Saleignes

Saleignes est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Saleignes

L'église du village.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saint-Jean-d'Angély
Intercommunalité Vals de Saintonge Communauté
Maire
Mandat
Christelle Marchet
2020-2026
Code postal 17510
Code commune 17416
Démographie
Gentilé Saleignois
Population
municipale
59 hab. (2019 )
Densité 7,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 00′ 37″ nord, 0° 11′ 12″ ouest
Altitude Min. 111 m
Max. 149 m
Superficie 7,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matha
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saleignes
Géolocalisation sur la carte : France
Saleignes
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Saleignes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saleignes
Liens
Site web www.saleignes.fr

    Ses habitants sont appelés les Saleignois et Saleignoises[1].

    Géographie

    Le cadre géographique

    La commune de Saleignes appartient à la partie la plus élevée du département, faisant partie de la bordure méridionale du Seuil du Poitou où tout son territoire est supérieur à 100 mètres d'altitude. Avec une altimétrie moyenne de 130 mètres, Saleignes est en fait la troisième commune la plus haute du département de la Charente-Maritime, se situant après Les Éduts (131 mètres) et Vinax (145 mètres).

    Le coteau le plus haut s'élève à 149 mètres, en bordure de la forêt de Chef-Boutonne, près de Bois-Giffart, sur la limite départementale.

    Situés sur un plateau karstifié aux allures de causse, les terrains sont secs en été et remplis d'eau chaque hiver dès les premières pluies d'automne. Cependant, ces sols calcaires superficiels conviennent bien aux chênes qui constituent la principale essence de la forêt d'Aulnay où celle-ci se prolonge dans celle de Chef-Boutonne au sud-est.

    Dès le début du XIXe siècle, la roche calcaire a été extraite dans des carrières à ciel ouvert favorisant l'implantation d'un four à chaux et d'une tuilerie dans la commune, activités industrielles que facilitait l'apport du bois des forêts alentour. Ces activités ont totalement disparu aujourd'hui[2].

    Le sol argilo-calcaire, qui donne une terre de groie facile à travailler et qui bien amendée est d'une grande fertilité, est particulièrement propice à la céréaliculture intensive. Déjà, dans le courant du XIXe siècle, deux moulins à vent fonctionnaient dans la commune, grâce à une importante production locale de blé, d'orge et d'avoine[2]. Cette activité agricole, dominante aujourd'hui dans la commune, a permis de fixer sur place un important silo de stockage de céréales.

    Au sud et à l'ouest, la couverture forestière s'est considérablement amenuisée et a laissé place aujourd'hui à de grandes étendues de terres à céréales, aux champs ouverts, rappelant les grands terroirs céréaliers de la plaine de l'Aunis et de la Saintonge du nord. Ce paysage agricole d'openfield se prolonge vers les plateaux du Ruffécois dans le département de la Charente.

    Une commune fortement boisée

    Saleignes est encore une commune fortement boisée où la forêt est située essentiellement au nord-est et à l'est du village, sur la limite départementale des Deux-Sèvres et sur les terres les plus hautes du finage communal. Aujourd'hui, 45 % de son finage communal est recouvert de bois et forêts, ce qui en fait l'une des communes les plus boisées de la Charente-Maritime[2].

    Ces bois qui constituent une fraction de la forêt de Chef-Boutonne où cette dernière s'étend sur 800 hectares[3] des deux côtés de la limite départementale prolongent au sud-est la Forêt d'Aulnay. Ces deux forêts domaniales sont gérées par l'ONF qui entretient et exploite des peuplements représentés essentiellement par le chêne pédonculé, le chêne rouvre, le chêne pubescent et le hêtre commun, cette dernière essence étant devenue aujourd'hui très rare en forêt d'Aulnay[3].

    Localisation

    Saleignes en Charente-Maritime.

    Saleignes se trouve à 16 km à l'est d'Aulnay-de-Saintonge et à 36 km à l'est de Saint-Jean-d'Angély, chef-lieu d'arrondissement de la Charente-Maritime et principale ville de la Saintonge du Nord. Le bourg le plus proche et le plus important par son équipement en services de première nécessité est celui de Néré. Cet ancien chef-lieu de canton auquel appartenait Saleignes est situé à seulement 5,5 km au sud-ouest, sur la D131, route départementale qui relie Néré à Chef-Boutonne via Saleignes.

    La ville des Deux-Sèvres la plus proche est Chef-Boutonne qui est également un chef-lieu de canton, lequel est situé à 22 km au nord-est directement par la D 131. Cette petite ville était encore accessible par chemin de fer jusqu'en 1950 depuis la petite gare ferroviaire de Saleignes-Romazières.

    La ville la plus proche en Charente est Ruffec qui se situe à 30 km à l'ouest du village de Saleignes.

    Communes limitrophes

    Au nord de Saleignes, le Bois de Chef-Boutonne qui s'étend sur 800 hectares[4] occupe un plateau élevé et karstique et sépare la commune des villages forestiers et agricoles de Vinax au nord, des Éduts au sud-ouest et de Romazières au sud-est, ce dernier étant limitrophe également du département des Deux-Sèvres. À l'ouest, le Bois de Chantemerlière sépare Saleignes de la commune et de Contré qui abrite le point culminant de la Charente-Maritime avec le site du Bois de Chantermerlière haut de 173 mètres.

    Au-delà de la limite départementale, dans les Deux-Sèvres, la commune d'Aubigné, située dans le canton de Chef-Boutonne, jouxte la petite commune de Saleignes que sépare le massif forestier de Chef-Boutonne.

    Communes limitrophes de Saleignes[5]
    Vinax Aubigné
    (Deux-Sèvres)
    Les Éduts Romazières

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau référencé par le Sandre ne traverse la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Saleignes est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,6 %), forêts (42,3 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13].

    En 2019, la commune comptait 59 habitants[Note 2], en diminution de 4,84 % par rapport à 2013 (Charente-Maritime : +2,83 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    246205222226267271279257245
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    235252242222240248220207230
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    210195188183182189206203183
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1701381341179777686864
    2015 2019 - - - - - - -
    6159-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune de Saleignes fait partie des communes les moins peuplées du canton d'Aulnay auxquelles s'ajoutent Les Éduts, Romazières et Vinax qui ont toutes le trait commun de compter moins de 100 habitants.

    Cette petite commune rurale, comme beaucoup dans cette partie du nord-est de la Charente-Maritime, appartient à ces zones rurales en voie de désertification où le problème démographique est particulièrement préoccupant. Lors du recensement de 2007, Saleignes comptait 67 habitants. À son apogée vers le milieu du XIXe siècle, pendant la Monarchie de Juillet, elle en comptait le quadruple, 279 en 1841. Mais l'accélération de la dépopulation de la commune a été impressionnante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale où Saleignes a perdu plus de la moitié de sa population en moins d'un demi-siècle seulement passant de 203 habitants ne 1946 à 97 habitants en 1990.

    Aujourd’hui la densité est nettement inférieure à 10 hab/km2 (9 hab/km2 en 2007), ce qui en fait une des communes les moins densément peuplées de la Charente-Maritime.

    Toponyme

    Plusieurs hypothèses sont évoquées concernant l'origine du nom de la commune.

    • Le nom du village de Saleignes proviendrait d'un toponyme d'origine latine Villa Salenia[Information douteuse], c'est-à-dire le domaine d'un riche propriétaire terrien de l'époque gallo-romaine[16]. Albert Dauzat et Charles Rostaing citent le nom d'homme gallo-romain Salenius comme origine de l'appellation villa Salenia sur la commune[17].
    • Ernest Nègre y voit l'anthroponyme gallo-romain Salanus, suivi d'un suffixe -as[18].

    Histoire

    Une paroisse du Poitou au Moyen Âge

    Dès le Moyen Âge, Saleignes relève de la province du Poitou dont la paroisse et l'église appartiennent au monastère de Saint-Cyprien de Poitiers[19]. Elle se dénommait alors Saint-Didier-de-Saleignes et, ce, jusqu'à la Révolution française[19].

    Une paroisse poitevine rattachée à la Charente-Inférieure en 1790

    Pendant le XVIIIe siècle, la paroisse de Saleignes est située dans la Généralité de Poitiers, dépend de l'Élection de Niort et appartient au marquisat de Chef-Boutonne[19].

    Lors de la création du département de la Charente-Inférieure, Saleignes est détachée du Poitou et forme une commune incorporée dans le canton de Néré. Ce dernier qui comprenait onze communes a subsisté de 1790 à 1800 avant de fusionner dans le nouveau canton d'Aulnay, devenu dès lors le plus vaste canton de la Charente-Maritime.

    La prospérité au XIXe siècle

    Pendant la Monarchie de Juillet, la commune connaît une certaine prospérité et atteint même son apogée sur le plan démographique où elle enregistre son chiffre de population record avec 271 habitants recensés en 1841. À cette époque, la commune comptait deux moulins à vent en activité ainsi qu'un four à chaux et une tuilerie qui étaient avantageusement approvisionnés par les bois de la forêt alentour pour actionner les fours[20].

    En 1880, la commune fait aménager dans une belle maison bourgeoise du bourg le local pour la mairie, puis en 1925 y fera installer l'école et le logement de l'instituteur[21].

    En 1893, la Compagnie de chemins de fer départementaux décide de relier Saint-Jean-d'Angély à Saint-Saviol en passant par Aulnay-de-Saintonge et Chef-Boutonne. En 1896, la commune est équipée d'une gare au lieu-dit la Borne sur la nouvelle ligne ferroviaire qui traversait le canton d'Aulnay et est dénommée gare de Saleignes-Romazières. Cette voie ferrée métrique de la ligne Saint-Jean-d'Angély - Saint-Saviol a fonctionné pendant plus d'un demi-siècle mais a dû cesser toutes ses activités fin , ce qui a été un coup très dur pour le canton d'Aulnay et en particulier pour les petites communes rurales[22].

    Saleignes au XXe siècle

    Dès le début du XXe siècle, la commune est touchée par le mouvement de l'exode rural entamé depuis la seconde moitié du XIXe siècle; ce phénomène ne s'est pas estompé malgré quelques réalisations importantes (construction d'une voie ferrée et de la gare ferroviaire, installation de l'école et de la mairie en 1925 dans de nouveaux locaux).

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la commune connaît une très forte déprise agricole et rurale, aggravée par la fermeture définitive de la gare ferroviaire. Si l'économie locale dépend en grande partie de l'exploitation forestière qui est gérée par l'ONF, la céréaliculture intensive est devenue dominante. Celle-ci est introduite dès les années 1960 après les opérations de remembrement agricole qui touchent l'ensemble de la Saintonge du Nord. Un paysage d'openfield apparaît maintenant au sud de Saleignes sur les terres de groie bien amendées où les grands champs ouverts ont succédé au semi-bocage qui caractérisait le terroir agricole de Saleignes encore au lendemain de l'après-guerre.

    Au début des années 1980, à la suite de la fermeture de l'école et du déplacement du local de la mairie, le bel immeuble style Troisième république construit en 1880 est transformé en gîtes communaux. Ces derniers sont inaugurés en 1983 et sont le premier gîte d'étape réalisé en Charente-Maritime[19].

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Didier fut construite au Moyen Âge, pendant le XIVe siècle[23], mais a subi une restauration quasi complète au XIXe siècle, probablement pendant le Second Empire, selon le modèle des églises romanes dont l'abside avec une copie de cul-de-four et l'architecture néo-gothique représentée par son clocher carré à flèche d'ardoise.

    Le GR 36 qui va de Ouistreham (Calvados) à Bourg-Madame (Pyrénées-Orientales) traverse la commune.

    Administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1995  ? Christian Perrin    
    2001 2008 Christian Dupont    
    2008 2020 Hélène Chaunux DVD Agricultrice retraitée
    2020 En cours Christelle Marchet   Employés civils et agents de service de la fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Canton

    La commune de Saleignes appartient depuis au canton de Matha, après avoir longtemps dépendu du canton d'Aulnay.

    Intercommunalité

    La commune adhéra de 1994 à 2013 à la communauté de communes du canton d'Aulnay-de-Saintonge dont le siège administratif était situé à Aulnay-de-Saintonge. Depuis le , la commune adhère à la Communauté de communes des Vals de Saintonge qui regroupe les communes du nord-est de la Charente-Maritime et dont le siège se trouve à Saint-Jean-d'Angély.

    Voir aussi

    Orientation bibliographique

    • Jean-Luc Flohic (ouvrage collectif sous la direction de), Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic - Collection Le Patrimoine des communes de France. (Monographie sur la commune de Saleignes, Tome 1, p.p. 142/143).
    • M.A. Gautier, Le dictionnaire des communes de la Charente-Maritime - Notices communales (réédition de la Statistique du département de la Charente-Inférieure de 1839), éditions Les Chemins de la Mémoire, Saintes. (Notice communale sur Saleignes, p. 138).
    • Michel de la Torre, Charente-Maritime - L'art et la nature de ses 472 communes, éditions Nathan, Paris, 1985. (Notice sur Saleignes)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Jean-Luc Flohic, Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, p. 143.
    3. Jean-Louis Neveu, Forêts charentaises, éditions Le Croît vif, 2001, p. 383.
    4. Jean-Louis Neveu, Forêts charentaises, Le Croît vif édition, 2001, p. 383.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    16. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms des villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, Saint-Jean-d'Angély, 2002, p. 301.
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p., page 639.
    18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne)
    19. Jean-Yves Flohic (ouvrage collectif sous la direction de), Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, 2002, p. 142.
    20. M.A. Gautier, Dictionnaire des communes de la Charente-Maritime (Ré-édition de la Statistique de la Charente-Inférieure publiée en 1839), éditions Les Chemins de la Mémoire, Saintes, p. 138.
    21. Jean-Yves Flohic (ouvrage collectif sous la direction de), Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, 2002, p. 143.
    22. Yves Le Dret, Le train en Poitou-Charentes, les Chemins de la Mémoire éditeur, Saintes, tome 4 : La Compagnie des Chemins de fer départementaux des Charentes et des Deux-Sèvres, p. 39.
    23. Michel de la Torre, Charente-Maritime - L'art et la nature de ses 472 communes, éditions Nathan, Paris, 1985
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