non confirmée (par l'archéologie et la recherche documentaire) aurait transporté les trésors des abbayes de Jumièges et Boscherville ainsi que les joyaux de la couronne[31].

    En 1910, Quillebeuf prend le nom de Quillebeuf-sur-Seine.

    À la fin de la bataille de Normandie, fin août 1944, Quillebeuf est un des lieux de franchissement de la Seine par les troupes allemandes ayant réussi à s'extraire de la poche de Falaise. Tandis que les arrière-gardes allemandes ralentissent les Alliés sur la Risle, plusieurs milliers de soldats allemands traversent le fleuve à bord d'un bac, qui sera coulé le , et d'embarcations de fortune. Le , les Belges de la brigade Piron franchissent la Risle à Pont-Audemer et prennent Quillebeuf le lendemain, .

    Héraldique

    Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

    de gueules au bœuf d'or surmonté de trois fleurs de lys du même.


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 2014 Ladislas Poniatowski UDF puis UMP Député puis sénateur
    mars 2014 En cours Alain Tessier LREM Consultant - formateur

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2019, la commune comptait 833 habitants[Note 9], en diminution de 12,13 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1371 1371 2051 4671 3441 3661 4471 6271 698
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5721 4491 4411 3721 4021 4141 5011 3181 217
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2651 1029187146657137799361 080
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0871 2451 2011 1001 0441 0111 0181 022948
    2018 2019 - - - - - - -
    839833-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Dans la littérature

    Guy de Maupassant cite Quillebeuf dans Pierre et Jean en 1888[38]:

    « Puis il traita la question des bancs de sable de la Seine, qui se déplacent à chaque marée et mettent en défaut les pilotes de Quilleboeuf eux-mêmes, s'ils ne font pas tous les jours le parcours du chenal. »

    Personnalités liées à la commune

    Quillebeuf, embouchure de la Seine par Joseph Mallord William Turner (1833).
    • Jean-Nicolas Topsent (1755-1816), officier de marine et conventionnel, originaire de Quillebeuf
    • Joseph Mallord William Turner (1775-1851), peintre anglais, qui peignit la Seine à Quillebeuf en 1833 (tableau exposé au musée Calouste-Gulbenkian à Lisbonne).
    • Pierre Onésime Frémont (1812-1899), capitaine au long cours.
    • Charles-Théophile Féret (1858-1928), écrivain français. L'histoire de son livre La Réincarnation de Claude Le Petit (1922) se déroule à Quillebeuf.
    • Robert Chandeau, créateur de la revue théâtrale française L'Avant-Scène, devenue L'avant-scène théâtre.
    • Marguerite Duras, dont le roman Emily L. se passe à Quillebeuf.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Quillebeuf-sur-Seine et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Quillebeuf-sur-Seine et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. François de Beaurepaire, Les noms des communes et des anciennes paroisses de l'Eure, Picard, 1985, p. 163.
    27. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 178.
    28. Jean Renaud, Vikings et Noms de lieux de Normandie : Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Collection Mots et Noms de Normandie, Orep éditions, p. 87.
    29. Ibid., p. 33.
    30. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 92.
    31. INA : Le trésor du Télémaque.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. Notice no PA00099527.
    37. Notice no IA00018886.
    38. Gilles Henry, Promenades littéraires en Normandie, Condé-sur-Noireau, C. Corlet, , 213 p., 27 cm (ISBN 2-85480-516-X et 978-2-85480-516-1, OCLC 36104323, BNF 35804179, lire en ligne), « Nous entrons en Seine... Maritime », p. 173.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de l’Eure
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.