Saint-Maurice-de-Cazevieille

Saint-Maurice-de-Cazevieille est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Maurice.

Saint-Maurice-de-Cazevieille

Vue générale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
David Guiraud
2020-2026
Code postal 30360
Code commune 30285
Démographie
Population
municipale
754 hab. (2019 )
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 58″ nord, 4° 14′ 01″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 212 m
Superficie 13,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Alès-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Maurice-de-Cazevieille
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Maurice-de-Cazevieille
Géolocalisation sur la carte : Gard
Saint-Maurice-de-Cazevieille
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Maurice-de-Cazevieille

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de la Candouillère et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Maurice-de-Cazevieille est une commune rurale qui compte 754 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Mauriçois ou Saint-Mauriçoises.

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 904 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Deaux », sur la commune de Deaux, mise en service en 1988[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,7 °C et la hauteur de précipitations de 991,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 24 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[13] : la « plaine de la Candouillère » (215 ha), couvrant 2 communes du département[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Maurice-de-Cazevieille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[I 1],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (73,1 %), forêts (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones urbanisées (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Les Hospitaliers

    Saint-Maurice-de-Cazevieille est une ancienne seigneurie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem depuis au moins 1187, date à laquelle le comte Raymond V de Toulouse confirme aux Hospitaliers la possession du castrum[18]. En 1271, cette seigneurie était sous l'autorité du commandeur hospitalier d'Alès[19],[20]. Les Hospitaliers sont contraints de céder cette année-là la moitié de la haute et basse justice au roi de France[21] contre la moitié de celles de Valence, Malauzet et Maussargues[22].

    Après la dévolution des biens de l'ordre du Temple, elle devint commanderie principale[23] puis un membre de la commanderie de Saint-Christol au sein du grand prieuré de Saint-Gilles. Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Maurice-de-Rocher[24].

    Héraldique

    Blason
    De gueules au pal losangé d'or et de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Edgard Privat    
    mars 2001 En cours Claude Bonnafoux DVG[25] Agriculteur
    Vice-président de la Communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2019, la commune comptait 754 habitants[Note 7], en augmentation de 7,87 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    408425465494546561576573560
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    561542533559556530515510507
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    506492463415408414394387378
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    406415431447505478588653711
    2019 - - - - - - - -
    754--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 290 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 705 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 500 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]13,6 %8,4 %8 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 456 personnes, parmi lesquelles on compte 71,9 % d'actifs (63,9 % ayant un emploi et 8 % de chômeurs) et 28,1 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 183 emplois en 2018, contre 150 en 2013 et 150 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 294, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56 %[I 10].

    Sur ces 294 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 80 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 5,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    63 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Maurice-de-Cazevieille au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble63
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1117,5 %(7,9 %)
    Construction1727 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1422,2 %(30 %)
    Activités immobilières11,6 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    57,9 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    812,7 %(13,5 %)
    Autres activités de services711,1 %(8,8 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 63 entreprises implantées à Saint-Maurice-de-Cazevieille), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[29] :

    • MCS Carrelages, travaux de revêtement des sols et des murs (871 k€)
    • BASM Energies, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (389 k€)
    • Lauze Construction Renovation, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (73 k€)
    • SARL Actif-Europe, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (30 k€)

    Agriculture

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations39493833
    SAU[Note 13] (ha)926936708685

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 49 en 2000 puis à 38 en 2010[32] et enfin à 33 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 15 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[33],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 926 ha en 1988 à 685 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 24 à 21 ha[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le Portalet est le vestige le mieux conservé du rempart du XIIe siècle. Il s’agit de l'ancienne entrée Nord des fortifications qui protégeaient la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Ces fortifications furent détruites en 1553.
    • L’église Saint-Maurice de Saint-Maurice-de-Cazevieille. L'ancienne église paroissiale datait du XIIIe siècle. Elle fut en partie détruite par les protestants en 1560. Sur le même emplacement a été construit en 1857 un nouvel édifice plus vaste, de style roman. Il ne reste plus que le chœur pour témoigner de l’église primitive. La nouvelle église a été bénie le par Mgr Plantier.
    • Le temple protestant de Saint-Maurice-de-Cazevieille : un premier édifice fut probablement construit vers la fin du XVIe siècle. On peut supposer qu'il fut édifié sur l'emplacement même de l'ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, que des religionnaires avaient démantelée en 1553. Sa destruction fut ordonnée en 1672. La construction du temple actuel date de 1853.

    Personnalités liées à la commune

    Jumelage

    Saint-Maurice de Cazevieille est jumelée avec la ville de Gwangmyeong, en Corée du Sud[34].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Maurice-de-Cazevieille » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Maurice-de-Cazevieille » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Maurice-de-Cazevieille » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Maurice-de-Cazevieille » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Deaux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Saint-Maurice-de-Cazevieille et Deaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Deaux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Maurice-de-Cazevieille et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Maurice-de-Cazevieille », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF la « plaine de la Candouillère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Damien Carraz (préf. Alain Demurger), L'Ordre du Temple dans la basse vallée du Rhône (1124-1312) : Ordres militaires, croisades et sociétés méridionales, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales / 17 », (ISBN 978-2-7297-0781-1, lire en ligne), p. 113
      Les templiers figurant dans cet acte du comte de Toulouse ne sont pas les récipiendaires, ils ne sont que témoins.
      .
    19. Carraz 2005, p. 518.
    20. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome I », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVII, , p. 186, lire en ligne sur Gallica
      Voir Carraz 2005, p. 518 pour l'interprétation de comment s'est déroulé la cession d'un partie de la seigneurie, l'abbé Nicolas semblant pondérer ses propos.
      .
    21. Carraz 2005, p. 518, note 244.
    22. Emmanuel-Ferdinand de Grasset, Essai sur le grand prieuré de Saint-Gilles de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, suivi du catalogue des chevaliers, chapelains, diacots, donats et servants d'armes de la vénérable langue de Provence, dressé sur les titres originaux, Paris, (lire en ligne), p. 34
      Le toponyme Malauzet n'est pas identifié. Maussargues semble correspondre au membre de Marsolargues / Massolargues, aujourd'hui Massillargues-Attuech.
      .
    23. Daniel le Blevec, « L'enquête de 1373 dans le diocèse d'Uzès », Provence historique, no 179, , p. 91 (lire en ligne).
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. https://www.lemonde.fr/languedoc-roussillon-midi-pyrenees/gard,30/saint-maurice-de-cazevieille,30285/
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    Voir aussi

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