Saint-Cirgues (Lot)

Saint-Cirgues est une commune française, située dans l'est du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le Ségala lotois, une région naturelle constituant la frange occidentale de la Châtaigneraie, constituant le parent lotois du Ségala aveyronnais et tarnais.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Cirgues.

Saint-Cirgues

Église de la Nativité-de-la-Vierge de Saint-Cirgues
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Alain Hebert
2020-2026
Code postal 46210
Code commune 46255
Démographie
Gentilé Saint-Cirguois
Population
municipale
334 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 18″ nord, 2° 07′ 30″ est
Altitude Min. 283 m
Max. 657 m
Superficie 32,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Figeac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lacapelle-Marival
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Cirgues
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Cirgues
Géolocalisation sur la carte : Lot
Saint-Cirgues
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Cirgues
Liens
Site web www.saint-cirgues.com/

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Veyre, le Bervezou, le ruisseau Noir, la Garinie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Cirgues est une commune rurale qui compte 334 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 610 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Figeac. Ses habitants sont appelés les Saint-Cirguois ou Saint-Cirguoises.

    Géographie

    Commune située dans le Quercy à une cinquantaine de kilomètres d'Aurillac, dans les premiers contreforts du Massif central.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe du département du Cantal.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 202 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maurs », sur la commune de Maurs, mise en service en 1992[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 176,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[14] :

    • les « environs de Pierres-Blanches » (182 ha), couvrant 3 communes dont une dans le Cantal et deux dans le Lot[15] ;
    • la « haute vallée du Bervezou et Béale de Pétignoux » (28 ha), couvrant 2 communes du département[16] ;
    • « le ruisseau Noir » (6 ha)[17] ;
    • les « Serpentines de Paramelle » (4 ha)[18] ;
    • les « zones humides des ruisseaux de Lavergne-Basse et de Saint-Cirgues » (38 ha), couvrant 2 communes du département[19] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[14] : le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » (12 535 ha), couvrant 28 communes dont six dans le Cantal et 22 dans le Lot[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Cirgues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,1 %), forêts (39,9 %), prairies (8,5 %), zones urbanisées (0,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient de saint Cyr, honoré dans l'église paroissiale qui porte son nom, dont une des formes occitanes du nom est Cirgue. Le -s final ne s'explique pas par l'évolution phonétique normale de Cyricus, puisque dans les mots latins en -us, la consonne disparaît à date ancienne.

    Durant la Révolution française, la commune porte le nom de Cirgues[24].

    Ses habitants sont appelés les Saint-Cirguois[25].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Georges Bac    
    mars 2008 En cours Christian Venries    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2019, la commune comptait 334 habitants[Note 8], en diminution de 8,24 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4841 4371 5341 3911 4801 4961 5681 5971 602
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6101 5861 5021 5521 4001 3691 3351 3071 246
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1381 0831 014863854850769759657
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    580595509507421355379388379
    2014 2019 - - - - - - -
    355334-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 157 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 332 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 130 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]7,6 %7,6 %6,3 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 196 personnes, parmi lesquelles on compte 75,4 % d'actifs (69,1 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 24,6 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 83 emplois en 2018, contre 94 en 2013 et 98 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 141, soit un indicateur de concentration d'emploi de 58,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 10].

    Sur ces 141 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 58 travaillent dans la commune, soit 41 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 71 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 9,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 18,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    37 établissements[Note 11] sont implantés à Saint-Cirgues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble37
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    2054,1 %(14 %)
    Construction924,3 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    25,4 %(29,9 %)
    Activités immobilières25,4 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    38,1 %(13,5 %)
    Autres activités de services12,7 %(8,7 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 54,1 % du nombre total d'établissements de la commune (20 sur les 37 entreprises implantées à Saint-Cirgues), contre 14 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans le Segala », une petite région agricole occupant la frange est du département du Lot[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations78554239
    SAU[Note 14] (ha)1 8181 8591 9601 691

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 78 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 55 en 2000 puis à 42 en 2010[31] et enfin à 39 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[32],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1818 ha en 1988 à 1691 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 23 à 43 ha[31].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Géraud de Saint-Cirgues ou/et Église de la Nativité-de-la-Vierge de Saint-Cirgues dont la partie droite du toit est penchée vers la gauche (visible en venant de Lauresses).
    • Le tilleul de Paramelle se situe au lieu-dit Paramelle ; c'est un arbre remarquable qui aurait environ 400 ans ; on l'appelle aussi tilleul de Sully en l'honneur de Sully, ministre d'Henri IV ; il faisait 35 mètres de hauteur et est assez rare[33]. La tempête du a fait éclater l'arbre dont 3 branches géantes de 19 mètres ont écrasé 2 bâtiments de la ferme riveraine, évitant un enfant et une femme. À la suite de ce drame évité de justesse, il a été élagué par des professionnels. Il fait 20 mètres de haut. Il a repris un nouveau houppier verdoyant mais continue de lutter contre ses capricornes.

    Personnalités liées à la commune

    • Saint Géraud, dit Géraud d'Aurillac, est mort le vendredi à Saint-Cirgues. Le corps du défunt fut transporté à pied à Aurillac, en l'abbaye qu'il avait fondée.
    • Le pape, de l'an 1000, grand scientifique, Sylvestre II, Gerbert, un petit pâtre qui est sorti d'un "vialon" de Saint -Cirgues[34].
    • Georges Gay (né le à Saint-Cirgues et mort le à Toulouse) est un coureur cycliste français.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Cirgues » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Cirgues » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Cirgues » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Cirgues » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Maurs - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Cirgues et Maurs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Maurs - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Cirgues et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Cirgues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « environs de Pierres-Blanches » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « haute vallée du Bervezou et Béale de Pétignoux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF « le ruisseau Noir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « Serpentines de Paramelle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « zones humides des ruisseaux de Lavergne-Basse et de Saint-Cirgues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    29. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    30. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    31. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Cirgues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
    33. Le tilleul de Sully.
    34. Se reporter à la vie de saint Géraud écrite par l'abbé Odon de Cluny seulement une vingtaine d'années après la mort du comte Géraud, sur la base de quatre témoignages directs de personnes ayant connu saint Géraud.
    • Portail du Lot
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.