Saint-Perdoux (Lot)

Saint-Perdoux est une commune française, située dans l'est du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le Ségala lotois, une région naturelle constituant la frange occidentale de la Châtaigneraie, constituant le parent lotois du Ségala aveyronnais et tarnais.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Perdoux.

Saint-Perdoux

L'église Saint-Perdoux.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Benjamin Fraysse
2020-2026
Code postal 46100
Code commune 46288
Démographie
Gentilé Saint-Perdoussiens
Population
municipale
213 hab. (2019 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 28″ nord, 2° 02′ 54″ est
Altitude 299 m
Min. 260 m
Max. 526 m
Superficie 12,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Figeac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Figeac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Perdoux
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Perdoux
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Burlande, le ruisseau de Saint-Perdoux et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Perdoux est une commune rurale qui compte 213 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 683 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Figeac. Ses habitants sont appelés les Saint-Perdoussiens ou Saint-Perdoussiennes.

    Géographie

    Accès

    Saint-Perdoux est une commune située au nord-est du département du Lot, dans l'aire urbaine de Figeac. Vers le Sud, elle se trouve à 6,3 km par la D61 de l'axe N122 (Figeac - Aurillac) et à 10,3 km de la sous-préfecture Figeac.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Perdoux[1]
    Prendeignes
    Cardaillac
    Viazac

    Relief

    La commune de Saint Perdoux est située en zone de moyenne montagne, en Ségala, plus précisément dans la châtaigneraie figeacoise. Les terrains se rattachent aux premiers contreforts du massif central avec une prédominance de grès de couleurs variables. Son relief est marqué, qualifié par le terme de Serres figeacoises pour décrire ses paysages.

    Si le village est juché sur un éperon rocheux en fond de vallée, la plupart des hameaux dispersés sont installées sur les hauteurs. Les "travers" au pentes marquées voire abruptes sont souvent colonisées par une forêt mêlant châtaigniers, chênes, bouleaux, frênes et autres essences de feuillus. Des parcelles de résineux sont visibles et dues aux plantations des années 1960. Par ailleurs des prairies, utilisées pour un élevage extensif principalement bovin, se trouvent en fond de vallons ou sur les hauteurs les moins accidentées.

    Géologie

    Les hauteurs du territoire de la commune sont constitués, selon le référentiel pédologique français, de sols bruns ou brunisols. Ce type de sol est défini comme « acides sableux à sablo-limoneux des pentes fortes d'occupation agricole et forestière sur schiste houiller du Ségala »[2].

    Le fond des vallons des ruisseaux temporaires est occupé par des colluviosols : accumulation de débris venant des versants voisins, celui des deux vallées principales des ruisseaux de Saint-Perdoux et de la Burlande est de type fluviosol formé par des alluvions fluviatiles récentes[2].

    Le bassin carbonifère de Saint-Perdoux a pour origine un synclinal généré par l'orogenèse varisque lors du paléozoïque. Des sédiments et des dépôts volcaniques, datés du Stéphanien ou de l'Autunien, se sont ensuite accumulés dans ce pli en creux. Les sédiments ont formé des roches sédimentaires : grès, poudingues, conglomérats avec quelques couches de houilles. Les matériaux émis par les volcans sont eux des trachytes, des andésites, des basaltes et des laves plus ou moins altérées[3]. Le dépôt du stéphanien à Saint-Perdoux qui contient la houille est considéré comme insignifiant[4].

    Hydrographie

    Les eaux du territoire de la commune sont collectées du Nord-Ouest vers le Sud-Est par trois cours d'eau qui coulent de l'est vers l'ouest.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 030 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maurs », sur la commune de Maurs, mise en service en 1992[10] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 176,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 42 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 10,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17] : les « zones humides de St Perdoux » (33 ha), couvrant 2 communes du département[18] et les « zones humides du ruisseau de Douzet » (8 ha)[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[17] : le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » (12 535 ha), couvrant 28 communes dont six dans le Cantal et 22 dans le Lot[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Perdoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,1 %), prairies (23 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Saint-Perdoux est basé sur l'hagiotoponyme chrétien Pardulphe (Pardwulf en allemand) abbé de Guéret[24].

    Histoire

    Les premières exploitations

    Vue de l'entrée de la mine du Soulié
    Vue de matériels sur le carreau de la mine de la Tourterelle

    Au début du XVIIIe les mines de houille fournissent en combustibles les maîtres verriers et les fours à chaux[25]. Louis Cordier, ingénieur des mines écrit cependant en 1807 que « les mines de l'arrondissement de Figeac ne sauraient donner de grandes quantités à cause du petit nombre et du peu d'épaisseur des couches. »[26]. En 1809 les premiers mineurs professionnels de Saint-Perdoux sont mentionnés dans les registres d'État civil. Les conditions d'extraction sont difficiles et la houille sert au chauffage, aux forgerons et au fours à chaux[27].

    Exploitation industrielle

    De 1860 à 1910, concessions sont instituées par décret : Le Soulié, Saint-Perdoux, Cardaillac, Bel-Air[28].

    le , un armateur de Bordeaux, Pierre-Rodolphe Pozzi, acquiert la concession sud de Saint-Perdoux. Il investit 15 millions de francs dans la construction de l’usine de Buzac, à proximité de la ligne de chemin de fer d’Aurillac à Figeac et une voie ferrée de 2,8 km entre Buzac et les mines de Brethonel. Il fait faillite en 1877[29].

    Wagonnets et treuil de mine à Saint-Perdoux

    En 1868, l'ingénieur Vaïsse démarre les travaux de prolongation de la voie ferrée sur environ 7 kilomètres, du Moulin de Cadiergues jusqu’au bas des plans inclinés des mines de Ténouzies. Ces travaux difficiles dureront jusqu'aux environ de 1885 et permettront collecter, plus au nord, le charbon des mines de la concession du Soulié. De 1910 à 1913, le tunnel-travers-banc de Mazet au Mas del Bos est creusė sur 640 mètres au nord. Il permet de faire franchir la colline au minerai. Il se situait sous l'actuelle route D89 et a permis d'exploiter les bancs de houille de cet endroit et une hausse immédiate de la production. Le minerai est acheminé à l'usine de Buzac par des plans inclinés, des treuils et des lignes de transport par câble aérien sur une distance d'environ 11 km dont 5 en site propre et 6 en accotement sur la route de Saint-Perdoux. Au départ, deux convois par jour de quatre à cinq wagonnets sont tirés par des chevaux ou des mulets. Un cinquième cheval fait deux voyages de nuit. Les 3 et deux locomotive à vapeur de fabrication Decauville sont mises en service et tractent des convois de 20 à 25 berlines de 2,5 tonnes de charbon chacune. Ce sont 120 berlines par jour qui sont transportées des mines du Soulié à l'usine de Buzac. En 1907, un trommel permet de cribler le minerai dans cette usine où une vingtaine de femmes était chargées d’examiner et trier les plus gros morceaux[29].

    Production des mines

    Au total, 195 000 tonnes de minerai sont extraites des concessions.

    Évolution de la production de minerai des quatre concessions de Saint-Perdoux[29]
    Valeurs en tonnes (t)

    Fin de l'activité et état actuel

    Treuil de mine visible à la mine du Soulié
    Vue de l'entrée de la mine de la Tourterelle

    En 1922, la société des charbonnages de Figeac fait faillite, la banque Figeacoise Certes-Marty dépose le bilan à son tour. Le , la mine du Farnay, dernière en activité, cessa d'être exploitée[27].

    Pendant la Seconde Guerre mondiale une courte réouverture des mines permit de parer au manque de combustible et de cacher certains jeunes réfractaires au STO[25].

    Un sentier d'interprétation balisé, d'une longueur de km, fait découvrir les ruines des installations minières et du matériel d'époque : treuils, ventilateur, wagonnet. Il a été aménagé en 2015 et restauré 2020[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1794 1798 Jean Delort    
    1798 1828 François Laperge    
    1828 1833 Mathurin Gouget    
    1834 1843 Jean Baptiste Poujade    
    1843 1847 François Lacarriere    
    1847 1855 François Destal    
    1855 1865 Guillaume Cadrieu    
    1870 1871 Orlhiac    
    05.1871 09.1871 Jean Pierre Laplaize    
    1871 1886 Lacombrade    
    06.1886 10.1886 L. Cadrieu    
    1886 1892 L. Cadrieu    
    1892 1896 Orlhiac    
    1896 1903 Lacarriere    
    2001 2014 Raymond Gibrat    
    2014 2020 Louis Jean Sirieys    
    26 mai 2020 En cours Benjamin Fraysse    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2019, la commune comptait 213 habitants[Note 8], en augmentation de 9,79 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    580475505448600596648662633
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    683636614600615577571513537
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510434481446416297303266251
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    254235217206206204202202192
    2017 2019 - - - - - - -
    211213-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 92 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 203 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 170 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]5,1 %5,1 %8,3 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 132 personnes, parmi lesquelles on compte 78,8 % d'actifs (70,5 % ayant un emploi et 8,3 % de chômeurs) et 21,2 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 23 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 94, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57 %[I 10].

    Sur ces 94 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 79,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    12 établissements[Note 11] sont implantés à Saint-Perdoux au [I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 12 entreprises implantées à Saint-Perdoux), contre 13,5 % au niveau départemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans le Segala », une petite région agricole occupant la frange est du département du Lot[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations29241310
    SAU[Note 13] (ha)278279369317

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 29 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 24 en 2000 puis à 13 en 2010[37] et enfin à 10 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 66 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[38],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 278 ha en 1988 à 317 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 10 à 32 ha[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte un monument historique et des lieux qui rappellent son passé minier :

    Voir aussi

    Bibliographie

    François Tayrac et Rémy Bouyssié, Histoire du Quercy minier : bassin de Saint-Perdoux-Viazac, Association des Collectionneurs de Figeac et ses Environs, , 268 p. (ISBN 9782950265241, lire en ligne)

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Perdoux » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Perdoux » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Perdoux » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Perdoux » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Maritxu GUIRESSE et al., Référentiel Régional Pédologique de Midi-Pyrénées : Département du Lot (Etude no 31802), CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique/EcoLab.
    3. Alain Turq, « Le cadre géographique et géologique », Paléo, Revue d'Archéologie Préhistorique, vol. 2, no 1, , p. 10–17 (DOI 10.3406/pal.2000.1257, lire en ligne, consulté le ).
    4. Jeanne Doubinger et Pierre Vetter, Dixième Congrès International de Stratigraphie et de Géologie du Carbonifère : Le Stéphanien en France, vol. 1, Madrid, ICC, , 367 p. (lire en ligne), p. 49.
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    15. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    18. « ZNIEFF les « zones humides de St Perdoux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « zones humides du ruisseau de Douzet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    25. « Le sentier de Saint-Perdoux », sur Les sentiers retrouvés (consulté le ).
    26. Louis Cordier, « Suite de la Statistique du Département du Lot : Extrait d'un Compte rendu de l'état des Mines et Usines dans le Département du Lot. », Journal des Mines, vol. Seconde partie « État et ressources de l'industrie minérale », , p. 6, 34-39 (lire en ligne).
    27. « Commune de Saint-Perdoux », sur saint-perdoux.fr (consulté le ).
    28. Philippe Abraham, « Mission d’étude des sites miniers et métallurgiques en Midi-Pyrénées », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia, (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le ).
    29. IRSP, « Réseau du Bassin de Saint-Perdoux : Inventaire des Réseaux Spéciaux et Particuliers » [PDF], sur http://www.inventaires-ferroviaires.fr, (consulté le ).
    30. « Les maires de Saint-Perdoux », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    35. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    36. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    37. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Perdoux - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    38. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
    39. Notice no PA00095249, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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