Saint-Hilaire-Peyroux

Saint-Hilaire-Peyroux (Sent Alari Peiros en occitan, autrefois Saint-Hilaire-le-Peyrou) est une commune française du département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Hilaire et Peyrou.

Saint-Hilaire-Peyroux

Le bourg de Saint-Hilaire-Peyroux.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tulle Agglo
Maire
Mandat
Agnès Bourg
2020-2026
Code postal 19560
Code commune 19211
Démographie
Gentilé Peyroussiens / Peyroussiennes
Population
municipale
1 004 hab. (2019 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 54″ nord, 1° 38′ 58″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 447 m
Superficie 18,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Brive-la-Gaillarde
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Naves
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Hilaire-Peyroux
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Saint-Hilaire-Peyroux
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Saint-Hilaire-Peyroux
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Saint-Hilaire-Peyroux
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont les Peyroussiens et Peyroussiennes.

    Géographie

    Saint-Hilaire-Peyroux est situé dans le Massif central à mi-chemin de Tulle et de Brive-la-Gaillarde environ à 300 mètres d'altitude.

    Elle est limitée au sud par la rivière Corrèze, et dominée au nord-est par le Puy de Derse qui, du haut de ses 470 m d'altitude, offre un remarquable panorama sur la Basse Corrèze à l'ouest et les monts d'Auvergne à l'est.

    La commune est traversée par de nombreux affluents tels que le ruisseau des Girodes au nord-ouest, le ruisseau Français à l'est ainsi que la Couze au nord et la Corrèze au sud.

    Le bourg est quant à lui situé au centre de la commune. Saint-Hilaire-Peyroux est desservie par la gare d'Aubazine - Saint-Hilaire qui se trouve à 4 km du bourg.

    Carte de la commune.

    Lieux-dits

    La commune comprend aussi villages ou lieux-dits : le Peyroux, le Peyroux-Haut, le Grand Bois, le Petit Paris, Saquet, le Tranchat, le Chazal, les Chassagnades, la Milhote, la Bonde, la Boissière, Magrin, Lascaux, Bonnel, Dessas, la Croix de Dessas, le Pont du Chambon, le Chambon, les Noujays, les Tuiles, la Barrière, les Meydiaux, les Gaulies, la Gare d'Aubazine, Fougères, Ladignac, Puypertus, le Bois d'Ort, Meyrat, Bel Air, Brenat, les Escures, Peluchaud, Bourguet, le Pic, la Maisonnade, Sourzat, Latreille, Leyrat, Vieillefond, Bois l'Aiguille, Derse, le Bru, la Gane.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 131 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tulle », sur la commune de Tulle, mise en service en 1957[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 229,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 11 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hilaire-Peyroux est une commune rurale[Note 5],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,8 %), prairies (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Vers 1179-1180, le village s’appelait De Sancto Hylario puis Sancti Ylarii vers 1315. Au XVe siècle on trouve le village sous trois noms, soit Sanctus Yllarius Del Peyro, soit Prope Obazinam ou encore Prope Derssas.

    • Saint-Hilaire de Saint Hilaire de Poitiers.
    • Peyroux ; appelé Del Peyro au XVe siècle qui vient de peiros « pierreux » qui est le nom d'un village (Le Peyroux) de la commune, en différenciation avec les autres communes portant le nom de Saint-Hilaire.

    Histoire

    La commune s'appelle Saint-Hilaire-Peyroux en l'honneur de l'évêque Hilaire de Poitiers et tire le nom Peyroux de l'ancienne paroisse du Peyroux (village autrefois réputé pour ses foires) qui veut dire pierreux en occitan.

    La commune possédait autrefois beaucoup de bâtiments religieux qui furent la plupart détruits. Il y avait par exemple autrefois une chapelle au Peyroux, au Pic ainsi qu'à l'Estang. A Derse, fut fondé le monastère féminin Saint-Jean de Derses dont on nous a laissé l'historique dans ce document . C’était une communauté de filles fondée par la maison de Malemort (2e moitié du XIIe siècle) et dépendant de l’abbaye cistercienne de l’Esclache, diocèse de Clermont. On parle d’un autre prieuré, d’hommes, bénédictin et nommé Cerzas-Echizac. On suppose que cette maison était à Dessas, sur la route du pont du Chambon à Saint Hilaire. On n’en sait que le patron, saint Idelpey.

    Son logo est une pêche car la commune était anciennement réputée pour sa culture de la pêche de race « Saint-Hilaire ».

    Sous la Révolution française, pour suivre un décret de la Convention, la commune change de nom pour s'appeler Le Peyrou-Marat.

    Catastrophes naturelles

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'azur à trois arbres d'argent, au franc-canton coticé d'or et de gueules de douze pièces.


    Politique et administration

    Le monument aux morts.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1868 1876 Joseph-Louis Salviat ..  
    1876 1888 Pierre Aucony ..  
    1888 1892 Maximin Escure ..  
    1892 1896 Pierre Aucony ..  
    1896 1919 Etienne Mons ..  
    1919 1935 Pierre Buge ..  
    1935 1959 Germain Bernadie ..  
    1959 1983 Antoine Rol ..  
    1983 1993 René Maury PS  
    1993 (Décès) Jean-Claude Peyramard PS Employé de banque retraité
    Conseiller départemental du canton de Naves
    En cours Agnès Bourg DVG  

    Jumelages

    Un espace y est aussi consacré à l'entrée de la commune, comportant un petit parc. On y trouve entre autres un panneau de type allemand indiquant la distance entre Saint-Hilaire-Peyroux et Schopfloch.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[21].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2019, la commune comptait 1 004 habitants[Note 7], en augmentation de 5,02 % par rapport à 2013 (Corrèze : −0,29 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3821 3241 4141 5291 6191 6481 6401 7151 700
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6231 5031 5391 3891 4161 5311 5101 4911 534
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5551 5731 6151 5271 5871 5331 5351 2071 064
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0331 011854787807790875899956
    2018 2019 - - - - - - -
    9901 004-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Personnalités liées à la commune

    • Le conventionnel Jacques Brival (1751-1820), né à Saint-Hilaire-Peyroux.
    • Jean-Joseph Brival : l'oncle de Jacques Brival, jésuite, d'abord professeur de philosophie à Poitiers, puis successivement curé de Palazinges et de Lapleau, fut élu, après avoir juré la constitution civile du clergé, évêque de Tulle grâce aux intrigues de son neveu. Homme sans grand caractère, on le surnomma « l'évêque de la Solane ». Il se retira, à la fin de la Révolution, dans son village natal, Saint-Hilaire-Peyroux, et y mourut en 1800 dans la pauvreté et l'oubli.
    • Le baron Dubois de Saint-Hilaire : il fut au XVIIIe siècle, un des promoteurs de la culture de la pomme de terre en Limousin.

    Lieux et monuments

    Le château du Bourg disparu est mentionné au XIIIe siècle dans la part d'héritage d'Aimeric de Malemort. Il fut vendu à la maison de Turenne au XIVe siècle.

    • Église romane dédiée à saint Hilaire de Poitiers : elle fut ravagée par un incendie dans la nuit du 4 au et a subi de ce fait de nombreuses mutilations. Il ne reste de franchement roman que le chœur avec ses contreforts plats, sa corniche, ses corbeaux grimaçants. La voûte est tombée, le sanctuaire qui était sans doute en hémicycle a été remplacé par un autre en carré long. Le clocher a été refait en 1891 : on détruisit alors, contre le gré du curé absent un vieux portail à voussures dont aucun débris ne permet de préciser l'époque.
    • Chapelle de Fougères : bâtiment édifié en 1476 par les frères Étienne et Jean de Lage, tailleurs de pierre.
    • La bascule du Peyroux : c'est monsieur Bernardie vivant dans le village du Peyroux qui eut l'idée de former une petite société de 5 membres de la commune pour pouvoir acheter une bascule et construire l’édifice en 1893 sur un terrain lui appartenant. En 1892, on acheta une bascule d’occasion de 5 tonnes de puissance et on édifia une petite maisonnette carrée, bâtie en pierre du village voisin de Derses reliées par du tuf trouvé sur place, une charpente à 4 dièdres en châtaignier du pays, couverte en ardoise de Travassac, à quelques lieux de là. Cette bascule n'était pas situé ici par hasard, elle permettait de peser les animaux d'élevage pour ensuite les vendre aux foires du Peyroux qui se déroulait dans le terrain mitoyen. Le batiment a été rénové en 2013 par la commune, elle peut maintenant être visitée librement. On a pu remarqué que le mécanisme de pesée fonctionne toujours. Des panneaux présentatifs de la bascule et des foires peuvent être lus à l'intérieur.
    • Mines du Chambon.
    • Château du Bourguet.
    • Le pont Blanc : ancien pont permettant de traverser la Corrèze pour rejoindre l'ancienne gare de Bonnel, il y passait autrefois la N 89 quand le tunnel de Bonnel n'existait pas.
    • Ecole de Bel-Air : l'école de Saint-Hilaire-Peyroux a la particularité d'être située en dehors du Bourg de la commune à environ 1 km à Bel-Air. Elle faisait office de mairie aussi jusqu'au XXe siècle. Il y avait une autre école à deux classes située à la gare d'Aubazine.

    Sports

    Randonnées pédestres

    Deux circuits sont tracés sur la commune inscrits dans le Plan départemental des itinéraires de promenade et de randonnée (PDIPR) : « De crête en vallons » : 12 km (balisage bleu) 3 h[26] ; « Des vergers aux berges de la Corrèze » : 11 km (balisage rose) 3 h 30[27]

    Il y a deux autres circuits tracés non inscrits dans le PDIPR :

    •  le tour de la commune » : 23 km (balisage jaune) ;
    •  circuit Orange » : (balisage orange).

    Le départ des 4 circuits est à la place de l'Église.

    Canoë-kayak

    Il y a aussi un arrêt de canoë-kayak avec abris pour canoéiste et coin pique-nique sur la Corrèze dans le secteur du Ponceau proche de Bonnel à Saint-Hilaire-Peyroux.

    Films

    En 1985 et 1987, une équipe du Foyer de Saint-Hilaire-Peyroux, accompagnée des moyens humains et techniques de la fédération des Œuvres laïques de la Corrèze, a sillonné la commune pour collecter sur support vidéo des pratiques et traditions populaires de cette époque. De cette collecte, deux films ont été réalisés sur cassette VHS. La qualité des images, du montage, de l'illustration sonore ont valu au premier film d'être remarqué par Pierre Bonte qui en a diffusé de larges extraits sur TF1, au cours de son émission « C'est tout Bonte » en . Plus de 20 ans après, en 2008, ces films ont été rénovés sur DVD.

    • Le siècle venait de naître (1985).
    • Les blés d'or (1987).

    Philatélie

    Une carte postale représentant la place de l'Église et l'ancien bureau de poste a été émise en 1900.

    Galerie de photos

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    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Tulle - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-Peyroux et Tulle », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Tulle - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-Peyroux et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Partnergemeinden von Schopfloch » Site web du bourg de Schopfloch, consulté le 23 février 2017.
    21. Site des villes et villages fleuris, consulté le 31 janvier 2021.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    26. http://www.cg19.fr/fileadmin/user_upload/Culture_sports/Pdipr/saint_hilaire_peyroux_1.pdf
    27. http://www.cg19.fr/fileadmin/user_upload/Culture_sports/Pdipr/saint_hilaire_peyroux_2.pdf

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.


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