Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)

Saint-Grégoire est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne. Appartenant à Rennes Métropole et peuplée de 9 890 habitants[Note 1], elle borde le nord de la commune de Rennes.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Grégoire.

Saint-Grégoire

L'église Saint-Grégoire.

Héraldique

Logo
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Pierre Breteau (MoDem)
2020-2026
Code postal 35760
Code commune 35278
Démographie
Gentilé Grégoriens
Population
municipale
9 890 hab. (2019 en augmentation de 10,02 % par rapport à 2013)
Densité 572 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 09′ 04″ nord, 1° 41′ 10″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 92 m
Superficie 17,30 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rennes
(banlieue)
Aire d'attraction Rennes
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Betton
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Grégoire
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Saint-Grégoire
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Saint-Grégoire
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Saint-Grégoire
Liens
Site web www.saint-gregoire.fr

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    Saint-Grégoire est longée par le canal d'Ille-et-Rance. Elle est la huitième commune la plus importante en termes de population, sur les quarante-trois que compte Rennes Métropole. Elle appartient au canton de Betton qui regroupe Saint-Grégoire, Betton, La Chapelle-des-Fougeretz et Montgermont.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    La ville verte et bleue

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    Écluse.

    Le canal d'Ille-et-Rance parcourt le territoire communal.

    Saint-Grégoire est depuis la fin du XIXe siècle, un des lieux de promenade favoris des Rennais. Le , on voit arriver les premières vedettes qui reliaient Rennes à Saint-Grégoire, les dimanches et les jours de fête. Saint-Grégoire devient alors un lieu de promenade et de pêche pour les citadins au bord de l'eau, à Robinson, près de l’écluse de Saint-Grégoire, rendu célèbre par son auberge au bord du canal. Les vedettes disparaissent en 1939.

    Le site de Robinson est aussi un lieu de rendez-vous culturels, où s'amarre la Péniche Spectacle au cours de sa programmation, offrant au public un lieu de spectacle original.

    En 2004, la ville a célébré le bicentenaire du canal. Les services communaux et les associations ont organisé des animations relatant l’histoire de la construction du canal, de son activité et de la vie quotidienne des riverains à cette époque.

    En 2022, la ville a été le point de départ du défi créatif Ille-Lumière dont l'objectif visait à illustrer, dévoiler et mesurer la lumière du canal grâce à des photos ou contributions vidéos[1]. Ce défi ouvert à tous entend rassembler des photos sur le réseau Instagram et identifiée sous le #illelumiere à la façon d'un souvenir rapporté d'un voyage ancien[2].

    Les frères Lumière avaient identifié l’Ille-et-Vilaine comme une terre d’innovation. Si c’est à Dinard qu’Auguste et Louis Lumière sont venus faire leurs premières expériences photographiques en 1877, les deux frères innovateurs étaient aussi passionnés par de nombreuses autres découvertes depuis le Serment de la "Goule és Fèes" né dans le département dans une graphie en langue gallèse.

    Ils avaient par exemple acheté et rénové un moulin pour produire une fécule de pomme de terre très fine, ingrédient nécessaire à l’émulsion photographique. Symbole bucolique et fluvial, le moulin de la cale Robinson représente une source d'énergie et par là même une source de lumière[1].

    A la suite de l'exposition universelle de Dubaï et de son pavillon France "Lumière, Lumières", le défi Ille-Lumière a invité les amoureux du territoire à faire dialoguer le canal avec les Nymphéas de Monet via une campagne picturale. Au même titre, Claude Monet entreprenait sur ses terres impressionnistes de fructueuses campagnes picturales[3].

    Avec son ami Georges Clemenceau, il avait choisi d'exposer la série monumentale des Nymphéas à l'Orangerie, un site conçu pour l’exposition d'œuvres de grandes tailles que l'artiste voulait léguer à la France au sortir de la Première Guerre mondiale. Monet souhaitait apporter la paix et de la campagne aux soldats blessés, en partageant des couleurs pleines de vie. C'est une démarche bucolique et mémorielle qui peut prendre un sens nouveau aujourd'hui, dans notre actualité marquée par des guerres de l’Ukraine au Yémen.

    Voies de communication et transports

    Desservie par les bus du réseau Star de Rennes Métropole :

    • Le centre via les lignes C2, 36 et 78 ;
    • La ZA Nord via les lignes C4 et 14 ;
    • Le quartier Kerfleury via les lignes C5 et 36 ;
    • Le quartier Maison Blanche est desservi via les lignes 51 et 71.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 706 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[10] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[11],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Grégoire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rennes, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[18] et 357 327 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (30,3 %), terres arables (20,6 %), zones urbanisées (18 %), prairies (17,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Saint-Grégoire et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 1],[I 2].

    Le logement à Saint-Grégoire en 2017
    Saint-Grégoire Ille-et-Vilaine
    Parc immobilier total (en nombre d'habitations) 4 418 546 440
    Part des résidences principales (en %) 93,6 86,2
    Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 6,9
    Part des logements vacants (en %) 5,0 6,9
    Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 65,0 59,8
    Part des ménages locataires de leur logement (en %) 34,1 39,0

    Morphologie urbaine

    Saint-Grégoire est située à la limite nord de Rennes et bordée des axes Rennes-Saint-Malo et Rennes-Mont Saint-Michel. De commune rurale jusqu’aux années 1960, Saint-Grégoire est devenue une banlieue urbaine.

    Des nouveaux quartiers d'habitation se sont développés autour du centre-bourg, en lien avec le centre ancien. Au sud de la commune, à cheval sur la commune de Rennes, une importante zone industrielle et commerciale a été aménagée à partir des années 1960. Cette zone accueille plusieurs centaines d'entreprises[25].

    Certaines œuvres telles que la fontaine de Saint-Jean ou le mur de la mairie font partie intégrante de la ville étant par ailleurs ses symboles.

    Saint-Grégoire dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du [26]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.

    Noms de rues

    Plusieurs rues et lieux symboliques de la ville font référence aux bâtisseurs de l'Union européenne. La commune est traversée par le boulevard Robert-Schuman, rond-point Schuman. À l'entrée d'Alphasis, la rue Jean Monnet bordée par l'allée Alcide de Gasperi, ainsi que l'allée Konrad Adenauer, auxquelles s’ajoute l’impasse Paul Henri Spaak perpétuent la mémoire des pères fondateurs de l'Europe.

    A l'occasion de la programmation citoyenne "Rennes fête l'Europe", un parcours en vélo à travers Saint-Grégoire pour célébrer le 9 mai, la fête de l'Europe. Le 9 mai 1950, Robert Schuman prononce le discours qui établit les bases de l'Union européenne[27].

    Un chêne des États-Unis de l'Europe est mis en valeur dans le lotissement du Moulin d'Olivet, au titre des arbres illustres de la commune[28].

    Projets d'aménagements

    A l'instar du circuit Lawrence d'Arabie de Dinard en référence à ses séjours d'enfance sur la Côte d'Emeraude, il a été proposé au maire de réfléchir à un circuit Lawrence d'Arabie à Saint-Grégoire. "Je suis tombé amoureux de la Rance et du canal" écrit Lawrence d'Arabie qu'il compare aux rives de la Tamise ainsi que la rivière Isis empruntée par les courses d'aviron de l'université d'Oxford, dans une lettre adressée à sa mère le 26 août 1907[29].

    Toponymie

    Le gentilé est Grégorien.

    Située au nord de Rennes, la commune de Saint-Grégoire tient ses origines non seulement d'un lien avec la Papauté mais aussi avec le clan Mc Gregor[30].

    Naissance de la paroisse Saint-Grégoire.

    Le mot paroisse, du grec παροικία, apparaît pour souligner le caractère nomade, "de passage", en référence biblique au séjour du peuple de Dieu en Égypte. Puis au IIe – IIIe siècle, le mot paroisse indique une idée de voisinage, de proximité.

    Celtique avec McGrégor, papale avec les Grégoire du Vatican ?

    Selon certaines sources[30], la paroisse Saint-Grégoire fait référence au pape éponyme dont le parcours est intervenu à l'époque d'une Rome décadente marquée par la fuite des intellectuels vers Constantinople. Il doit gérer les ravages de la Peste. Et sera reconnu par la somme de ses expériences et connaissances morales en remettant de l'ordre dans la Papauté : la fameuse réforme Grégorienne.

    A l'an mil, la situation de l'Église de Bretagne est médiocre : clergé local insuffisant et de mauvaise qualité, très dépendant des seigneurs laïcs qui mélangent le spirituel et le temporel.

    La piste d'une donation Mc Gregor ?

    D'autres sources précisent que les églises, en particulier rurales, ont appartenu à des particuliers pour diverses raisons (invasions normandes ou donations de fiefs à des chevaliers des croisades pour transmettre leur patrimoine). Des représentants bretons du clan McGregor pourraient être venus en secours à la paroisse[30].

    Une origine qui reste encore mystérieuse. Les donations de particuliers ont été très nombreuses notamment lors de la reprise en main de l'église bretonne par les autorités religieuses romaines.

    Bulle papale ou influence celtique ?

    Une identité duale qui laisse à chacun la possibilité de faire sa propre interprétation en se promenant sur la commune[30]. C'est d’ailleurs ce que laisse inspirer le logo de la ville de Saint-Grégoire sur le fronton des infrastructures sportives, éducatives et culturelles de la commune. Son logo représente la forme de deux escargots entrelacés comme si le mystère des origines n'avait pas été percé.

    Les Mc Gregor par delà les océans de la Bretagne à Hong-Kong.

    La presse écossaise et hong-kongaise continuent de nourrir les liens étonnants du clan McGregor entre Orient et Occident, depuis l'arrivée du gouverneur écossais de Hong-Kong : James McGregor. James Mc Gregor avait encouragé l'arrivée d'une élite écossaise qui a stimulé le développement maritime et commercial du Port aux parfums. Pendant les années d'âge d'or mais aussi en temps de crise. Un médecin de marine écossais, Patrick Manson, avait fait de grandes découvertes pour lutter contre la malaria[31].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Chlamys gregoriensis.

    Des objets de l’âge de bronze et des objets Romains ont été trouvés au siècle dernier dans l’ancienne carrière de calcaires marins, près de la Noé.

    Ces calcaires sont des vestiges de la présence de l’océan à l’ère tertiaire, dans ce qui est devenu depuis le Bassin de Rennes.

    De son ancienne appellation « la Ville rouge »[32], due à la couleur de ses murailles, on a déduit une origine gallo-romaine. La commune de Saint-Grégoire était traversée par la voie romaine allant de Condate (Rennes) à Avranches, dit encore au XIXe siècle "chemin de la Reine-Anne". A. Marteville et P. Varin précisent en 1853 que cette voie est en grande partie détruite par les cultures ; « ce qui en reste, enfouie sous la boue et les ornières, montre à peine quelques fragments de pavage. (...) À un kilomètre du bourg, et sur le bord de la voie, un camp romain est encore assez visible »[33].

    Moyen Âge

    La date de la fondation du bourg, qui porte le nom du pape Grégoire Ier, n’a pu être déterminée avec précision. La paroisse ne fut probablement constituée qu’autour du VIIIe ou IXe siècle. Elle devrait sa fondation à un évêque de Rennes qui, au retour d’un pèlerinage à Rome, ramena, sinon des reliques, du moins le culte de saint Grégoire le Grand, l’un des papes du VIe siècle.

    L'ancienne église daterait du XIe siècle. D’abord romane, celle-ci subit des adjonctions au XVe siècle et fut prolongée en 1836, avant d’être restaurée en 1972.

    Seon A. Marteville et P. Varin, « la commune actuelle de La Chapelle-des-Fougeretz était, en 1400, trève de Saint-Grégoire, qui comptait, en outre, les chapelles fondées du Chêne Macé, route de Melesse, de Launaye, attenante à l'église, des Masselin, route d'Antrain : toutes trois sont détruites aujourd'hui [en 1853]. Les chapelles privées étaient celles du Chênay-Beauregard, de Launay-Legonidec, du Vivier, de la Robinardière et de la Saudraye »[33].

    Saint-Grégoire faisait partie au XIIIe siècle de la châtellenie du Désert[34].

    En 1420 les maisons nobles étaient le Désert-Seul et la Hautière, à Pierre de Pocé ; la Grimaudaye et le Val, à Jean Le Prêtre ; la Brétèche, à Guillaume Mandart ; la Plesse, Launai, les Chesnais et Haudebert, à Jean du Breil ;la Vizeulle, la Saudraieet les Charbonnières, à N.[35]

    Dans la seconde moitié du XVe siècle, Jacques d'Espinay, évêque de Rennes, ayant été insulté dans le village de Saint-Grégoire, excommunia tous les paroissiens ; l'excommunication ne fut levée que contre le paiement d'une rente perpétuelle de 872 boisseaux de blé, que cette pauvre paroisse payait encore au XVIIIe siècle[36].

    Temps modernes

    Selon A. Marteville et P. Varin, « le grand bailliage épiscopal du Désert (dont dépendait Saint-Grégoire] appartenait avant 1700 à l'évêque de Rennes, qui en avait cédé les droits aux seigneurs de Launay la Plesse. La famille de Boisgelin, qui avait été seigneur en 1770, en avait aussi conservé le titre, mais sans en avoir les droits »[33].

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Grégoire en 1778 :

    « Saint-Grégoire ; à 1 lieue au nord de Rennes, son évêché, sa subdélégation et son ressort. On y compte 1 100 communiants[Note 8] ; la Cure est présentée par un chanoine de la cathédrale. Le territoire, coupé par la rivière d'Isle, offre à la vue des terres très exactement cultivées et beaucoup d'arbres et de buissons. On trouve dans certains cantons [endroits] des amas de sables [faluns] que la mer a probablement déposé et qui paraissent un detritum de coquilles : il ressemble assez à ce sable [ maërl ] que les agriculteurs utilisent pour fertiliser leurs terres. Les habitants le nomment sable de Saint-Grégoire (...)[35]. »

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Grégoire en 1853 :

    « Saint-Grégoire (sous l'invocation de saint Grégoire-le-Grand, pape). Commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Haut et Bas-Val, l'Épinay, Chenay-Macé, Mongiron, Maison Blanche, la Bretèche, Balus, Belle-Épine, Marre-Beaulieu, Aulnayes-Gonidec. Superficie totale : 1 733 hectares, dont (...) terres labourables 1 240 ha, prés et pâturages 278 ha, bois 11 ha, vergers et jardins 47 ha, canaux de navigation 10 ha, landes et incultes 64 ha (...). Moulins : 2 (à eau, de Saint-Grégoire, de la Charbonnière). Saint-Grégoire est un joli bourg, situé à mi-côte d'une colline qui domine le canal d'Ille-et-Rance. De belles prairies, de jolies maisons de campagne ornent son territoire, fertile et bien cultivé. L'ancienne paroisse relevait du chapitre de Rennes, qui en percevait les dîmes. (...) Des anciennes terres nobles, il ne reste plus que les ruines du château de la Plesse, près des bords de l'Ille.(...) La Saudraye a été reconstruite depuis peu. (...) À environ deux kilomètres du bourg est un des réservoirs qui fournissait jadis les eaux à l'aqueduc de Rennes. Il en sort une eau abondante et pure dont les aux, qui ne tarissent jamais, coulent dans la rivière, où elles se perdent. Saint-Grégoire repose sur un terrain tertaire moyen, entouré au nord, à l'est et à l'ouest, par le schiste argileux. Au nord principalement court un banc de dépôt coquillier, qui jadis a été exploité, soit comme pierre à chaux, soit pour faire des tombes funéraires. Ce calcaire pourrait être d'un immense profit pour l'agriculture (...). Sur plusieurs points de la commune, on exploite l'argile que la ville de Rennes emploie pour les enduits des maisons en bois, dont le nombre, heureusement, diminue de jour en jour. Ce territoire fournit des beurres, des foins et du cidre. On parle le français[33]. »

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Saint-Grégoire porte les noms de 50 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux trois (Ambroise Deschamps, Joseph Piel et Louis Robinard) ont été décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; 13 autres ont été décorés de la Croix de guerre. Joseph Moquet, tué à l'ennemi dès le à Rossignol (Belgique) et Pierre Périgault, tué le même jour à Virton, aussi en Belgique, ont été les premiers soldats originaires de Saint-Grégoire à être victime de cette guerre ; Alexandre Cadieu, tué à l'ennemi le à Saint-Souplet-sur-Py (Marne), fut le dernier. À l'exception des deux soldats tués en Belgique précédemment cités, tous les autres sont morts sur le sol français à l'exception de Louis Mayas, mort de maladie sur le navire-hôpital Lafayette et d'Augustin Delaporte, mort alors qu'il était prisonnier en Allemagne[37].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Saint-Grégoire porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale ; parmi eux, Albert Besnard, résistant, déporté au camp de concentration de Buchenwald, mort en déportation et Auguste Davy, mort en captivité à Sorau (Allemagne) [désormais Żary (Pologne)][37].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Un soldat originaire de Saint-Grégoire (Jean Leray) est mort pour la France pendant la Guerre d'Indochine et deux ( Yves Brouder et Bernard Monnier) pendant la Guerre d'Algérie[37].

    Les mobilités du futur

    Pour désengorger les axes de circulation de la ville, plusieurs scénarios de prospective sont envisagées, comme la desserte d'une troisième ligne C de métro ou d'une voie de busway à haut niveau de service. Ou même un téléphérique jusqu'à la station de métro Kennedy.

    D'autres scénarios ont été débattus comme le développement de l'éco-aviation et la place de l'hydrogène dans les mobilités de demain[38].

    La New Nature Economy

    La ville accueille un tissu d'entreprises technologiques et innovantes sur son parc d'activités Alphasis. Certaines sont actives dans le domaine de la nutrition-santé ou de la New Nature Economy, à l'image de Via Nova Nutrition, fondée par Benoist Lognoné.

    Héraldique et logotype

    Héraldique

    Blasonnement :

    De sable à deux épées basses d'argent passées en sautoir.


    Signification du logotype

    Logotype de la Ville de Saint-Grégoire :

    Signification à compléter


    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Saint-Grégoire appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Betton depuis sa création en 1991. Avant cette date, la commune a appartenu aux cantons suivants : Rennes-Nord-Est (1833-1973), Rennes-IV (1973-1985) et Rennes-Nord (1985-1991).

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Laurence Maillart-Méhaignerie (MoDem). Sous la IIIe République, elle appartenait à la première circonscription de Rennes et de 1958 à 1986 à la 1re circonscription (Rennes-Nord).

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Intercommunalité

    La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le . Saint-Grégoire faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .

    Saint-Grégoire fait aussi partie du Pays de Rennes.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[39].

    Conseil municipal actuel

    Les 29 sièges composant le conseil municipal ont été pourvus le lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est réparti comme suit :

    GroupeEffectifStatut
    « Pierre Breteau 2020, Agir, avec vous ! » (MoDem)29majorité

    Saint-Grégoire fait partie des communes membres de Rennes Métropole où aucune opposition siège au conseil municipal.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Léonard Grandmoulin    
    1791 1791 Gilles Fontaine    
    1792 février 1834
    (décès)
    Gilles Grallan[40]   Chirurgien-vétérinaire, capitaine de la Garde nationale
    1834 1847 Gilles Morel[40]    
    décembre 1847 décembre 1849
    (démission)
    Joseph Grallan[40] Républicain Médecin
    janvier 1850 juillet 1863 René Le Jariel[41]   Propriétaire
    juillet 1863 mars 1873[42]
    (démission)
    Joseph Grallan[40] Républicain Médecin
    Conseiller général de Rennes-Nord-Est (1871 → 1877)
    mars 1873 août 1873 Emmanuel Gesvret[41]    
    août 1873 1881 Julien Templé[43]    
    mars 1881 janvier 1887 Emmanuel Gesvret[41]    
    février 1887 février 1918
    (décès)
    Joseph Grandmoulin[43]   Agriculteur
    Chevalier du Mérite agricole
    mars 1918 décembre 1919 François Testard    
    décembre 1919 mars 1965 Alphonse Milon[44]   Négociant en bestiaux, propriétaire
    mars 1965 mars 1971 Henri Schmitt   Minotier retraité, maire honoraire
    mars 1971 30 janvier 1999[45]
    (démission)
    Paul Ruaudel[46] DVD Dirigeant d'une entreprise de menuiserie, maire honoraire[47]
    Conseiller général de Rennes-Nord (1988 → 1992)
    Conseiller général de Betton (1992 → 1994)
    Vice-président de Rennes District (1971 → 1977 et 1989 → 1999)
    Chevalier de la Légion d'honneur (1999)
    30 janvier 1999[48] 22 mars 2008 René David[49] DVD Ingénieur, dirigeant d'une entreprise de génie civil
    22 mars 2008 En cours
    (au 28 mai 2020)
    Pierre Breteau UMP puis
    UDI puis
    MoDem[50]/
    Horizons[51]
    Conseiller en gestion
    Conseiller régional de Bretagne (2015 → 2021)
    Conseiller départemental de Betton (2021 → )
    18e vice-président de Rennes Métropole (2014 → 2020)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[52]
    Chevalier de la Légion d'honneur (2021)[53]

    Jumelages et international

    La commune est jumelée à[54] :

    De l'autre côté de l'Atlantique, les canadiens ont aussi une municipalité Saint-Grégoire et même une montagne Mont-Saint-Grégoire[55]. D'où l'idée d'ériger à la Ricoquais un « jardin des explorateurs » qui rendrait hommage aux pionniers bretons et normands venus s’établir en « Nouvelle-France » (actuel Canada) en partant de Saint-Malo. Loin de penser qu’il s’agissait uniquement de marins, beaucoup étaient des agriculteurs, des propriétaires parfois très instruits, qui pousseront leurs nouvelles exploitations à innover : sélection des races animales et végétales, course aux primeurs, culture de plantes fourragères pour diversifier les revenus de ce Nouveau monde[56].

    A l'instar du circuit Lawrence d'Arabie de Dinard en référence à ses séjours d'enfance sur la Côte d'Emeraude, il a été proposé au maire de réfléchir à un circuit Lawrence d'Arabie à Saint-Grégoire[29]. "Je suis tombé amoureux de la Rance et du canal" écrit Lawrence d'Arabie qu'il compare aux rives de la Tamise ainsi que la rivière Isis empruntée par les courses d'aviron de l'université d'Oxford. Cette lettre a été adressée sa mère le 26 août 1907.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[58].

    En 2019, la commune comptait 9 890 habitants[Note 9], en augmentation de 10,02 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1471 1281 1781 2701 2371 2601 2511 3341 266
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1151 2161 2701 2901 3061 2911 3591 3071 274
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2891 2211 2631 1711 1591 2021 2371 4981 438
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 4642 0922 4613 8545 8097 6447 9778 1788 333
    2014 2019 - - - - - - -
    9 1959 890-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale Saint-Grégoire[61] (XIe siècle, XIXe siècle). De l'édifice roman du XIe siècle, très remanié, ne subsistent que les murs latéraux de la nef. On note la présence d'opus sicatum et la trace de fenêtres de plein cintre murées[62]. L'église est remaniée aux XIVe et XVe siècles. Le clocher est construit au XVIIe. Au XIXe siècle, l’abside est détruite et transférée à l’ouest, une porte est ouverte à l’est et un transept édifié. Le clocher est restauré en 1871 après avoir été frappé par la foudre[63].
    • Croix de cimetière du XVe siècle, inscrite monument historique par arrêté du [64].
    • Site de Robinson.

    Activité et manifestations

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Tillon (1897-1993) a été élevé par sa grand-mère paternelle à Saint-Grégoire, jusqu’à l’âge de l’école primaire[65] ;
    • François Saint-Macary (1936-2007), 92e évêque de Rennes, y décède.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019, légale en 2022.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Personnes en âge de communier.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-gregoire-35760/illelumiere-comment-devoiler-la-lumiere-du-canal-1695c9aa-1869-4ce5-8c0a-2a7c130ebfc4
    2. https://www.ouest-france.fr/bretagne/betton-35830/un-defi-photographier-la-lumiere-sur-le-canal-eff1b9b9-83c1-4341-9d9e-d497c4905762
    3. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-gregoire-35760/saint-gregoire-une-invitation-picturale-facon-nympheas-de-monet-8fb4d968-15a2-11ed-b268-9ca05defce12
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Grégoire et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Rennes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Répertoire des entreprises de la ZI Nord par la CCI de Rennes.
    26. Un Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) pour 43 communes, sur metropole.rennes.fr
    27. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-gregoire-35760/les-rues-gregoriennes-fetent-leurope-7f5c41c2-673f-49bd-93a0-27a507caa537
    28. http://www.wiki-rennes.fr/Ch%C3%AAne_des_Etats-Unis_d%E2%80%99Europe_de_Victor_Hugo,_un_arbre_illustre_au_Moulin_d%E2%80%99Olivet
    29. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-gregoire-35760/une-balade-dans-les-vergers-en-suivant-lawrence-darabie-0c294735-e6cd-4abd-8fd2-2ede0055e15a
    30. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-gregoire-35760/saint-gregoire-mais-quelle-est-l-origine-de-ce-nom-6908409
    31. https://www.lafrench.radio/podcasts/sur-les-traces-ecossaises-de-hk-et-des-origines-de-la-commune-bretonne-de-saint-gregoire/
    32. Mairie de Saint-Grégoire, Saint-Grégoire, une ville entre terre et eau, 2005, 22p.
    33. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), pages 760-761.
    34. Mémoire et patrimoine. Saint-Grégoire à travers les époques. 2002
    35. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 4, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 237.
    36. Pitre-Chevalier, La Bretagne ancienne et moderne, Paris, W. Coquebert, , page 567.
    37. « Saint-Grégoire. Monument aux morts », sur MemorialGenWeb, (consulté le ).
    38. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-gregoire-35760/une-conference-sur-leco-aviation-3aaec926-e96a-4ee5-9067-c2ec5bff3cab
    39. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    40. « Gilles Grallan, maire "soucieux de ses administrés" », Ouest-France, (lire en ligne).
    41. « René Le Jariel : "il s'est consacré à la commune" », Ouest-France, (lire en ligne).
    42. Démission pour raison de santé.
    43. « Joseph Grandmoulin : 31 années de mandats », Ouest-France, (lire en ligne).
    44. « Élu en 1919, Alphonse Milon fut maire durant 46 ans », Ouest-France, (lire en ligne).
    45. « Notes politiques. Le maire de Saint-Grégoire passe la main », Ouest-France, .
    46. « Décès de Paul Ruaudel, 79 ans, ancien maire de Saint-Grégoire (1971-1999) », sur rennes.maville.com, .
    47. « Saint-Grégoire. Paul Ruaudel, nommé maire honoraire », Ouest-France, .
    48. « Saint-Grégoire. René David, nouveau maire, succède à Paul Ruaudel », Ouest-France, .
    49. « Saint-Grégoire : l'ancien maire, René David, est décédé », sur rennes.maville.com, .
    50. « Politique. Le maire de Saint-Grégoire, Pierre Breteau, passe au Modem », Ouest-France, (lire en ligne).
    51. Vincent Jarnigon, « Horizons, le parti d’Édouard Philippe, lance son comité d’élus en Ille-et-Vilaine », Ouest-France, (lire en ligne)
    52. « Saint-Grégoire. Pierre Breteau à la tête d’un conseil 100 % majoritaire », Ouest-France, (lire en ligne).
    53. Décret du 31 décembre 2020 portant promotion et nomination dans l'ordre national de la Légion d'honneur
    54. Source : Les villes jumelées sur le site de la commune.
    55. https://cimehautrichelieu.qc.ca/index.php/mont-saint-gregoire/
    56. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-gregoire-35760/il-veut-creer-un-jardin-des-explorateurs-b2fc22d4-fe87-419c-949e-ff5f5925a78a
    57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    59. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    61. « Église paroissiale Saint-Grégoire », notice no IA35013622, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. Marc Déceneux, La Bretagne romane, Editions Ouest France, , p 49.
    63. « Église paroissiale Saint Grégoire, rue de l'Eglise (Saint-Grégoire) », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
    64. « Croix du XVe siècle », notice no PA00090784, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    65. Il décrit Saint-Grégoire au début du XXe siècle dans son livre : La révolte vient de loin.
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