Staple
Staple (Stapel en néerlandais[1]) est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.
Staple | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Flandre Intérieure | ||||
Maire Mandat |
Eddie Defevere 2020-2026 |
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Code postal | 59190 | ||||
Code commune | 59577 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Staplois | ||||
Population municipale |
649 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 65 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 44′ 55″ nord, 2° 27′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 34 m Max. 57 m |
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Superficie | 9,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Hazebrouck (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bailleul | ||||
Législatives | Quinzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.staple.fr/ | ||||
Géographie
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Watten », sur la commune de Watten, mise en service en 1970[8] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 792,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 50 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Staple est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hazebrouck, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Anciens noms : 1110 : STAPLA, cartulaire de Notre-Dame de Bourbourg ; 1113 : STAPELES, id ; 1119 : STAPLA, bulle du pape Calixte II ; 1128 : STAPLE, cartulaire de Notre-Dame de Bourbourg ; 1141 : STAPULIS, diplôme de Samson, archevêque de Reims ; 1147 : STAPULA, cartulaire de Notre-Dame de Bourbourg ; 1183 : STAPLIA, id ; 1215 : STAPLE, petit cartulaire de Saint-Bertin ; 1505 : STAPLIS, obitaire d' Arras.
Histoire
Staple était traversée dans le passé par une voie romaine menant de Cassel à Aire-sur-la-Lys, passant par Oxelaëre, Wallon-Cappel, Sercus, Thiennes et d'Aire se poursuivait vers Amiens , via Saint-Pol-sur-Ternoise, Doullens[22].
1147 : nom de Stapula (cartulaire de Notre-Dame de Bourbourg)[23].
Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Cassel[24].
Au début du XVIe siècle, Adrien de Heuchin, détenteur d'un fief dans la châtellenie de Bourbourg et probablement fils de Phillippe de Heuchin, est seigneur de Staple. Son fils Philippe de Heuchin lui succède en tant que seigneur de Staple. Ses héritières sont ses filles : Marie de Heuchin, Anne de Heuchin, Catherine de Heuchin[25].
Dame Catherine de Heuchin a épousé Messire Jean de Beaufremez, chevalier, baron d'Esnes, seigneur de Staples, (probablement à la suite de son mariage), Sporrewarde, etc., bailli du Cambrésis. Lui succède Adrien de Beaufremez, baron d'Esnes, seigneur de Staples, Sporrewarde, etc., pair du Cambrésis, époux de Catherine de Bergh, fille de Jean de Bergh, écuyer, seigneur de Planques[26].
Au XVIIe siècle, la seigneurie principale de Staple, devenue ensuite vicomté appartient à la famille de Massiet. Denis de Massiet est le fils de Bauduin de Massiet, seigneur de Staple et Wardamme, échevin du Franc de Bruges de 1557 à 1576, et de Louise de Cerf, dame de Gruuterzaele[27]. Denys de Massiet, qualifié de « haut et puissant seigneur » dans un acte de 1751[28], chevalier, seigneur ou vicomte de Staple, de Buysscheure, d'Ochtezeele, Moulle, etc., héritier de Louis, bourgmestre de la commune du Franc en 1600, 1601, 1603, devient seigneur de Ravensberghe en 1606[29]. Denys de Massiet épouse en premières noces par contrat du , Marie d'Assignies, (famille d'Assignies), fille d'Antoine d'Assignies, seigneur d'Allouagne, mestre de camp de cavalerie et d'infanterie au service de Charles Quint, et de Jeanne de Feutre (selon d'autres auteurs de Jeanne de Souastre[30]). Il se marie ensuite en 1615 avec Catherine de Briarde, dame de Bavinchove etc., fille de Charles de Bryaerde, seigneur de la Coye, de Bavinchove, Plancq, Herbossaert, etc., chevalier, et d'Adrienne de la Douve[30].
Lui succède, en 1663, à Staple et dans le fief de Vroyland, Charles de Massiet, son fils aîné, tandis qu'Isabeau de Massiet, fille de Denys épouse à Staple, Jean III de Nédonchel, seigneur de Ravensberghe. Charles transmet ses biens en 1678 à Adrien de Massiet, probablement son fils, seigneur de Staple et Bavinchove, lequel meurt a priori sans héritier, car après lui est retrouvé son neveu Philippe Adrien de la Viesville, fils de la sœur d'Adrien, Thérèse Hippolyte de Massiet et de Jean de La Viesville[31].
En 1684, la seigneurie de Staple est entre les mains de la famille de Nédonchel, déjà citée, notamment Dorothée Marie Françoise de Nédonchel, dame de Ravensberghe, Ochtezelle, Staple et Diependael, veuve douairière de Conraert de Loos-Secault, seigneur de Marquembourg, sergent-major d'un régiment d'infanterie wallonne[32]. Elle ne sortira plus de cette dernière famille.
En 1723, Staple est une vicomté, ayant toutes les justices, (justice seigneuriale) relevant de la cour de Cassel, produisant 5000 livres de rentes[33].
Pendant la Révolution française, en juin 1793, la municipalité s'est opposée à l'enlèvement des cloches tel que décidé par la Convention nationale[34].
Le , pendant la drôle de guerre, un avion allemand tombe à Staple, on va exploiter le fait pour le montrer dans la région[35].
Héraldique
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Les armes de Staple se blasonnent ainsi : D'hermine à la fasce de gueules.
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Politique et administration
Maire en 1802-1803 : Pierre Boone [36].
Maire en 1854 : L. Van Breemersch[37].
Maire en 1883 et de 1887 à 1911 : Ed. Fovez cultivateur[38].
Maire de 1911 à 1914 : A. Dulongcourty[39].
Maire de 1922 à 1925 : F. Debert[40].
Maire de 1925 à 1939 : Albert Mordacq[41].
Maire de 1951 à 1978 au moins : G. Duquenne[42].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2019, la commune comptait 649 habitants[Note 8], en diminution de 7,94 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 343 hommes pour 312 femmes, soit un taux de 52,37 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
L'église Saint Omer Le monument aux morts oratoire Oratoire Notre Dame de la Consolation. l'oratoire Sainte Anne L'église Saint Omer
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Watten - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Staple et Watten », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Watten - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Staple et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hazebrouck », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1858, p. 78-79, lire en ligne
- Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak : Origine des noms de lieux du Nord, Editions Bordessoules 2009
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
- Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 110.
- M.A. Bonvarlet, « Chronique de l'abbaye des dames de Saint-Victor, dite du nouveau cloître à Bergues », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1857, publié en 1858, p. 275, lire en ligne
- Jean Jacques Gailliard, Bruges et le Franc ou Leur magistrature et leur noblesse Tome 1, Bruges, (lire en ligne), p. 464 à 466.
- Société des antiquaires de la Morinie, « Mémoires de la Société des antiquaires de la Morinie », Mémoires de la Société des antiquaires de la Morinie Tome XXXVI, , p. 1167-1168 (lire en ligne).
- Georges Dupas option citée page 187
- Jean Jacques Gailliard, Bruges et le Franc ou Leur magistrature et leur noblesse Tome 1, Bruges, (lire en ligne), p. 464 à 466.
- Georges Dupas, option citée page 267
- Georges Dupas option citée page 187
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 400, lire en ligne.
- Joseph Deschuytter, L'esprit public et son évolution dans le Nord, de 1791 au lendemain de Thermidor an II (1), FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-307-02260-2, lire en ligne).
- Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 37.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
- Annuaire du commerce Département du Nord 1854
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 et de 1887 à 1911
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1912 à 1914
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1925
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1926 à 1939
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1978
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Staple (59577) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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