7e régiment d'artillerie (France)
Le 7e régiment d'artillerie (7e RA) est une unité de l'armée française, dont les origines remontent à la création du 7e régiment d'artillerie de Toul sous l'Ancien Régime, en 1762, et actuellement dissous. Au cours de ses 237 années d'existence, il aura été engagé aux Pays-Bas, en Belgique, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Espagne, en Pologne, en Russie, en Algérie, en Crimée, en Chine, au Mexique et plus récemment en Centrafrique, en ex-Yougoslavie, en Géorgie, en Côte d'Ivoire et en Polynésie.
Pour les articles homonymes, voir 7e régiment.
7e régiment d'artillerie | ||
Insigne régimentaire du 7e groupe de repérage | ||
Insignes régimentaire du 7e régiment d’artillerie | ||
Création | 1762 | |
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Dissolution | 30 juin 1999 | |
Pays | France | |
Branche | Armée de terre | |
Type | Régiment d'artillerie | |
Rôle | Artillerie | |
Garnison | Besançon Rennes Épernay Nevers |
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Devise | Fors l'Honneur, Nul Soucy | |
Inscriptions sur l’emblème |
Valmy 1792 Jemmapes 1792 Alger 1830 Sébastopol 1854-1855 Magenta 1859 La Marne 1914-1918 Verdun 1916-1917 L'Aisne 1918 |
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Guerres | Guerres napoléoniennes Conquête de l'Algérie Siège de Rome de 1849 Guerre de Crimée Campagne d'Italie de 1859 Seconde guerre de l'opium Expédition du Mexique Guerre de 1870 Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale |
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Fourragères | Aux couleurs du ruban de la croix de Guerre 1914-1918. | |
Décorations | Croix de guerre 1914-1918 deux palmes une étoile d'argent |
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Création et différentes dénominations
- 1762 : création du 7e bataillon du Régiment Royal-Artillerie[1]
- 1765 : renommé Régiment d’Artillerie de Toul[2],[1]
- 1791 : renommé 7e Régiment d’Artillerie
- 1794 : renommé 7e Régiment d’Artillerie à pied[réf. souhaitée]
- 1815 : dissolution
- 1816 : recréé comme régiment de Strasbourg
- 1820 : prend le nom de 7e régiment d’artillerie à pied
- 1854 : le 14 février 1854, par décret impérial, le 7e régiment d'artillerie stationné à Rennes devient le 16e, le 1er RA stationné à Metz prend le numéro 7 et devient un régiment monté avec la 1re batterie à Lyon, la 2e batterie à Constantine et la 6e batterie à la 3e division de l'armée d'Orient en Crimée.
- 1858 : Le régiment est transféré de Metz à Strasbourg.
- ? : devient 7e régiment d'artillerie de campagne
Colonels/chefs de brigade
- 1773 : colonel Jean-Pierre du Teil (**) ;
- 1792 : colonel Pierre Morand Dupuch de Grangeneuve (**) ;
- 1793 : chef de brigade Jean-Baptiste Vannot de Montperreux ;
- 1793 : chef de brigade Legrais (?) ;
- 1795 : chef de brigade Jean Nicolas Humbert de Fercourt (*) ;
- 1798 : chef de brigade Jean Nicolas Seroux de Fay (**) ;
- 1800 : chef de brigade Alexandre Berthier de Grandry ;
- 1801 : chef de brigade François Louis Dedon-Duclos (**) ;
- 1803 : colonel Pierre Marie de Bicquilley (*) ;
- 1808 : colonel Jean-Baptiste Pelletier (*) ;
- 1809 : colonel Pierre Henri Lepin (*) ;
- 1811 : colonel Hyacinthe Colin ;
- 1814 : colonel Jean Nicolas Le Roy ;
- 1815 : colonel François Berthier de Grandry (*) ;
- 1848 : colonel Jean-Baptiste Allot
- 1851 : colonel Marie-Justin-Lin Soleille
- : Alfred de Sévelinges (***)
- : Jules-Timothée Arnous
- 1857 : colonel François-Louis Mengin
- 1858 : Jules-Timothée Arnous
- : Alphonse Eugène Aubac
- : Pierre François Chappe
- 1881 : colonel Henry Boucher de Morlancourt
- 702e Groupe d'Artillerie Guidé Algérie ;
- 1958 - 1960 : Lieutenant-colonel Janin
- 1960 - 1962 : Colonel Paul Piébourg
- 702e Groupe d'Artillerie Guidé Épernay ;
- 1962 - 1964 : Lieutenant-colonel Gilbert Sarda
- 1964 - 1966 : Lieutenant-colonel Laroche
- 7e Groupe de Repérage Épernay ;
- 1966 - 1968 : Lieutenant-colonel Emile Lacombe (*)
- 1968 - 1970 : Colonel Henri Le Friec
- 7e régiment d'artillerie Epernay ;
- 1970 - 1972 : Colonel Jean Granelle
- 7e régiment d'artillerie Nevers ;
- 1972 - 1973 : Lieutenant-colonel Genuyt
- 1973 - 1975 : Lieutenant-colonel Jean Latrive
- 1975 - 1977 : Colonel Philippe d’Anselme (*)
- 1977 - 1979 : Colonel Claude Babel
- 1979 - 1981 : Colonel Claude Dotte (*)
- 1981 - 1983 : Lieutenant-colonel Dominique de Guibert
- 1983 - 1985 : Colonel Jean Delahaye
- 1985 - 1987 : Colonel Jean Deloison (*)
- 1987 - 1989 : Colonel Alain Froger
- 1989 - 1991 : Colonel Paul Jaumotte
- 1991 - 1993 : Colonel Gilles de Khovrine (*)
- 1993 - 1995 : Colonel Jean-Pierre Bourin (*)
- 1995 - 1997 : Colonel Vladimir Tozzi
- 1997 - 1999 : Colonel Pierre-Emmanuel Foucher (*)
(*) Officier qui devint par la suite général de brigade. (**) Officier qui devint par la suite général de division. (***) Chef de corps du au , futur général de corps d'armée
Historique des garnisons, combats et batailles du 7e RA
Guerres de la Révolution et de l’Empire
- 1768 :
- campagne de Corse.
- 1792 :
- l'expédition de Jamaïque.
- 1792 :
- 1793 :
- 1794 :
- bataille de Fleurus, Bataille d'Aldenhoven (1794) (en),
- Maestricht
- Bois-le-Duc
- 1796 :
- bataille de Neresheim,
- Kehl
- 1799 :
- 1800 :
- bataille d'Engen,
- Moeskirch,
- Kirchberg,
- Hochstadt,
- Bataille de Hohenlinden
- 1803-1804 :
- 1805 :
- 1806 :
- 1807 :
- bataille d'Eylau,
- Neisse
- 1809 :
- bataille de Girone
- 1809 :
- 1810 :
- bataille d'Astorga
- 1811 :
- Tarragone,
- Bataille de Sagonte
- 1812 :
- Valence,
- bataille des Arapiles,
- 1812 : Campagne de Russie
- 1813 :
- Saint-Sébastien
- 1813 : Campagne d'Allemagne
- bataille de Kulm,
- bataille de Dresde,
- Modin,
- bataille de Torgau,
- Dantzig,
- 16-19 octobre : Bataille de Leipzig
- Wittenberg,
- Custrin
- 1814 : Guerre d'indépendance espagnole, Campagne de France (1814)
- 1815 : Campagne de Belgique (1815)
Colonels tués ou blessés en commandant le régiment pendant cette période
- Colonel Bicquilley, blessé le
Officiers blessés ou tués en servant au 7e RA entre 1808 et 1814 :
- Officiers tués : 26
- Officiers morts de leurs blessures : 5
- Officiers blessés : 50
De 1815 à 1848
Licencié en 1815, il est recréé en 1816 sous le nom de régiment de Strasbourg, sa ville de garnison. En 1820, il prend le nom de 7e régiment d’artillerie à pied[1].
En 1830, une de ses batteries s'illustre lors de l'expédition en Algérie et inscrit Alger sur son étendard[1].
Deuxième République
En 1849, il fait partie du corps expéditionnaire de la Méditerranée envoyé combattre la République romaine et participe au siège de Rome.
Second Empire
En 1854 : le 7e régiment d'artillerie devient le 16e et simultanément 1er régiment d'artillerie mixte devient le 7e[1]. Le nouveau 7e régiment d'artillerie à pied est formé de 8 de batteries de l'ancien 1er régiment d'artillerie mixte.
En quittant Metz en 1857, il s'était rendu à Strasbourg et de là à La Fère en 1861, et à Rennes en 1865
Le régiment est reconstitué en 1860[1].
- 1861 - 1867 : Expédition du Mexique
- Guerre franco-prussienne de 1870 : Bataille de Bazeilles, sièges de Belfort et de Paris[réf. souhaitée]
De 1871 à 1914
Le régiment est réorganisé en 1872 puis en 1873[1]. En 1872, il conserve 8 de ses batteries, reçoit du 20e régiment d'artillerie 2 batteries à cheval et cède une batterie au 18e régiment d'artillerie, 5 batteries au 20e régiment d'artillerie, 1 batterie au 23e régiment d'artillerie, et 2 batteries au 28e régiment d'artillerie[3].
Première Guerre mondiale
Ne doit pas être confondu avec le 7e régiment d'artillerie à pied (7e RAP)
Lors de la mobilisation, le 7e régiment d'artillerie de campagne était en garnison à Rennes et constituait l'artillerie de la 19e division d'infanterie[4]. Au cours de la guerre le 7e R.A.C. a perdu 12 officiers, 27 sous-officiers et 135 canonniers. Le régiment a été cité une fois à l'ordre de l'armée, une fois cité à l'ordre du corps d'armée, deux fois cité à l’ordre de la division. La troisième batterie du régiment a été citée à l'ordre de la 2e armée.
1914
Transporté par voie ferrée vers la région de Vouziers début août, les premiers coups de canon ont lieu le près d'Arsimont, suivis d'une marche de repli. Le régiment prend ensuite part à la Première Bataille de la Marne. À partir du , le régiment opère dans le secteur d'Amiens.
1915
De mars au , le régiment prend position dans le secteur d'Arras. Ensuite il occupe avec la 19e division d'infanterie la région de l'Argonne.
1916
Le régiment prend part à la bataille de Verdun du au . La troisième batterie du régiment est citée à l'ordre de la 2e armée :
« La 3e batterie du 7e régiment d'artillerie, soumise du 21 février au 1er mai et du 1er mai au 25 juin à bombardements d'une violence inouïe qui lui ont fait perdre plus de la moitié de son personnel, s'est maintenue malgré tout [...] »
— Général Nivelle le 18 juillet 1916
1917
Après une période d'instruction et de manœuvres au camp de Mailly, il participe à la Bataille des monts de Champagne à partir du . Le régiment est mis à disposition de la 7e D.I. à partir du . En novembre le régiment est avec la 37e D.I. pour dégager la côte 344 et est cité à l'ordre de cette division le .
1918
Le régiment rejoint aux Eparges la 19e D.I. qui tient ce secteur. Combats en avril et mai dans le secteur de l'Ailette. La Bataille de l'Aisne à laquelle il prend part jusqu'au qui lui vaut une citation à l'ordre du 30e corps d'armée le : « Le 7e régiment d'artillerie de campagne, sous le commandement du lieutenant-colonel d'Hangouwart, a montré pendant les opérations qui se sont déroulées du 27 mai au 17 juin 1918, de superbes qualités manœuvrières et un splendide dévouement. A réussi, grâce à la bravoure et à l'initiative de tous, à aller au devant des besoins de l'infanterie qu'il était chargé d'appuyer et a contribué à la réussite d'attaques extrêmement difficiles. En particulier les 5, 9, 12 et 17 juin a rempli sans défaillance, sans le moindre ralentissement, toutes ses missions, malgré les bombardements extrêmement violants qu'il a subis. » Le régiment participe à la seconde bataille de la Marne dans le secteur de la Vesle. Toute la 19e D.I. est citée à l'ordre de la 10e armée le .
Entre-deux-guerres
Lors de la réorganisation de l'artillerie de 1924, le 7e RAC est dissout à la date du et renforce le 10e régiment d'artillerie divisionnaire[5].
Seconde Guerre mondiale
À la mobilisation de 1939, le 7e régiment d'artillerie divisionnaire, régiment de réserve type A, est mis sur pied le au centre mobilisateur d'artillerie no 24 (Rennes, Dinan, Fougères). Il est constitué de trois groupes de canons de 75 modèle 1897, d'une batterie anti-chars et d'une batterie hors rang. En 1940, il combat lors de la campagne de France au sein de la 20e division d'infanterie[6]. Il se distingue dans le secteur d'Aumetz en Moselle. Il est à nouveau dissous après l'armistice.
De 1945 à nos jours
- Il est recréé en 1956 et engagé en Algérie au sein de la 11e division d'infanterie pour être dissous en 1962.
- En 1966 le 702e groupe d'artillerie guidé crée le 1er juillet 1958 à Colomb Béchar pour expérimenter le nouveau drone R20 et rapatrié en France à Epernay en 1962 devient le 7e Groupe d'Artillerie Guidé (7e G.A.G), puis 7e Groupe de Repérage (7e G.R). A cette occasion, il reçoit la garde de l'étendard, afin de préserver les traditions de ce régiment. Durant son temps de garnison à Épernay, le régiment chargé de l'expérimentation tactique du système de surveillance du champ de bataille, mis en service, les premiers drones, les missiles R-20.
- C'est en juin 1972, qu'il quitta la terre de Champagne, pour rejoindre la ville de Nevers dans la Nièvre.
Le 34e régiment du génie devait le remplacer pour une période de près de 30 ans.
- Sa dernière garnison est Nevers. La portion principale est localisée dans l'ancienne caserne Pittié, garnison de tradition du 13e régiment d'infanterie de ligne dont la rue porte le nom. La zone technique est installée dans une annexe, d'anciens docks situés le long de la voie ferrée, rue des Docks, à proximité du carrefour giratoire de la D40 et de la D907bis. Les champs de tir sont situés à Challuy-Gimouille et à Bois Lambert, à proximité de la ville. Un quartier secondaire est ouvert à Garchizy à partir de 1992 pour recevoir le CL 289 et les batteries du 6e Régiment d'artillerie dissout. il y reste 27 ans. Il participe à la Guerre du Golfe, aux opérations de Bosnie et Macédoine.
En 1981, le 7 est doté du drone de surveillance Canadair CL-89 dont il reçoit quatre systèmes d'arme. En 1992, pour le remplacer, il reçoit le drone de la génération suivante, le Canadair CL-289. En 1995, il reçoit en plus le drone Crécerelle, exploité par le 6e groupe à Phalsbourg puis à Chaumont. Unique régiment de l'armée de terre produisant du renseignement d'origine image, il est présent sur tous les théâtres d'opérations et notamment dans le Balkans.
- Le 7e régiment d'artillerie est dissous le , il faisait partie de la brigade de renseignement ; il est transféré et recréé sous l'appellation du 61e régiment d'artillerie depuis le . Dernier régiment d'artillerie avec fourragère à la couleur du ruban de la Légion d'honneur dans la garnison de Chaumont-Semoutiers dans la Haute-Marne qui a repris ses traditions et ses fonctions de renseignement par imagerie avec ses drones.
Décorations
Durant la 1re guerre mondiale, sa conduite au feu, en particulier à Verdun et lors des deux batailles de la Marne, lui vaut d'obtenir deux citations à l'ordre de l'armée et une à l'ordre de la division.
Sa cravate est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 avec deux palmes puis une étoile d'argent. Ainsi que le droit au port de la fourragère aux couleurs du ruban de la croix de Guerre 1914-1918.
Devises
Fors l'Honneur, Nul Soucy
Pour la B3 : La B3 tout droit
Personnages célèbres ayant servi au 7e RA
- Le 7e RA compte en effet parmi ses anciens des hommes de sciences et de lettres, comme le lieutenant de Sénarmont qui devenu le commandant de l'artillerie napoléonienne, et le capitaine Choderlos de Laclos, auteur d'un roman épistolaire de la fin du XVIIIe siècle, Les Liaisons dangereuses[réf. nécessaire].
- 1768 - 1779 : Jean Philippe Raymond Dorsner (1750-1829) (comme lieutenant)
- Dans les années 1770 : Georges Bergasse de Laziroules (1763-1827), comme jeune officier, avant de devenir un député révolutionnaire[8].
- 1789 : Nicolas François Thérèse Gondallier de Tugny (futur général)
- 1789 : Augustin Gabriel d'Aboville (1764-1834), général d'empire, lieutenant
- 1791 : Charles-Joseph Carmejane (comme lieutenant)
- 1792 : Augustin Marie d'Aboville (comme lieutenant)
- 1793 : Joseph Corda (comme lieutenant en second)
- 1802-1804 : Gaspard Gourgaud, alors jeune lieutenant
- Étienne Lorédan Larchey (1831-1902), canonnier, auteur d'un dictionnaire de l'argot parisien
- 1914-1918 : Léon Julliot de La Morandière, lieutenant, professeur de droit français
- Édouard Laffon de Ladebat
Sources et bibliographie
- Histoire de l'armée française, Pierre Montagnon.
- Historique de l'artillerie française, H. Kauffert.
- Historique résumé du 7e régiment d'artillerie de campagne. Campagne 1914-1918, , 36 p. (lire en ligne)
- Historique du 7e Régiment d’Artillerie
- Louis Susane : Histoire de l'artillerie Française
Notes et références
- Maurice Loir, Au drapeau ! Récits militaires extraits des mémoires de G. Bussière et E. Legouis, du Cte de Ségur, du maréchal Masséna, du général Vte de Pelleport,... et des journaux, , 312 p. (lire en ligne), p. 298
- Histoire de l'armée française, Pierre Montagnon, éditions Pygmalion - 1997
- Louis Susane : Histoire de l'artillerie Française
- Historique résumé du 7e régiment d'artillerie de campagne. Campagne 1914-1918, , 36 p. (lire en ligne)
- « Regroupement des unités d'artillerie », Revue d'artillerie, , p. 95-101 (lire en ligne)
- « Regiments d'Artillerie », sur www.atf40.fr (consulté le )
- Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
- Louis Bergès, Michel Cours-Mach et Guy Chaussinand-Nogaret, Grands notables du Premier Empire : notices de biographie sociale, vol. 12 : Ariège, Éd. du Centre national de la recherche scientifique, , 233 p. (ISBN 9782222037279, présentation en ligne), p. 41.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Napoleon series
- Historique résumé du 7e régiment d'artillerie de campagne. Campagne 1914-1918, Rennes imprimerie Oberthur, 1920. Sur Gallica.
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