Bussy-Saint-Martin

Bussy-Saint-Martin[1] est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Bussy et Saint-Martin.

Bussy-Saint-Martin

Le bourg vu depuis le parc du château de Rentilly.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Intercommunalité Communauté d'agglomération Marne et Gondoire
(siège)
Maire
Mandat
Patrick Guichard
2020-2026
Code postal 77600
Code commune 77059
Démographie
Gentilé Busséens
Population
municipale
647 hab. (2019 )
Densité 268 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 00″ nord, 2° 41′ 28″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 111 m
Superficie 2,41 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Torcy
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Bussy-Saint-Martin
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Bussy-Saint-Martin
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Bussy-Saint-Martin
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Bussy-Saint-Martin
Liens
Site web bussy-saint-martin.com

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à 3,5 km à l'est de Torcy.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Bussy-Saint-Martin.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : le ru de la Brosse, 6,9 km[2], affluent de la Gondoire.

    Sa longueur totale sur la commune est de 1,15 km[3].

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[4].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,2 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 713 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,8 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 27 km à vol d'oiseau[6], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[7] à 11,6 °C pour 1991-2020[8].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[9],[10],[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Bussy-Saint-Martin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[15] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

    Lieux-dits et écarts

    La commune compte 26 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[20].

    Outre le Bourg, la commune est composée de deux hameaux : Rentilly et Saint-Germain-des-Noyers.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39% ), zones urbanisées (19,4% ), forêts (17,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,4% ), zones agricoles hétérogènes (5,9% ), prairies (2 %)[21].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[22],[23],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne, Brosse et Condoire, approuvé en et dont la révision a été lancée en 2017 par la Communauté d'Agglomération de Marne et Gondoire[24].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 265.

    Parmi ces logements, 93,9 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 1,9 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 82,5 %[26].

    Toponymie

    Panneau d'entrée dans le village.
    • Formes anciennes : In Buxido altero en 841, Buciacum en 868, Buci en 1187, Buceium vers 1190, Buciacum sancti Martini en 1227, Bucy Saint Martin en 1385, Bussy-la-Montagne en 1793[27].
    • Bussy provient du mot Buxus ou Buscus qui signifie un bois et des bocages[28].

    Histoire

    Le village est cité dès 841, mais la désignation de Saint-Martin n'apparaît qu'en 1277 (Bucianum Sancti Martin). Au Moyen Âge, Bussy-Saint-Martin et Bussy-Saint-Georges ne forment qu'une seule et même seigneurie dirigée par les seigneurs de Bucy. La séparation des deux villages aura lieu à la fin du XIIe siècle, époque à laquelle l'église de Bussy-Saint-Martin fut édifiée. Sa situation et sa taille importante pour un si petit village peuvent surprendre. On suppose que ce sanctuaire a été utilisé comme lieu de pèlerinage pour vénérer des reliques ou une étape sur le chemin de nombreux pèlerins d’alors. En effet, une porte de l’église datant du XIIIe est ornée de 17 fers à chevaux. Avec la vague de déchristianisation de 1793, Bussy-Saint-Martin devient Bussy-la-Montagne.

    Le château de Rentilly[29] (hameau de Bussy-Saint-Martin) est construit au début du XVIe siècle par Jean Bourdereul, avocat au Parlement. Il passe ensuite de mains en mains, notamment la famille André (banquiers et amateurs d'art à l'origine du musée Jacquemart-André) qui surélève le château, ajoute ailes et clochetons.

    En 1890, le château est vendu à Gaston Menier, industriel du chocolat dont les usines et les bureaux sont à Noisiel tout proche. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le château réquisitionné par l’État, sert de caserne à un groupe mobile de réserve (ancêtre des C.R.S.). À quelques heures de la libération certains d’entre eux prennent le maquis. Le château est incendié par l'armée allemande le . Il est reconstruit dans le style Directoire entre 1954 et 1957 par Jacques Menier, son propriétaire.

    Au cours de l’année 1993, des archéologues mettent au jour les vestiges d’un village néolithique (traces d’anciens foyers, fondations de huttes). Ce village a été estimé à une quarantaine de feux. C’est sur ce lieu que se développa le hameau de Rentilly.

    Politique et administration

    La mairie.

    Bussy-Saint-Martin fait partie du secteur 3 de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, appelé Val de Bussy.
    Bussy-Saint-Martin est membre de la communauté d'agglomération de Marne et Gondoire, dont elle est le siège.

    Élections nationales

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1962 1995 André Boureau    
    juin 1995 En cours Patrick Guichard[31] DVD Agriculteur

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [32],[33].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Bussy-Saint-Martin est assurée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) pour le transport. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [34],[35],[36]. La station d'épuration Equalia est quant à elle gérée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) qui a délégué la gestion à une entreprise privée, VEOLIA, dont le contrat arrive à échéance le [34],[37].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[38]. La communauté d'agglomération Marne et Gondoire (CAMG) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la Société Française de Distribution d’Eau (SFDE), dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[34],[39].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la région de Lagny-sur-Marne qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [34],[40],[41].

    Population et société

    Démographie

    En 1710, Bussy-Saint-Martin comptait 42 feux dont 28 à Rentilly, en 1745, 43 feux dont 27 à Rentilly et en 1821, 249 habitants dont 120 à Rentilly.


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].

    En 2019, la commune comptait 647 habitants[Note 5], en diminution de 10,01 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    203210206228294292258251205
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    241254266228213203275258286
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    288233230208232206213214207
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    170186261317475573682726687
    2019 - - - - - - - -
    647--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Dans et à partir du Parc Culturel de Rentilly-Michel Chartier se déroulent chaque année les manifestations culturelles et sportives suivantes : en janvier, "Festival Frisson Baroque" ; en mai, "Festival Printemps de Paroles" ; en juin, "Marathon Marne et Gondoire" ; en septembre "Les Journées Européennes du Patrimoine" ; en octobre "Festival Automne Jazz" ; et pendant la saison culturelle, expositions, conférences, concerts et rendez-vous enfants.

    Économie

    • Petite zone industrielle (onze ha) en limite de Torcy - Nouvelle ZAC des Marchais - Future ZAC du Gué Langlois.
    • Parc culturel et quelques chambres d'hôtes chez l'habitant.

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 252 et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 31 559 .

    Emploi

    En 2013, le nombre total d’emploi au lieu de travail était de 544. Entre 2008 et 2013, la variation de l'emploi total (taux annuel moyen ) a été de + 13,6%. En 2013, le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 74,2 % contre un taux de chômage de 7,5 %[26].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 136 dont 3 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 12 dans l'industrie, 21 dans la construction, 96 dans le commerce-transports-services divers et 4 étaient relatifs au secteur administratif.

    Cette même année, 10 entreprises ont été créées, dont 7 par des Auto-entrepreneurs[26].

    Agriculture

    Bussy-Saint-Martin est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 4]. En 2010, aucune orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture ne se dégage sur la commune[46].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[47]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 2 en 1988 à 0 en 2010[46]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Bussy-Saint-Martin, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Bussy-Saint-Martin entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[46],[Note 7]
    Nombre d’exploitations (u) 2 2 0
    Travail (UTA) 3 2 0
    Surface agricole utilisée (ha) 211 132 0
    Cultures[48]
    Terres labourables (ha) s s 0
    Céréales (ha) s s
    dont blé tendre (ha) s s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s
    Tournesol (ha) 0
    Colza et navette (ha) s s
    Élevage[46]
    Cheptel (UGBTA[Note 8]) 36 13

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château de Rentilly en 2008.

    Le parc et le château de Rentilly

    Longtemps domaine seigneurial, le parc de Rentilly est aujourd'hui un parc culturel ouvert à la création et la diffusion de l'art contemporain.

    C'est aussi un lieu de calme et de promenade parmi des essences forestières, aussi étonnantes que variées.

    Le parc (50 ha à cheval entre les communes de Bussy-Saint-Martin et Bussy-Saint-Georges), rouvert au public en 2003, après une réhabilitation de ses trois parties : le parc à la française, le parc à l’anglaise et le bois.

    Au milieu de la grande pelouse trône une « capsule » conçue par l'artiste Édouard Sautai, pour l'observation des arbres, et ce, grâce à des « sylviscopes »[49].

    Lieux publics

    • Deux lavoirs existaient au siècle dernier dans la commune, l’un à Rentilly et l’autre à Bussy.
    Aujourd’hui, un seul lavoir subsiste, rue du Moulin dans le bourg.
    • Promenade de la vallée de la Brosse : elle permet de relier l’étang de la Loy à l’étang de la Broce.
    Église Saint-Martin - Cloche de l'église sonnant la demie :

    L'église Saint-Martin

    Église romane et gothique Saint-Martin, des XIe et XIIe siècles. Après vingt ans de restauration, elle a été rouverte en 1999. Elle propose aux visiteurs les statues de saint Martin (XVe) et de saint Vincent de Saragosse (XVIe), la relique de la manche de saint Martin, un vitrail du XIIIe siècle, ainsi qu'un retable datant du XVIIe siècle.

    L’édifice est classé au titre des monuments historiques[50],[51].

    Personnalités liées à la commune

    • Le peintre Maurice Boitel (1919-2007) loue entre 1953 et 1957 une maison à proximité de l'église pour venir peindre régulièrement à Bussy.

    Cinéma

    En 1963, le film Le Magot de Josefa, avec Bourvil, Anna Magnani et Pierre Brasseur, est tourné par Claude Autant-Lara à proximité de l'église.

    En 2008, Pierre-François Martin-Laval (Les Robins des Bois) tourne quelques scènes de King Guillaume, avec Pierre Richard, Isabelle Nanty, Yannick Noah, Florence Foresti, Omar Sy à l'intérieur de l'église.

    Héraldique

    Blason
    Coupé, en 1) de gueules à une église d’argent, essorée de sable, posée sur un tertre de sinople, en 2) d’azur à un pont à dos d’âne à une seule arche d’or, maçonné de sable, alésé et mouvant de la pointe, surmonté de deux gerbes de blé d’or[52].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    "Rentilly" document édité par la ville de Bussy-Saint-Georges, 2001, 48 pages

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).

    Cartes

    1. « Bussy-Saint-Martin - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sur son site Internet, la commune utilise les libellés « Bussy Saint Martin » ou « Bussy Saint-Martin » au lieu de « Bussy-Saint-Martin », seule forme reprise au Code officiel géographique (<http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/fichecommunale.asp?codedep=77&codecom=059>) et sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (cf. p. 2 du document <http://www.seine-et-marne.pref.gouv.fr/workspaces/members/pref77sdsic/liste_des_communes/downloadFile/file/liste_des_communes.pdf>).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Brosse (F6636000) ».
    3. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 9 décembre 2018
    4. « Plan séisme consulté le 22 août 2016 ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    6. « Orthodromie entre Bussy-Saint-Martin et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    9. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bussy-Saint-Martin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
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    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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    23. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    24. « Le SCOT Marne, Brosse et Condoire », sur www.marneetgondoire.fr/ (consulté le ).
    25. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
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