Saint-Marcouf (Manche)

Saint-Marcouf (officieusement Saint-Marcouf-de-l'Isle) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 344 habitants[Note 1].

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Saint-Marcouf

L’église Saint-Marcouf de Saint-Marcouf.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jean-Claude Legoupil
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50507
Démographie
Gentilé Saint-Marculfiens
Population
municipale
344 hab. (2019 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 23″ nord, 1° 17′ 27″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 36 m
Superficie 13,38 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Marcouf
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Marcouf
Géolocalisation sur la carte : Manche
Saint-Marcouf
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Saint-Marcouf

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 730 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 913,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 30 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Marcouf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (79,5 %), terres arables (11,1 %), zones urbanisées (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %), eaux maritimes (0,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Vers le VIe siècle de notre ère, Saint-Marcouf est mentionnée sous la forme latinisée Nantus[26].

    Le nom actuel fait référence à saint Marcoul, fondateur d'une abbaye en ce lieu. Le gentilé est Saint-Marculfiens[27].

    Il semble que la forme moderne Nanteuil, que l'on rencontre parfois dans les écrits, soit issue d'une confusion avec l'abbaye Notre-Dame de Nanteuil en Charente, puisque cette forme n'apparait nullement dans les anciennes attestations concernant Saint-Marcouf. Dans la Vita Marculfi B, il est écrit : « fiscum in pago Constantino qui Nantus dicitur ». Le martyrologe sénonais parle quant à lui d'« in Onellico Nanto monasterio depositio Marculfi abbatis ». Chez Wace, dans son Roman de Rou, on trouve : « A saint Marcoust en la rivière, riche abaie et planière, Nantes a cel jour avoit non cele contree d'environ ».

    L'ancien nom de lieu de Nantes est un type toponymique d'origine celtique (gaulois) commun en France, qui représente le mot gaulois nantu-, nanto- « val, ruisseau » (cf. gallois nant, francoprovençal savoyard nant, même sens). Il est attesté dans le glossaire de Vienne qui traduit en latin des mots gaulois : nanto : valle; trinanto : tres valles et dans l'Inscription de Cajarc :..in uertamon nantou(s) « ...au sommet de la vallée ». Il reste très fréquent en toponymie : Nant, Nans, Namps-au-Mont, etc.[28]. Cependant, comme il n'y a pas de vallée à Saint-Marcouf, il désigne un ruisseau.

    Micro-toponymie

    Crisbecq est à l'origine le nom scandinave du ruisseau qui a pu se substituer à celui de Nantes, disparu. Il procède du norrois bekkr « ruisseau » et de l'élément norrois [?] cres(s) / cris- déjà repéré dans les Cristot, Crétot, Cresseveuille de Normandie. Son sens est obscur.

    Remarque : les anciens anthroponymes terminés par -wulf, -wolf (germanique continental) et -ulfr, -olfr (scandinave) se retrouvent sous la forme d'une terminaison -ouf spécifique au Cotentin et à une partie de la Basse-Normandie, alors qu'ailleurs en Normandie, elle a évolué en -ou(l)t, -ou, ainsi Ingouf correspond à Ygout ou Gounouf à Gounou, etc. Ainsi saint Marcouf est-il connu également sous le nom de saint Marcou(lt).

    Histoire

    Au VIe siècle saint Marcouf y fonde une abbaye connu sous le nom de abbaye de Nantus ou de Nanteuil[29]. Détruite au Xe siècle ; elle est désertée en 906[30], un prieuré lui succède fondé par l'abbaye de Cerisy[31].

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, sur le territoire de la commune se trouvait la batterie allemande de Crisbecq (aussi appelée batterie de Marcouf) au-dessus du hameau homonyme et une des principales batteries côtières allemandes du mur de l'Atlantique en Normandie. Elle subit plusieurs bombardements aériens alliés à partir d' dont un très important la veille du débarquement, dans la nuit du au . Néanmoins, la batterie restera opérationnelle et ouvrira le feu dès le au matin sur le secteur d'Utah Beach tout proche, coulant l'USS Corry un destroyer de l'US Navy et touchant d'autres navires. Elle ne sera réduite au silence que le après un feu naval de trois cuirassés américains. Elle résistera aux attaques terrestres plusieurs jours et ne sera investie qu'au au matin, sans combats, par l'infanterie américaine, le reste encore valide de sa garnison s'étant replié plus au nord la nuit précédente.

    Libération de Saint-Marcouf, le .

    Héraldique

    Les armes de la commune de Saint-Marcouf se blasonnent ainsi :
    D'azur à deux ancres passées en sautoir celle en barre brochante, les gumènes entrelacées le tout d'argent, au chef bastillé de cinq pièces aussi d'argent chargé d'un sabre d'abordage de gueules en fasce la pointe à dextre[32].

    Armes dues à Denis Joulain, officielles depuis le 8 octobre 2009.


    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    v. 1860  ? M. le comte de Pontgibaud[33]    
     ? mars 2001 Paulette Philippe    
    mars 2001 2005 Henri Sabourin    
    2005[34] mars 2008 Joseph Goubert    
    mars 2008[35] mars 2014 Brigitte Demange SE Infirmière
    mars 2014[36] En cours Jean-Claude Legoupil SE Inséminateur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[37].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2019, la commune comptait 344 habitants[Note 8], en augmentation de 3,93 % par rapport à 2013 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    646549692844752801811749739
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    701700701676678647628640644
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    684675632562535503545438483
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    492506390371332376334330331
    2015 2019 - - - - - - -
    342344-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Une partie de l'électricité produite par les futurs parcs éoliens Centre Manche 1 & 2 transitera par le poste de Menuel[42], l'atterrage se faisant à Saint-Marcouf[43].

    Lieux et monuments

    La crypte romane de l'église saint Marcouf.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Marcouf et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Marcouf et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
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    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425).
    27. « Ouest-france.fr - Mairie de Saint-Marcouf » (consulté le ).
    28. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003, p. 230 - 231.
    29. Jeannine Bavay, « Origines monastiques de Portbail », Vikland, la revue du Cotentin, no 1, avril-mai-juin 2012, p. 16 (ISSN 0224-7992).
    30. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 22.
    31. Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 83.
    32. « GASO, la banque du blason - Saint-Marcouf » (consulté le ).
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    34. « Municipales : Joseph Goubert repart », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
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    37. « Saint-Marcouf (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    42. « Perspectives de développement des réseaux électriques en mer sur la façade normande » [PDF], sur RTE, .
    43. « Le tracé électrique terrestre du parc éolien de Centre-Manche défini », sur Ouest-France, .
    44. Notice no PA00110589, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Tableau : Sainte Dorothée couronnée par l'Enfant Jésus, cadre », notice no PM50001342, base Palissy, ministère français de la Culture.
    46. Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et Manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 95.
    47. Hippolyte Gancel, Les Saints qui guérissent en Normandie, Rennes, Éditions Ouest-France, , 253 p. (ISBN 978-2-7373-4726-9), p. 56-57.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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