Saint-Sulpice-de-Roumagnac
Saint-Sulpice-de-Roumagnac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Sulpice.
Saint-Sulpice-de-Roumagnac | |||||
Le village de Saint-Sulpice-de-Roumagnac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Philippe Dubourg 2020-2026 |
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Code postal | 24600 | ||||
Code commune | 24504 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Romagnosulpiciens | ||||
Population municipale |
283 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 12′ 10″ nord, 0° 23′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 85 m Max. 209 m |
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Superficie | 10,70 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Ribérac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | saint-sulpice-de-roumagnac.fr | ||||
Géographie
Généralités
Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune rurale de Saint-Sulpice-de-Roumagnac se trouve sur les hauteurs entre les vallées de la Dronne et de l'Isle. Son territoire qui s'étend sur 10,70 km2 se répartit entre le Ribéracois au nord et la Double au sud. Au nord, la Peychay et ses affluents sont des tributaires de la Dronne. Au sud, les affluents de la Beauronne s'écoulent vers l'Isle.
Le bourg de Saint-Sulpice-de-Roumagnac, à l'écart des routes principales, se situe, en distances orthodromiques, six kilomètres au sud-est de Ribérac et treize kilomètres au nord-ouest de Saint-Astier.
Le territoire communal est traversé au centre, d'est en ouest, par la route départementale (RD) 43 (liaison de Saint-Astier à Saint-Antoine-Cumond) et au sud-ouest par la RD 709 qui relie Ribérac à Mussidan.
Communes limitrophes
Saint-Sulpice-de-Roumagnac est limitrophe de six autres communes, dont à l'est, au lieu-dit les Quatre Frères, Segonzac sur environ 130 mètres, et Chantérac sur une trentaine de mètres.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Sulpice-de-Roumagnac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 758 - Périgueux (ouest) » et « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | |||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
Pliocène |
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Miocène | non présent | |||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent | |||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | |||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
non présent | |||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 85 mètres[6] à l'extrême-nord, au Moulin de la Faye, là où la Peychay quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Martin-de-Ribérac et Saint-Pardoux-de-Drône, et 209 mètres[6],[7] à l'extrême-est, au lieu-dit les Quatre Frères, en limite de la commune de Saint-Vincent-de-Connezac[8].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[11],[12].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 10,70 km2[6],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 10,85 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Peychay et la Gilardie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[17],[Carte 1].
La Peychay, d'une longueur totale de 10,55 km, prend sa source dans la commune de Segonzac et se jette dans la Dronne en limite de Saint-Méard-de-Drône et de Villetoureix, après avoir traversé six communes[18].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[27] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[28],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[29]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 40 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[33].
Urbanisme
Typologie
Saint-Sulpice-de-Roumagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[34],[35],[36].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[37],[38].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,7 %), forêts (35,3 %), terres arables (10,5 %), prairies (1,5 %)[39].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Saint-Sulpice-de-Roumagnac proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :
- les Boiges
- Bois de Gilardie
- Bry
- les Chapelles
- Chauvignac
- chez Dominique
- la Clergie
- le Cluzeau
- le Drillou
- Eypinal
- la Forêt de Planche
- la Gilardie
- le Grabis
- les Jalagers
- Laborie
- Laborie de Planche
- Lavergne
- les Marteilles
- le Menaud
- Montagut
- le Moulin de la Faye
- le Moulin de Planche
- la Panche
- les Penods
- Planche
- Pontville
- le Puid
- Puythier
- les Quatre Frères
- Rabaudou
- le Reyney
- les Taluffes
- le Tuquet.
Toponymie
Le nom de la commune fait référence à saint Sulpice, évêque de Bourges au VIIe siècle[41]. La deuxième partie du nom correspond au nom d'un personnage gallo-roman, Romanius, auquel a été ajouté le suffixe -acum[42], désignant le « domaine de Romanius ».
En occitan, la commune porte le nom de Sent Suplesís de Romanhac ou Sent Suplesi de Romanhac[43].
Histoire
La première mention écrite connue du lieu remonte au début du XIIIe siècle, sous la forme Sanctus Suplis, avant de voir apparaître Sanctus Sulpitius au siècle suivant[42].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de St Sulpice de Romagnac[44].
Le , les Allemands de la Division Brehmer lancent une vaste opération contre les maquisards dans la forêt de la Double entre Montpon-sur-l'Isle, Mussidan et Ribérac[45]. Un détachement s'installe vers 17h30 à Saint-Sulpice-de-Roumagnac où sont fusillées cinq personnes[45].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Saint-Sulpice-de-Roumagnac a été rattachée au canton de Saint Vincent qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Ribérac dépendant de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926 puis de l'arrondissement de Périgueux[6].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , la commune reste rattachée à ce canton qui s'élargit, passant de 13 à 35 communes lors des élections départementales de mars 2015[46].
Intercommunalité
En 1993, Saint-Sulpice-de-Roumagnac intègre dès sa création la communauté de communes des Hauts de Dronne. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Sulpice-de-Roumagnac relève[50] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Les habitants de la commune se nomment les Romagnosulpiciens[51].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].
En 2019, la commune comptait 283 habitants[Note 9], en augmentation de 12,75 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Emploi
En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 116 personnes, soit 43,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (douze) a augmenté par rapport à 2010 (cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,2 %.
Établissements
Au , la commune compte trente-deux établissements[56], dont seize au niveau des commerces, transports ou services, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[57].
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Chartreuse de Chauvignac, du début du XVIIIe siècle[58]
- Château de Saint-Sulpice (ou manoir de Saint-Sulpice[59]), XVe ou XVIe siècle, transformé en maison d'habitation[60].
- Château du Puid[61], datant de 1720-1730[62].
- Église Saint-Sulpice du XIIIe siècle[63]. Elle recèle un tabernacle du XVIIIe siècle en bois sculpté, classé au titre des monuments historiques[64].
L'église Saint-Sulpice. La nef. Le tabernacle du XVIIIe siècle.
Patrimoine naturel
Au sud de la commune, les vallées des affluents et sous-affluents de la Beauronne font partie des vallées de la Double, considérées comme site important par le réseau Natura 2000[65] pour la conservation d'espèces animales européennes menacées. On peut y trouver notamment la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[66].
Personnalités liées à la commune
- Jean-Marc Janaillac (1953-), chef d'entreprise, né à Saint-Sulpice-de-Roumagnac.
Héraldique
Blason | D’azur au château de Chérazac, essoré de gueules, ouvert de sable, accompagné de trois fleurs de lys aussi d’argent[67] |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Sulpice-de-Roumagnac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Sulpice-de-Roumagnac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Sulpice-de-Roumagnac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « 209 » sur Géoportail (consulté le 6 juillet 2022)..
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Sulpice-de-Roumagnac », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
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- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
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- Sandre, « la Peychay »
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 370.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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- Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN 2-912347-11-4), p. 316.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 262.
- « Château de Saint-Sulpice », notice no IA24000661, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 mars 2011.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 222.
- « Demeure du Puid », notice no IA24000699, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 janvier 2015.
- « Église paroissiale Saint-Sulpice », notice no IA24000637, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 novembre 2013.
- « Tabernacle (tabernacle à ailes), du maître-autel », notice no PM24000375, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 novembre 2013.
- Carte des Vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 26 novembre 2013.
- [PDF] FR7200671 - Vallées de la Double sur le site de l'INPN, consulté le 23 janvier 2015.
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