Saint-Cézert

Saint-Cézert (Sent Cesèrt en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Saint-Cézert

La place du village.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts Tolosans
Maire
Mandat
Henri Oliveira-Soares
2020-2026
Code postal 31330
Code commune 31473
Démographie
Gentilé Saint-Cézeriens
Population
municipale
434 hab. (2019 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 57″ nord, 1° 11′ 43″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 173 m
Superficie 8,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Léguevin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Cézert
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Cézert
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Saint-Cézert
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Cézert

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne, à l'écart des grandes voies de communication, et s'étageant sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolongeant en Gascogne toulousaine. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Marguestaud, le ruisseau de Saint-Pierre, le ruisseau de la Goutoule, le ruisseau Secourieu et par deux autres cours d'eau.

    Saint-Cézert est une commune rurale qui compte 434 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. .

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Cézert se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 28 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 21 km de Léguevin[2], bureau centralisateur du canton de Léguevin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Grenade[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Aucamville (2,9 km), Le Burgaud (2,9 km), Launac (4,5 km), Savenès (5,4 km), Larra (5,6 km), Bellesserre (6,9 km), Beaupuy (7,6 km), Pelleport (7,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Cézert fait partie du pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne sis à l'écart des grandes voies de communication. Ce territoire s'étage sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolonge plein est en Gascogne toulousaine[4].

    Saint-Cézert est limitrophe de quatre autres communes dont une dans le département de Tarn-et-Garonne.

    Carte de la commune de Saint-Cézert et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Saint-Cézert[5]
    Aucamville
    (Tarn-et-Garonne)
    Le Burgaud
    Launac Grenade

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 894 hectares ; son altitude varie de 125 à 173 mètres[6].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de Marguestaud, le ruisseau de Saint-Pierre, le ruisseau de la Goutoule, le ruisseau Secourieu, le ruisseau de Larrivet et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le ruisseau de Marguestaud, d'une longueur totale de 23,2 km, prend sa source dans la commune de Caubiac et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Verdun-sur-Garonne (82), après avoir traversé 10 communes[9].

    Le ruisseau de Saint-Pierre, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune de Pelleport et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Marguestaud à Aucamville (82), après avoir traversé 8 communes[10].

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Cézert.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 718 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savenès_man », sur la commune de Savenès, mise en service en 1986[16] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 684,4 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 23 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,8 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[22].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[23],[24],[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Cézert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[I 2],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (0,2 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication

    La D3 passe à proximité du village.

    Transports

    La ligne 326 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare de Castelnau-d'Estrétefonds, en correspondance avec des TER Occitanie vers Toulouse-Matabiau, et la ligne 328 relie la commune au centre-ville de Grenade depuis Launac.

    La gare de Castelnau-d'Estrétefonds est la plus proche.

    L'aéroport de Toulouse-Blagnac est le plus proche du village.

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Cézert-Libre[29].

    Ses habitants sont appelés les Saint-Cézeriens.

    Histoire

    L’abbaye de Mas Grenier, fondée vers 940, est à l’origine de la création d’un prieuré à Saint-Cézert. En 1292 Bertrand Jourdain de l’Isle devint seigneur du domaine de Saint-Cézert et du fort de la Mothe. Au Moyen Âge, les maisons du village était resserrées autour de l’église. Le village était défendu à l’est par un talus et sur les autres côtés par un fossé et un chemin de ronde. Un pont-levis permettait de traverser le fossé, il se trouvait à l’entrée de l’actuelle place occitane.

    Au début du XVIe siècle, la seigneurie passa par mariage dans la famille Perusse d’Escars. En 1567 celle-ci fit restaurer le château de la Mothe sur les plans du célèbre architecte toulousain Dominique Bachelier. À la Révolution, le château devint bien national et le village fut renommé « Cézert libre ».

    Au XIXe siècle, sous le mandat de Raymond Sicard, maire de 1825 à 1865, l’église fut reconstruite. Puis en 1899, le maire François Sicard, lui aussi maire pendant 40 ans, fit construire la mairie-école prévue pour abriter les salles de classe, le logement des instituteurs et la mairie[30],[31],[32].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 100 habitants et 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de onze[33],[34].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Cézert faisait partie de l'ex-canton de Grenade) et avant le de la communauté de communes de Save et Garonne.

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1995 mars 2008 Henri Labezin DVD  
    mars 2008 mai 2020 Claude Butto DVD Retraité de l'enseignement
    mai 2020 En cours Henri Oliveira-Soares SE Ingénieur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2019, la commune comptait 434 habitants[Note 7], en augmentation de 3,58 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    314375370401437417415455413
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    449418374332326330325314327
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    308300278248278270262264271
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    270221188329402413350341411
    2017 2019 - - - - - - -
    434434-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
    Rang de la commune dans le département 301 421 199 225 239 278 290 271
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Saint-Cézert fait partie de l'académie de Toulouse. Les élèves du primaire sont regroupés au Burgaud, tandis que les collégiens étudient au collège de Cadours et les lycéens au lycée de Pibrac.

    Sports

    Chasse, pétanque,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de Save et Garonne[42].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 159 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 421 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 570 [I 5] (23 140  dans le département[I 6]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 7]4,8 %7,6 %8,2 %
    Département[I 8]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 268 personnes, parmi lesquelles on compte 82,8 % d'actifs (74,6 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs) et 17,2 % d'inactifs[Note 9],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 51 emplois en 2018, contre 43 en 2013 et 40 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 202, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 68,6 %[I 11].

    Sur ces 202 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 38 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 88 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 5,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Activités hors agriculture

    21 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Cézert au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 14]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 21 entreprises implantées à Saint-Cézert), contre 12 % au niveau départemental[I 15].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations201279
    SAU[Note 12] (ha)660454396543

    La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 543 ha[45],[Carte 5],[Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Orens

    Le clocher-mur de Saint-Orens de Saint-Cezert.

    L’église Saint-Orens actuelle fut construite au XIXe siècle. De l’ancienne église, située au même emplacement, elle a conservé la chapelle de la Vierge, le clocher et le portail, sur lequel figure la date de 1772. L’architecte diocésain Delort conduisit le chantier qui débuta en 1864. Malgré des travaux inachevés, l’église fut utilisée à partir du . Les travaux reprirent en 1870 et l’église fut consacrée le [46].

    Le clocher-mur imposant est coiffé d’un pignon triangulaire et percé de cinq baies. Il est soutenu par de puissants contreforts. La nef est de style néogothique avec une voûte en ogive. Elle est encadrée de six chapelles. En 1892 l’abbé Gilard choisit le peintre Laconde, Grand Prix de Rome, pour réaliser le décor du chœur. Prenant comme modèles les visages de ses contemporains de Saint Cézert, il réalisa une œuvre qui conte la vie de Saint-Orens, patron du village. Des travaux de restauration furent réalisés dans les années 1950 : restauration du sommet du clocher, des vitraux, de la voûte, de l’éclairage et du chauffage.

    Place du village

    Il y avait autrefois sur la place une bascule qui servait à peser les animaux et les récoltes avant de les vendre. On voyait aussi sur cette place le travail du forgeron qui servait à ferrer les bœufs. Le panneau fixé sur la façade de la maison Andrieu, à droite de la mairie, présente encore plusieurs modèles de fers de différentes tailles pour les chevaux, les bœufs, les vaches, etc. Sur la place se trouvent également le puits, la croix de mission et une statue de la Vierge. Un ancien pigeonnier est visible à gauche de la mairie. On élevait les pigeons pour en consommer la chair et pour collecter la fiente, appelée colombine[47]. C’était un engrais apprécié, en particulier pour la vigne, une culture importante à Saint Cézert au XIXe siècle. Pendant son mandat qui dura de 1825 à 1865, le maire François Sicard, fit construire, route d’Aucamville, à l’emplacement d’une source ancienne, la fontaine, le lavoir et l’abreuvoir.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Saint-Cézert » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Cézert » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Cézert » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Cézert » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Cézert » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Cézert » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Cézert et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Cézert et Léguevin », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Saint-Cézert », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 364-365.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Saint-Cézert », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
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