Saint-Julien-du-Verdon

Saint-Julien-du-Verdon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Julien.

Saint-Julien-du-Verdon

Village dominant le lac de Castillon.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Thierry Collomp
2020-2026
Code postal 04170
Code commune 04183
Démographie
Population
municipale
142 hab. (2019 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 50″ nord, 6° 32′ 27″ est
Altitude Min. 869 m
Max. 1 760 m
Superficie 6,19 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-du-Verdon
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-du-Verdon
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Saint-Julien-du-Verdon
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Saint-Julien-du-Verdon

    Le nom de ses habitants est Pelugnes[1].

    Géographie

    Saint-Julien-du-Verdon et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
    Le village sur sa presqu’île
    Saint-Julien et le Verdon

    Saint-Julien-du-Verdon est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.

    Les communes limitrophes de Saint-Julien-du-Verdon sont Angles, Vergons, Demandolx, Castellane et Saint-André-les-Alpes.

    Géologie

    L'Atlas des paysages des Alpes de Haute-Provence sur "Le Pays du Lac de Castillon" a mis en relief la richesse naturelle des sites du village[2].

    Relief

    Saint Julien du Verdon est situé sur le flanc d'un exposé au sud, dans un cirque de montagnes boisées de pins et de chênes.

    Le village est perché en hauteur (à 914 m d’altitude[3]), le lac en fait une presqu’île et les maisons sont à proximité du rivage et du lac.

    Hydrographie

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval [4] :

    • La commune est traversée par le Verdon (rive gauche), aujourd’hui immergé avec une grande partie du territoire de la commune sous le lac de Castillon.
    • rivière le riou, affluent de la Vésubie,
    • torrent d'angles,
    • vallon de pardigon.

    L'hydrographie de la commune s'inscrit dans l'hydrographie d'ensemble du vaste bassin supérieur du Verdon[5], ce qui explique les mesures prises globalement pour la préservation des ressources en eau et du milieu naturel aquatique[6].

    Environnement

    La commune compte 384 ha de bois et forêts, soit 62 % de sa superficie[1].

    Transports

    La route nationale 202 passe à la lisière du village.

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Saint-André-les-Alpes auquel appartient Saint-Julien-du-Verdon est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Saint-Julien-du-Verdon est également exposée à trois autres risques naturels[8] :

    • feu de forêt ;
    • inondation ;
    • mouvement de terrain.

    La commune de Saint-Julien-du-Verdon est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[9]. La route nationale 202 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[10].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[9] mais le Dicrim existe pas depuis 2011[11].

    La commune a été l’objet d’un arrêté de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994[8].

    Toponymie

    D’après Ernest Nègre, la plus ancienne forme connue du nom de la commune, Sancto Juliano (vers 1300), fait référence à l’église[12] et au saint Julianus[13].

    Histoire

    Auguste fait la conquête de la vallée du Verdon en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C.. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée : il est possible que le territoire des Vergunni (actuelle commune de Vergons) ait englobé le territoire de l'actuel Saint-Julien-de-Verdon, tout comme il est possible que son territoire ait été contrôlé par les Suetrii qui peuplaient la moyenne vallée du Verdon[14].

    Dans tous les cas, la conquête romaine met fin à cette période d'indépendance entre 23 et 13 av. J.-C.[14]. Le nom de la civitas dont Saint-Julien dépendait au Haut-Empire est aussi difficile à élucider : Eturamina (Thorame), Civitas Saliniensum (Castellane) ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, semblent avérés[15].

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1259 (Sanctus Julianetus)[16]. Son nom viendrait du pont romain, dit pont Julien sur le Verdon (rivière) (à proximité et sur la commune de Saint-André-les-Alpes), effondré au XVIIe siècle et rebâti en 1698.

    Les seigneurs du lieu sont successivement les Castellane du XIIIe au XVIIe siècle[17] et les Villeneuve au XVIe siècle[16]. La communauté relève de la viguerie de Castellane[18]. L’église paroissiale relevait de l’abbaye de Lérins[18]. Les Templiers y avaient une petite maison, dépendant de la commanderie de Biot[18].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[19]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Villeverdon[20] ou Ille-Verdon[21].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1834 que le cadastre dit napoléonien de Saint-Julien est achevé[22].

    Au milieu du XIXe siècle, une fabrique textile employait 10 ouvriers[23].

    Comme de nombreuses communes du département, celle de Saint-Julien se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons[24]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[25], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Julien[26], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.

    Le 10 juin 1944, 13 résistants ont été sélectionnés dans le quartier allemand de la maison d'arrêt de Nice pour être exécutés dans des représailles. Parmi ces résistants, 4 jeunes Niçois membres d'un groupe de résistants du lycée de garçons arrêtés avec Jacques Adam le 9 juin 1944 en revenant du maquis du Férion près de Levens. Les résistants Pierre Appolin et Joseph Graffino sont exécutés sur la route le 10 juin à Bar-sur-Loup en représailles de l'attentat qui a coûté la vie au consul fasciste républicain d'Antibes le 17 mars 1944. Les 11 autres (dont les 4 lycéens et Jacques Adam) sont exécutés à Saint-Julien-du-Verdon le 11 juin en représailles des actions des maquisards FTPF.

    En 1955, la commune de Saint-Julien devient Saint-Julien-du-Verdon[27].

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à un mouton d'argent, et un chef d'or, chargé de trois croisettes de gueules[28],[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1945   Jean Martel[30]    
             
      2003 Roger Reybaud[31]    
    2003 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Thierry Collomp[32],[33] DVG Conseiller départemental depuis 2017

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[34] :

    • total des produits de fonctionnement : 224 000 , soit 1 399  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 185 000 , soit 1 154  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 152 000 , soit 947  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 34 000 , soit 212  par habitant.
    • endettement : 8 000 , soit 49  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 11,95 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 19,95 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 60,27 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 23,26 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 378 [35].

    Intercommunalité

    Saint-Julien-du-Verdon a fait partie, jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Teillon. Depuis le , elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Julien-du-Verdon est une commune rurale[Note 1],[36]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[37],[38]. La commune est en outre hors attraction des villes[39],[40].

    La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[41].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,5 %), eaux continentales[Note 2] (16,2 %), zones agricoles hétérogènes (12,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,6 %)[42].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[43].

    Population et société

    Évolution démographique

    En 2019, Saint-Julien-du-Verdon comptait 142 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012, 2017, etc. pour Saint-Julien-du-Verdon). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Le pic de population de 1901 est contemporain des travaux d'achèvement de la ligne du chemin de fer de Nice à Digne.

    Évolution démographique
    1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
    11 feux7 feux194140152164178175171170
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    183194199181173167161162153155
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    13122316711711497121949597
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2019 - -
    7564666794108134142--
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[16], EHESS[27], Insee à partir de 1968[44],[45],[46].)

    L’histoire démographique de Saint-Julien-du-Verdon, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1821 à 1861. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. La perte est relativement lente, puisque ce n’est qu’en 1926 que la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1856[47]. Le mouvement de recul se poursuit jusqu’aux années 1960. Après une période de stabilisation d’une quinzaine d’années, la population s’est remis à croître dans les années 1980 pour revenir à ses hauts niveaux du XIXe siècle.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Lieux et monuments

    Fontaine du village
    Le mobilier de l’église comprend :
    Un tableau d’André Jean, représentant la mort d’un évêque[51], ou saint Joseph selon les Monuments historiques, qui le datent de 1665 (autour de 1700 selon Raymond Collier) et classé monument historique au titre objet[52] ;
    Un tableau représentant le couronnement de la Vierge, datant de 1660[53], lui aussi classé[54].
    • L’église du haut du village, sous le vocable de Saint-Julien et le patronage de saint Roch[55],[18], construite en 1862, est plus courte d’une travée ; nef et chœur sont voûtés d’arêtes.
    Deux chapelles donnant dans la travée de chœur forment un faux transept.
    Le clocher est installé dans une tour construite contre l’église, du côté sud[56].

    Personnalités liées à la commune

    • Abbé Brun de la Combe, oratorien, auteur du Triomphe du Nouveau Monde contre le supérieur de son ordre le révérend père Moisset (1785), et qui fut expulsé de l’ordre pour cette raison[59],[60].
    • Boeuf (Alphonse, Benoît)[61], personne morte en déportation.
    • Francis Collomp (1949-2019), ingénieur français otage d'Ansaru, libéré depuis Novembre 2013.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Castellane », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
    2. Communes concernées : Angles, Castellane, Demandolx, La Garde, La Mûre-Argens, Saint-André-les-Alpes, Saint-Julien-du-Verdon, Vergons
    3. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    4. L'eau dans la commune
    5. L'hydrographie du bassin supérieur du Verdon, par Raoul Blanchard, Recueil des travaux de l'institut de géographie alpine Année 1915 Volume 3 Numéro 1 pp. 57-67
    6. Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux "SAGE" du bassin versant du Verdon
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    8. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
    9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
    11. Document, base Dicrim, consultée le 15 août 2012
    12. « village de Saint-Julien-du-Verdon », notice no IA04001409, base Mérimée, ministère français de la Culture
    13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28444, p 1623-1624
    14. Guy Barruol, Les peuples préromains du Sud-Est de la Gaule : étude de géographie historique, Paris, Éd. de Boccard, 1969, Revue archéologique de Narbonnaise (RAN), Suppléments 1. p. 379.
    15. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22-23
    16. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 196.
    17. « présentation de la commune de Saint-Julien-du-Verdon », notice no IA04001408, base Mérimée, ministère français de la Culture
    18. Daniel Thiery, « Saint-Julien-du-Verdon », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012
    19. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
    20. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
    21. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008.
    22. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    23. Mireille Mistral, op. cit., p. 139.
    24. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    25. Labadie, op. cit., p. 16.
    26. Labadie, op. cit., p. 18.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Julien-du-Verdon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    28. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
    29. Moyen Verdon 1 : Saint-Julien-du-Verdon, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    30. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    31. Roger Reybaud est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Jean-Pierre Chevènement à l’élection présidentielle de 2002, Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
    32. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
    33. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    34. Les comptes de la commune
    35. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    36. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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    39. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon.
    42. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    43. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    44. « Résultats du recensement de la population - Saint-Julien-du-Verdon », sur le site de l'Insee (consulté le )
    45. « Recensement de la population au 1er janvier 2006 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    46. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    47. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
    48. « église paroissiale Saint-Michel puis Notre-Dame-de-l'Assomption, actuellement chapelle Notre-Dame », notice no IA04000150, base Mérimée, ministère français de la Culture
    49. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 224
    50. Raymond Collier, op. cit., p 471
    51. Raymond Collier, op. cit., p 468
    52. Arrêté du 7 septembre 1988, notice de la Base Palissy, consultée le 11 décembre 2008
    53. Raymond Collier, op. cit., p 480
    54. Arrêté du 8 janvier 1975, notice de la Base Palissy, consultée le 11 décembre 2008
    55. « église paroissiale Saint-Roch », notice no IA04000147, base Mérimée, ministère français de la Culture
    56. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 224-225
    57. Monument aux Morts au dessus de la mairie
    58. Saint-Julien du Verdon (11 juin 1944)
    59. Joseph-André Brun de la Combe (17..-1799?)
    60. Le triomphe du nouveau monde
    61. Boeuf (Alphonse, Benoît)
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