Rozelieures

Rozelieures est une commune française de Lorraine, située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Ne doit pas être confondu avec Rozérieulles.

Rozelieures

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes Meurthe, Mortagne, Moselle
Maire
Mandat
Jean-Pierre Jaquat
2020-2026
Code postal 54290
Code commune 54467
Démographie
Population
municipale
191 hab. (2019 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 04″ nord, 6° 26′ 07″ est
Altitude Min. 263 m
Max. 363 m
Superficie 9,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunéville-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rozelieures
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Rozelieures
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Rozelieures
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Rozelieures

    Géographie

    Le village est principalement desservi par la route départementale 22 qui le relie à Vennezey à l'Est et à Bayon à l'Ouest. Il est relié à Saint-Boingt par la départementale 22d. Les autres communes voisines sont accessibles par des routes communales.

    La totalité du territoire est compris dans le bassin versant de l'Euron.

    Le bâtiment de la mairie est à 300 mètres d'altitude. Le territoire culmine à 360 mètres dans le bois de Réthimont, au Nord et en direction de Remenoville. Le point le plus bas se situe à 261 mètres, au Nord-Ouest en direction de Clayeures, là où l'Euron quitte le territoire.

    Urbanisme

    Typologie

    Rozelieures est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3 %), forêts (24,4 %), prairies (15 %), cultures permanentes (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), zones urbanisées (2,9 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Anciennes citations :

    Ecclesia Roserolis in comitatu Mortisna en 966 dans une charte de l'abbaye de Vergaville ; Alodium de Roseolis en 1157 dans une charte de l'abbaye de Belchamp ; Roserulœ en 1188 dans une charte de l'abbaye de Beaupré ; Molendinum de Roserules en 1218 ; Molendinum de Rosereules en 1238 ; Rozeruelles en 1291 dans une charte de l'abbaye de St-Léopold ; Rezeruelle en 1352 dans une charte de l'abbaye de Belchamp ; Rozeruelle en 1390 dans une charte de l'abbaye de Rosières ; Ecclesia de Rozeruelles en 1402 ; Reseruelle en 1421 et Rozereules en 1425 dans des chartes du domaine de Châtel ; Rouzeruelles en 1466 dans une charte de l'abbaye de Belchamp ; Rouselueres en 1495 ; Roseillieures et Rozereulles en 1528 ; Roseillieurs en 1529 ; Roseilleurs en 1530 ; Rozereulle en 1551, domaine de Châtel ; Rozierieulles en 1554, domaine de Lunéville ; Rouselleures en 1568, domaine de Bayon ; Rosereulle en 1577 dans une charte de Châtel ; Rozelleures en 1600, domaine de Châtel[8].

    Pour Jean Spaite, le toponyme viendrait de roserel, le lieu où vivent belettes et hermines[9]. Ernest Nègre donne une étymologie assez proche : Rozelieures vient de roseruels qui est un mot pluriel signifiant belette et hermine en langue d'oïl, dans lequel la lettre [L] se serait substituée tardivement à la lettre [R][10] . Godefroy donne la même explication du mot roseruel[11].

    Dans la langue locale, Rozelieures se prononce Rozelûres[12].

    Histoire

    Rozelieures est un village très ancien puisque sa première mention remonte à l'année 966, date à laquelle le village possédait déjà une église et faisait partie du comté de Mortagne[13].

    En 1157, le franc-alleu de Rozelieures fait partie de la confirmation des biens de l'abbaye de Belchamp[13].

    En 1212, Simon de Parroy donne à l'abbaye de Beaupré son moulin de Rozelieures. En 1220, il fait don à la même abbaye de son alleu de Rozelieures[13].

    Dans une charte de 1238, l'évêque de Toul renonce à l'alleu de Rosereures (fief de Rozelieures) qu'il possède en héritage au profit de l'abbaye de Beaupré[13].

    Au mois d', le duc Ferry de Lorraine donne à Jacques, seigneur de Bayon, tout ce qu'il possède à Rozereulles (Roselieures)[13].

    En 1318, Henri de Bayon et Marguerite de Nanteuil son épouse font un accord avec l'abbaye de Beaupré par lequel cette dernière cède ce qu'elle possède à Rosereulles (Rozelieures) excepté les héritages de quartiers, le plaid de justice, ses cens en blé et chapons, son droit de pâturage et d'exemption de passages en contr'échange de 20 réseaux de froment et de 30 d'avoine[13].

    Le Henri, comte de Vaudémont donne à Jean de boingnes Saint-Germain une maison sise à Rosereulles[13] (Rozelieures).

    Le , Jean de Bousey, seigneur écuyer de Saint-Germain, déclare détenir un affouage dans les bois de son épouse à Rosereulles[13] (Rozelieures).

    Dans une délibération de communauté prise le , les habitants décident qu'ils éliront désormais deux hommes pour garder le ban de Rozelieures. Chacun sera affecté à un « seigneuriage »[13]. Ce partage du ban communal en deux seigneuries durera jusqu'à la Révolution.

    En 1539, des contestations ont lieu entre les habitants de Rozelieures et ceux de Saint-Boingt pour « des faicts de vainpasturaige des bois que lesdits de Saint-Boing ont par charte d'un seigneur de Châstel dans les bois de Helz ». Les deux communautés choisissent pour arbitres Gérard d'Haraucourt bailli de Nancy et Antoine Vautrin lieutenant du bailli de Châtel-sur-Moselle[13].

    Au mois de , Claude François de Barbas, seigneur d'Herbéviller donne ses « reversales » au duc de Lorraine pour ce qu'il possède à Rousereulles (Rozelieures). A la même période, on trouve dans une charte du domaine de Châtel-sur-Moselle la liste détaillée des droits seigneuriaux que possède le duc de Lorraine à Rozelieures, via la seigneurie dite de Châtel, l'une des deux seigneuries régissant le village. L'autre seigneurie est nommée « seigneurie de Bayon »[13].

    Ce document[13] est également intéressant sur le plan philologique car il est écrit avec un vocabulaire contenant des mots typiquement lorrains.

    Toujours dans le même document, il est dit que le maire de la seigneurie de Chastel (partie de Rozelieures) « est créé par le bailli ou par son lieutenant ». Il a ensuite la charge de « créer » les autres officiers : un eschevin et un doyen ainsi que des « banwartz » (littéralement gardiens du ban ce qui signifie gardes-champêtres). Le maire et les autres officiers constituent la justice de première instance. Les affaires de « haute justice sont portées au bailliage de Chastel ». Les ressortissants de la seigneurie de Chastel ne sont pas obligés d'utiliser le grand four. Ils peuvent cuire où bon leur semble[13] ce qui les éxonère des taxes habituelles du four banal.

    En 1710, on lit dans l'état du temporel des paroisses que Rozelieures a « la mère église » et que Borville est son annexe. Le même document précise qu'il existe deux communautés à Rozelieures, une pour chaque seigneurie. Il est rappelé que le duc de Lorraine est haut, moyen et bas justicier pour la seigneurie de Châtel tandis que Madame de Ludres possède la seigneurie de Bayon moins un sixième qui revient à la maison de Salm. Cette seigneurie possède les droits de haute, moyenne et basse justice. Les appels sont portés au bailliage de Nancy. La seigneurie de Bayon est nettement plus importante puisqu'elle est composée de 50 maisons et de plus de 50 masures tandis que la seigneurie de Chastel ne règne que sur 12 sujets[13].

    En 1782, l'ensemble des deux communautés recense 127 feux (ménages) et 380 communiants (personnes se rendant à la communion dominicale)[13].

    La même année, le curé de Roselieures institue par testament cinq prix annuels. Le premier pour le laboureur ayant le mieux cultivé ses terres, le deuxième pour le manœuvre ayant le mieux travaillé, le troisième pour le garçon le plus sage, le quatrième pour la fille la plus sage, le cinquième pour le patureau qui n'aura pas eu de cheval gagé ni pris aux dommages[14].

    En 1823, il y avait une foire à Rozelieures le jour de la Saint-Jean[15].

    Le territoire de Rozelieures fut le théâtre d'une bataille décisive lors de la première guerre mondiale, du 24 au , il s’agit de la bataille de la trouée de Charmes.

    En 1920 et par décision du président de la République, le conseil municipal de Rozelieures est dissous pour motif d'incapacité à élire un maire[16].

    Bassompont

    Le lieu est situé sur le territoire de Rozelieures à proximité immédiate du pont de l'Euron sur la route de Bayon. Le plan du cadastre du XIXe siècle indique à cet endroit deux bâtiments de part et d'autre de l'Euron[17]. Ils sont disparus depuis la seconde moitié du XXe siècle, au moins[18].

    À l'origine, Bassompont était un franc-alleu. Il fut donné à l'abbaye de Belchamp lors de la fondation de celle-ci et confirmé en 1157. Dans un autre document, ce lieu est écrit en latin : alodium de Bassoponte[19].

    La possession du lieu par les chanoines valut au fermier et au meunier quelques privilèges. Par ordre du , il est fait interdiction aux habitants de Rozelieures de n'exiger aucune chose par forme de contribution ni autrement du meunier de Bassompont. Le décret du déclare les fermier et meunier dudit lieu exempts de l'aide générale de « landfreid »(1) et des droits de haut-conduit (2) et autres semblables. Le décret du ordonne que les fermiers de Maimbermont (Méhoncourt) et de Bassompont jouiront des mêmes franchises, privilèges, immunités et exemptions de fourniture et logement des gens de guerre. Un ordre du précise que Bassompont, Maimbermont, Méhoncourt et Haigneville ne seront pas compris dans les quartiers d'hiver de cette année[19].

    Selon les archives de Belchamp, des contestations eurent lieu à diverses reprises entre les habitants de Rozelieures et l'abbaye à propos du canal du moulin de Bassompont[19].

    (1) Landfreid est plus souvent écrit landfrid ou encore landefride par D. Godefroy. C'était un devoir seigneurial compensé par un droit ou impôt pour protéger les voyageurs contre les attaques de bandits[20].

    (2) Les haut-conduits étaient des chemins de grande circulation soumis à péage[21]. Le territoire du duché de Lorraine comprenait des divisions fiscales elles aussi appelées haut-conduits pour gérer ces péages[22].

    Un procès civil en sorcellerie

    Le cas étant assez rare, il mérite d'être signalé.

    En l'an VI de la République, vivait à Rozelieures un bien curieux personnage nommé Sébastien Maillard. Il était né à Pont-sur-Madon le . Il exerçait la profession de maréchal-ferrant. Il ajoutait volontiers à ce titre, celui d'expert. Son activité ne se limitait pas aux seuls remplacement des fers à chevaux et réparations de menus objets. Il soignait aussi les animaux et se livrait parfois à des pratiques divinatoires.

    Avant cela, il avait eu une vie aventureuse. Il avait d'abord pris un engagement au régiment français de Noailles cavalerie. L'homme étant de forte stature, il fut employé à la forge. Selon ses dires, il fut distingué par ses chefs qui l'auraient envoyé à l'école vétérinaire de Charenton-le-Pont. Cependant, lors de son procès, il sera incapable de citer le nom d'un seul professeur de cette école. Probablement après avoir déserté, ll passe au service du roi de Prusse et « apprend de nouveaux secrets ». Il déserte après 14 ans de service.

    Travaillant de son métier « et d'autres choses », il vagabonde et passe par la Pologne, la Turquie, la Russie et la Hongrie où, en 1792, il est contraint de s'engager dans l'armée austro-hongroise. En 1793, son régiment est envoyé devant Mayence. Prétextant ne pas vouloir se battre contre des français, il déserte à nouveau et se retrouve à Gênes. Il erre ensuite à Rome, Naples et Turin et finit par obtenir un passeport qui lui permet de rentrer en France.

    Est-ce par chance ou a t-il fabulé ? Personne n'a remarqué sa longue absence de France ce qui lui évite d'être inscrit sur les listes d'émigrés pendant la Révolution. De retour en Lorraine, il retrouve sa mère établie à Remenoville. En l'an V, il épouse Marianne Jacquat, habitante de Rozelieures. Sa femme possédant un peu de terres et de vignes, il exploite ce bien tout en reprenant son métier de maréchal-ferrant.

    Contant ses aventures avec beaucoup de talents et ayant quelques succès dans les soins portés aux animaux, il bénéficie assez rapidement d'un grand prestige local. Il prétend guérir toutes les maladies et ne tarde pas à passer pour « un homme instruit des plus grands secrets ». En réalité, ses pratiques relèvent surtout de la sorcellerie. Il est appelé à Manoncourt-en-Vermois le 13 pluviose de l'an VI où sévit une maladie qui ruine le bétail. Si quelques cultivateurs se laissent convaincre, un propriétaire rural du nom de Charles Nicolas Sigisbert Sonnini ne se laisse pas abuser. Titulaire d'une thèse de philosophie et fervent défenseur des sciences modernes, il dénonce Sébastien Maillard pour pratique de sorcellerie.

    Celui-ci comparait devant le tribunal d'arrondissement de Nancy. Il est condamné à trois mois de prison, 200 francs d'amende et au remboursement de ses victimes. Il se pourvoit en appel mais les juges confirment la décision de première instance. On n'entendra plus parler de Maillard jusqu'à son décès à Rozelieures le [23].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1852   Céleste Cosserat   nommé par le préfet ; décret du prince-président du 7/7/1852
    après 1906 avant 1914 Constant Cosserat    
    septembre 1914   Constant Cosserat   en l'absence du Maire, rempli la fonction sur demande du préfet
    avant 1923   Anxionnat    
      décembre 1941 Albert Boulangeat   décédé en cours de mandat
             
    mars 1962 mars 1977 Jean Grallet    
    mars 1977 mars 2008 Hubert Grallet    
    mars 2008 En cours
    (au 25 mai 2020)
    Jean-Pierre Jaquat [24]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
       

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2019, la commune comptait 191 habitants[Note 3], en diminution de 0,52 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    540600615638667668630648637
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    583580544553510532493458396
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    404380279268235235190224189
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019
    166147135138139160191191191
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'essentiel de l'activité locale est agricole. Rozelieures se situe au cœur de l'un des terroirs favorables à la mirabelle de Lorraine. Une famille s'est spécialisée dans cette production et ses dérivés depuis 3 générations, faisant de cette commune l'une des plus connues pour le fruit symbolique de la région. C'est cette exploitation qui a créé la maison de la mirabelle.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Édifices civils

    • Fontaine monumentale[précision nécessaire].
    • Cimetière militaire français, monument commémoratif de la victoire du .
    • Maison de la mirabelle.

    Édifices religieux

    L'église.
    • Église Saint-Martin XVIe : tour XIXe, portail Renaissance.
    • Chapelle Sainte-Barbe à l'entrée du village.

    Personnalités liées à la commune

    • Mgr Jean-Pierre Grallet, O.F.M. (ordre des frères mineurs, donc franciscain) évêque auxiliaire de Strasbourg depuis 2004, et archevêque de Strasbourg depuis 2007, est né à Rozelieures le .

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1er d'or, à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent ; au 2e d'or, à la croix de gueules, au franc-quartier d'argent chargé d'un lion de sable, armé et lampassé de gueules, couronné d'or ; au 3e de gueules, aux deux saumons adossés d'argent ; au 4e de gueules, à la bande d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, coll. « Dictionnaire topographique de la France », , 213 p. (lire en ligne), p. 121.
    9. Jean Spaite, Étude sur le saint patronage et les sobriquets dans l'arrondissement de Lunéville, Nancy, Apache Color, , 246 p., p. 153.
    10. Nègre, Ernest., Toponymie générale de la France / 2. Formations non-romanes, formations dialectales., Droz, (ISBN 2-600-00133-6 et 978-2-600-00133-5, OCLC 174640771, lire en ligne).
    11. « D. Godefroy », sur micmap.org (consulté le ).
    12. Vital Collet, « Blasons populaires de la Lorraine », Le Pays lorrain, Nancy, , p. 505 (lire en ligne).
    13. Henri Lepage, Les communes de la Meurthe, deuxième volume, Nancy, A. Lepage, imprimeur-libraire-éditeur, , 799 p. (lire en ligne), p. 440-444 ; 498.
    14. Cardinal François-Désiré MATHIEU, L'Ancien Régime dans la province de Lorraine et Barrois, d'ap. des doc. inédits (lire en ligne)
    15. Claude Gérard, Foires et marchés en Lorraine centrale au XIXe siècle dans la revue "Le Pays lorrain", Nancy, Berger-Levrault, , 115 p. (lire en ligne), p. 95.
    16. L'Est Républicain, Nancy, , 6 p. (lire en ligne), p. 2.
    17. « Rozelieures », sur galeries.limedia.fr (consulté le ), p. 177
    18. « Géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le )
    19. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 103
    20. « D. Godefroy », sur micmap.org (consulté le ), p. 711
    21. Jacques-Philibert (1737-17 ?) Auteur du texte Rousselot de Surgy, Encyclopédie méthodique. Finances. t. 2, [Eaux de mer-Lyon] / . Tome premier [-troisiéme], 1784-1787 (lire en ligne)
    22. Lorraine (Duché) Auteur du texte, Recueil des édits ordonnances, déclarations, tarifs, traités, règlemens et arrêts sur le fait des droits de haut-conduit, entrée et issue... foraine, traverse, impôt sur les toiles et acquits à caution de Lorraine et Barrois, avec une instruction pour les receveurs des droits de la marque des fers, (lire en ligne)
    23. Charles Sadoul, La science contre la superstition dans la revue "Le Pays lorrain", Nancy, Éditions Berger-Levrault, , 240 p. (lire en ligne), p. 231-240.
    24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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