Saint-Christophe (Charente)
Saint-Christophe (Sent-Crestòfa en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
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Saint-Christophe | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Charente Limousine | ||||
Maire Mandat |
Patrick Rousseau 2020-2026 |
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Code postal | 16420 | ||||
Code commune | 16306 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Christophoriens | ||||
Population municipale |
317 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 00′ 13″ nord, 0° 51′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 199 m Max. 340 m |
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Superficie | 23,65 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Vienne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont les Saint-Christophoriens et les Saint-Christophoriennes[1].
Géographie
Localisation et accès
Saint-Christophe est une commune de la Charente limousine limitrophe de la Haute-Vienne située à 14 km de Confolens et 67 km au nord-est d'Angoulême.
Le bourg de Saint-Christophe est aussi à 5 km à l'est de Lesterps, 13 km au nord de Saint-Junien, 18 km au nord-est de Chabanais, 21 km au sud-ouest de Bellac et 37 km au nord-ouest de Limoges[2].
La route principale de la commune est la D 82, route de Confolens et Lesterps à Limoges par Oradour-sur-Glane, qui la traverse d'ouest en est. Le bourg est aussi desservi par la D 163 qui va vers le sud-ouest à Chabanais, et la D 330 au sud vers Brigueuil et Saint-Junien[3].
La gare la plus proche est celle de Saint-Junien, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.
Hameaux et lieux-dits
La commune compte de nombreux hameaux : au nord et à l'est : Joumard, Villesot, le Marousse, Essubras, l'Aumônerie (orthographié autrefois la Monnerie[4]), la Coutimanie, la Courrière Noire, Brac; au sud : le Grand Mesurat et le Petit Mesurat, la Cigogne, la Tuilerie; à l'ouest : Priésac, le Quéroy, Villessanot, etc. ainsi que quelques fermes[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.
Le sous-sol de la commune se compose essentiellement de gneiss. On trouve aussi du granit et de la diorite à l'ouest[5],[6],[7].
La commune de Saint-Christophe occupe un vaste plateau ondulé incliné vers l'ouest, dont l'altitude moyenne dépasse 250 m. Les altitudes s'étagent entre 199 m, dans la vallée de la Marchadaine au nord-ouest, et 340 m, au nord-est à la Butte de Frochet. Le bourg est à environ 270 m d'altitude[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[8]. Elle est drainée par la Courrière, la Marchadaine, l'Eaupedde et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 31 km de longueur totale[9],[Carte 1].
La Marchadaine, affluent de l'Issoire et sous-affluent de la Vienne traverse le nord-est de la commune. La Courrière, autre affluent de l'Issoire qui passe près Lesterps, prend sa source au sud. De petits étangs parsèment aussi la commune.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vienne ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].
Climat
Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.
Urbanisme
Typologie
Saint-Christophe est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,3 %), forêts (15,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), terres arables (4,3 %), zones urbanisées (1,2 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous sa forme latinisée Sanctus Christophorus prope Stirpem (« Saint-Christophe près de Lesterps ») en 1315[18].
Son nom vient de saint Christophe, porteur du Christ et martyr au IIIe siècle[19].
La commune s'est appelée Saint-Christophe à partir du nom de la paroisse, dès sa création en 1793[20]. Pour ne pas la confondre avec la commune de Saint-Christophe près de Chalais (fusionnée en 1946), elle était parfois appelée parfois informellement Saint-Christophe-de-Confolens, comme Saint-Christophe-de-Chalais pour l'ancienne commune près de Chalais. Mais elles étaient toutes deux écrites Saint-Christophe sur les cartes de Cassini (XVIIIe siècle) et d'État-Major (XIXe siècle)[3].
Histoire
Le camp de la Faye, dans le nord de la commune et proche de l'oppidum du Dognon dans la commune voisine de Lesterps, est supposé romain. Ses talus reposent sur des substructions[23],[24].
Saint-Christophe, paroisse de l'ancien diocèse de Limoges, était au XIVe siècle à la limite du comté de l'Angoumois et du Limousin[25].
L'église de Saint-Christophe était le siège d'un prieuré dépendant de l'abbaye de Lesterps. En 1782, le dernier prieur, nommé Dessain, fit construire l'actuel presbytère de ses propres deniers.
Le château, dont il ne reste qu'une tour, était le siège d'une seigneurie qui relevait de la vicomté de Brigueuil. Ses plus anciens seigneurs connus appartenaient à la famille du Theil ou du Teil. Le fut scellé par contrat conclu au château une double alliance entre la famille du Teil et la branche bellachonne de la famille Feydeau : tandis que Robert Feydeau, sieur de Charbonnières (Blanzac), épousait le jour-même en l’église de Saint-Christophe Isabeau du Teil, le lendemain François du Teil, frère d’Isabeau, épousait en l’église Notre-Dame de Bellac[26] Catherine Feydeau, sœur de Robert. Les époux du Teil ne laissant pas d’enfant à leur décès, la seigneurie de Saint-Christophe passa alors en 1729 aux Feydeau[27] qui en portent le nom et en possèdent encore le domaine aujourd'hui[28],[29].
Dans le sud de la commune, Pers (aujourd'hui orthographié Pairs) était aussi le siège d'un fief. Au début du XVe siècle, le château de Pers appartenait à la famille de Cognac. À la fin du XVIe siècle, une rivalité avait surgi entre les seigneurs de Saint-Christophe et ceux de Pers au sujet des préséances à l'église, et elle fut réglée par arbitrage. Au XVIIIe siècle, la terre de Pers passa aux des Monstiers, baron d'Auby et de la Valette (paroisse de Nouic), qui ne la conservèrent pas longtemps[29],[30],[31].
Administration
La commune de Saint-Christophe a été créée en 1793 dans le canton de Brigueuil puis est passée dans celui de Confolens en 1801 et Confolens-Sud en 1802.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2019, la commune comptait 317 habitants[Note 2], en diminution de 10,7 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 159 hommes pour 160 femmes, soit un taux de 50,16 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Remarques
Durant le XXe siècle, Saint-Christophe a perdu 70 % de sa population.
Économie
Le moulin du Buisson a été un moulin à blé et une minoterie construite à la fin du XIXe siècle. Un moulin à huile a été détruit vers 1960[37]. L'autre minoterie était la minoterie Trouillaud située au lieu-dit l'Aumônerie construite entre 1880 et 1900 qui possède une turbine hydraulique installée en 1939[38].
Actuellement l'activité se limite au relai Saint-Christophe, un garage et un électricien, en sus de la SERIM (Société d'Études et Réalisations Industrielles Meunières), ainsi qu'un restaurant.
Équipements, services et vie locale
Vivre à Saint-Christophe
Les clubs sportifs sont le Saint-Christophe Football Club, le Nouic Rallye Compétition et l'Association communale de chasse, les autres associations étant l'Amicale pour les enfants de Saint-Christophe, le club du 3e âge et le comité des fêtes[39].
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Christophe possède deux objets classés monument historique au titre objet : un retable et un fer à hosties[40],[41].
Son chœur date du XIIe siècle, son clocher du XVe siècle comme l'allongement de la nef puis elle a été restaurée en 1690.
Une litre funéraire qui porte les armes de la famille du Theil ceinturait le chœur[39].
- Vue du sud.
- L'entrée.
- Statuette sur le mur latéral nord.
- La nef et le chœur.
- Vitrail de saint Christophe.
- Logis au centre du bourg, dont la tour était celle de l'ancien château[28].
Personnalités liées à la commune
- François Feydeau de Saint-Christophe, né le au château de Saint-Christophe. Après ses études à Angoulême et à Poitiers, il devint gendarme de la Garde (1755), puis passa en tant qu'officier aux Grenadiers de France. Vétéran de la Guerre de Sept Ans, il participa à la Guerre d'indépendance des États-Unis (campagne des Antilles) en tant que major, puis lieutenant-colonel (1779) avec brevet de colonel (1780) du régiment d'Armagnac-Infanterie commandé successivement par le comte de Lowendal puis le marquis de Livarot. Il fut grièvement blessé à la tentative de reprise de l'Île Sainte-Lucie le à la tête de ses hommes, participa à la prise de l'Île de Tobago (1781) puis à la phase terrestre de la bataille de Saint-Christophe (1782) où sa belle conduite lui valut le gouvernorat (par intérim) de l'Île Saint-Vincent et la promesse du grade de brigadier. Mort le à Kingstown des suites de ses blessures alors gouverneur (depuis ) pour le roi de Saint-Vincent (Antilles). Chevalier de Saint-Louis (1771). Il est le membre d'origine de la famille de Feydeau de Saint-Christophe à la Société des Cincinnati (branche française)[42].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Christophe » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte d'État-Major sur Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Oradour-sur-Glane », sur Infoterre, (consulté le )
- « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Christophe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Vienne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 21
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 592.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 127
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 148
- Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 129 (carte)
- Registre de ND de Bellac, vue 243/326).
- La seigneurie de Saint-Christophe passa en 1729 à Jean Feydeau (1698-1779), fils de Robert Feydeau de Charbonnières, capitaine de la milice bourgeoise de Bellac, et d’Isabeau du Teil (Registre de ND de Bellac, vue 304/326).
- Inventaire général du patrimoine culturel, communauté de communes du Confolentais, « Château de Saint-Christophe », (consulté le )
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 320-321
- Inventaire général du patrimoine culturel, communauté de communes du Confolentais, « Saint-Christophe, château de Pairs », (consulté le )
- Jean-Marie Ouvrard, « Famille de Coignac », (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Christophe (16306) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Moulin du Buisson », notice no IA00066375, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Minoterie Trouillaud », notice no IA00066376, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Site de la Communauté de communes
- « Retable », notice no PM16000323, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Fer à hosties », notice no PM16000262, base Palissy, ministère français de la Culture
- Dossier militaire
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Dujardin V., Moinot É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, n° 243, Geste éditions, 2007.
Liens externes
- Site de la communauté de communes du Confolentais, « Saint-Christophe » (consulté le )
- Catillus Carol, « Saint-Christophe », (consulté le )
- Communauté de communes du Confolentais, Inventaire du patrimoine culturel, « Saint-Christophe », (consulté le )
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