Saint-Mélany

Saint-Mélany est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans la région naturelle des Cévennes.

Saint-Mélany

Vue générale du village.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Beaume-Drobie
Maire
Mandat
Lorraine Chenot
2020-2026
Code postal 07260
Code commune 07275
Démographie
Gentilé Saint-Mélaniens
Population
municipale
103 hab. (2019 )
Densité 9,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 31′ 51″ nord, 4° 07′ 09″ est
Altitude Min. 275 m
Max. 920 m
Superficie 10,64 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Cévennes ardéchoises
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mélany
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mélany
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Saint-Mélany
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Mélany

    Ses habitants sont appelés les Saint-Mélaniens[1].

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Saint-Mélany fait partie du parc naturel régional des Monts d'Ardèche, dans les Hautes Cévennes. C'est un village de montagne surplombant de 150 m les gorges de la Drobie (la rivière est à 300 m d'altitude). Il s'accroche au flanc sud de la Serre de la Croix, qui culmine à 752 m d'altitude.

    Il est desservi par la D 420, une route pratiquement en boucle : cette petite départementale part de la D 220 qui longe la Drobie et la limite sud de la commune, et remonte vers le nord par le flanc Est de la Serre de la Croix pour desservir Saint-Mélany et, plus au nord, Pourcharesse, Le Chambon et Dompnac avant de revenir sur la D 220 à 600 mètres à l'ouest de son point de départ (mais à 1,6 km par la route).

    Le paysage est constitué de terrasses (faïsses) jadis cultivées de vignes, d'oliviers de châtaigniers et, depuis le début du XVIIIe siècle, de mûriers.

    Communes limitrophes

    La commune est limitée au sud par la Drobie et au sud-ouest par son affluent le ruisseau de Sueille.

    Lieux-dits et hameaux

    Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.

    A

    • L'Adreyt*, D420

    B

    • Balazuc*, Rte du Charnier
    • Bastidon*, D420
    • La Brousse, D220
    • Buissière*, D420

    C

    • Le Chambon*, D420
    • Le Charnier, Rte du Charnier
    • Le Cheylas*, Rte du Charnier
    • La Coste*, D420

    E

    • L'Elzet, Rte du Charnier
    • L'Elzière*, D420

    F

    • Les Fabres*, D420

    L

    • Lespérière, Chmin de Lespérière
    • Liscou, Rte du Charnier

    M

    • La Mate, D420
    • Miaille, D220
    • Le Monastier, D420
    • Le Moulin de la Brousse*, D220
    • Moulin Mègue*, D220

    S

    • Séraillon*, D220
    • Sueille, D220
    • Haute Sueille, D420

    T

    • Le Travers, D220

    V

    • Le Vernet*, D420
    • Le Villard*, D420

    Il n'y a aucun hameau ou lieu-dit construit sur le versant plein ouest de la Serre de la Croix.

    Géologie et relief

    Le relief est dominé par la Serre de la Croix (752 m d'altitude) et à l'est le Belvezet (732 m d'altitude). Le Belvezet forme le premier mont d'une crête qui remonte vers le nord jusqu'à 916 m d'altitude.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Mélany est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Forêt autour de Saint-Melany.

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Hydrographie

    La Drobie, sous-affluent de la rivière Ardèche car affluent de la Beaume, forme la limite sud de la commune avec Sablières puis avec Saint-André-Lachamp. Elle suit une direction ouest-est, coulant vers la Beaume qu'elle rejoint sur le territoire de Beaumont, la commune voisine. Ses trois affluents coulant sur la commune confluent sur sa rive gauche. D'amont en aval on les rencontre dans l'ordre suivant.

    Le ruisseau de Sueille, qui prend source sur la commune voisine Dompnac au nord-ouest, descend vers le sud en longeant le flanc ouest de la Serre de la Croix et forme la limite ouest de la commune.
    Le ruisseau de Pourcharesse, qui prend le nom de ruisseau du Fraysse aux abords de Pourcharesse, descend vers le sud en longeant le flanc est de la Serre de la Croix. Il traverse la commune par son milieu. Il a plusieurs affluents, dont :
    le ruisseau de l'Ubac (rg), 1,6 km sur les communes de Dompnac (source) et Saint-Mélany (confluence) ;
    le ruisseau de Bolze (rg), 3,5 km sur les communes de Saint-Mélany (source) et Beaumont (confluence) ;
    le Rieu (rg), 1,3 km sur la commune de Saint-Mélany.
    Le ruisseau de Chamblat forme la limite e de la commune avec Beaumont.

    Rivière cévenole typiquement soumise au régime pluvial de la région, la Drobie, comme la Beaume, l'Ardèche ou le Chassezac, présente des fluctuations saisonnières de débit très notables avec des hautes eaux d'automne-hiver, prolongées au printemps par la fonte des neiges et les pluies, et suivies d'une baisse rapide du débit aboutissant à une courte période d'étiage en juillet-août.

    Les crues peuvent être extrêmement importantes, amenant les épisodes cévenols.

    Histoire

    En 1834, 80 % des propriétés couvraient chacune de 3 à 4 ha en moyenne. Une exploitation typique comprenait 1 ha de lande, moins de 1 ha de châtaigniers, 15 ares de vigne et 75 ares de labour et de prairies plantées de mûriers produisant environ 25 de cocons de vers à soie. Le tout, additionné d'un porc, une chèvre et quelques poules et moutons, nourrissait une famille dont la taille à l'époque tournait autour de 6 à 8 personnes. L'argent ne provenait que de quelques hectolitres de vin et des cocons de soie, revenus précaires car sujets à de nombreux aléas ; une mauvaise révolte compromettait gravement le budget de la maisonnée. L'exode saisonnier était donc très courant, qui apportait le complément d'argent nécessaire aux dépenses des foyers. En effet il fallait désintéresser les nombreux cohéritiers et le prix de la terre était élevé pour des parcelles certes petites mais recherchées par autant de gens.
    Car à l'époque les Hautes Cévennes sont plus peuplées que les plaines des Basses Cévennes, peut-être grâce à la présence du châtaignier dans les hauteurs où il se plaît mieux. Dans les plaines plus basses, c'est le développement du mûrier dès le début du XVIIIe siècle qui a accompagné la croissance démographique commencée au XVIIe siècle.
    Mais dans les années 1850 viennent les crises conjugées du ver à soie et de l'oïdium de la vigne. Commence le dépeuplement de ces zones rurales qui perdent 8 à 10 % de leur population en 5 ans (1856-1861). Fin des années 1870, c'est le phylloxéra qui en 10 ans enlève environ 13 % de la population du sud vivarois ; entre ces deux catastrophes, l'émigration avait ralenti mais non cessé, un épanchement tel que 100 ans après le pic de 1850 Saint-Mélany a perdu 80 % de sa population[9].

    Sur le ruisseau de Pourcharesse, en limite de commune avec Dompnac, l'Ancien Moulin de Grimal témoigne d'un passé de meunerie jusque dans le haut de cette vallée.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Saint-Melany fait partie de la communauté de communes du Pays Beaume-Drobie.

    Administration municipale

    Le syndicat des rivières Beaume et Drobie[10], créé en 1984, s'occupe de la gestion durable et équilibrée de la ressource en eau et des milieux aquatiques» sur les communes de Beaumont, Dompnac, Joyeuse, Labeaume, Laboule, Planzolles, Ribes, Rocles, Rosières, Sablières, Saint-André Lachamp, Saint-Mélany, Sanilhac, Valgorge et Vernon[11].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1994 mai 2020 Marc Minetto[12]   Agriculteur exploitant
    mai 2020 en cours Lorraine Chenot[13]   Ancienne Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    La commune est depuis 2007, date de l'accord préfectoral pour la première demande de permis de construire, en conflit avec la société Valeco Eole qui veut implanter des éoliennes sur son territoire le long des lignes de crête. Le préfet d'Ardèche a le signé le deuxième permis de construire pour 9 éoliennes et un poste de livraison[14].

    Population et société

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16].

    En 2019, la commune comptait 103 habitants[Note 2], en diminution de 11,97 % par rapport à 2013 (Ardèche : +2,47 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    640640680704790839805866827
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    770638673656647607691630609
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    579538505401361293285229178
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    12978709698119124126117
    2018 2019 - - - - - - -
    106103-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Spécialités culinaires

    Les spécialités culinaires de Saint-Mélany sont :

    le picodon, fromage de chèvre ;
    la caillette, petit pâté de viande de porc, agrémenté d'herbes ;
    les marrons glacés ;
    le pisadou, gâteau à la châtaigne.

    Patrimoine naturel

    Espaces protégés et gérés

    La commune fait partie du parc naturel régional des « Monts d'Ardèche »[20].

    Vallée de la Drobie.

    ZNIEFF

    Apron du Rhône
    (Zingel asper).
    Seps tridactyle
    (Chalcides chalcides).
    Œillet du granite
    (Dianthus graniticus).
    • La ZNIEFF continentale de type 2 de l'« Ensemble fonctionnel formé par l’Ardèche et ses affluents (Ligne, Baume, Drobie, Chassezac…) »[21], soit 22 630,21 ha, concerne 61 communes dont Saint-Mélany et vise la rivière Ardèche, ses milieux annexes et ses principaux affluents dont la Ligne, la Baume, la Drobie, le Chassezac. C'est une zone importante, voire essentielle, en tant que zone de passages et d'échanges entre les Cévennes et le piémont méditerranéen, zone d'échange avec le Rhône pour les poissons, corridor écologique fluvial, et zone d'alimentation ou de reproduction pour de nombreuses espèces en plus de celles citées ici. Par ailleurs certaines espèces comme les aigles nécessitent un large territoire.
    La basse vallée de l'Ardèche est un rare milieu aquatique dont le fonctionnement n'est pas ou peu altéré. Elle faisait autrefois partie du domaine vital des poissons migrateurs rhodaniens et quelques frayères sont encore utilisées par l'Alose feinte (Alosa agone), espèce maritime classée vulnérable et qui remonte ici par le Rhône pour sa reproduction. Le Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux du Bassin Rhône-Méditerranée-Corse tente de rétablir cette fonction de couloir de migration avec l'accent sur les axes Beaume-Chassezac et Ardèche-Rhône, et un intérêt particulier pour la présence d'espèces piscicoles rares ou endémiques du bassin rhodanien, comme l'apron du Rhône (Zingel asper), espèce endémique du bassin Rhône-Méditerranée-Corse et de quelques cours d'eau de Franche-Comté, en danger critique d'extinction.
    Le bassin de la basse vallée de l'Ardèche abrite aussi la bouvière (Rhodeus sericeus, qui a une relation de parasitisme réciproque avec la moule d'eau douce), la lamproie de Planer (Lampetra planeri) et la toxostome (Chondrostoma toxostoma, espèce vulnérable), toutes trois espèces elles aussi protégées selon l'annexe II de la directive Habitat, l'annexe III de la convention de Berne et protégées sur l'ensemble du territoire français national.
    On y trouve également l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), protégée au titre de la directive Habitat et de la "Protection des écrevisses autochtones sur le territoire français métropolitain, et de nombreuses d'insectes dont des espèces de libellules méditerranéennes très localisées dans la région comme le gomphus de Graslin (Gomphus graslinii, vulnérable), l'agrion bleuâtre (Coenagrion caerulescens), l'agrion blanchâtre (Platycnemis latipes, libellule inscrite sur les deux listes rouges de l'UICN mondiale et européenne), ou la cordulie splendide (Macromia splendens[22], libellule sur la Liste rouge de l'UICN et protégée selon les annexes II et IV de la directive Habitat, l'annexe II de la convention de Berne, et l'article II de la liste des insectes protégés sur l'ensemble du territoire). Parmi les insectes présents on compte aussi la magicienne dentelée (Saga pedo, une sauterelle) et la cétoine bleue (Eupotosia mirifica, un scarabée[23]).
    D'autres résidents notables sont des reptiles et batraciens avec le seps tridactyle (Chalcides chalcides, un petit saurien aux pattes très atrophiées), le lézard ocellé (Timon lepidus, quasi menacé), la coronelle lisse (Coronella austriaca, un serpent), le pélobate cultripède (Pelobates cultripes, un batracien), la rainette méridionale (Hyla meridionalis), l'aigle botté (Hieraaetus pennatus) et l'aigle de Bonelli (Aquila fasciata), l'hirondelle rousseline (Cecropis daurica), voire le percnoptère d'Egypte (Neophron percnopterus, un vautour encore récemment nicheur), de nombreux chiroptères dont le minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii, une chauve-souris), le castor d'Europe (Castor fiber) et la loutre (Lutra lutra).
    Le ciste de Pouzolz (Cistus pouzolzii, protégé sur tout le territoire français métropolitain[24]) et l'œillet du granite (Dianthus graniticus, famille des Dianthus) sont parmi les espèces végétales déterminantes de cette zone.
    Cette ZNIEFF inclut la Goule de Foussoubie près de Labastide-de-Virac, un réseau karstique de plus de 23 km de galeries pour une dénivellation de 135 m, situé sur les communes de Vagnas, Labastide-de-Virac et Salavas. Ce karst est de type méditerranéen, creusé dans les calcaires ou les dolomies, de formation ancienne et caractérisé par des phénomènes de dissolution plutôt lents. La faune associée est remarquable et dans certains cas unique : on y trouve un crustacé dépigmenté connu ici dans seulement deux grottes dont celle de la Dragonnière ; un amphipode endémique connu seulement à la grotte du Colombier ; et des espèces endémiques du sud-est du Massif Central, dont un coléoptère inféodé au milieu souterrain superficiel dans les zones spécialementement humides.
    Un autre élément déterminant de cette ZNIEFF est la nappe phréatique qu'elle inclut, qui elle-même abrite des espèces remarquables dont des invertébrés aquatiques aveugles et dépigmentés. La famille des Hydrobiidae[25], petits gastéropodes aquatiques, est la plus nombreuse famille de mollusques continentaux en France et représente une centaine de taxons ; 45 % de ces espèces sont présentes dans les eaux souterraines et notamment les nappes.
    • La ZNIEFF continentale de type 1 des « Vallées de la Beaume, de la Drobie et affluents »[26] concerne 15 communes ardéchoises, dont Saint-Mélany[Note 3], pour un total de 1 218,71 hectares. Elle remplit les mêmes rôles que la ZNIEFF précédente, comme couloir écologique et pour le maintien des relations entre écosystèmes variés. L'essentiel du bassin de la Drobie coule sur des schistes et micaschistes ; la partie amont de la Beaume est faite de granites. Les variations de substrat rocheux, de vitesse du courant et de multiples autres facteurs amènent une très grande diversité de micro-habitats et donc d'espèces. On y trouve de nombreuses espèces présente dans la ZNIEFF déjà citée, ainsi que la spiranthe d'été (Spiranthes aestivalis, une orchidée) et le saxifrage de Clusius (Saxifraga clusii). Les rares prairies sont souvent riches en orchidées, dont l'orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora).

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    3. La ZNIEFF continentale de type 1 des « Vallées de la Beaume, de la Drobie et affluents » concerne les 15 communes ardéchoises de Beaumont, Dompnac, Joyeuse, Lablachère, Laboule, Planzolles, Ribes, Rocles, Rosières, Sablières, Saint-André-Lachamp, Saint-Mélany, Sanilhac, Valgorge et Vernon.

      Références

      1. Saint-Mélany sur habitants.fr.
      2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      9. Bozon Pierre. « La population de la Cévenne vivaroise ». Dans Revue de géographie alpine. 1958, Tome 46 No 4. p. 683-715 DOI:10.3406/rga.1958.1848. Accessed on 28 janvier 2015.
      10. « La Haute Beaume et la Drobie », sur Rivieres Sauvages, (consulté le ).
      11. Plan Local d'Urbanisme de Valgorge - Diagnostic communal, .
      12. Répertoire national des élus (RNE) - version de juillet 2020, consulté le 3 juillet 2020
      13. « Répertoire national des élus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
      14. Éoliennes - 2e appel, tribunal d'appel de Lyon, .
      15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
      19. site Sentier des Lauzes.
      20. « Parc naturel régional des Monts d'Ardèche » - FR8000041. Fiche et cartographie Natura 2000.
      21. « Ensemble fonctionnel formé par l’Ardèche et ses affluents (Ligne, Baume, Drobie, Chassezac…) » - 820002843. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
      22. Cordulie splendide (Macromia splendens) sur inpn.mnhn.fr.
      23. cétoine bleu (Eupotosia mirifica) sur inpn.mnhn.fr.
      24. Ciste de Pouzolz (Cistus pouzolzii) sur tela-botanica.org.
      25. (en) Kabat Alan R. et Hershler Robert. The Prosobranch Snail Family Hydrobiidae (Gastropoda : Rissooidea) : Review of Classification and Supraspecific Taxa. Snithonian Contributions to zoology, no 547. 1993.
      26. « Vallées de la Baume, de la Drobie et affluents » - 820030063. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.

      Liens externes

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