Stenay

Stenay (prononcé /stə.nɛ/) est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Stenay

La Meuse à Stenay.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Verdun
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Stenay et du Val Dunois
(siège)
Maire
Mandat
Stéphane Perrin
2020-2026
Code postal 55700
Code commune 55502
Démographie
Gentilé Stenaisiens [1]
Population
municipale
2 507 hab. (2019 )
Densité 93 hab./km2
Population
agglomération
2 952 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 27″ nord, 5° 11′ 11″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 303 m
Superficie 27 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Stenay
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Stenay
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Stenay
Géolocalisation sur la carte : France
Stenay
Géolocalisation sur la carte : Meuse
Stenay
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Stenay
Liens
Site web stenay.fr

    Ses habitants sont les Stenaisiens.

    Géographie

    Situation

    Stenay est situé dans la partie nord de la plaine de la Woëvre et est traversé par la Meuse et par le canal de l'Est. La Wiseppe se jette dans la Meuse à Stenay.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Accès

    Le bourg de Stenay est en grande partie installé sur la rive droite de la Meuse. Deux grands axes s'y croisent : la route D 947 : Reims (100 km au sud-ouest) - Luxembourg (80 km à l'est) et la route D 964 : Sedan (34 km au nord-ouest) - Verdun (47 km au sud).

    Lieux-dits et écarts

    Au nord de la ville : faubourg de Cervisy.

    Au nord-est de la ville : le château de Bronelle.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Stenay

    Cesse
    (accès par la D947
    puis par la D30)
    Martincourt-sur-Meuse
    (accès par la D964)

    et Olizy-sur-Chiers
    (accès par la D13)
    Nepvant
    (accès par la D13)
    et Brouennes
    (accès par la D209)
    Laneuville-sur-Meuse
    (accès par la D947)
    Baâlon
    (accès par la D947)
    Wiseppe
    (accès par la D947
    puis par la D30)
    Saulmory-Villefranche
    (accès par la D947
    puis par la D30)
    Mouzay
    (accès par la D964)

    Hydrographie

    • La Meuse
    • La Wiseppe
    • Le ruisseau de Baâlon
    • le canal de l'Est.

    Débit moyen mensuel de la Meuse (en m³/s) à Stenay[2]
    données calculées sur 46 ans,

    Urbanisme

    Typologie

    Stenay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Stenay, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[6] et 2 952 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), prairies (29,5 %), forêts (12,7 %), zones urbanisées (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    D'après une tradition peu fondée, on voyait au Ve siècle un temple dédié à Saturne (Sadorn), d'où l'on croit que dérive le nom de Stenay[12].

    Anciennes mentions[12],[13] : Sathanagium, Sathonagium (714) ; Astenidum (877) ; Astanid (888) ; Satenaium (Xe siècle) ; Sathaniacum (Xe siècle) ; Sathinidium (1036) ; Sathanacum (1069) ; Setunia (XIe siècle) ; Sathanacum villam (1079) ; Satiniacum, Sathiniacum (1086) ; Sathanaco (1108) ; Sathanacensi (1157) ; Sathaniaco (1159) ; Sathanai (1173) ; Sethenac (1208) ; Settenai (1243) ; Sethenai (1264) ; Sathenay (1276, 1399, 1463, 1483, 1549, 1558, 1585) ; Sathanay (1284) ; Satenay (1399) ; Astenæum (1580) ; Satanagus (1630) ; Satanay, Sthenay (1643) ; Stenay (1793).

    Histoire

    Avant de s'appeler Stenay, la ville porta longtemps le nom de Sathenay. Le héraut Vermandois, dans son armorial des années 1275-1285, signale un chevalier nommé «Lermite de Sathenay», dont le blason est : palé d'argent et de gueules de 6 pièces

    • En 1552, dans ses commentaires des "dernières guerres en la Gaule Belgique", François de Rabutin parle aussi de «la ville de Sathenay (autrement par le langage corrompu appelée Astenay)»… "Sathenay où il n'y avait ni artillerie ni munitions, soldats ni garnison aucune pour le roi que les habitants et un capitaine"… Il signale l'importance de son pont sur la Meuse.
    • 1591. Turenne prend par surprise Stenay que Charles III tente vainement de reconquérir lors de deux sièges successifs. Une fois la paix signée (traité de Folembray, 1595), la ville sera restituée aux Lorrains, au début de 1596.
    • 1608-1632. Construction de la citadelle de Stenay, « une des plus belles et des plus régulières de la frontière, » sous le gouvernement de Simon II de Pouilly.
    • 1632. Louis XIII, à Liverdun, contraint le duc Charles IV de Lorraine à signer un traité donnant pour 4 quatre ans Stenay à la France, ainsi que les places fortes, toutes proches, de Dun et Jametz. En fait, la ville restera occupée pour toujours par les Français… avec, comme premier gouverneur, le comte de Lambertye, puis, en 1634, le comte de Charost.
    • 1641. Traité de Saint-Germain : le duc de Lorraine, Charles IV, cède à la France Clermont, Jametz, Dun et Stenay (ces trois dernières villes, situées en lisière d’Argonne, seront données en apanage à Condé en 1648, ainsi que tout le Clermontois).
    • 1654 : 28 juin. Au bout de 32 jours de siège par l’armée française, dirigé par Abraham de Fabert d'Esternay (Vauban y fait ses premières armes, et y sera blessé deux fois [14]), Stenay sera reprise par Louis XIV à Condé, révolté de la Fronde.
    • 1659. Par le traité des Pyrénées, Louis XIV redonne à Condé ses titres et ses biens : le Clermontois confisqué retourne au prince, ainsi que Stenay.
    Médaille de la bataille de Stenay par Mauger. La bataille qui eut lieu en 1654 fut frappée en médaille seulement en 1702. Description avers : Tête de Louis XIV jeune à droite, au-dessous signature MAVGER F.Description revers : La France debout, la main droite appuyée sur un bouclier fleurdelisé. Devant elle, à genoux, la ville de Stenay, sous les traits d’une femme couronnée de tours et prosternée sur l’écusson de la ville. Avec la légende : URBIUM GALLICARVM AD MOSAM SECURITAS. STENAEVM CAPTUM M.DC.LIIII
    • "M. de La Moussaye avait acheté la belle terre de Quintin en Bretagne du duc de La Trémoille son beau-frère, dont son fils porta le nom, qui était frère aîné de M. de La Moussaye, lieutenant général et attaché à M. le Prince, dans le parti duquel il mourut gouverneur de Stenay sans avoir été marié." Mémoires de Saint Simon, Tome 2 Chapitre 5, 1697.
    • Chef-lieu de district de 1790 à 1795, la ville fut conquise par François Sébastien de Croix de Clerfayt en 1792.

    Première Guerre mondiale

    Le , elle est la dernière ville reprise par les Alliés lorsque la 89e division d'infanterie américaine du général William M. Wright (en) la délivre quelques heures avant que l'armistice entre en vigueur[15]. Cette division perd 365 hommes en majorité sous le feu de l’artillerie de l'armée impériale allemande. La raison invoquée par Wright pour l'attaque était que « La division était au front depuis très longtemps sans disposer d'installations de lavage convenables, et qu'il s'était avéré que si Stenay était laissé aux mains de l'ennemi, [les] troupes ne pourraient pas profiter des installations qui s'y trouvaient probablement. »[16]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs [17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 mars 1989 Robert Gipeaux Rad. Agent général d'assurances
    mars 1989 2009 Étienne Demulder SE-DVD Directeur technique
    Conseiller général du canton de Stenay (1986-2009)
    Décès en cours de mandat
    2009 En cours
    (au 23 mai 2020)
    Stéphane Perrin[20]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    SE-DVD Dirigeant de société
    Conseiller général du canton de Stenay (2009-2015)
    Conseiller départemental du canton de Stenay (depuis 2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

    En 2019, la commune comptait 2 507 habitants[Note 2], en diminution de 8,6 % par rapport à 2013 (Meuse : −4,17 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3402 5852 8553 0373 1403 2663 7753 2783 390
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 1422 8172 8882 5752 8193 2063 1883 4894 207
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 1893 9554 0703 3783 0233 1834 5632 3443 190
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    3 8294 1253 7673 6933 2022 9522 8182 7752 743
    2018 2019 - - - - - - -
    2 5202 507-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (32,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,3 % la même année, alors qu'il est de 29,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 200 hommes pour 1 320 femmes, soit un taux de 52,38 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,49 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0 
    90 ou +
    4,8 
    10,3 
    75-89 ans
    15,7 
    20,2 
    60-74 ans
    18,4 
    20,3 
    45-59 ans
    20,4 
    15,3 
    30-44 ans
    12,2 
    17,3 
    15-29 ans
    14,2 
    15,7 
    0-14 ans
    14,4 
    Pyramide des âges du département de la Meuse en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    2 
    7,3 
    75-89 ans
    10,9 
    18,8 
    60-74 ans
    19,3 
    21,1 
    45-59 ans
    20,2 
    17,8 
    30-44 ans
    16,9 
    16,8 
    15-29 ans
    14,1 
    17,5 
    0-14 ans
    16,5 

    Enseignement

    La ville compte une cité scolaire nommée Alfred Kastler[26], associant collège, lycée général et lycée professionnel, ainsi qu'une section BTS. Une inspection de l'Éducation nationale est également présente. Une MFR établissement de formation en alternance. De la 4e au bac pro. 2 filières professionnelles: agricole et commerce.

    Économie

    La papeterie Munksjö (sv) est le principal employeur de la ville (205 salariés). Elle compte également parmi les établissements importants Terrea, concessionnaire de machines agricoles. La société de transports routiers Transalliance y est également implantée. Stenay est un pôle commercial d'équilibre, qui a vu la grande distribution se développer sur la Zone d'Activités au sud de la Ville, tout en gardant un centre-ville historique proposant commerces et services. Stenay est un centre administratif de proximité, comptant des services déconcentrés du conseil départemental de la Meuse (UTAS - CMS), Agence départementale d'aménagement Stenay est un pôle d'enseignement qui compte écoles maternelle et primaire publique et privée, une cité scolaire (collège, lycée général, lycée technologique - BTS) et de nombreux services liés à l'accompagnement de l'enfance et de la jeunesse. La Ville compte un important EHPAD (maison de retraite) de 152 lits. Une association de développement économique et une pépinière d'entreprises accueillent les porteurs de projets. La Belgique et dans une moindre mesure le Luxembourg offrent également des emplois aux résidents de la région.

    Tourisme

    La Ville dispose d'un office de tourisme ouvert toute l'année. Un port de plaisance accueille les bateaux de plaisance de passage sur la branche Nord du canal de l'Est. L'aire de camping cars sur une presqu'île est prisée. Le musée Européen de la Bière y est installé.

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Musée de la Bière et du pays de Stenay[27]. L'ancien magasin aux vivres fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [28].
    • Ancien hôtel du gouverneur, XVIe siècle - XVIIIe siècle
    • Galeries marchandes, XVIe siècle
    • Atelier monétaire, XVIIe siècle
    • Hôtel de ville.
    • Château de Bronnelle XVe siècle
    • Château de Cervisy XVIIe siècle
    • Château des Tilleuls , construit en 1876/1877, partiellement détruit en 1940, rasé au lendemain de la Libération et reconstruit plus modestement.
    • Immeuble, 30 rue de la Citadelle, inscrit en 1981 pour sa tourelle d'escalier  Inscrit MH (1981)[29].

    Édifices religieux

    • Église Saint-Joseph de Cervisy[30].
    • Église Saint-Grégoire, construite dans les années 1830.
    • Chapelle du Sacré-Cœur.
    • Chapelle de l'ancien hospice Saint-Antoine.
    • Chapelle au Château de Bronelle.
    • Ancien couvent des Minimes, actuellement école.
    • Les ruines de la Chapelle Saint-Lambert de Cervisy  Inscrit MH (1991)[31].

    Arbres remarquables

    Personnalités liées à la commune

    • Godefroy de Bouillon, qui a possédé le château de Stenay avant de le vendre à l'évêque de Verdun.
    • Dagobert II, roi mérovingien du royaume d'Austrasie assassiné le dans la forêt de la Woëvre, près de Stenay.
    • Isaac Mercier, héros de L'Escalade à Genève en 1602.
    • Louis Paul de Beffroy (1737-1802), général de brigade de la Révolution française, né à Germont, mort à Stenay.
    • Mathieu Pierre Paul Saignes (1749-1830), général français de la Révolution et de l’Empire, mort à Stenay.
    • Anne-Gédéon de La Fitte de Pelleport, marquis de Pelleport, né à Stenay en 1754, décédé à Liège en 1807, pamphlétaire et aventurier français.
    • Étienne Radet, général de Napoléon Ier, né à Stenay en 1762 et mort à Varennes en 1825.
    • François Nouviaire (1805-1837), né à Stenay, artiste peintre, élève d'Ingres. Il a peint un tableau pour l'église de Stenay : "Saint Grégoire le Grand donnant ses dernières instructions à saint Augustin de Cantorbery, chef d'une mission envoyée en Angleterre".
    • Lucien Rapeaud (1880-1967), industriel, commandeur du Mérite, Administrateur des Papeteries de Stenay et de Pouilly[32].
    • Jacques Vallet, né à Stenay en 1939, écrivain, journaliste, créateur de la revue Le Fou parle.
    • Hubert Jappelle, né à Stenay en 1938, homme de théâtre, fondateur de la compagnie et du Théâtre de l'Usine àCergy-Pontoise, décédé le 18 novembre 2020.
    • Daniel Vassart, né à Stenay en 1935, artiste peintre, vitralliste, décédé à Tournon (Ardèche) en 1989.
    • Anny Poursinoff, née à Stenay en 1951, infirmière et femme politique française,

    Héraldique

    Blason
    D'argent au chevron d'azur accompagné en pointe d'un lion d'or armé et lampassé de gueules[12],[33].
    Détails

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Sylvie Bucher, Reflets de la vie gallo-romaine dans le nord de la Meuse : le témoignage de la sculpture. Collections des musées de Stenay et de Verdun, Université de Metz, Centre de recherche histoire et civilisation, 1999, 93 p. (ISBN 2-85730-024-7)
    • Jean Maillard, Stenay, hier, 1, Des origines à la Révolution, Office central de la coopération à l'école, Bar-le-Duc, 1985, 52 p.
    • Constant Vigneron (abbé), Grandes heures de l'histoire de Stenay, Aincreville, C. Vigneron, 1978, 155 p.
    • Hélène et Philippe Voluer, Promenade dans Stenay, Librairie Menge, Stenay, 1975, 33 p.
    • Philippe Voluer, Stenay, le musée européen de la bière : l'ancien magasin aux vivres de Steynay, ancienne malterie, Citédis, Paris, 1997 (ISBN 2-911920-02-3)
    • Philippe Voluer, La bière en Lorraine à l'époque des Lumières : l'exemple de Nancy et de Stenay, Éd. Serpenoise, Metz, 2005, 142 p. (ISBN 2-87692-663-6)
    • Philippe Voluer, La guerre de 14 au pays de Stenay : la vie des civils sous l'occupation, Les Amis de Montserrat, Beaufort-en-Argonne, 2006, 108 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meuse-55
    2. Banque Hydro - station B3150020 - La Meuse à Stenay (ne pas cocher la case "Station en service")
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Stenay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, 1872.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Martin Barros, Nicole Salat et Thierry Sarmant (préf. Jean Nouvel), Vauban - L’intelligence du territoire, Paris, Éditions Nicolas Chaudun et Service historique de l'armée, , 175 p. (ISBN 2-35039-028-4), p. 166.
    15. BBC; The last soldiers to die in World War I
    16. Joseph E. Persico. Wright's stated reason for the attack was because "the division had been in the line a considerable period without proper bathing facilities, and since it was realized that if the enemy were permitted to stay in Stenay, our troops would be deprived of the probable bathing facilities there." World War I: Wasted Lives on Armistice Day. History Net.
    17. « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale », sur Gallica, (consulté le ).
    18. https://archive.org/details/MemoiresDeLaSocieteBarLeDuc1876/page/n189/mode/2up/search/Cardot
    19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Stenay (55502) », (consulté le ).
    24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Meuse (55) », (consulté le ).
    25. « Collège Alfred Kastler », sur le site de l'académie de Nancy-Metz (consulté le ).
    26. Conservation des Musées de Meuse, « Musée de la Bière et du pays de Stenay » (consulté le ).
    27. Notice no PA00106639, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Maison, 30 rue de la Citadelle », notice no PA00106640, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. Roseline Soudan, « Les villages de la meuse - STENAY » (consulté le ).
    30. « Chapelle St-Lambert de Cervisy », notice no PA00106704, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Bulletin d'informations locales no 46 -Asnières-sur-Seine, avril 1967
    32. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=14869
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