Sère-en-Lavedan

Sère-en-Lavedan est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Sère et Lavedan.

Sère-en-Lavedan

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
Joël Pedarribes
2020-2026
Code postal 65400
Code commune 65420
Démographie
Population
municipale
77 hab. (2019 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 01′ 20″ nord, 0° 07′ 14″ ouest
Altitude Min. 524 m
Max. 887 m
Superficie 1,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argelès-Gazost
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Sère-en-Lavedan
Géolocalisation sur la carte : France
Sère-en-Lavedan
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Sère-en-Lavedan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Sère-en-Lavedan

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau du Bergons et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Sère-en-Lavedan est une commune rurale qui compte 77 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 231 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost. .

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sère-en-Lavedan se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 28 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Salles (0,8 km), Gez (1,3 km), Ouzous (1,5 km), Ayzac-Ost (2,1 km), Argelès-Gazost (2,8 km), Arras-en-Lavedan (3,3 km), Lau-Balagnas (3,8 km), Arcizans-Avant (3,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sère-en-Lavedan fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans l’estrèm de Salles qui regroupe sept communes[4].

    Carte de la commune de Sère-en-Lavedan et des proches communes.
    Communes limitrophes de Sère-en-Lavedan[5]
    Salles
    Ouzous
    Gez

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le ruisseau du Bergons, le Bayet, le ruisseau de Cauci et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le ruisseau du Bergons, d'une longueur totale de 15,6 km, prend sa source dans la commune d'Aucun et s'écoule vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Agos-Vidalos, après avoir traversé 10 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 342 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 031,4 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 20 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[21] : le « Gave d'Azun, ruisseau du Bergons et Gave de Lourdes » (437 ha), couvrant 31 communes dont deux dans les Pyrénées-Atlantiques et 29 dans les Hautes-Pyrénées[22] et le « massifmontagneux entre Argelès-Gazost et l'Ouzom » (6 108 ha), couvrant 12 communes dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et 11 dans les Hautes-Pyrénées[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[21] : les « massifs calcaires de l'Estibète, du Granquet et du Pibeste, forêt de Très Crouts, vallée du Bergons et crêtes » (17 871 ha), couvrant 24 communes dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Sère-en-Lavedan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[25],[I 2],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

    Rues du village.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44 %), forêts (37,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 62[I 5].
    Parmi ces logements, 45,2 % sont des résidences principales, 53,2 % des résidences secondaires et 1,6 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D102.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Sère-en-Lavedan au nord d'Argelès-Gazost.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[28] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Étymologie : du latin cella : petit monastère.

    Nom occitan : Cèra.

    Histoire

    Vue du village.

    Cadastre napoléonien de Sère-en-Lavedan

    Le plan cadastral napoléonien de Sère-en-Lavedan est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[29].

    Politique et administration

    La mairie en 2017.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 mars 2008 Louis Aguillon PRG  
    mars 2008 en cours Joël Pedarribes    

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Estrema de Salles, canton d'Argelès (depuis 1790). Sère prend le nom de Sère-en-Lavedan en 1962[30].

    Intercommunalité

    Sère-en-Lavedan appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33]. En 2019, la commune comptait 77 habitants[Note 9], en augmentation de 13,24 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,31 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    179172147170181162222231216
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    201179155150168161146123120
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1091081081111081021058470
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    666358565675737366
    2017 2019 - - - - - - -
    7477-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[36].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]4,2 %10 %7,9 %
    Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 39 personnes, parmi lesquelles on compte 89,5 % d'actifs (81,6 % ayant un emploi et 7,9 % de chômeurs) et 10,5 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte emplois en 2018, contre 4 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 31, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,8 %[I 10].

    Sur ces 31 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 travaillent dans la commune, soit 7 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 96,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 3,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Une partie de la commune abrite la réserve naturelle régionale du massif du Pibeste-Aoulhet.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la croix de Malte d'argent, au chef d'or chargé d'une coquille aussi d'argent* accostée de deux croissants du champ.

    Voir aussi

    Le monument aux morts municipal.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Sère-en-Lavedan » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Sère-en-Lavedan et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sère-en-Lavedan et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Sère-en-Lavedan », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de Sère-en-Lavedan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « le ruisseau du Bergons »
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Sère-en-Lavedan et Ayros-Arbouix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Ayros-Arbouix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Sère-en-Lavedan et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sère-en-Lavedan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « Gave d'Azun, ruisseau du Bergons et Gave de Lourdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « massifmontagneux entre Argelès-Gazost et l'Ouzom » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « massifs calcaires de l'Estibète, du Granquet et du Pibeste, forêt de Très Crouts, vallée du Bergons et crêtes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
    29. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Sère-en-Lavedan en 1825
    30. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    31. « Liste des juridictions compétentes pour Sère-en-Lavedan », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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