Saint-Omer-en-Chaussée

Saint-Omer-en-Chaussée est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Saint-Omer-en-Chaussée

La gare.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
André Solewyn
2020-2026
Code postal 60860
Code commune 60590
Démographie
Gentilé Audomarois, Audomaroises
Population
municipale
1 243 hab. (2019 )
Densité 120 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 57″ nord, 2° 00′ 11″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 177 m
Superficie 10,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Omer-en-Chaussée
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Omer-en-Chaussée
Géolocalisation sur la carte : Oise
Saint-Omer-en-Chaussée
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Saint-Omer-en-Chaussée

    Géographie

    Saint-Omer-en-Chaussée est un bourg situé à 15 km au nord-ouest de Beauvais, situé dans une vallée du Plateau picard, baignée par les eaux du Petit Thérain, affluent du Thérain.

    Voies de communication et transports

    La ville est desservie par la RD 901, qui correspond à l'ancienne route nationale 1. Sur le plan des transports ferroviaires, la commune est desservie par la gare de Saint-Omer-en-Chaussée sur la relation de Beauvais au Tréport par Abancourt. Entre 1876 et 1939, existaient également des trains de voyageurs pour Amiens grâce à la ligne de Saint-Omer-en-Chaussée à Vers.

    Risques naturels

    En raison des risques de crues du petit Thérain, Saint-Omer-en-Chaussée est concernée par un projet de plan de prévention des risques (PPR) inondation prescrit le [1]

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 724 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Songeons », sur la commune de Songeons, mise en service en 1951[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10 °C et la hauteur de précipitations de 821,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 11 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Omer-en-Chaussée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), forêts (15 %), prairies (14,2 %), zones urbanisées (5,3 %), eaux continentales[Note 8] (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Histoire

    La rue de la Gare, avant la Première Guerre mondiale.

    Au Moyen Âge, il y avait sur le territoire de Saint-Omer plusieurs forges, attestées encore par le nom d'un hameau, le Hameau-des-Forges.

    Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle, les chasse-marées, ancien nom des mareyeurs, transportaient le poisson, qui venait des ports de la Manche pour ravitailler Paris, en passant par Saint-Omer.

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Saint-Omer-en-Chaussée dépendait du doyenné de Montagne, de l'archidiaconé de Bray et du diocèse de Beauvais[22]. En 1789, Saint-Omer dépendait administrativement et juridiquement du grenier à sel de Beauvais, de l'Élection de Beauvais, du bailliage de Clermont (prétendu par Beauvais), de la Coutume de Clermont et d'Amiens, de l'intendance de Paris, du Parlement de Paris, et du Gouvernement d'Île-de-France.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Gustave Mathiotte Rad. Conseiller général de Marseille-en-Beauvaisis (1913 → 1931)
    1929 1944 François Bénard[23] DVD puis
    UNR puis UDR puis UC
    Minotier, propriétaire du Moulin des Forges,
    Député de l'Oise (1956 → 1978)
    Conseiller d'arrondissement (1928 → 1931)
    Conseiller général de Marseille-en-Beauvaisis (1931 → 1940 et 1945 → 1978)
    Président du Conseil général de l'Oise (1949 → 1973)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1995[24] mai 2020[25],[26] Gérard Devambez    
    mai 2020[27],[28] En cours
    (au 22 juillet 2020)
    André Solewyn   Policier municipal

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2019, la commune comptait 1 243 habitants[Note 9], en diminution de 3,94 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    456420461496532535576580561
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    522516516506508480403481471
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    488501470455468453485476495
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    5716608849661 0921 0561 2961 3211 294
    2018 2019 - - - - - - -
    1 2401 243-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 683 hommes pour 557 femmes, soit un taux de 55,08 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    0,5 
    5,9 
    75-89 ans
    8,1 
    17,0 
    60-74 ans
    19,7 
    27,5 
    45-59 ans
    20,3 
    22,0 
    30-44 ans
    18,9 
    12,9 
    15-29 ans
    14,4 
    14,2 
    0-14 ans
    18,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Économie

    Le bâtiment principal de l'ancienne laiterie Maggi au début du XXe siècle.

    Saint-Omer accueille plusieurs entreprises, Ventmeca (ventilateurs industriels) et Marisol (cloisons et faux plafonds) ainsi que Frantschach Coating (transformation et impression de papiers et cartons) qui constituent l'essentiel de son tissu économique, avec le Centre du Belloy, centre de rééducation fonctionnelle et de réadaptation professionnelle qui emploie environ 200 personnes.

    La ville est également connue pour l'ancienne laiterie Maggi, créée en 1899 et qui a fermé en 1971. Cette entreprise était considérée comme une laiterie modèle, et fournissait un lait de qualité supérieure, garanti par une fermeture des bouteilles en verre ou en porcelaine par cachets. Dans cette démarche de recherche qualitative, elle était également une des rares laiteries équipées à cette époque d'un laboratoire. Elle concurrençait la société Charles Gervais, solidement implantée dans la région.

    Lieux et monuments

    • Château de Monceaux, construit de 1763 à 1773 (propriété privée, classée monument historique).
    • Église Saint-Omer du XVIe siècle en grès et cailloux. Un sarcophage découvert par un laboureur est exposé face à l'église.
    • Compte tenu de la présence du Petit Thérain, de nombreux moulins ont été exploités à Saint-Omer-en-Chaussée, dont le moulin des Forges, ancienne minoterie hydraulique construit pour François Grévin-Debise au XVIIIe siècle et modifié au 3e quart du XIXe siècle[35], actuellement occupé par un restaurant.

    Personnalités liées à la commune

    • Marc Henri, baron de Segonzac, né à Saint-Omer en 1851, agronome et écrivain.

    Sport

    La commune est le siège d'un club de rugby à XIII fauteuil « les Grizlzys »[36], qui est pressenti pour rejoindre le championnat de France.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. [PDF] Informations sur les risques naturels et technologiques majeurs de la Commune de Saint-Omer-en-Chaussée.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Songeons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Omer-en-Chaussée et Songeons », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Songeons - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Omer-en-Chaussée et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Robert Lemaire, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire démographique et démographique - Département de l'Oise, École des hautes études en sciences sociales, Paris, 1976[réf. non conforme].
    23. « François, Claude, Eléonor Bénard (1903-1978) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    24. « Saint-Omer : Les travaux à l'ancienne laiterie débuteront en mars », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3273, , p. 17.
    25. « Hommage à Gérard Devambez : le localo technique porte le nom du maire : Gérard Devambez ne sollicitera pas de nouveau mandat. Pour saluer son engagement, le conseil municipal a choisi de donner son nom au local technique municipal », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3572, , p. 15.
    26. Sylvie Godin, « André Solewyn, l'adjoint, entre en lice : Le premier adjoint de Saint-Omer-en-Chausséz conduira une liste aux municipales « dans la continuité » du travail accompli par le maire Gérard Devmbez », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3585, , p. 27.
    27. Sylvie Godin, « Saint-Omer-en-Chaussée : André Solewyn, nouveau maire », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ) « Adjoint au maire dans la dernière mandature, il succède à Gérard Devambez qui ne s’était pas représenté aux élections de mars dernier ».
    28. Kevin Héliès, « Portrait d'élu : être maire, c'est en premier lieu aider les gens : Ancien adjoint de Gérard Devambez, André Solewyn lui succède à la tête de la mairie. Âgé de 56 ans, il entame son tout premier mandat en tant que maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3612, , p. 11 « Ancien conseiller et adjoint sous les précédentes mandatures, c'est son premier mandat d'édile pour ce policier municipal de 56 ans ».
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Omer-en-Chaussée (60590) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    35. Plus d'informations sur le Moulin des Forges
    36. Hervé Girette, « St Omer, c'est le Nord ! », Planète XIII, no 15, , p. 30-32 (ISSN 2647-8323).
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