Saint-Georges-des-Groseillers

Saint-Georges-des-Groseillers est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 3 152 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Saint-Georges, Saint Georges (homonymie) et Georges.

Saint-Georges-des-Groseillers

La Vère en limite de territoire.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Argentan
Intercommunalité Flers Agglo
Maire
Mandat
Stéphane Terrier
2020-2026
Code postal 61100
Code commune 61391
Démographie
Gentilé Georgiens
Population
municipale
3 152 hab. (2019 )
Densité 446 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 13″ nord, 0° 34′ 24″ ouest
Altitude Min. 172 m
Max. 276 m
Superficie 7,06 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Flers
(banlieue)
Aire d'attraction Flers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Flers-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Georges-des-Groseillers
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Saint-Georges-des-Groseillers
Géolocalisation sur la carte : Orne
Saint-Georges-des-Groseillers
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Saint-Georges-des-Groseillers

    Géographie

    Le territoire communal s'étend sur la rive droite de la Vère (affluent du Noireau) en aval de Flers dont il est limitrophe. Le sud du territoire est par ailleurs compris dans la zone urbaine flérienne. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie place la commune au nord-est de l'unité des hauts pays de l’ouest ornais et du Mortainais située majoritairement au nord-ouest du département de l'Orne et caractérisée par un «  paysage rude, marqué par un relief complexe modelé par les cours d’eau qui en divergent comme d’un château d’eau »[1].

    Le bourg est à 2,5 km au nord de Flers et à 10 km au sud de Condé-sur-Noireau. La commune est parcourue par deux ramifications de la route départementale 962, l'une la reliant à Flers au sud et rejoignant l'autre au nord du territoire, s'unissant en direction de Condé-sur-Noireau et Caen. Cette autre ramification longe la limite nord-est, tantôt sur Saint-Georges, tantôt sur Aubusson, et rejoint la départementale 924 Flers-Argentan, servant ainsi de voie de contournement de l'agglomération.

    Saint-Georges-des-Groseillers est dans le bassin de l'Orne, par son sous-affluent la Vère qui délimite le territoire du sud-ouest au nord. Trois de ses affluents parcourent le territoire communal : le ruisseau de la Planchette qui marque la limite avec Flers au sud, le ruisseau d'Aubusson qui marque la limite avec Aubusson à l'est et un ruisseau plus modeste au sud du bourg.

    Creusé par la vallée de la Vère à l'ouest, le territoire est ponctué de quelques collines. Le point culminant (276/278 m) se situe à l'est, à proximité du lieu-dit le Haut Faix, près du château d'eau et de la D 807. La route remonte également à une hauteur comparable à la sortie du territoire, au carrefour de la Trigale. Le point le plus bas (172 m) correspond à la sortie de la Vère de la commune, au nord.

    Le climat est océanique, comme dans tout l'Ouest de la France. La station météorologique la plus proche est Caen-Carpiquet, à 47 km, mais Alençon-Valframbert et Granville-Pointe du Roc sont à moins de 75 km[2]. Le bocage flérien s'en différencie toutefois pour la pluviométrie annuelle qui, à Saint-Georges-des-Groseillers, avoisine les 950 mm[3].

    Les lieux-dits sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire : le Moulin de la Riptière, la Fosse, le Castel (au nord), la Poterie, la Riptière, le Bourg, les Groseillers, le Clos, Launay Cornu, les Bruyères (à l'est), Sotavie, le Haut Faix, le Bas Faix, le Bois de Flers, Bellevue (au sud), la Garenne, le Moulin de Launay, le Hameau de Vère, les Nouettes, la Bourdonnière et le Prieuré (à l'ouest)[4].

    Communes limitrophes de Saint-Georges-des-Groseillers[5]
    Caligny Caligny Montilly-sur-Noireau (par un angle)
    Aubusson
    La Lande-Patry Aubusson
    La Lande-Patry Flers Flers

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 928 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Athis-de-L'orne », sur la commune d'Athis-Val de Rouvre, mise en service en 1968[13] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 944,6 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, dans le département du Calvados, mise en service en 1945 et à 47 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[17] à 11,2 °C pour 1981-2010[18], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Georges-des-Groseillers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Flers, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[23] et 21 774 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Flers dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,5 %), zones urbanisées (26,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), terres arables (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,5 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancti Georgii des Groiseilliers vers 1350[30], Saint George des Groiseillers en 1793, Saint-Georges-des-Groseillers[31].

    La paroisse est dédiée à Georges de Lydda, martyr chrétien du IVe siècle.

    Pour Gérard Louise, le déterminant grosellier pourrait s'apparenter au substantif grève, le « gravier ». En effet, les noms de groue, groie, grève, grésil, auxquels s'ajoutent les diminutifs groisillon, grésillon, désignent très souvent une terrain caillouteux et pauvre. L'ancien français groe est le synonyme de gravier ou de cailloux ; la groéle est une terre mêlée de pierres, peu fertile[32].

    Pour René Lepelley, l'origine de Groseillers est incertaine[33].

    Le gentilé est Georgien.

    Histoire

    Lors de la bataille de Normandie, Saint-Georges est libéré le même jour que Flers le par la 11e division blindée britannique[34],

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1792 Nicolas Vardon    
    1793 1795 Jean Lecornu    
    1795 1795 Nicolas Vardon    
    1800 1811 Jacques François Vardon    
    1811 1843 Jacques Lecornu    
    1843 1843 Jean Chaufray    
    1867 1880 Jacques Duval    
    1881 1889 Alexandre Chantepie    
    1889 1892 Victor Malherbe    
    1892 1908 Albert Chatel    
    1908 1940 Ferdinand Letortu    
    1941 mars 1971 Henri Malherbe    
    mars 1971 mars 1989 Maurice Lecocq    
    mars 1989 juin 1995 Jacques Jousse    
    juin 1995[40] mars 2008 Anna Gerbet    
    mars 2008 mai 2020 Guy Lange[41] DVD Industriel retraité
    mai 2020[42] En cours Stéphane Terrier DVD Ancien boulanger-pâtissier, conseiller départemental depuis 2021
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et cinq adjoints[42].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

    En 2019, la commune comptait 3 152 habitants[Note 9], en diminution de 3,28 % par rapport à 2013 (Orne : −3,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Saint-Georges-des-Groseillers a compté jusqu'à 3 405 habitants en 1982.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7988259451 0431 0621 4121 5441 5651 716
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7561 8681 9082 0032 0632 2452 3952 1922 344
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2732 3342 2802 0761 9812 0112 0352 2832 330
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    2 5982 6912 9413 4053 3613 2593 1933 1753 259
    2018 2019 - - - - - - -
    3 1603 152-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Georges.

    Activité et manifestations

    Sports

    L'emblème du sport georgien est le léopard, en référence à son tout premier partenaire[réf. nécessaire].

    En football, l'Association sportive des Léopards de Saint-Georges a été créée en 1968[réf. nécessaire]. Le club fait évoluer une équipe en ligue de Normandie et deux autres en divisions de district[48].

    En 2022, le club compte 263 licenciés, comportant les U7-U9-U9F-U11-U11F-U13-U15-U18-Séniors-Séniors F-Foot Loisir[réf. nécessaire].

    Manifestations

    Personnalités liées à la commune

    • François Morel, acteur, né en 1959 à Flers, a résidé à Saint-Georges-des-Groseillers durant toute son enfance.
    • Zéphirin Jegard, cycliste et espérantophone, réside dans la commune.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Saint-Georges-des-Groseillers (Orne) : de la commune à l'intercommunalité (1790-1994), Le Pays bas-normand, n° 281-282, 2011, 204 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. [PDF] « www.donnees.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 7.4.2 : Les hauts pays de l’ouest ornais et du Mortainais » (consulté le ).
    2. Distances orthodromiques selon le site Lion 1906
    3. « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 » (consulté le ) (archive Wikiwix du site www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr)
    4. « Saint-Georges-des-Groseillers » sur Géoportail..
    5. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    6. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Athis-de-L'orne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Saint-Georges-des-Groseillers et Athis-Val de Rouvre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Athis-de-L'orne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Saint-Georges-des-Groseillers et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Unité urbaine 2020 de Flers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    24. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Flers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Georges-des-Groseillers », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    32. Gérard Louise, L'origine des noms de communes du canton de Flers : Le Pays Bas-Normand, numéro spécial Connaissance du Bocage, vol. 3, .
    33. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2, BNF 36174448), p. 222.
    34. « Saint-Georges-des-Groseillers (61 Orne La libération », sur normandie44lamemoire.com (consulté le ).
    35. « Résultats des élections régionales 2015 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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    38. « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    39. « Résultats des élections européennes 2009 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    40. « Anna Gerbet, maire, conduira une liste », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    41. Réélection 2014 : « Saint-Georges-des-Groseillers (61100) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    42. « Saint-Georges-des-Groseillers. Stéphane Terrier a été élu à l’unanimité », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    47. « Normandie 44 La Mémoire - Flers/Saint-Georges-des-Groseillers/Aubusson » (consulté le ).
    48. « Site officiel de la Ligue Normandie – A. Les Léopards de St Georges ».
    49. « Ouest-france.fr - Une fête communale sous le signe indien ce week-end - Saint-Georges-des-Groseillers » (consulté le ).
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