Terres-de-Caux

Terres-de-Caux est une commune nouvelle française créée le située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Caux (homonymie).

Terres-de-Caux

La mairie de la commune nouvelle, à Fauville-en-Caux
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CA Caux Seine Agglo
Maire
Mandat
Jean-Marc Vasse
2020-2026
Code postal 76640
Code commune 76258
Démographie
Population
municipale
4 193 hab. (2019)
Densité 110 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 15″ nord, 0° 35′ 32″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 147 m
Superficie 38,01 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Terres-de-Caux
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
Législatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Terres-de-Caux
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Terres-de-Caux
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Terres-de-Caux
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Terres-de-Caux
Liens
Site web https://www.terres-de-caux.fr

    Elle regroupe les anciennes communes d'Auzouville-Auberbosc, de Bennetot, de Bermonville, de Fauville-en-Caux, de Ricarville, de Saint-Pierre-Lavis et de Sainte-Marguerite-sur-Fauville, qui sont devenues ses communes déléguées

    Géographie

    Description

    Entrée du village chef-lieu.

    Terres-de-Caux est une commune périurbaine du pays de Caux en Normandie située à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Fécamp et de la Manche (mer), à 38 km au nord-est du Havre, à 16 km au sud-ouest d'un des méandres de la Seine à Caudebec-en-Caux et à 43 km au nord-ouest de Rouen.

    Son territoire dispose d'un échangeur sur l'Autoroute A29 et est desservi par plusieurs routes départementales, dont l'ancienne RN26 (actuelle RD 926).

    Communes limitrophes

    Hameaux et écarts

    Terres-de-Caux est structuré autour d'un bourg-centre de Fauville-en-Caux, qui regroupe plus de 2 000 habitants et un bon millier d'emplois, et de 6 villages, qui sont les anciennes communes de d'Auzouville-Auberbosc, de Bennetot, de Bermonville, de Ricarville, de Saint-Pierre-Lavis et de Sainte-Marguerite-sur-Fauville[1]. La commune nouvelle compte de nombreux lieux-dits, comme Ronfrebosc, Auberbosc, Hameau joyeux, le Bout joyeux, Fauque, Les Juifs, La Londe, La Chaussée de Saint-Pierre, Carouge, le Boos.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 987 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 53 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Terres-de-Caux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Terres-de-Caux, une unité urbaine monocommunale[18] de 4 142 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Toponymie

    Le nom de Terres-de-Caux a été choisi par les élus municipaux en référence au pays de Caux dans lequel se trouve la commune et après consultation de la population[23].

    Histoire

    Le regroupement est envisagé à l'initiative de Jean-Marc Vasse, maire du bourg centre depuis une vingtaine d'années, à partir de 2014. Après avoir réfléchit à l'échelle de l'ancienne communauté de communes Cœur de Caux, qui comptait 22 communes[24], le projet s'est resserré en 2015 autour des sept communes appartenant au même bassin de proximité qui ont fusionné le [25],[1].

    Les objectifs de cette fusion étaient, aux termes de la charte de la commune nouvelle[26], de :

    • « Mutualiser les forces en regroupant tous les moyens humains, matériels et financiers des sept communes, afin d’optimiser leur usage et de maintenir un niveau de dépense publique soutenable,
    • Assurer une représentation équitable de chacune des communes historiques au sein de la commune nouvelle,
    • Assurer une meilleure représentativité du territoire et de ses habitants auprès de l’État, et des autres acteurs publics et privés »,

    dans le respect des principes suivants :

    • « Conserver l’identité de chaque commune fondatrice, préserver son cadre de vie et assurer une représentation équitable de chacune d’entre elles au sein de la commune nouvelle,
    • Préserver le patrimoine communal et en optimiser les usages,
    • Maintenir un service public de proximité adapté aux besoins des habitants du territoire permettant de renforcer le développement cohérent et équilibré de chaque commune fondatrice, tout en restant vigilant sur la bonne gestion des deniers publics,
    • Garantir un cadre de vie accueillant et attractif permettant aux habitants de s’épanouir dans une vie locale riche et diversifiée, chaque commune devant conserver son identité et ses spécificités,
    • Conforter et développer l’attractivité du territoire notamment en matière de services publics et privés, d’économie (commerce, artisanat, agriculture) et d’habitants,
    • Porter des projets qu’une commune seule ne peut réaliser.
    • Contribuer à promouvoir dans le cadre de ses compétences un développement durable visant à « satisfaire les besoins de développement et la santé des générations présentes, sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».

    La commune est ainsi née du regroupement des communes d'Auzouville-Auberbosc, de Bennetot, de Bermonville, de Fauville-en-Caux, de Ricarville, de Saint-Pierre-Lavis et de Sainte-Marguerite-sur-Fauville, qui deviennent des communes déléguées le et après avis favorables de leurs conseils municipaux[27]. Son chef-lieu se situe à Fauville-en-Caux[28].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune nouvelle se trouve dans l'arrondissement du Havre du département de la Seine-Maritime.

    Pour les élections départementales, la commune fait partie du canton de Saint-Valery-en-Caux[29]

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de la Seine-Maritime.

    Intercommunalité

    La commune nouvelle est membre de la Communauté d'agglomération Caux Seine Agglo[29], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le .

    Cette intercommunalité a été créée par la fusion de plusieurs structures intercommunales, dont la communauté de communes Cœur de Caux dont faisaient jusqu'alors partie les communes qui ont constitué Terre-de-Caux.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2017[30] En cours
    (au 10 août 2020)
    Jean-Marc Vasse LR Cadre supérieur, délégué général de l'Interprofession Horticole française
    Vice-président de la CC Cœur de Caux (2008 → )
    Maire de Fauville-en-Caux (1989 → 2016)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32],[33]

    Liste des communes déléguées

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Fauville-en-Caux
    (siège)
    76258CC Cœur de Caux8,112 192 (2014)270


    Auzouville-Auberbosc76044CC Cœur de Caux6,08318 (2014)52
    Bennetot76078CC Cœur de Caux4,58178 (2014)39
    Bermonville76080CC Cœur de Caux7,41483 (2014)65
    Ricarville76525CC Cœur de Caux4,18322 (2014)77
    Saint-Pierre-Lavis76639CC Cœur de Caux4,49254 (2014)57
    Sainte-Marguerite-sur-Fauville76607CC Cœur de Caux3,16278 (2014)88

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique du territoire de la commune nouvelle
    1968 1975 1982 1990 1999 2007 2012 2017
    2 5402 7332 9613 2163 3913 7284 0004 142
    Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes.
    Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au .
    (Source : INSEE RGP 2017[34])

    Enseignement

    • L'école maternelle Camille Claudel à Fauville-en-Caux.
    • Les écoles primaires: l'école primaire Jean-Loup Chrétien à Fauville-en-Caux, l'école primaire de Bermonville et l'école Luc Ferry à Ricarville (écoles publiques), et l'école privée Saint-Louis à Fauville-en-Caux
    • Le Collège François Villon (collège public)
    • Un lycée professionnel, Espace horticole, centre de formation d'apprentis agricoles et horticoles, avec une hortitèque.

    Culture locale et patrimoine

    Le patrimoine de la commune est celui des communes déléguées qui la composent.

    On peut signaler les sept églises de Terres-de-Caux :

    • Église Saint-Léger d'Auzouville-Auberbosc.
    • Église Saint-André et Saint-Eutrope de Bennetot.
    • Église Notre-Dame-de-la-Nativité de Bermonville.
    • Église Notre-Dame de Fauville-en-Caux.
    • Église Sainte-Croix de Ricarville.
    • Église Saint-Pierre de Saint-Pierre-Lavis.
    • Église Sainte-Marguerite de Sainte-Marguerite-sur-Fauville.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Terres-de-Caux », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

    Références

    1. Victor Rainaldi, « Terres-de-Caux : la commune nouvelle soudée par la préparation de son futur (76) », Organisation territoriale, élus et institutions, Caisse des dépôts et consignations - banque des territoires, (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Terres-de-Caux et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Terres-de-Caux et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Terres-de-Caux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Terres de Caux est le nom de la commune nouvelle qui regroupe Auzouville-Auberbosc, Bennetot, Bermonville, Fauville-en-Caux, Ricarville, Saint-Pierre-Lavis et Sainte-Marguerite-sur-Fauville », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Terres de Caux : un destin commun : Terres de Caux. Seul candidat en lice, Jean-Marc Vasse a été élu, mercredi soir, premier maire de la commune nouvelle qui regroupe Fauville-en-Caux et six villages voisins », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Fauville-en-Caux devrait fusionner avec six communesFauville-en-Caux. : La commune devrait fusionner avec Auzouville-Auberbosc, Bermonville, Bennetot, Sainte-Marguerite-sur-Fauville, Saint-Pierre-Lavis, Ricarville au 1er janvier 2017 », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Charte de la commune nouvelle » [PDF], sur https://www.banquedesterritoires.fr, (consulté le ).
    27. Ghislain Annetta, « Fauville-en-Caux : commune nouvelle, cette fois, c'est fait... », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Arrêté no 76-2016-09-12-003 du 12 septembre 2016 portant création de la commune nouvelle de Terre-de-caux », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Seine-Maritime, (lire en ligne [PDF]).
    29. « Commune de Terres-de-Caux (76258) : Commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2020), sur Insee (consulté le ).
    30. « Fauville-en-Caux : Jean-Marc Vasse quitte la mairie », Paris-Normandie, (lire en ligne) « Jean-Marc Vasse, élu maire de la commune nouvelle Terres- de-Caux le 4 janvier dernier, a pris la décision de démissionner de son mandat de premier magistrat de Fauville-en-Caux (...) L’édile a rappelé ses débuts dans sa fonction de maire en 1989 et les épreuves qu’il avait rencontrées, notamment en 1995, avec les inondations et les effondrements de terrain ».
    31. « Municipales 2020. Jean-Marc Vasse, maire sortant de Terres-de-Caux, brigue un nouveau mandat : Terres-de-Caux. Le maire Jean-Marc Vasse brigue un nouveau mandat aux prochaines élections municipales. Avec la liste « Terres-de-Caux en commun » et bon nombre d’élus sortants, il compte poursuivre son action », Paris-Normandie, (Éléonore Sinoquet, consulté le ).
    32. Éléonore Sinoquet, « Municipales 2020. Le maire sortant, Jean-Marc Vasse, élu à Terres-de-Caux face à Joël Lefebvre : Terres-de-Caux. Le maire sortant, Jean-Marc Vasse, a été élu avec 57,73 % des voix contre 42,26 %pour son adversaire Joël Lefebvre. Un scrutin « cohérent » pour le premier, « dû à l’abstention » pour le second », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller depuis 1989, puis premier édile de Fauville-en-Caux depuis 1994, Jean-Marc Vasse entame donc son premier mandat complet de maire de la commune nouvelle. En effet, il était maire de Terres-de-Caux depuis seulement trois ans, soit la date de sa création le 1er janvier 2017. Sa majorité obtient d’ailleurs 25 sièges au conseil municipal sur 31 ».
    33. « Fauville-en-Caux. Jean-Marc Vasse est réélu maire », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
    34. INSEE, Recensement général de la population 2017, Document mentionné en liens externes.
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