Saint-André-des-Eaux (Loire-Atlantique)

Saint-André-des-Eaux est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Saint-André-des-Eaux.

Saint-André-des-Eaux

La croix de la Ville au Jau.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire
Maire
Mandat
Catherine Lungart
2020-2026
Code postal 44117
Code commune 44151
Démographie
Gentilé Andréanais
Population
municipale
6 744 hab. (2019 )
Densité 273 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 18′ 53″ nord, 2° 18′ 35″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 41 m
Superficie 24,71 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Nazaire
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Nazaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Baule-Escoublac
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-André-des-Eaux
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Saint-André-des-Eaux
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Saint-André-des-Eaux
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Saint-André-des-Eaux
Liens
Site web http://www.saint-andre-des-eaux.fr/

    Géographie

    Situation de la commune de Saint-André-des-Eaux dans le département de la Loire-Atlantique.

    Localisation

    La commune fait partie du parc naturel régional de Brière, son port est situé à la Chaussée Neuve à km au nord du bourg.

    Saint-André-des-Eaux est située à l'ouest des marais de la Brière, à km au nord-ouest de Saint-Nazaire et km à l'est de Guérande.

    Les communes limitrophes sont Saint-Joachim, Saint-Nazaire, La Baule-Escoublac et Guérande.

    Saint-André-des-Eaux est une commune appartenant à la presqu'île guérandaise[1].

    Communes limitrophes de Saint-André-des-Eaux
    Guérande Saint-Lyphard Saint-Joachim
    La Baule-Escoublac Saint-Nazaire

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 794 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pte de Chemoulin », sur la commune de Saint-Nazaire, mise en service en 1946[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 598,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 12 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-André-des-Eaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Nazaire, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[18] et 184 837 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 11,6 % 293
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 1,0 % 25
    Équipements sportifs et de loisirs 9,0 % 227
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 19,9 % 501
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 16,4 % 413
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 31,3 % 789
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 1,1 % 28
    Forêts de feuillus 2,9 % 72
    Forêts mélangées 1,4 % 35
    Marais intérieurs 5,5 % 139
    Source : Corine Land Cover[23]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Saint Andreas en 1287[24].

    Saint-André-des-Eaux vient, semble-t-il, du nom d'une ancienne chapelle, dédiée à saint André, ayant appartenu à une léproserie.

    Son nom, traduit en breton, est Sant-Andrev-an-Doureier[24].

    Emblèmes

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur au sautoir d'argent chargé d'une moucheture d'hermine de sable et cantonné de quatre merlettes d'or.
    Commentaires : Le sautoir est une croix de Saint André, le champ et les merlettes évoquent les étangs communaux. La moucheture d'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par J.-P. Marzelière (délibération municipale du ), enregistré le .

    Devise

    La devise de Saint-André-des-Eaux : entre mer et Brière, un coin de terre te sourit.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1906 novembre 1915
    (décès)
    Joseph Marie Levêque   Cultivateur
    Les données manquantes sont à compléter.
     ? mars 1983 Frédéric Deniaud[Note 6]   Agriculteur
    mars 1983[25] mars 2014 Alain Donne[Note 7] DVD Maître d'oeuvre
    mars 2014 25 mai 2020 Jérôme Dholland DVD Ingénieur chez STX France (Chantiers de l'Atlantique)
    25 mai 2020 En cours Catherine Lungart[26] DVC  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee en 2010, Saint-André-des-Eaux est une commune urbaine, une des 11 communes de l'unité urbaine de Saint-Nazaire, qui s'étend de Donges au Croisic. Elle fait également partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Saint-Nazaire[27]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 99 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 1 % dans des zones « très peu denses »[28].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

    En 2019, la commune comptait 6 744 habitants[Note 8], en augmentation de 14,64 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2131 1041 1401 2801 3791 3921 4201 4771 452
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4291 5901 6691 6071 6001 6381 6441 6821 692
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7021 7161 6281 4481 4031 4341 3451 3301 491
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5451 5541 8332 5412 9193 5324 9175 3916 355
    2019 - - - - - - - -
    6 744--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,4 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 281 hommes pour 3 277 femmes, soit un taux de 50,03 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    0,9 
    4,5 
    75-89 ans
    5,1 
    16,8 
    60-74 ans
    17,3 
    20,6 
    45-59 ans
    20,7 
    20,2 
    30-44 ans
    21,7 
    14,6 
    15-29 ans
    13,2 
    23,0 
    0-14 ans
    21,1 
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,7 
    5,8 
    75-89 ans
    8,6 
    14,7 
    60-74 ans
    16 
    19,6 
    45-59 ans
    18,9 
    20,1 
    30-44 ans
    19,2 
    19,2 
    15-29 ans
    17,5 
    20 
    0-14 ans
    18 

    Lieux et monuments

    Église de Saint-André-des-Eaux (1878).

    Les principaux lieux (communes) de Saint-André-des-Eaux sont :

    • Avrillac ;
    • Belle-Étoile (la) ;
    • Bilac ;
    • Cabéno (le) ;
    • Chaussée Neuve (la) ;
    • Landes (les) ;
    • Marais d'Ust ;
    • Marland ;
    • Ville-ès-Allain (la) ;
    • Ville-Rouëllo (la) ;
    • Route du Chatelier.

    Les écoles sont :

    • Jules Ferry (publique) ;
    • Notre-Dame (privé) ;
    • Maternelle Notre-Dame (privé).

    Associations sportives andréanaises

    • La Saint-André-Football
    • Le TCA (Tennis Club Andréanais)
    • Le Full-contact andréanais
    • Le Basket-ball andréanais
    • Le club de Billard andréanais
    • Les sports aquatiques
    • Les Fanas du Dancing (Ecole de danse)

    La commune de Saint-André-des-Eaux abrite le golf de La Baule (Saint-Denac).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Réélu en 1977.
    7. Réélu en 1989, 1995, 2001 et 2008.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Notes

      Références

      1. Marie Rouzeau, Du Pays de Guérande à la Côte d’Amour, Plomelin, Palatines, coll. « Histoire et géographie contemporaine », , 223 p. (ISBN 978-2-35678-023-2).
      2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
      5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      8. « Station Météo-France Pte de Chemoulin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      9. « Orthodromie entre Saint-André-des-Eaux et Saint-Nazaire », sur fr.distance.to (consulté le ).
      10. « Station Météo-France Pte de Chemoulin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      11. « Orthodromie entre Saint-André-des-Eaux et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
      12. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      18. « Unité urbaine 2020 de Saint-Nazaire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      23. « Données statistiques sur les communes de métropole commune : répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur Corine Land Cover, (consulté le ).
      24. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
      25. « Alain Donne présente ses derniers vœux de maire », sur un site du journal Ouest-France, (consulté le ).
      26. « Saint-André-des-Eaux. Catherine Lungart a été élue maire lundi soir », Ouest-France, (lire en ligne).
      27. « Commune de Saint-André-des-Eaux (44151) », Insee (consulté le ).
      28. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
      29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-André-des-Eaux (44151) », (consulté le ).
      34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
      35. « Menhir à cupules », notice no PA00108788, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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