Rillé

Rillé est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Ne doit pas être confondu avec Rille.

Rillé

La porte fortifiée de Rillé.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Ouest Val de Loire
Maire
Mandat
Xavier Dupont (d)
2020-2026
Code postal 37340
Code commune 37198
Démographie
Gentilé Rilléens
Population
municipale
312 hab. (2019 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 27′ 03″ nord, 0° 14′ 57″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 119 m
Superficie 23,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Langeais
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rillé
Géolocalisation sur la carte : France
Rillé
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Rillé
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Rillé
Liens
Site web http://www.rille.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune de Rillé est située sur l'axe routier Château-la-Vallière - Gizeux, près du département de Maine-et-Loire et dans le Haut-Anjou.

    Altitude du bourg = 83 mètres.

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Rillé.

    Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 17,31 km, comprend deux cours d'eau notables, l'Authion (1,561 km), qui prend localement le nom de Changeon, et le Lathan (6,163 km), et sept petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

    L'Authion, d'une longueur totale de 99,8 km, prend sa source à 86 m d'altitude près de Bourgueil, à Hommes, à la fontaine de la Favrie[3]. et se jette dans la Loire près d'Angers à Sainte-Gemmes-sur-Loire, à 15 m d'altitude[4], après avoir traversé 29 communes[5]. Sur le plan piscicole, l'Authion est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].

    Le Lathan, d'une longueur totale de 57,9 km, prend sa source dans la commune d'Hommes et conflue en rive droite de l'Authion à Beaufort-en-Anjou (Maine-et-Loire), après avoir traversé 16 communes[7]. Sur le plan piscicole, le Lathan est également classé en deuxième catégorie piscicole[6].

    Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « le lac de Rillé » et « la vallée du Château de Malcombe »[8],[9].

    Le lac de Pincemaille, également nommé lac de Rillé, a été créé en 1977 afin de servir de réservoir d’eau à destination des agriculteurs situés en aval. D'une superficie de 250 ha, le lac de Rillé occupe une partie du territoire communal de Channay-sur-Lathan et Rillé en Indre-et-Loire, mais aussi de Breil en Maine-et-Loire. Il constitue une réserve ornithologique où plus de 250 espèces (hérons, grèbes huppés, chevaliers, canards) ont été recensées par la Ligue pour la protection des oiseaux de Touraine. Un centre de loisirs y a été aménagé permettant d'exercer diverses activités nautiques[10].

    Urbanisme

    Typologie

    Rillé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,4 %), terres arables (29,1 %), prairies (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %), eaux continentales[Note 4] (5,4 %), zones urbanisées (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rillé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rillé.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 220 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 219 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[21].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

    Histoire

    Au Moyen Âge, la ville eut le droit de devenir une ville close de l'Anjou.

    Dans la première moitié du XIe siècle, la seigneurie est au prévôt Airard, fidèle du comte Geoffroi Martel, suivi de son gendre Geoffroy Papabos ou Papebœuf vers 1050/1060[22]. Le fils de Geoffroi, Robert Papebœuf, semble épouser vers 1115 Marguerite de St-Médard/Cinq-Mars, fille d'Hardouin Ier et sœur d'Hardouin II de St-Médard[23] ; se succèdent alors à Rillé leurs deux enfants : Ridel/Rideau puis sa sœur Adélaïde Papebœuf de Rillé. Les Maillé héritent des Papebœuf vers le milieu du XIIe siècle — Adélaïde/Adeline/Adèle Papebœuf épousant alors Jacquelin de Maillé : des trisaïeuls d'Hardouin V de Maillé ci-après — et conservent Rillé jusqu'au début du XVIe siècle (avec Champchevrier à partir du XIIIe siècle). Puis Rillé passe aux héritières Françoise de Maillé dame de Maillé, qui épouse vers 1500 Gilles Ier de Laval baron de Loué, Benais, Bressuire : parents de Gilles II de Laval-Loué ; et sa sœur cadette Françoise de Maillé la Jeune dame de Rillé, mariée en 1502 à François, fils d'Imbert de Bastarnay du Bouchage de Montrésor : beaux-parents de Jean II Daillon du Lude et de Champchevrier par leur fille Anne de Batarnay. Prêtent alors l'hommage pour Rillé : Gilles II de Laval en , Anne de Batarnay en , et Jean de Daillon dès et [24].

    Vers 1400, Marguerite-Dauphine d'Auvergne-Sancerre, femme de Jean IV de Bueil et mère de l'amiral Jean V comte de Sancerre, est aussi dite dame de Rillé[25] : s'agit-il d'une seigneurie secondaire, partielle, la grand-mère maternelle de Marguerite-Dauphine étant Marguerite de Marmande, femme de Jean III de Sancerre et petite-fille maternelle de Marie de Maillé fille d'Hardouin V ?

    Les Daillon du Lude gardent Rillé au moins jusqu'à François de Daillon (1570-1619) et sa veuve Françoise de Schomberg[26], puis le cèdent au maréchal Antoine de Ruzé marquis d'Effiat (1581-1632) sire de Cinq-Mars et de Mesnil-Maulay/Mesnil-Rillé[27]. Vers 1709/1714, son petit-fils Antoine marquis d'Effiat (1639-1719 ; sans postérité) vend les domaines de Rillé, du Mesnil et de Savigné[28] à Gilles Lespagnol de La Plante, secrétaire du roi (en 1770, un Gilles Lespagnol de La Plante détenait le château de Frau à Thizay). Vente vers 1753 par les Lespagnol de La Plante au dernier baron de Rillé, sire de Mesnil-Rillé, Savigné et Lathan, aussi riche propriétaire à St-Domingue, Jacques-Marie Pays de Lathan : il émigre à la Révolution, ses biens étant vendus vers 1792/1793 nationalement (c'est-à-dire comme biens nationaux)[29].

    Sous l'Ancien Régime, Rillé dépendait de Château-la-Vallière et faisait partie intégrante de l'Anjou et plus précisément de la sénéchaussée angevine de Baugé (dépendante de la sénéchaussée principale d'Angers) jusqu'à la Révolution française.

    La commune est située aujourd'hui dans la Touraine angevine.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1995 mars 2001 Yves Bodin (1924-2021)    
    mars 2001 mars 2008 Mauricette Labani    
    mars 2008 mars 2014 Thierry Martin    
    mars 2014 mai 2020 Christian Simonot (d) DVD retraité
    mai 2020 En cours Xavier Dupont (d) DVG urbaniste
    président de la Communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2019, la commune comptait 312 habitants[Note 5], en diminution de 1,27 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,64 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    500510434430517572629622636
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    642693732730708699734758728
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    679646615552540505482493499
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    424479406395275272284278307
    2015 2019 - - - - - - -
    312312-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Rillé se situe dans l'académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Cyr.

    L'école élémentaire accueille les élèves de la commune.

    Lieux et monuments

    Le « petit train » de Rillé.

    En 1213, Hardouin IV de Maillé donna les reliques de saint Urbain à l’église ; il les tenait du pape Innocent III, qui les lui avait remises comme récompense des services qu’il rendit à la chrétienté. D’où le pèlerinage et la confrérie fondée dès 1252 par le cardinal d’Estoutteville, évêque de Clermont et légat du pape.

    La rivière du Lathan divise la ville en deux parties : quoique défendue par les murailles, les fossés et le cavalier très élevé, la partie Nord était la plus faible. Aussi, pour en assurer la défense, Hardouin IX de Maillé prit le parti de sacrifier l’église paroissiale et le presbytère qui se trouvaient rive droit, en exhaussant la chaussée existante, afin que les eaux de la rivière du Lathan puissent remplir les fossés de la place : ainsi fut formé vers 1445, le plus vaste étang d’Anjou, dit lac de Rillé.

    Outre l'église et le presbytère, des maisons particulières et la chaussée primitive du port furent submergées. Les propriétaires furent indemnisés entre 1448 et 1474.

    L'église paroissiale fut démolie et le culte transféré dans celle du prieuré, dépendant du château, situé tout près. L’actuelle église paroissiale est donc l’église du Prieuré.

    Personnalités liées à la commune

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    • Jean Picard, astronome connu pour sa « Mesure de la Terre », a été prieur de Rillé, vers 1661-1675, d'après Delambre et d'autres travaux récents.
    • La Famille Davillier originaire de Rillé, c'est fixée au XVIIème siècle à Monpellier. La principale illustration est Jean Charles joachim Davillier, (1758 - 1846) régent de la banque de France, dès l'Empire (17ème fauteuil), pair de France et gouverneur de la banque de France[Note 6].
    • Paul Tulane (10 mai 1801, Princeton, NJ - 27 mars 1887, Princeton, NJ) créateur de la Tulane University, Louisiane, fils de Pierre Louis Mathurin Tulasne dit Tulane (16 juillet 1767, Rillé - Sherry Valley, Princeton, 16 juillet, 1847), né et baptisé à Rillé par son oncle Pierre Tulasne (1742, Rillé - 1811, Cuon) curé de Cuon, prêtre réfractaire, déporté en Espagne par les révolutionnaires. Louis Tulane est négociant en produits de luxe " toiles d'indienne " entre l'établissement de Pierre Dubern (1735 - 1810) de Nantes et son propre comptoir de St Marc à St Domingue. Le père, après la révolte de 1792 à St Domingue s'installa à Princeton et acheta la propriété de sherry Valley de 500 acres[34]. Son 1er fils Louis Stefan Tulane (4 août 1795, Princeton - 2 oct. 1871, Wetumpka, Alabama) négociant comme son père, a eu l'honneur d'être baptisé en 1798[35], dans la seule église catholique autorisée des 13 colonies américaines, où Rochambeau et La Fayette étaient venus prier en 1782, après leurs victoires, l'église de la paroisse de St Joseph de Philadelphie, appelée maintenant "Old St Joseph's". Son 4ème fils, Paul Tulane fit une grande fortune dans le négoce, déjà plus de 1 million de dollars en 1860, devint un philanthrope et donateur. Il dota et créa l'université Tulane. D'après la revue étudiante de l'université JAMBAL'AYA de 1914[36], Paul Tulane donna $ 363.000 puis en 1882 une somme de $ 1.050.000 permettant une rente assurée de $ 75.000. Louis est le frère du notaire royal de Rillé Gatien Pierre Urbain Tulasne-Jaminière (1764, Rillé - 1823, Rillé), dont l'étude était 1 rue de l'Eglise. Officier public depuis 1794, il est maire de Rillé de 1800 à 1803.
    • René François Blain (1761 - ? )[37],[38], docteur en théologie, curé de Rillé en 1786, prêtre constitutionnel en 1790, maire de Rillé en juin 1791, le premier, accepte de continuer à tenir les registres paroissiaux jusqu'au 5 novembre 1792, mais doit cesser, suite à l'application du décret de l'assemblée législative du 20 septembre 1792, sur la tenue des registres d'état civil. Pierre Marquis cultivateur, lui succède comme maire le 20 septembre 1792, Blain reste officier public de la commune, maire de nouveau le 24 vendémiaire an 3 (15 octobre 1794), de nouveau maire de Rillé le 9 nivôse an 12 (31 décembre 1803), jusqu'à juin 1809. commissaire du pouvoir exécutif du canton de Noyant, président du collège électoral de l'arrondissement de Chinon ( Indre-et-L o i r e ) , le 14 mai 1806: devenu chef du bureau des domaines, il fut nommé, le 10 janvier 1812, président à vie de son collège électoral, ce qui lui donne un fort pouvoir de nomination d'élus. Un curé probablement défroqué à la vie passionnante et bien remplie.....

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. Les régents et censeurs de la banque de France, nommés sous le consulat et l'Empire, Librairie DROZ, 1974, par Romuald Szamkiewicz, page 60

      Références

      1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
      2. « Carte hydrologique de Rillé », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
      3. « Source de l'Authion » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
      4. « Confluence de l'Authion dans la Loire » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
      5. « Fiche Sandre - l'Authion », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
      6. « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
      7. « Fiche Sandre - le Lathan », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
      8. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
      9. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
      10. « Le lac de Rillé », sur http://www.rille.fr/ (consulté le ).
      11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      18. « Les risques près de chez moi - commune de Rillé », sur Géorisques (consulté le )
      19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
      20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
      21. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
      22. « L'origine des familles seigneuriales dans la région de la Loire moyenne, par Jacques Boussard, p. 305, note 16 », sur Cahiers de Civilisation médiévale, p. 303-322, 1962, mis en ligne par Persée.
      23. « Ridel de Rillé », sur Geneanet, arbre de François Gautier.
      24. « Rillé », sur site de toponymie de Denis Jeanson.
      25. Recherches sur la Maison de Bueil, par R.C. Famiglietti, Picardy Press à Providence (Rhode Island, USA), 2018, p. 117
      26. « Pays de Lathan, baronnie de Rillé p.74 », sur Archives départementales d'Indre-et-Loire antérieures à 1790, inventaire par Charles Loizeau de Grandmaison, t. Ier, 1878.
      27. « Le manoir du Mesnil à Channay-sur-Lathan », sur Forum Touraine insolite, par Mikerynos.
      28. « Savigné-sur-Lathan », sur Marches GPS en Touraine.
      29. « Les Pays de Lathan, par Natacha Bonnet », sur Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, 2000, 107-4 pp. 43-70, mises en ligne par Persée.
      30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      34. Old Princeton's neighbors - auteur : Federal Writers' Project of the Works Progress Administration for the State of New Jersey - publication : Princeton 1939
      35. Sacramental registers at St Joseph's church, Philadelphia, PA, of the eighteenth century, sixth series, baptisms administrated by fathers Ennis, Carr, Neale, Houdet, Lagrange, Helbron and De Borniol, from january to december 1798 - source : records of the American Catholic Historical Society of Philadelphia, March 1906, Vol. 17 N° 1 pp 1-32
      36. the students of Tulane University, Jambalaya 1914 (volume 19), Edité par " the students of Tulane University ",
      37. Biographie des Hommes vivants Tome 1, Paris, Chez LG Michaud, imprimeur- Libraire rue des Bons-Enfants N° 34, , page 157
      38. J.X. Carré de Busserolle, Dictionnaire géographique historique et biographique d'Indre et Loire et de l'ancienne province de Touraine, Tome V
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