Le Caule-Sainte-Beuve

Le Caule-Sainte-Beuve est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Caule et Sainte Beuve.

Le Caule-Sainte-Beuve

La mairie et l'église Saint-Jean.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Chantal Benoît
2020-2026
Code postal 76390
Code commune 76166
Démographie
Gentilé Caulois
Population
municipale
482 hab. (2019 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 28″ nord, 1° 35′ 23″ est
Altitude Min. 161 m
Max. 241 m
Superficie 16,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Caule-Sainte-Beuve
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Le Caule-Sainte-Beuve
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Le Caule-Sainte-Beuve
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Le Caule-Sainte-Beuve
Liens
Site web http://www.lecaulesaintebeuve.fr/

    Géographie

    Localisation

    La commune est constituée d'un ensemble de hameaux agricoles normands situés en limite de la Basse Forêt d'Eu[1], limité au sud par l'ancienne RN 29 (actuelle RD 929).

    Elle est aisément accessible par l'autoroute A29.

    Communes limitrophes

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Le Caule-Sainte-Beuve est constitué de divers hameaux :

    • Le Caule, chef-lieu de la commune ;
    • Les Ventes-Mésangères, qui fut jusqu'en 1822 une commune ;
    • Sainte-Beuve-aux-Champs], qui fut jusqu'en 1824 une commune ;
    • L'Aventure ;
    • Le Bord des Bois ;
    • Génétrelle.

    Hydrographie

    Une source intermitente du fleuve côtier l'Yères se trouve dans le vallon dénommé le Puits à Corbeau[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 925 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Forges », sur la commune de Forges-les-Eaux, mise en service en 1959[8] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 827,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 41 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Caule-Sainte-Beuve est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,8 %), forêts (28,9 %), prairies (23,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), zones urbanisées (1,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Chaable en 1119, Caable fin du XIIe siècle[22].

    Cette dénomination, issue du latin catabola pour abattre , du grec kata (dictionnaire historique Robert), aurait la même originie la même origine que le terme forestier chablis, qui désigne des arbres abattus ou déracinés par le vent ou la tempête[23].

    L'hagiotoponyme, Sainte-Beuve, est emprunté à l'ancienne commune Sainte-Beuve-aux-Champs en 1824[24].

    Histoire

    « Un ciseau poli en silex, une hachette polie de même matière et un marteau perforé en diorite, long de 9 centimètres et ayant la forme d'une masse à cailloux » de l'époque néolithique ont été découverts dans la commune au XIXe siècle[25].

    Des tuiles romaines ont été découvertes aux Ventes-Mésangères[24].

    En 1634 est créée une verrerie au Caule, puis une autre en 1830. Elles fonctionnent peu de temps[26].

    L'ancienne gare des Landes-le-Caule, devenue une habitation.

    La commune du Caule, instituée par la Révolution française, absorbe en 1822 celle de Les Ventes-Mésangères et devient Le Caule-les-Ventes. En 1824, celle-ci absorbe Sainte-Beuve-aux-Champs et prend son nom actuel du Caule-Sainte-Beuve[24].

    La gare des Landes-le-Caule, situé aux Landes-Vieilles-et-Neuves en limite du Caule, était desservie de 1906 à 1947 par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique Aumale-Envermeu des Chemins de fer départementaux de la Somme (bien que située en Seine-Maritime).

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie de 1802 à 1952 du canton de Blangy-sur-Bresle, année où elle intègre le canton d'Aumale[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Gournay-en-Bray.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la petite communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prescrit que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, celle-ci a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle, dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Juin 1823 1831 Jacques Marie Auguste Boulenger    
    1831 1845 Pierre Alexandre Pascal Nasse    
    1845 1849 Jean-Pierre Quesnel    
    1849 1849 Antoine Cossard    
    1849 1865 Waning Calon    
    1865 1870 Edouard Chevallier    
    1870 1871 Abel Hurpin    
    1871 1878 César Poussard    
    1878 1884 Waning Calon    
    1884 1908 César Poussard[Note 7]    
    1908 1912 Athanase Gressent    
    1913 1919 Jean Georges Baqué    
    1919 1928 Gustave Brunet[Note 8]    
    1929 1937 Gabriel Gressent    
    1937 1954 Gabriel Allais    
    1954 1956 Georges Bourel    
    1956 1968 Michel Macré    
    1969 1983 Mireille Allais    
    mars 1983[28] En cours
    (au 31 octobre 2019)
    Chantal Benoit DVG puis DVC Professeur de français et histoire-géographie au lycée professionnel de Neufchâtel-en-Bray
    Réélue pour le mandat 2020-2026[29],[23]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2019, la commune comptait 482 habitants[Note 9], en augmentation de 0,84 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    459334408402770791834839838
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    841826808814772731688662700
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    610630603569585571547605586
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    577513472418432402366364448
    2014 2019 - - - - - - -
    485482-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Après des essais infructueux d'installation de distributeurs automatiques de boucherie et de pain[33], une boulangerie a ouvert en mars 2019 dans une ancienne boucherie devenue propriété communale[34].

    Une cidrerie artisanale est présente depuis la fin des années 2000[35] et un brasseur artisanal s'est implanté dans la commune fin 2018[36]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Barthélémy ou Sainte-Beuve, à Sainte-Beuve, qui conserve des éléments du XIe siècle, mais date principalement des XVIIe et XVIIIe siècles.
    • Église Saint-Éloi, aux Ventes-Mésangères, du XVIIe siècle, en briques rouges.
    • Église Saint-Jean, au Caule, dont le chœur en briques rouges, est du XVIe ou du XVIIe siècle, mais la nef de 1822 et le clocher du XVIIIe siècle. Elle contient un beau retable en bois à colonnes torses du milieu du XVIIe siècle qui proviendrait de l'ancien couvent des pénitants de Neufchâtel[26].
    • La maison forestière de Penthièvre aux Ventes-Mésangères, datant de 1881, propriété de la commune[37] et utilisée comme gite à l'entrée de la Forêt d'Eu[1].
    • Au hameau du Bord des Bois (basse forêt d'Eu), traces du Fossé du Roy (ancien retranchement mis au jour par l'association Détours en Bresle, édifié au cours des XIIe et XIIIe siècles entre le royaume de France et le duché de Normandie).
    • Un arbre remarquable est référencé, le Hêtre du Mont-Robert[38]

    L’Aventure dans les Arts

    Un village L'Aventure est cité dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[39].

    Il n'existe pas de commune de ce nom en France métropolitaine, ni dans les DOM-TOM.

    Toutefois, le Géoportail de l'IGN[40] trouve sous ce nom un hameau du Caule-Sainte-Beuve. ViaMichelin propose à cet endroit un hameau orthographié Laventure.

    Compte tenu de la taille de ce hameau, cette localisation n'est pas convaincante et il est préférable de retenir que l'Aventure est un hameau du Bec-Hellouin.

    Personnalités liées à la commune

    • Roger Cressent (1911-1989), enseignant, combattant volontaire de la résistance, chevalier de la Légion d'honneur, né au Caule-Sainte-Beuve[réf. nécessaire].
    • Sergent Pierre Dauge, opérateur radio d'un avion français LeO 45 no 29 abattu au Caule-Sainte-Beuve le lors de la Bataille de France. Il est le seul tué des quatre membres de l'équipage et une rue de la commune porte son nom. Une stèle se trouve devant le cimetière de Sainte Beuve aux champs[41],[42].
    • Abbé Delforge, né en 1911, curé du village de 1948 à 1995, soit près d'un demi-siècle. Il est à l'origine de la transformation du presbytère en mairie[23].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Décédé le 13/05/1908
    8. Décédé le 24/10/1928
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Histoire et Tourisme au Caule Sainte Beuve », Commune du Caule Sainte Beuve (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Forges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Le Caule-Sainte-Beuve et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Forges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Le Caule-Sainte-Beuve et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime - Page 57.
    23. « À la découverte de Caule Sainte-Beuve : Chaque semaine cet été, Le Réveil vous propose de découvrir un village de la vallée de la Bresle à travers son histoire, un personnage marquant ou bien encore un lieu incontournable de la commune. Cette semaine, direction Le Caule-Sainte-Beuve », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3668, , p. 14.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. L. Quenouille, « Inventaire des découvertes pour les temps néolithiques dans l'arrondissement de Neufchâtel-en-Bray », Bulletin de la société normande d'études préhistoriques, t. V, , p. 56-109 (lire en ligne, consulté le ).
    26. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 178, lire en ligne sur Gallica.
    27. M. Coffin, G. et L. Gaudefroy, Promenade géographique historique touristique en Pays de Bray et en Vallée d'Yères, Tome VI. Editions Bertout (ISBN 2-86 743 196-4) page 169 Maires du Caule Ste Beuve
    28. Vincent Bény-Thoreux, « Municipales : partira ou partira pas ? », Le Réveil, édition Oise normande, no 3522, , p. 13.
    29. Vincent Bény-Thoreux, « Chantal Benoit : « Je suis encore plus motivée » », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 2630, , p. 15.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. Vincent Beny, « Les distributeurs de viande et pain près d’Aumale sont fermés : À peine un an après leur installation, les deux distributeurs de viande et de pain au Caule Sainte-Beuve et Illois près d’Aumale sont à l’arrêt. Sans surprise pour beaucoup », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    34. Vincent Beny, « Une boulangerie ouvrira le 18 mars au Caule-Sainte-Beuve, près d’Aumale (Seine-Maritime) : Les nouveaux boulangers de Richemont ont décidé d'ouvrir une annexe au Caule-Sainte-Beuve, près d'Aumale. Ouverture prévue le 18 mars », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    35. Raphaël Moury, « Le Caule-Sainte-Beuve : Monique et Dominique Leroux produisent du cidre et du vinaigre de cidre : Le Caule-Sainte-Beuve. Monique et Dominique Leroux produisent depuis une dizaine d’années du cidre et du vinaigre au sein de la cidrerie du Petit clos », Paris Normandie, (lire en ligne, consulté le ),Site de la cidrerie du Petit Clos.
    36. Vincent Beny, « Brasserie Sainte-Beuve. Les premières bières attendues en novembre près d’Aumale : Les premières bières de la brasserie Sainte-Beuve devraient sortir en novembre prochain. La cave Silène et la bière Cauloise sont très attendues », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    37. « Le Caule-Sainte-Beuve : la commune achète un gîte rural : La commune a racheté la maison forestière », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    38. « Arbre remarquable Le Hêtre du Mont Robert », sur http://www.normandie-tourisme.fr (consulté le ).
    39. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
    40. « Géoportail », sur gouv.fr (consulté le ).
    41. « LeO 451 n°29 », sur https://www.aerosteles.net (consulté le ).
    42. « Pierre Dauge », Tués de la 31e Escadre de Bombardement, Équipages dans la tourmente (consulté le ).
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