Raddon-et-Chapendu
Raddon-et-Chapendu est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie de la communauté de communes des mille étangs.
Pour les articles homonymes, voir Raddon (homonymie).
Raddon-et-Chapendu | |||||
L'église de Raddon, pont. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Lure | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Luxeuil | ||||
Maire Mandat |
Joël Brice 2020-2026 |
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Code postal | 70280 | ||||
Code commune | 70435 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
829 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 66 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 50′ 33″ nord, 6° 28′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 319 m Max. 497 m |
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Superficie | 12,5 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Luxeuil-les-Bains (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Mélisey | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Géographie
Raddon-et-Chapendu est une bourgade du nord de la Haute-Saône situé entre Luxeuil-les-Bains et Faucogney, dans une vallée verdoyante cernée par les contreforts des Vosges saônoises. Avec 982 ha de surface boisée, entre plaine, plateau, collines et étangs, le territoire de la commune est propice aux randonnées[1].
Ses habitants s'appellent les Radonnais et les Radonnaises.
Communes limitrophes
Fougerolles-Saint-Valbert | Saint-Bresson | |||
Froideconche | N | |||
O Raddon-et-Chapendu E | ||||
S | ||||
Breuchotte | Amage |
Hydrographie
Le Raddon, ruisseau d'une dizaine de kilomètres de long qui prend sa source à 650 m d'altitude dans les hauts de Saint-Bresson et se jette dans le Breuchin à Breuchotte, passe dans la commune[2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
La Fin, la Citadelle, la Maladière, le Rang-de-Fahy, Maestrik, le Haut-de-la-Côte, la Cubette, le Pas-de-Bœuf, Chapendu, les Forges, les Granges-Durand.
Toponymie
En 1258, le village s’appelait Randon. Le nom de Raddon serait à rapprocher d'un nom d'homme germanique, Ratdo[3] ; c’est en 1510 qu’il prend définitivement le nom de Raddon. Selon Gilles Cugnier[4], Radon aurait été un disciple de Walbert, Raddon-et-Chapendu se situant à mi-chemin de Luxeuil et d'Annegray, deux lieux historiques associés à saint Colomban et à saint Valbert.
Chapendu est un hameau dont l'étymologie est incertaine (peut-être une déformation dialectale de champs pentus). Selon une autre version, le nom ferait référence aux moines qui suspendaient leurs chapes lors de leurs travaux aux champs ; une autre encore suggère que, pour conjurer le mauvais sort, les habitants de ce hameau pendaient des chats sur la porte de leur habitation[5].
Complément de Bernard Leuvrey: En fait, plus raisonnablement et tout simplement, Raddon a pris le nom de la petite rivière qui s'appelle "le raddon" ; en regard de sa racine, le mot "raddon" vient du latin "radere" ; la rade vient aussi de "radere" ; et donc du verbe latin "gratter" ; cela correspond parfaitement à la rade (littoral gratté par la mer, protégeant les bateaux "en rade"), et d'où son appellation de rade: le nom "RADDON" (cette petite rivière qui gratte en déambulant la prairie à fond plat(vallée glacière) , est en effet, la juste et parfaite de son appellation " le RADDON" depuis des millénaires, et ceci en regard de ses racines latines anciennes.
Urbanisme
Typologie
Raddon-et-Chapendu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 41 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,8 %), prairies (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,1 %), zones urbanisées (6,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Histoire
Une tradition non confirmée indique l'existence sur place d'un ancien camp romain[13], au lieu-dit de la Citadelle, dans la plaine allant à Amage. Le site est aujourd'hui loti.
Le village jusqu'au XIIIe siècle faisait partie du bailliage de Luxeuil et ensuite fit partie de la terre de Faucogney ; les habitants furent affranchis en 1424[13].
La commune de Raddon, créée lors de la Révolution française, absorbe celle de Chapendu entre 1790 et 1794 et devient Raddon-et-Chapendu[14].
Au XIXe siècle, de nombreuses exploitations animaient la commune : moulins à huile, carrières de grès (qui permit la construction de l'église) et de lave, papeterie et tissage[15],[16], puis, au XXe siècle, une activité industrielle avec notamment le tissage Desgranges, aménagé à l'emplacement d'un ancien moulin à blé et d'une scierie, et reconstruit après un incendie en 1902[17]. Ces locaux ont été détruits en 2014 pour permettre la construction de 4 logements pour personnes âgées[18].
En 1870, il semblerait[19] que le général de division Bourbaki soit passé par le village avec son armée en déroute, à la suite des batailles de Metz, Villersexel et Belfort.
A Chapendu s'est déroulée en toute fin d'année 1918 l'une des affaires de sorcellerie les plus retentissantes de Franche-Comté, qui a ultérieurement fait l'objet d'une thèse de doctorat en médecine soutenue par le psychiatre Jean-Michel Abt[20]. Dans une maison où ne vivaient que des femmes, les hommes n'étant pas encore rentrés de guerre, des événements associés à des phénomènes de poltergeist ont nourri une rumeur qui ne tarda pas à drainer vers le hameau des centaines de curieux. Une chanson populaire fut même composée, dont le refrain scandait "Et nous irons bien entendu à Chapendu"[21].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.
La commune faisait partie depuis 1793 du canton de Faucogney-et-la-Mer[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Mélisey.
Intercommunalité
La commune fait d'abord partie de la communauté de communes des mille étangs (CCME) créée fin 2002.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), la commune rejoint la communauté de communes du Pays de Luxeuil (CCPLx) le [22].
Liste des maires
Politique environnementale
La commune se dote en 2015 d'une station d'épuration, qui accueille les eaux usées du village, sauf les hameaux éloignés et le lotissement de la citadelle soit 200 personnes environ, qui resteront en assainissement individuel[29].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2019, la commune comptait 829 habitants[Note 3], en diminution de 13,1 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église de Raddon est un édifice monumental en grès rose, de style néo-classique, dessiné par l'architecte luron Félix-Hercule Grandmougin. Érigée entre 1849 et 1852, elle trône au centre du village, en face de la mairie. Le chœur est orné de boiseries sculptées d'une grande finesse, et abrite une magnifique statue en bois doré et polychrome d'une Vierge à l'enfant portant une grappe de raisins. La statue provient de la chapelle qui était le lieu du culte avant la construction de l'église. À ce jour, son emplacement n'est plus connu.
- Le village et ses écarts comptent un riche patrimoine vernaculaire, bien entretenu et mis en valeur : fontaines, lavoirs, croix de chemins, calvaires, du XVIIe au XIXe siècle.
- Les blocs erratiques sont nombreux sur le territoire de la commune, ancienne vallée glaciaire. Certains sont le support de contes ou de légendes, comme les pierres aux sacrifices dont la tradition raconte qu'elles auraient servi jadis à des rites païens sacrificiels. La réalité est plus prosaïque : ces pierres à cupules, situées dans la forêt au-dessus du Rang-de-Fahy, étaient utilisées pour l'extraction de meules. En suivant la route de Fougerolles, on peut voir également la Pierre Pointue et la Pierre la Miche (table en pierre où saint Valbert aurait pris un repas et donc posé sa miche de pain, selon la légende).
- Les chalots : petits greniers à grains annexés aux anciennes fermes.
- Ancienne distillerie Ménigoz du début du XXe siècle[35] et ancienne distillerie Arnoux/Ogier, de la même époque[36].
- Ancien moulin à eau Saguin[37].
Personnalités liées à la commune
- Sergent Harold Messerschmitt, tombé avec quatre autres soldats de la 3e division d’infanterie américaine le en libérant le bourg[38]. Une stèle honore sa mémoire.
- Maurice Boigey, colonel, chef de la Résistance et libérateur du maquis de Haute-Saône.
- Françoise Boigey[réf. souhaitée] - A publié notamment une Étude théorique d'un amplificateur B.F. à trois étages (1960).
- Adrien Van der Becken, directeur général des établissements Battenfeld arrivé au mois de , il dirigea cet établissement jusqu'à son décès en 1966.
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Raddon-et-Chapendu sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Circuits des Pierres et des Étangs à Raddon et Chapendu » [PDF], Raddon > Circuits pédestres, sur http://www.ot-faucogney.fr (consulté le ).
- Jonathan Chaumont, « Le Breuchin », Le Réseau Hydrographique, sur http://www.avuxon.fr (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e éd, Guénégaud, 1989 (ISBN 2-85023-076-6).
- Gilles Cugnier, Histoire du monastère de Luxeuil à travers ses abbés, 590-1790 volume I
- « Pas de chats pendus à Chapendu », L'Est républicain, (lire en ligne).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Michel de La Torre, Haute-Saône, le guide complet de ses 546 communes, Deslogis-Lacoste, 1991 (ISBN 2-7399-5070-5).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Site de découverte de la Haute-Saône
- Bernard Desgranges (autoédition), Luxeuil et la Vallée du Breuchin, évolution industrielle, t. 1, 1998
- « tissage de coton Desgranges, actuellement entrepôt commercial », notice no IA70000109, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La fin d’une époque », L'Est républicain, (lire en ligne) « Les anciens bâtiments du tissage, route de Saint-Bresson, n’ont pas résisté longtemps aux premiers coups de pelles de la société Billote, spécialisée en démolition et déconstruction. (...) Ainsi disparaît le dernier vestige d’une aventure industrielle des frères Desgranges qui avait installé là un tissage, alimenté par leur filature des Maires d’Avaux à proximité.
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, l’affaire avait été cédée à la société cotonnière de Mulhouse, puis définitivement fermée dans les années 1960. La fin d’une aventure textile qui allait en s’accentuant dans toutes les vallées des Vosges saônoises. ». - Transmission orale : une famille raddonaise porte le surnom "baki" car l'arrière-grand-père, enfant, a fait le tour du village en criant : "j'ai vu baki, j'ai vu baki", diminutif donné par l'enfant à la vue du Général Bourbaki et de cette expression leur surnom leur est resté encore aujourd'hui
- Jean-Michel Abt, La rumeur de Chapendu : réflexions autour d'une affaire de sorcellerie, Université Louis Pasteur (Strasbourg), Faculté de Médecine, 1977
- Jean-Christophe Demard, Traditions et mystères d'un terroir comtois au XIXe siècle, Guéniot, 1981
- « Com'Com des Mille- étangs et Haute Vallée de l'Ognon fusionnent », sur L'Est républicain, .
- Gilles Cugnier, Histoire du monastère de Luxeuil à travers ses abbés, 590-1790 volume III [réf. incomplète].
- « Les maires de Raddon-et-Chapendu », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Joel Brice sollicite un nouveau mandat », L'Est républicain, (lire en ligne) « Maire depuis 2008, Joel Brice a commencé son engagement municipal dès 1983 comme conseiller et en tant que premier adjoint dès 1995 ».
- « Raddon-et-Chapendu 70435 », Données du Monde, Le Monde (consulté le ).
- « CCME : Le divorce est prononcé », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne) « Joël Brice, maire de Raddon, vient de démissionner de son poste de premier vice président. En cause le refus du président Laurent Seguin de proposer au vote une motion exprimant auprès de la préfète le souhait de ne pas démanteler la CCME et de conserver un rattachement en bloc. Dans son message adressé aux membres de la communauté et à la représentante de l’Etat, Joël Brice écrit : « A la suite de l’incompréhension - inexplicable - du refus de motion ou de vote, sur le rattachement en bloc vers la CCHVO (communauté de communes de la Haute-Vallée de l’Ognon), perçu comme un affichage clairement confirmé dune volonté délibérée d’éclatement de notre vallée, et surtout comme une volonté d’évincer certaines communes, pour des raisons que je ne commenterai pas, je vous informe de ma démission du poste de 1er vice-président de la com’com des Mille Etangs ».
- « Joël Brice réélu maire », sur L'Est républicain, (consulté le ).
- « La rhizosphère entre en service », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Raddon-et-Chapendu : 24e fête du bois dimanche », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne) « Cette fête, qui consacre le bois dans une commune qui en a fait sa principale source de revenus, est attendue de tous ceux qui, de près ou de loin, ont toujours gardé une âme de bûcheron comme affouagistes, mais aussi de tout ce public qui voit dans le bois une matière noble que la main de l’homme a toujours su valoriser ».
- « Concours de bûcherons, réalisations artistiques et artisanat… À voir dimanche à Raddon-et-Chapendu », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne) « Le traditionnel concours des bûcherons consacrera ainsi les meilleurs candidats dans le maniement de la hache, de la tronçonneuse ou de la spectaculaire épreuve de passe-partout Il sera le fil conducteur de cette journée. Ils sont déjà 18 candidats inscrits venant du grand quart nord-est, mais aussi de Suisse à se disputer ce titre symbolique de meilleurs bûcherons ».
- « Distillerie et établissement vinicole Ménigoz, actuellement garage de réparation automobile », notice no IA70000110, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Distillerie, établissement vinicole et usine de boissons non alcoolisées Ogier, puis Peltey », notice no IA70000111, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin à farine, puis minoterie et usine de produits pour l'alimentation animale Jules Saguin », notice no IA70000108, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « En souvenir des soldats américains », L'Est républicain, (lire en ligne).
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