Saint-Martin-de-Brômes
Saint-Martin-de-Brômes (Sant-Martin en occitan provençal) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.
Saint-Martin-de-Brômes | |||||
La tour de l'Horloge. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Forcalquier | ||||
Intercommunalité | Durance-Luberon-Verdon Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Laurence Depieds 2020-2026 |
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Code postal | 04800 | ||||
Code commune | 04189 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Martinois(e) | ||||
Population municipale |
627 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 46′ 15″ nord, 5° 56′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 307 m Max. 588 m |
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Superficie | 21,09 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Manosque (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Valensole | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | saint-martin-de-bromes.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Saint-Martinômes[1] ou Saint-Martinois[réf. nécessaire].
Géographie
Le village est à une altitude de 358 m[2].
Hydrographie
La commune est traversée par le Colostre : son confluent avec le Verdon est un site inscrit.
Environnement
La commune compte 1 326 ha de bois et forêts, soit 63 % de sa superficie[1].
Voies routières
La commune est desservie par les routes départementales RD 952 et RD 82.
Lignes régionales, réseau Zou !
Saint-Martin-de-Brômes est desservie par une ligne express régionale Zou ![3] :
Ligne | Tracé |
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27 | Marseille ↔ Gréoux-les-Bains ↔ Saint-Martin-de-Brômes ↔ Riez |
Lignes intercommunales
Le village est relié par deux lignes intercommunales du réseau Trans'Agglo[4] :
Ligne | Tracé |
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132 | Puimoisson ↔ Riez ↔ Allemagne-en-Provence ↔ Saint-Martin-de-Brômes ↔ Gréoux-les-Bains ↔ Manosque |
136 | Manosque ↔ Gréoux-les-Bains ↔ Saint-Martin-de-Brômes ↔ Esparron-de-Verdon ↔ Quinson (Ligne estivale) |
Lignes scolaires
Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège de Riez ainsi que les lycées et collèges de Manosque. Ces lignes sont financées par la communauté d'agglomération Durance-Luberon-Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, d'autres ont été rajoutées.
Ligne | Tracé |
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145 S | Saint-Martin-de-Brômes ↔ Allemagne-en-Provence ↔ Riez |
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Valensole auquel appartient Saint-Martin-de-Brômes est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[5], et en zone 3 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[6]. La commune de Saint-Martin-de-Brômes est également exposée à trois autres risques naturels[6] :
- feu de forêt ;
- inondation ;
- mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[7].
La commune de Saint-Martin-de-Brômes est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de rupture de barrage[8]. Quatre barrages menacent une partie restreinte du territoire de Saint-Martin-de-Brômes : les barrages de Castillon, Sainte-Croix, de Quinson et de Gréoux[9]. Le premier ne menace la commune que d’une inondation forte, comparable aux très fortes crues du Verdon[10] : de plus, l’onde de submersion mettrait plus de deux heures à parvenir à Saint-Martin-de-Brômes[11]. Les autres barrages, plus proches, et surtout le barrage de Sainte-Croix, au réservoir beaucoup plus volumineux, causeraient des submersions plus importantes.
Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 1998 pour les risques d’inondation et de séisme[12] et le Dicrim existe depuis 2011[13]. Deux incendies, le 7 août 2005, détruisent 2 458 ha de forêt, en touchant également les communes de Quinson, Manosque et Esparron-de-Verdon[14].
Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois en 1042 (ecclesiam. de Brumeç), puis vers 1064-1079, sous le nom de Sancti Martini de Bromezes, forme occitane du nom de saint Martin de Tours, qui a été francisée par la suite[15],[16]. Le toponyme Brumeç est préceltique[17], et sa signification très probablement liée à un cours d’eau[18].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martin-de-Brômes est une commune rurale[Note 1],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,7 %), terres arables (14,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), zones urbanisées (2,3 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Économie
Agriculture
Bien que Saint-Martin-de-Brômes soit inclus dans le périmètre de l’appellation d'origine contrôlée (AOC) du vin de Pierrevert, la vigne n’y est pas cultivée. Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, mais uniquement pour l’autoconsommation[26].
La culture de l’olivier est une des principales de la commune. Alors que la production d’huile d’olive était importante jusqu’au début du XXe siècle (avec 7 200 pieds), elle connait un fort déclin pour finir, avec seulement 3400 pieds en 1994[27]. Sa culture, pratiquée dans la commune depuis des siècles, est limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres : à Saint-Martin-de-Brômes, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole[28].
Histoire
Protohistoire
L'oppidum de Buffe-Arnaud, celto-ligure et fouillé en 1992[29], lors de travaux sur la RD 952, est la plus ancienne agglomération présente sur le territoire de la commune. Il est situé au confluent du Colostre et du Verdon : les escarpements formés par ces rivières le défendent sur trois côtés, un mur de pierres liées à la terre sur le dernier. Il est occupé du VIe siècle av. J.-C. au milieu du Ve siècle. De 450 environ av. J.-C. jusqu’en 225, l’oppidum ne livre plus de traces d’occupation ; il est ensuite à nouveau habité au IIIe siècle av. J.-C. jusqu'à la conquête romaine, à la fin du IIe siècle av. J.-C. Une tour-porche montre que l'oppidum était sous l'influence des colonies grecques de la côte. Il a été assiégé par les Romains en 124 av. J.-C.[30]. Un autre oppidum se trouvait en vis-à-vis de celui-ci, au Bas-Défends, mais n'a été que rapidement fouillé en 1996.
Antiquité
La commune a livré des vestiges de l’occupation romaine : tombes et sarcophages de plomb exposés au musée (début du IVe siècle), arènes, milliaire de Carus. Elle se trouvait sur la voie allant de Riez (Colonia Julia Augusta Apollinarium Reiorum) à Aix-en-Provence[31].
Moyen Âge et Ancien Régime
Au début du IIe millénaire, le territoire de la commune est appelé vallée d’Archincosco, et était sous la domination d’un ministral, jusqu’à la fin du XIe siècle[31]. Le premier site d’implantation de la communauté est le castrum de Notre-Dame, situé actuellement dans la commune d’Allemagne-en-Provence[32]. Le castrum était détenu par abbaye Saint-Victor de Marseille, qui confiait l’administration de la seigneurie à un laïc[33].
L’abbaye Saint-Victor de Marseille possède également l’église de Saint-Martin, celle de Saint-Pierre-d’Archincosco, qu’elle reçoit du ministral avec la tasque (redevance semblable à la taille) avec des terres et d’autres droits[31]. Elle possède aussi deux fiefs, à Saint-Martin et à Brômes, et y était représenté par plusieurs seigneurs. Les Castellane y sont seigneurs de 1227 à 1673[34], les Payan leur succédant au XVIIIe siècle[35].
Période contemporaine
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[36]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Brômes[37].
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 7 habitants de Saint-Martin-de-Brômes sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[38].
Comme de nombreuses communes du département, Saint-Martin-de-Brômes se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[39]. La même instruction est donnée aux filles, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[40]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[41].
Héraldique
Blasonnement : |
Politique et administration
Intercommunalité
Saint-Martin-de-Brômes fait partie :
- de 2002 à 2013, de la communauté de communes Luberon Durance Verdon ;
- depuis le , de la communauté d'agglomération Durance-Luberon-Verdon Agglomération.
Municipalité
Budget et fiscalité 2015
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[46] :
- total des produits de fonctionnement : 526 000 €, soit 925 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 541 000 €, soit 952 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 79 000 €, soit 139 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 111 000 €, soit 196 € par habitant.
- endettement : 287 000 €, soit 504 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 10,53 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 19,10 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 87,86 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Enseignement
La commune est dotée d’une école primaire[47].
Environnement et recyclage
La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.
Économie
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].
En 2019, la commune comptait 627 habitants[Note 3], en augmentation de 10,97 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
L’histoire démographique de Saint-Martin-de-Brômes, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure des années 1810 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune a perdu la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[54]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la commune a connu une forte croissance, triplant sa population et rejoignant le maximum d'il y a presque deux siècles.
Lieux et monuments
- La tour de l’Horloge ou des Templiers est un donjon des Castellane.
- Une maison de la rue principale possède une baie géminée du XIVe siècle, dont les chapiteaux sont sculptés de feuillages très découpés[55]. D’autres maisons de la même rue datent du XVe ou du XVIe siècles[56].
- Le pont sur l’affluent du Colostre, à 1,5 km du village en direction d’Allemagne, en contrehaut de la RD 952, est construit après 1650, voire au XVIIIe siècle. Il est constitué d’une arche en plein cintre. Ses arcs de tête sont doublés par des arcs en pierres taillées de façon plus fruste[57].
- L’église paroissiale Saint-Martin, assez trapue, est un ancien prieuré de l’abbaye Saint-Victor de Marseille. La nef à trois travées voûtée en berceau et l’abside, datent du début du XIIe siècle. Au XVIe siècle, elle est agrandie d'un collatéral sud au XIVe siècle (sous croisée d'ogives), puis d'une chapelle au Nord et d'un clocher à sommet pyramidal au XVe ou au XVIe siècle[58],[59]. Le bâtiment est classé monument historique[60]. Les tableaux, dus à un artiste local, Esprit Michel Gibelin, qui les a peint entre 1890 et 1897, sont classés monuments historiques au titre objet[61],[62].
- Le musée archéologique[63] (depuis 1972[64]) recèle deux tombeaux dont un comprenait un sarcophage de plomb, mis au jour en 1972 lors des travaux sur la RD 952, et datant de la première moitié du IVe siècle[65]. la borne milliaire retrouvée sur la commune, qui porte le n° 14 et le nom de l'empereur Carus) est en dépôt au musée de Riez[66].
- Place de la Libération ombragée (site inscrit).
- Cimetière mérovingien au ravin de Pinet.
- Monument aux morts[67].
Vie locale
Un réseau associatif très complet œuvre sur la commune[68].
Cultes
Culte catholique dans l'église Saint-Martin[69].
Environnement
682 taxons terminaux (espèces et infra-espèces) ont été recensés sur le territoire de la commune[70].
Transports en commun
La ville de Saint-Martin-de-Brômes est desservie par la ligne de bus entre Riez et Manosque[72]. Une connexion est faite à Manosque avec la gare SNCF, et la gare routière. Il existe aussi un service d'autocars régionaux (autocars Sumian, à Gréoux-les-Bains) qui relie 3 fois par jour sauf le Dimanche et les jours fériés Riez à Marseille en passant par St-Martin de Brômes, Gréoux, Vinon et Aix-en-Provence. Une correspondance existe à Aix-en-Provencepour la gare d'Aix TGV et l'aéroport Marseille-Provence.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Saint-Martin-de-Brômes sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Saint-Martin-de-Brômes, par Daniel Thiery
- Saint-Martin-de-Brômes, Bas-Défends (Le) ; Bas-Deffends (Le), Age du Fer, sur Patrimages Drac Paca
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Patrimoine architectural de Haute-Provence : 10 années de sauvegarde des monuments dans les Alpes-de-Haute-Provence (1970-1980), vol. 72, Forcalquier, Alpes-de-Lumières, , 104 p. (ISSN 0182-4643), p. 63-64.
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Roger Brunet, « Canton de Valensole », Le Trésor des régions, consultée le 11 juin 2013.
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
- Zou ! Le réseau de transport de la Région Sud
- DLVA Transports intercommunaux
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 11 juillet 2011, consultée le 15 août 2012.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88.
- DREAL, « Cartographie de l’onde de submersion des grands barrages », Région PACA, consulté le 9 août 2012.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Plan particulier d'intervention des barrages de Castillon et Chaudanne, version du 4 juillet 2012, p. 14.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 29.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98.
- Document, base Dicrim, consultée le 15 août 2012.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 52
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28474, p 1627
- Laurence Mombel, « Saint-Martin-de-Brômes : un patrimoine à découvrir », in verdon : ivern 2000-2001 no 4, p 36
- Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 33.
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
- Claudine Durbiano, « L'oliveraie provençale, production de qualité et requalification territoriale », Méditerranée, Tome 95, 3-4- 2000. « Dynamiques spatiales des cultures spéciales ». p. 19.
- Réparaz, op. cit., p. 58.
- Laurence Mombel, op. cit. p 37
- Laurence Mombel, op. cit., p 39-41
- Daniel Thiery, « Saint-Martin-de-Brômes », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012.
- Daniel Mouton, « Genèse des premières fortifications provençales », Laboratoire d’archéologie médiévale et moderne en Méditerranée, consulté le 11 novembre 2013.
- Yann Codou, « Le paysage religieux et l'habitat rural en Provence de l'antiquité tardive au XIIe siècle », Archéologie du monde médiéval, tome 21, 2003, p. 53.
- Laurence Mombel, op. cit., p. 44.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 196.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298
- Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
- Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 11.
- Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive)
- Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Manosque, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010.
- Commerces, artisans et entreprises
- Enrico Campagnola : sculpteur et peintre
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
- Raymond Collier, op. cit., p 355
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 359
- Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 112
- Laurence Mombel, op. cit. p 42
- Raymond Collier, op. cit., p 67
- Arrêté du 4 juin 1993, notice de la Base Mérimée, consultée le 12 décembre 2008
- notice de la Base Palissy, consultée le 12 décembre 2008
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 488
- Le Musée Gallo-Romain
- Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 58
- Laurence Mombel, op. cit., p 38
- La borne milliaire
- Monument aux morts Conflits commémorés 1914-18 et 1939-45
- Annuaire des associations
- L’église Saint-Martin
- Liste des espèces recensées) : Inventaire national du patrimoine naturel des communes
- Structure de santé
- horaires de bus Riez-Manosque
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