Saint-Benoist-sur-Mer

Saint-Benoist-sur-Mer est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Benoist.

Saint-Benoist-sur-Mer

L’église Saint-Benoît.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Vendée-Grand-Littoral
Maire
Mandat
Daniel Neau
2020-2026
Code postal 85540
Code commune 85201
Démographie
Gentilé Bénédictins
Population
municipale
493 hab. (2019 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 25′ 28″ nord, 1° 21′ 11″ ouest
Altitude m
Min. 1 m
Max. 26 m
Superficie 15,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mareuil-sur-Lay-Dissais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Benoist-sur-Mer
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Saint-Benoist-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Saint-Benoist-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Saint-Benoist-sur-Mer
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont les Bénédictins et les Bénédictines.

    Géographie

    Le territoire municipal de Saint-Benoist-sur-Mer s’étend sur 1 556 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 9 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 1 et 26 mètres[1],[2].

     
    Paysages bénédictins du Marais poitevin.

    Le marais

    Avant le Xe siècle, Saint-Benoist-sur-Mer est un petit port bordé par le golfe des Pictons (océan Atlantique). Après, la mer n'occupe plus le golfe puisqu'il est asséché : le port bénédictin devient une enclave au cœur du marais.

    Saint-Benoist-sur-Mer ne possède plus aujourd'hui qu'un petit bout du Marais poitevin grâce, en grande partie, à son marais communal. Le village fait partie du marais desséché.

    Dans le cadre de la communauté de communes, le Pays-Moutierrois développe le communal de Saint-Benoist. Ainsi, l'été, des activités de canoës et de paddle, des promenades sont organisées pour les touristes. Des panneaux explicatifs et des jumelles, permettant de mieux percevoir le communal, sont aussi mis à la disposition du public toute l'année.

    En 2011, le Pays-Moutierrois crée une base à proximité du communal alors que la commune met en œuvre un projet de réhabilitation, la Grenouillère à côté du camping municipal.

    Les lieux-dits

    • Le Clos des Garnes (nouveau lotissement)
    • Le Village (commune de Saint-Benoist-sur-mer)
    • La Pentrelle
    • La Bergerie
    • La Vaud
    • Les Caillettes
    • La Jardinière

    Communes limitrophes

    Saint-Benoist-sur-Mer paradoxalement ne se situe pas à proximité de la mer, comme on pourrait le croire. Ainsi, de nombreuses communes sont limitrophes de la commune. Parmi ces communes, trois appartiennent à Sud-Vendée-Littoral (Lairoux, Grues et Saint-Denis-du-Payré), quatre à Vendée-Grand-Littoral (Angles, La Jonchère, Saint-Cyr-en-Talmondais et Curzon) dont la commune de Saint-Benoist-sur-Mer fait elle-même partie.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Benoist-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,8 %), prairies (42,9 %), zones urbanisées (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie[style à revoir]

    Période de changement de nomsNoms successifs de la communeNotes
    1265Sanctus Benedictus AngliAussi appelé « Saint-Benoît-d’Angles » par traduction littérale
    XIVe siècleSancti Benedicti
    1444Saint-BenoistLe nom Benoist est une forme ancienne du prénom Benoît,
    Révolution française« Bon-Marais »Ce nom ne fut jamais pris en compte par l'état civil car ce sont les révolutionnaires qui avait appelé le bourg ainsi.
    Depuis 1811Saint-Benoist-sur-MerLes Anciens[Qui ?] disent que sur-Mer auraient été ajoutés[Combien ?] à cause du dessèchement du Marais poitevin.

    Histoire

    Un port ?[style à revoir]

    Le balcon sur le marais.

    Les Romains envahissent la Vendée[Quoi ?] entre 58 et 51 av. J.-C., puis l'occupent jusqu'au IIIe siècle. Ils diffusent la langue et la culture latine qui sont rapidement assimilées. Au contact de Rome, la Gaule se couvre d'un réseau routier et fluvial lui permettant de connaître une réelle prospérité. À cette époque, une baie baptisée golfe des Pictons (Sinus pictonum) existait en lieu et place du Marais poitevin dans lequel les rivières environnantes se jetaient. Les Romains aménagent le vaste estuaire de l'une d'entre elles, le Lay et y créent des ports. Celui de Saint-Benoist est vraisemblablement l'un d'entre eux, car à l'arrivée des Vikings, entre 856 et 862, le port était déjà constitué et la population jugée assez importante.

    Au XIIIe siècle, lors des premiers dessèchements des marais, des travaux sont effectués sur l'achenal de Saint-Benoist, appelé plus tard rivière de Saint-Benoist, qui était l'un des trois bras de l'embouchure du Lay.

    Aux XVIe et XVIIe siècles, le port de Saint-Benoist entretenait d'actifs rapports avec la Hanse, groupement de marchands de cités d'Allemagne du Nord, la Hollande et l'Angleterre. Les navires venaient faire de grands chargements de sel des marais salants de Curzon, de blé et de vin.

    Maintenant, de nos jours Saint-Benoist-sur-Mer ne possède[Quoi ?] qu'un petit bout du Marais poitevin.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la croix haussée d'or, enhendée en chef et aux flancs, perronnée d'un degré en pointe, cantonnée au premier d'un buste de saint Benoît issant de la traverse, au deuxième d'une poignée de quatre trèfles tigés, au troisième d'un lapin contourné assis sur une terrasse isolée fumant la pipe, au quatrième d'un bateau à voile contourné voguant vent debout, le tout d'or.

    Légendes

    Le cheval Mallet

    La « croix des sorciers », telle qu'elle figure sur l'une des faces des médailles de saint Benoît, est l'une des seules protections fiables contre le cheval Mallet.
    Le « palet de Gargantua », où les habitants venaient frotter du trèfle pour se protéger des périls comme le cheval Mallet.

    Plusieurs légendes concernent le cheval Mallet, une maxime locale dit que « Voyageur fatigué laisse passer le cheval Mallet car il aurait tôt fait une fois enfourché de t'entrainer pour l'éternité ». Lorsque la nuit tombait sur le village, un cheval extraordinaire au pelage blanc et rutilant, sellé et bridé, apparaissait pour tenter les voyageurs nocturnes. Quiconque le montait se faisait aussitôt emporter au royaume des morts. La seule manière de s’en protéger consistait à porter une « médaille de Saint-Benoist » autour du cou, qui portait aussi le nom de « croix des Sorciers » et était réputée efficace contre les démons, tout particulièrement contre le cheval Mallet puisqu'elle permettait à certains malins de dominer la bête[10] pendant une nuit[11]. Les habitants de Saint-Benoist-sur-Mer venaient au printemps frotter une poignée de trèfles sur une pierre couchée dite « Palet de Gargantua », pour se protéger du péril du cheval Mallet.

    On raconte qu'un coureur de cabaret et de veillée rencontra un palefroi très amical, un soir. L'animal plia les genoux pour permettre à son cavalier de bien se placer en selle, mais à peine celui-ci avait-il saisi les rênes qu'il se sentit emporté à une vitesse vertigineuse, à travers le marais, les plaines, les collines, les broussailles et les ruisseaux. On ne le revit plus jamais. Dans la même région, l'expression « c'est un vrai cheval Mallet » désignerait une personne intrépide et ardente[12].

    Dans le même village, un homme qui croisa un cheval Mallet parvint à soumettre l'animal en faisant un grand signe de croix et en tenant la médaille de saint Benoît qu'il portait, avec l'incantation suivante :

    « Cheval Mallet, au nom du grand Saint Benoît, maintenant tu vas m'obéir. Y'a bé longtemps qu vu aller à Paris, te m'y conduis, pi après te me ramènes près de ma bourgeoise »

     Consigné par Henri Dontenville[13]

    Les légendes du Lapin qui fume

    Sur le toit de l'église, une sculpture représentant un lapin fumant une pipe est installée. Chose unique en France et même en Europe, l'histoire du Lapin qui fume reste mystérieuse : de nombreuses légendes ont repris ce « mythe bas-poitevin. » Néanmoins, parmi ces légendes, quelques-unes semblent être les plus vraisemblables.

    Le lapin et le curé

    Au Moyen Âge, dans le port de Saint-Benoist-sur-Mer, un curé qui fumait la pipe s'occupait des âmes bénédictines. Durant cette époque médiévale, l'évêché interdisait la consommation de tabac. L'évêque vint un jour dans le petit bourg de Saint-Benoist. Lorsque le prêtre apprit la nouvelle par quelques habitants du village, alors qu'il nourrissait les lapins, il jeta sa pipe dans le clapier près de l'église. L'évêque, qui lui rendit visite, ne remarqua rien.

    À la suite de cela, les Anciens racontent que le Lapin qui fume aurait été ainsi mis sur le toit de l'église Saint-Benoît.

    Mais comme chacun le sait, au Moyen Âge, en tout cas jusqu'à 1492, le tabac n'était pas encore arrivé en France. C'est seulement à l'époque des colonies en Amérique qu'on ramena le tabac en Europe.

    Le Chaud-Lapin

    Dans les années 1860, l'église de Saint-Benoist aurait été restaurée. Son grand-père étant l'un des charpentiers de l'équipe des artisans qui ont rénové le monument, un vieux monsieur est à l'origine du récit.
    Parmi les maçons et les couvreurs, un se trouvait être un « joyeux luron », connu pour faire la cour aux jeunes filles des bourgs alentour : on le nommait le « Chaud lapin. » Une fois le travail accompli, ses camarades décidèrent de sculpter un lapin en plâtre et de le poser sur le toit de l'église. L'un d'eux lui dit alors : « Tu ne pourras plus faire la cour aux filles, nous t'avons monté sur l'église ! »
    S'amusant de la plaisanterie, il alla placer lui-même une pipe à la sculpture puisqu'il fumait. C'est donc ainsi qu'un Lapin fut érigé en haut de l'église.

    De cette légende, une autre en découle. Celle-ci interdit aux demoiselles pas encore mariées de regarder la sculpture, sous peine de ne jamais trouver l'amour.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    An I An III Joseph Porcheron    
    An III An V Joseph Roy    
    An V An VII Charles-Joseph Savy L'Ainé    
    An VII An IX René-Sébastien Baudry    
    An XI 1822 Louis-Damien Pillenière    
    1822 1829 Jacques Brunier    
    1829 1932 Jean-Pierre Misière    
    1832 1846 Jean Chadéneau    
    1846 1871 Jean-Aimé Violain[Note 2]    
    1871 1892 Jean Levieux[Note 3]    
    1892 mai 1900 Benjamin Herbert[Note 4]    
    mai 1900 mai 1912 Barthélémy Barbière[Note 5]    
    mai 1912   Clorin Lebœuf   début de la Première Guerre mondiale au cours du mandat (1914)
      décembre 1919 Jacques Bardreau    
    décembre 1919 mai 1929 Pierre Canteteau[Note 6]    
    mai 1929 mai 1935      
    mai 1935 novembre 1940     début de la Seconde Guerre mondiale au cours du mandat (1939)
    régime de Vichy à partir de juillet 1940
    novembre 1940 mai 1945 Pierre Canteteau[Note 7]    
    mai 1945 octobre 1947      
    octobre 1947 mai 1953      
    mai 1953 mars 1959 Onésime Chadéneau    
    mars 1959 mars 1965      
    mars 1965 mars 1971 HALLOT Gustave    
    mars 1971 mars 1977 HALLOT Gustave    
    mars 1977 mars 1983 HALLOT Gustave    
    mars 1983 mars 1989 Cécile Masson    
    mars 1989
    (démissionnaire)
    Georges Spangenberg    
    Yves Robert    
    Juin 1995 En cours Daniel Neau[14] SE Professeur de tourisme
    Les données manquantes sont à compléter.

    Associations communales

    Local actuellement prêté par la mairie, on y trouve toutes sortes de prospectus sur le tourisme départemental et régional ainsi que des expositions de tableaux. Il n'est ouvert que trois mois par an (pendant l'été). Le fut inauguré le nouveau syndicat d'initiative et la nouvelle bibliothèque.

    Prêté également par la mairie, ce local est rempli de livres qui se prêtent gratuitement.

    Camping Le Marais, situé en plein cœur du marais, des toilettes sont disponibles ainsi qu'une carte de la Vendée sur le terrain.

    Médias bénédictins

    Logo de Télévision Saint-Benoist (TVSB).

    Saint-Benoist-sur-Mer possède deux médias d'échelle communale :

    • La Gazette bénédictine
      Bulletin communal édité tous les ans depuis août 1995.
    • Télévision Saint-Benoist (TVSB)
      Web TV de la commune créée le par Dimitri Auban de Larocque-Latour. Elle dépendait du syndicat d’initiative.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16].

    En 2019, la commune comptait 493 habitants[Note 8], en augmentation de 15,19 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    610229444366490538558588594
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    639663652680665683664699658
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    637612606571525485481458435
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    399350303314283319338343428
    2018 2019 - - - - - - -
    487493-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 44,6 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 239 hommes pour 248 femmes, soit un taux de 50,92 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[19]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    1,2 
    12,6 
    75-89 ans
    16,1 
    31,0 
    60-74 ans
    28,2 
    18,0 
    45-59 ans
    21,0 
    13,4 
    30-44 ans
    14,1 
    9,2 
    15-29 ans
    9,7 
    15,9 
    0-14 ans
    9,7 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2,1 
    8,4 
    75-89 ans
    11 
    19,5 
    60-74 ans
    20,4 
    20 
    45-59 ans
    19,4 
    18 
    30-44 ans
    17,1 
    14,9 
    15-29 ans
    13,2 
    18,5 
    0-14 ans
    16,8 

    Lieux et monuments

    • L’église Saint-Benoît : l'église de Saint-Benoist-sur-Mer fut dédiée à saint Benoît l’Abbé. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1957[21] Les vestiges archéologiques présents dans ses murs sont les témoins de la riche histoire de cet édifice religieux. La nef ainsi qu'une partie du clocher apparaissent comme étant les parties les plus anciennes, la nef daterait du XIe siècle.Au XVIIe siècle, l'église est utilisée comme place d'armes pour les huguenots. Elle fut reprise par les royalistes en 1621. De nos jours, elle est visitable et c'est sur le toit de l'église que trône un lapin mystérieux.
    • La dimension exceptionnelle de cette pierre est sans doute à l'origine de sa connexion aux légendes de Gargantua.
    • Cf. plus haut au paragraphe "Le cheval Mallet" : Les habitants de Saint-Benoist-sur-Mer venaient aussi au printemps frotter une poignée de trèfles sur une pierre couchée dite « Palet de Gargantua », pour se protéger de plusieurs périls comme le cheval Mallet.

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Réélu en 1846, 1855, 1860, 1865 et 1870.
    3. Réélu en 1874, 1878, 1881, 1888.
    4. Réélu en 1896.
    5. Réélu en mai 1904 et mai 1908.
    6. Réélu en mai 1925.
    7. Élu pour la troisième fois.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Commune 19748 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Saint-Benoist-sur-Mer », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Henri Dontenville, La France mythologique : Bibliothèque du merveilleux, vol. 2, H. Veyrier, , 393 p. (lire en ligne), p. 104-105.
    11. Robert Colle, Légendes et contes d'Aunis et Saintonge, Éditions Rupella, , 254 p. (lire en ligne), p. 41.
    12. Marceau Mathé, Les Sentiers d'eau : souvenirs du Marais poitevin : Mémoire vive, Seghers, , 300 p. (lire en ligne), p. 83.
    13. Henri Dontenville, La France mythologique : Bibliothèque du merveilleux, vol. 2, H. Veyrier, , 393 p. (lire en ligne), p. 105.
    14. « Elle est restée 35 ans au service des Bénédictins », Ouest-France, .
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    19. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Benoist-sur-Mer (85201) », (consulté le ).
    20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
    21. Notice no PA00110227, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 7.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Christiane Menanteau, Saint-Benoist-sur-Mer : Quinze siècles d’histoire, , 307 p.
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