Saint-Avit-Rivière
Saint-Avit-Rivière est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Avit et Rivière (homonymie).
Saint-Avit-Rivière | |||||
Le petit bourg de Saint-Avit-Rivière. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Mucha 2020-2026 |
||||
Code postal | 24540 | ||||
Code commune | 24378 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
81 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 5,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 45′ 07″ nord, 0° 52′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 101 m Max. 251 m |
||||
Superficie | 14,00 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lalinde | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Géographie
Généralités
Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, la commune de Saint-Avit-Rivière est située dans la partie orientale du Bergeracois. Elle est arrosée au nord ainsi qu'au nord-est par la Couze qui sert de limite territoriale sur plus de trois kilomètres en quatre tronçons.
Traversé par la route départementale 2, le petit bourg de Saint-Avit-Rivière est situé 300 mètres au sud de la Couze et, en distances orthodromiques, quinze kilomètres au sud-est de Lalinde et dix-neuf kilomètres au sud du Bugue.
Entre Montferrand-du-Périgord et Bouillac, le GR 36 traverse la commune du nord-ouest au nord-est sur deux kilomètres et demi, passant 150 mètres au nord du bourg.
Communes limitrophes
Saint-Avit-Rivière est limitrophe de six autres communes. Deux autres communes sont relativement proches du territoire communal : au sud, Marsalès est distante de 500 mètres et au nord-ouest Saint-Avit-Sénieur est éloignée de 700 mètres.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Avit-Rivière est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||
Pléistocène | non présent | |||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène | non présent | ||||||||||
Éocène |
| |||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
| |||||||||
inférieur | non présent. | |||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | |||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 101 mètres[5] à l'extrême nord-ouest, là où la Couze quitte la commune et entre sur celle de Montferrand-du-Périgord, et 251 mètres[5] à l'extrême sud-est, près du lieu-dit le Moulin Vent, en limite de la commune de Saint-Pardoux-et-Vielvic[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 14,00 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 14,11 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Couze et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[14],[Carte 1].
La Couze, d'une longueur totale de 30,09 km, prend sa source dans la commune de Pays de Belvès et se jette dans la Dordogne à Couze-et-Saint-Front, après avoir traversé dix communes[15].
- La vallée de la Couze à Saint-Avit-Rivière, en aval de la route départementale 2.
- Réseaux hydrographique et routier de Saint-Avit-Rivière.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[24] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 33 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[28], à 13,1 °C pour 1981-2010[29], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[30].
Urbanisme
Typologie
Saint-Avit-Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[32],[33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,3 %), prairies (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %)[36].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le petit bourg de Saint-Avit-Rivière proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[37] :
- Bois de Campagnac
- Bois Hauts
- Borie
- Brouillol
- Broumet
- Campeymac
- Cap du Terme
- le Château de la Mouthe
- le Couderc
- Coudougnol
- Cros de Salès
- les Croses
- les Daurelles
- Font de l'Âne
- la Font du Bousquet
- Fontroubade
- la Forêt
- les Galages
- les Garrigues
- les Goussalandies
- les Granges
- le Lac de la Nauze
- Lamartinie
- Léone Basse
- Léone Haute
- Marié
- le Moulin de Borie
- la Mouthe
- les Ombradoux
- Peillou
- le Pessou
- les Peyrades
- Plane
- Queille
- Rotonniel
- Tage
- Taillefer
- Terme d'Astor
- la Vigne de Saintou.
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu date de l'an 1199 sous la forme Domus de Riparia correspondant à une maison religieuse dépendant de l'abbaye de Cadouin[38], située sur la rive (riparia) d'un cours d'eau[39].
En 1556 apparaît le nom de Sanctus Avitus de Ripia[38], où ripia est une déformation de riparia[39].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Avit de Riviere[40].
Le nom de la commune fait référence à un ermite, Avit ou Avitus, ancien soldat des armées d'Alaric II qui, fait prisonnier, devint moine après sa libération et mourut en l'an 518[41]. La seconde partie du nom de la commune correspond à l'occitan ribièra, dérivé de riparia relatif à un cours d'eau et à sa rive[39].
En occitan, la commune porte le nom de Sench Avit de Ribièra[42].
Histoire
Au XIVe siècle, la paroisse de Saint Avit dépendait de la châtellenie de Montferrand[43], ainsi que de l'archiprêtré de Capdrot rattaché à l'évêché de Sarlat[44].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Saint-Avit-Rivière a été rattachée au canton de Montferrand qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Cadouin dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5]. En 1830, la commune rejoint le canton de Monpazier, dans le même arrondissement[5].
Par décret du , le nombre de cantons du département est divisé par deux, avec mise en application aux élections départementales de . Le canton de Monpazier est supprimé à cette occasion. Ses treize communes sont alors rattachées au canton de Lalinde[45], dépendant également de l'arrondissement de Bergerac.
Pour les élections législatives, la commune vote depuis 1988 pour la deuxième circonscription de la Dordogne.
Intercommunalité
Fin 1994, Saint-Avit-Rivière intègre dès sa création la communauté de communes du Monpaziérois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[46],[47].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Avit-Rivière relève[49] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].
En 2019, la commune comptait 81 habitants[Note 8], en augmentation de 6,58 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent trente-cinq personnes, soit 45,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (neuf) a augmenté par rapport à 2010 (six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 25,7 %.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Avit[56],[57]. À l'origine, c'est une église du XIIe siècle qui a été très modifiée. Son plan en croix latine est le résultat d'une reconstruction tardive. Sur sa façade occidentale, son clocher-mur et son portail ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1970[58]. Une source historique de 1199 la déclare « dépendante de l'abbaye de Cadouin »[39]. Certains vitraux sont signés de Louis-Victor Gesta.
L'église Saint-Avit. Le portail de l'église. Chapiteaux sculptés du portail occidental. La nef. Signature de Louis-Victor Gesta sur le vitrail de l'Immaculée Conception.
Patrimoine naturel
Partagée avec les communes de Bouillac et Le Buisson-de-Cadouin, la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II de la « forêt de la Bessède » s'étend sur plus de 7 500 hectares[59],[60], dont une infime partie de moins de trois hectares concerne le territoire de Saint-Avit-Rivière, au nord du lieu-dit Terme d'Astor.
Cette ZNIEFF héberge onze espèces d'oiseaux protégées sur le territoire national[59],[61] : le Busard cendré (Circus pygargus), le Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), la Bondrée apivore (Pernis apivorus), la Buse variable (Buteo buteo), la Chouette effraie (Tyto alba), la Chouette hulotte (Strix aluco), l'Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), le Faucon hobereau (Falco subbuteo), la Fauvette pitchou (Sylvia undata), la Linotte mélodieuse (Carduelis cannabina) et la Locustelle tachetée (Locustella naevia).
En ce qui concerne sa flore, deux espèces de plantes sont également protégées au niveau national : la Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) et la Laîche fausse (Carex pseudobrizoides), cette dernière étant considérée comme espèce déterminante[59].
Voir aussi
Bibliographie
- Élisée Cérou, La commune de Saint-Avit-Rivière (canton de Monpazier), dans Les Cahiers du Groupe archéologique de Monpazier, no 7, 1994 (lire en ligne)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Avit-Rivière » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Avit-Rivière » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Avit-Rivière », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Avit-Rivière », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Avit-Rivière », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- Sandre, « la Couze »
- « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Avit-Rivière et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Avit-Rivière et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Saint-Avit-Rivière » sur Géoportail (consulté le 14 septembre 2020)..
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « SAINT-AVIT-RIVIÈRE », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 15 septembre 2020.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 304-305.
- « St Avit de Riviere » sur Géoportail (consulté le 14 septembre 2020)..
- Saint Avit - Soldat dans les armées d'Alaric (✝ 518), Nominis, consulté le 15 septembre 2020.
- Le nom occitan des communes du Périgord - Sench Avit de Ribièra sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « MONTFERRAND », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 15 septembre 2020.
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « CAPDROT », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 15 septembre 2020.
- Décret no 2014-218 du portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne, consulté le 14 septembre 2020.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 9 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 11 novembre 2020.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 14.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Dossier complet - Commune de Saint-Avit-Rivière (24378) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-Avit-Rivière (24378) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 décembre 2018.
- Jean-Pierre Verdon - Les églises romanes du Monpaziérois - p. 44-46 - Groupe archéologique de Monpazier - (ISSN 0767-9475).
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 189.
- « Église Saint-Avit », notice no PA00082808, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 septembre 2020.
- [PDF] Forêt de la Bessède, INPN, p. 2 et 18, consulté le 16 septembre 2020.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 720000930, INPN, consulté le 16 septembre 2020. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- Arrêté du fixant la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection, consulté le 16 septembre 2020.
- Portail des communes de France
- Portail de la Dordogne