Saint-Amant-de-Nouère

Saint-Amant-de-Nouère est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Amant et Nouère (homonymie).

Saint-Amant-de-Nouère

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes du Rouillacais
Maire
Mandat
François-Xavier Labrousse
2020-2026
Code postal 16170
Code commune 16298
Démographie
Population
municipale
373 hab. (2019 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 48″ nord, 0° 00′ 09″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 132 m
Superficie 11,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Amant-de-Nouère
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Amant-de-Nouère
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Amant-de-Nouère
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Amant-de-Nouère

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Amant-de-Nouère est une commune située à km au sud-est de Rouillac et 16 km au nord-ouest d'Angoulême.

    Le bourg de Saint-Amant est aussi à km au nord d'Hiersac, le chef-lieu de son canton, km à l'ouest de Vars, 16 km au nord-est de Jarnac et 27 km de Cognac[1].

    La commune est traversée par le méridien de Greenwich, qui passe 200 m à l'ouest de l'église[1].

    À l'écart des grandes routes, la commune est traversée par de petites routes départementales qui relient le bourg aux communes voisines. La D 939, route d'Angoulême à Rouillac et Saint-Jean-d'Angély, passe au nord-est de la commune à 1,5 km du bourg, à Saint-Genis-d'Hiersac. La D 120 et la D 53 descendent la vallée de la Nouère vers le sud-est en direction de Hiersac et la Vigerie, sur la N 141 d'Angoulême à Saintes. La D 386 vers Échallat permet d'aller vers Jarnac et Cognac[2].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte quelques hameaux : Nigronde et Fontenelle au sud, les Brousses et la Chizé à l'ouest, et la Chevalerie et le Bois Raymond au nord[2].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Amant-de-Nouère
    Saint-Cybardeaux
    Échallat Saint-Genis-d'Hiersac
    Douzat Asnières-sur-Nouère

    Géologie et relief

    La commune occupe un plateau calcaire datant du Jurassique supérieur (Portlandien et Kimméridgien).

    Deux vallées parallèles de direction nord-sud entaillent ce plateau et sont occupées par des alluvions du Quaternaire. On trouve aussi très localement, sur les flancs, quelques petites zones de grèzes[3],[4],[5],[6].

    De courtes vallées sèches ou combes convergent vers ces vallées.

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 132 m, situé à l'extrémité occidentale. Le point le plus bas est à 62 m, situé le long de la Nouère sur la limite sud, aux Grillauds. Le bourg, situé sur une hauteur dominant la vallée, est à 92 m d'altitude[2].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Amant-de-Nouère.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Nouère et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Saint-Amant-de-Nouère est arrosée par la Nouère, un affluent de la Charente.

    Au pied du bourg passe un petit affluent de la Nouère, de 300 m de long descendant du hameau de la Chize.

    À l'ouest de la commune passe un ruisseau intermittent parallèle à la Nouère, qui s'y jette bien au sud de la commune à la Vigerie (commune de Saint-Saturnin). Ce ruisseau arrose la douve du château de Fontguyon et est alimenté en partie par la Font de Fontenelle[2].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Amant-de-Nouère est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,2 %), cultures permanentes (30,7 %), zones agricoles hétérogènes (22,5 %), forêts (12,6 %), prairies (2,9 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Sanctus Amandus au XIIe siècle[17], Sanctus Amancius de Noyra au XIIIe siècle[18] au XIIIe siècle, de Noheria, prope Nodram au IXe siècle[19].

    En Charente, les Saint-Amant se répartissent entre deux origines : Amandius était évêque de Bordeaux au Ve siècle. Amantius était aussi un saint, mais du VIIe siècle, né à Bordeaux puis ermite, célébré dans le diocèse d'Angoulême. Saint-Amant-de-Nouère ferait partie de la première catégorie[20],[Note 3].

    Pendant la Révolution française, la commune s'est appelée provisoirement Amant-sur-Nouère[21].

    Créée Saint Amant de Noere en 1793[Note 4], la commune s'est appelée Saint-Amand en 1801, puis elle est devenue Saint-Amant-de-Nouère[22]. La carte de Cassini (XVIIIe siècle) écrit Saint-Amand et la carte d'état-major (XIXe siècle) écrit Saint-Amand-de-Nouères[2].

    Histoire

    Quelques objets et vestiges de l'époque romaine ont été trouvés sur la commune : bassins, monnaies, tegulae, le long de la vallée de la Nouère, en particulier à Fontguyon, ce qui laisse supposer un habitat important à cette époque[23],[24].

    Le Fossé au Comte était un retranchement construit par les comtes d'Angoulême avant le IXe siècle pour tenter de se protéger contre les invasions normandes. Ce fossé long de 20 km reliait la Charente en amont d'Angoulême à la Charente en aval, et allait du nord-est au sud-ouest de Montignac à Vibrac par Douzat[25],[26],[27],[28]. Il passait en limite sud-est de la commune (Boursandreau, Puyravaud). Quelques chemins et toponymes demeurent[29].

    Sous l'Ancien Régime, la seigneurie de Fontguyon s'étendait sur les paroisses de Saint-Amant-de-Nouère et de Douzat. Le château actuel a été construit vers le milieu du XVIe siècle par les seigneurs de la Porte aux Loups. Avant la Révolution, il a appartenu à Hélie Laisné, lieutenant particulier au siège présidial d'Angoulême, puis à la famille Gandillaud, puis à la fin du XVIIIe siècle aux Poitevin de Fontguyon (M. Poitevin était directeur des Fonderies de France) qui le possédaient encore au début du XXe siècle.

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer départementaux allant d'Angoulême à Rouillac appelée le Petit Rouillac.

    Au tout début du XXe siècle, après la crise du phylloxéra, prairies et céréales était l'agriculture principale de la commune[24].

    Administration

    Créée initialement dans le canton de Vars, la commune est devenue commune du canton d'Hiersac entre 1793 et 2014.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 2008 Michel Labrousse    
    2008 2014 Marie-Madeleine Potuaud SE Formatrice en sports en gérontologie
    2014 En cours François-Xavier Labrousse   Agriculteur

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 16,82 % sur le bâti, 47 % sur le non bâti, et 7,81 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    La communauté de communes de Rouillac prélève 10,80 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2019, la commune comptait 373 habitants[Note 5], en diminution de 11,61 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    524584718741751718703687634
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    630635616607586526473400411
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    431432411385383396374374359
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    352331350372382377380420405
    2019 - - - - - - - -
    373--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 193 hommes pour 195 femmes, soit un taux de 50,26 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,7 
    12,9 
    75-89 ans
    12,8 
    25,8 
    60-74 ans
    22,9 
    20,8 
    45-59 ans
    20,7 
    16,9 
    30-44 ans
    16,8 
    10,1 
    15-29 ans
    11,2 
    12,9 
    0-14 ans
    14,0 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Économie

    Agriculture

    L'économie de la commune est basée sur l'agriculture et la viticulture.

    La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[35].

    Équipements, services et vie locale

    Il n'y a ni école ni autres services, on les trouve sur les communes voisines.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    Il est constitué par l'église paroissiale qui est dédiée à saint Amant[18] (ou Amand[17]), et par une chapelle située à côté de l'ancienne mairie.

    Patrimoine civil

    Sur le domaine de Fontguyon, le château a été bâti vers 1570 et remanié au XVIIe siècle avec aménagement de la terrasse et de l'escalier en fer à cheval. Il comporte un portail à pilastre, flanqué d'une échauguette en encorbellement. La chapelle et l'escalier en vis avec sa cage, situé à l'angle sud-est du logis, sont d'époque Renaissance[36]. Ils sont classés monument historique depuis 1994 alors que la façade, les trois ailes du logis et leur toiture ainsi que la terrasse sont inscrits depuis 1989[37],[38].

    Saint-Amant-de-Nouère comporte aussi un riche patrimoine bâti rural.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. La terminaison actuelle de Amant en t n'est pas significative. En effet, d'après A.Dauzat, dériveraient de Amandius, évêque de Bordeaux : Saint-Amant-de-Montmoreau, Saint-Amant-de-Graves, Saint-Amant-de-Nouère. Dériveraient de saint Amant de Boixe : Saint-Amant-de-Boixe, Saint-Amant-de-Bonnieure. Les formes anciennes sont ici partagées; la proximité géographique de Saint-Amant-de-Boixe et l'emplacement dans l'ancien diocèse d'Angoulême peuvent infirmer cette opinion.
    4. L'orthographe de Moere est sans doute une erreur de copie.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Amant-de-Nouère » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Carte du BRGM sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Saint-Amant-de-Nouère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125
    18. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 125,268,270
    19. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 249
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 584.
    21. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 129
    24. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 315-316
    25. François Marvaud, Étude historique sur l'Angoumois, Cognasse, (lire en ligne), p. 48
    26. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 247
    27. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 156
    28. François de Corlieu, Recueil en forme d'histoire, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 81 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 6
    29. Le Grand Fossé, la Combe du Fossé, voir « Carte 1/25.000 » sur Géoportail.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Amant-de-Nouère (16298) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    35. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    36. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
    37. « Domaine de Fontguyon », notice no PA00104556, base Mérimée, ministère français de la Culture
    38. « Saint-Amant-de-Nouère », base Mémoire, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de la Charente
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.