Sanilhac-Sagriès

Sanilhac-Sagriès est une commune française située dans l'est du département du Gard dans le Languedoc-Roussillon, région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Sanilhac.

Sanilhac-Sagriès

Le Château de Sanilhac

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Uzès
Maire
Mandat
Denis Veyrunes
2020-2026
Code postal 30700
Code commune 30308
Démographie
Population
municipale
774 hab. (2019 )
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 21″ nord, 4° 25′ 31″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 202 m
Superficie 22,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Uzès
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Sanilhac-Sagriès
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Sanilhac-Sagriès
Géolocalisation sur la carte : Gard
Sanilhac-Sagriès
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Sanilhac-Sagriès

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le Les Seynes et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 le Gardon et ses gorges » et les « gorges du Gardon »), trois espaces protégés (les « gorges du Gardon »la réserve naturelle régionale des gorges du Gardon et le « Rnr gorges du Gardon ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Sanilhac-Sagriès est une commune rurale qui compte 774 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Sanigriésois ou Sanigriésoises.

    Géographie

    Situation

    Le village se trouve entre Nîmes (20 km au sud) et Uzès (10 km au nord)[1], sur la rive gauche du Gardon[2].

    Description

    Le Gardon (ou Gard), qui coule d'ouest en est, forme la limite sud de la commune avec Sainte-Anastasie sur 3,3 km, puis avec Poulx sur environ 500 m, avant d'entrer sur le territoire communal de Sanilhac-Sagriès pour le traverser sur environ 3,2 km et enfin le quitter pour rejoindre Collias. Sur tout ce trajet, il forme les très touristiques gorges du Gardon. Sa vallée encaissée offre des dénivellations avoisinant les 150 mètres, avec la rivière à 30 mètres près de sa sortie de la commune (à l'est) et les hauteurs de ses flancs de vallée à environ 180 mètres en rive gauche (côté nord) et 200 mètres en rive droite (au sud)[2].

    En rive droite du Gardon, la partie sud du territoire communal englobe sur quelques centaines de mètres de largeur les plateaux surplombant la rivière[2], avec les lieudits la Canelle[3], la Baume et la Signore[2].
    Le long de la rive gauche se trouve la grotte de la baume Saint-Vérédème (site archéologique du Moustérien et du Néolithique) et la chapelle du même nom[2].

    Hydrologie

    Le Gardon, coulant d'ouest en est, est le principal cours d'eau sur la commune. Il a creusé dans les massifs calcaires les gorges du Gardon, magnifique canyon tourmenté de nombreux méandres. Les falaises ont des dénivellations de 75 à 200 mètres[2]. Le Gardon possède des résurgences importantes au lieu-dit la Baume[3].

    Géologie

    Ces plateaux d'une altitude de 200 mètres sont calcaires[4].

    On trouve de nombreuses cavités naturelles dans les falaises dominant le Gardon. Pendant des millénaires cette rivière

    La commune constitue la limite nord du camp des Garrigues (limitrophe avec Poulx), sans avoir de terrains dans ce domaine militaire[3].

    La réserve naturelle régionale des gorges du Gardon couvre 54 km2 de la commune, dont 199 ha en rive droite au sud de la rivière[2].

    Communes limitrophes

    Sanilhac-Sagriès est limitrophe avec sept communes[2] :

    Uzès Saint-Maximin
    Blauzac N Collias
    O    Sanilhac-Sagriès    E
    S
    Sainte-Anastasie Poulx Cabrières

    Végétation

    La végétation est constituée de garrigues basses de pins et de yeuses.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 798 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966[10] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 14 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[14], à 15,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[16].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].

    La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[19],[20].

    Trois autres espaces protégés sont présents sur la commune :

    • les « gorges du Gardon », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 339,2 ha[21] ;
    • la réserve naturelle régionale des gorges du Gardon, classée en 2007 puis reclassée en 2009 et d'une superficie de 498,3 ha, qui a, grâce à la rareté de l’eau sur le plateau karstique, l’absence de route longeant le Gardon et la proximité du camp militaire des Garrigues qui a limité les aménagements, conservé un patrimoine exceptionnel, concentré pour l’essentiel dans les gorges mêmes[22],[23] ;
    • le « Rnr gorges du Gardon », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 494,1 ha[24].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[26] :

    • « le Gardon et ses gorges », d'une superficie de 7 009 ha, présentant une importante diversité des habitats et des espèces. Les nombreuses grottes permettent d'accueillir une bonne diversité de Chiroptères. Dans les gorges, se trouvent des formations de Chênes verts peu perturbées avec des espèces particulièrement rares (Cyclamen des Baléares)[27]

    et un au titre de la directive oiseaux[26] :

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[29] : les « gorges du Gardon » (5 231 ha), couvrant 10 communes du département[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[29] : le « plateau Saint-Nicolas » (15 838 ha), couvrant 16 communes du département[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Sanilhac-Sagriès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[I 1],[33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,1 %), cultures permanentes (21,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones urbanisées (3,4 %), terres arables (0,1 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Préhistoire

    La grotte de la baume Saint-Révérère a livré du matériel du Moustérien et du Néolithique[35].

    Moyen-Âge

    Bâti au début du XIIe siècle autour d’un château et entouré de remparts, Sanilhac était protégé par trois tours. De ces constructions il ne reste qu’une tour de défense la « Tourasse », ainsi que le donjon du château. Sagriès distant de km au nord fut rattaché à Sanilhac en 1814.

    Révolution et Empire

    En 1814, les communes de Sanilhac et de Sagriès fusionnait pour former la commune actuelle[36].

    Héraldique

    Blason
    D'hermine à la fasce losangée d'argent et de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2008 Max Pulinckx    
    mars 2008 2014 Bernard Comte DVG Vice-président de la communauté de communes de l'Uzège (2008-2012)
    mars 2014 En cours Guy Crespy DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2019, la commune comptait 774 habitants[Note 9], en diminution de 15,13 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    422400430703724753672851795
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    769761716707662627586570541
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    521537516401365438415362408
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    401440442525643785826882793
    2019 - - - - - - - -
    774--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Avant la fusion en 1814 de Sanilhac et de Sagriès, la population de Sagriès était: 239 en 1793; 212 en 1800; 225 en 1806[36].

    Lieux et monuments[41]

    • Église Saint-Laurent de Sagriès.
    • Église Saint-Sylvestre de Sanilhac.
    • Chapelle Saint-Vérédème de Sanilhac-Sagriès. L'ermitage de la Baume Saint-Vérédème. Il semblerait que ce saint ait logé dans la grotte. Il y aurait été rejoint par saint Gilles.
    • Chapelle de la route d'Uzès à Sanilhac-Sagriès.
    • Une ancienne chapelle se situe à l'entrée de cavité en rive gauche du Gardon.
    • Temple protestant de Sanilhac-Sagriès.
    • Les Moulins de la Baume.
    • L'ancien barrage.
    • La route qui, du côté sud, rejoint la rivière. C'est sur celle-ci qu'une grande partie du film "Le Salaire de la peur" fut réalisé en 1952 par Henri-Georges Clouzot.
    • Le Château de Sanilhac

    Personnalités liées à la commune

    • Albert Roux : poète félibre né à Sanilhac (1871-1935).
    • Le pilote Charles Baills, à bord de son P47, s'écrase sur la rive droite du Gardon en retour de mission contre l'ennemi, le vers 18h30 en limite exacte Poulx-Sanilhac 43° 55' 51" nord / 4°25'04" est[42].

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Sanilhac-Sagriès », sur google.fr/maps.
      Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
    2. « Sanilhac-Sagriès, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
    3. [Joyon 1989] Gérard Joyon, L'Appel de la garrigue, (1re éd. 1989).
    4. « Sanilhac-Sagriès, carte géologique interactive » sur Géoportail..
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Meynes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Sanilhac-Sagriès et Meynes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Meynes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Sanilhac-Sagriès et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    18. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    19. « Réserve de biosphère des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le )
    20. « Gorges du Gardon - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « les « gorges du Gardon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « réserve naturelle des grorges du Gardon. », sur https://www.reserves-naturelles.org (consulté le )
    23. « la réserve naturelle régionale des gorges du Gardon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « le « Rnr gorges du Gardon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sanilhac-Sagriès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR9101395 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR9110081 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sanilhac-Sagriès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF les « gorges du Gardon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF le « plateau Saint-Nicolas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    35. [Jully 1961] J. J. Jully, « Poterie excisée, poterie peinte « de style Méditerranéen » et poterie au graphite à la grotte Saint-Vérédème, Sanilhac (Gard) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 58, nos 5-6, , p. 332-341 (lire en ligne [sur persee]).
    36. cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=30166
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    41. Ouvrages de Jean Bernard Lidon et Gérard Joyon concernant ce lieu
    42. Historique Camp des Garrigues A/C Joyon
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