Thiron-Gardais
Thiron-Gardais est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Tiron.
Thiron-Gardais | |||||
Le domaine de l'abbaye et ses jardins Classé MH (1912), Inscrit MH (1962, 2001)[1]. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Nogent-le-Rotrou | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres de Perche | ||||
Maire Mandat |
Victor Provôt 2020-2026 |
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Code postal | 28480 | ||||
Code commune | 28387 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Thironnais, Thironnaises | ||||
Population municipale |
982 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 73 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 18′ 41″ nord, 0° 59′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 200 m Max. 279 m |
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Superficie | 13,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nogent-le-Rotrou (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Nogent-le-Rotrou | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-thiron-gardais.fr/ | ||||
Géographie
Situation
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est traversée par la rivière la Thironne, affluent en rive droite du Loir, lui-même sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne, mise en service en 1993[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 756,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 38 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Thiron-Gardais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,5 %), forêts (14,7 %), prairies (13,3 %), zones urbanisées (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Thiron-Gardais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Thironne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[23],[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 69,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 516 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 502 sont en en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].
Toponymie
Thiron est attesté sous les formes Tyronium vers 1120, Tyrum vers 1150, Tiron ou Perche en 1383 (ch. de l’abb. de Thiron), Tiro vers 1250 (pouillé)[26], Thiron en 1793[27], Thiron-de-Gardais en 1801[27], Thiron en 1987[27].
La toponymie actuelle orthographie Thiron avec un "h" (alors que les chartes latines l'omettent), comme la rivière Thironne, qui sillonne le territoire d’ouest en est[28].
Gardais est attesté sous la forme Gardiensis parrochia en 1113, puis Gardais jusqu'en 1774. Sens probable : « poste de garde », « petite forteresse ».
La commune de Thiron-Gardais est créée en 1790.
Histoire
Moyen Âge
Aux portes du Perche, le bourg de Thiron-Gardais est né de l'implantation d'une abbaye fondée par Bernard de Ponthieu, né dans le comté du même nom. L'ancienne abbaye de la Sainte-Trinité de Tiron exerce son influence dans toute la moitié nord de la France, en Angleterre, en Irlande et jusqu’aux Hautes-Terres d’Écosse.
En effet, au XIIe siècle, alors que l’abbaye de Tiron est en construction depuis 1114, son rayonnement est tel qu’elle reçoit de nombreux dons et exerce son autorité sur vingt-deux abbayes et plus d’une centaine de prieurés. L’ordre de Tiron suit la stricte observance de la règle de saint Benoît.
Époque moderne
Le 17 novembre 1870, durant la guerre franco-allemande eut lieu l'affaire de Thiron-Gardais, où fut engagé le 30e régiment provisoire formé de la garde nationale mobile de la Manche.
Époque contemporaine
Cette prospérité et ce rayonnement sont tombés dans l’oubli et il ne reste pour témoin que la longue nef romane de l’église abbatiale, la grange aux dîmes, le collège militaire et les dépendances.
Mais son histoire est partout et les jardins du parc de l'abbaye sont marqués de la présence de l’Ordre à travers le potager des simples, celui des aromates, l'allée des tilleuls, au coin du vivier ou sur la terrasse des fruitiers.
XXe siècle
- « Thiron » a été renommé officiellement « Thiron-Gardais » en 1987. Ceci en raison du village limitrophe de Gardais qui l'a rejoint.
XXIe siècle
- Chef-lieu de canton depuis 1790, la commune est rattachée au canton de Nogent-le-Rotrou en 2015.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
De 2005 à 2016, Thiron-Gardais est le chef-lieu de l'ancienne communauté de communes du Perche thironnais, intégrée le à la communauté de communes Terres de Perche.
Jumelages
Ville | Pays | Période | ||
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Ebenweiler | Allemagne | depuis |
Thiron-Gardais et Ebenweiler (Bade Wurttemberg) sont jumelés depuis .
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2019, la commune comptait 982 habitants[Note 8], en diminution de 6,48 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Services publics
La commune dispose d'une maison des services publics bénéficiant d'assistantes sociales et de cyber emploi, abritée dans la grange aux dîmes, d'une salle associative (salle Jacques-Loizeleur), d'une médiathèque, d'une salle des fêtes, d'un bureau de poste, d'une caserne de pompiers et d'une gendarmerie.
Enseignement
La commune met à disposition deux écoles et un restaurant scolaire.
Manifestations culturelles et festivités
- : Saint-Bernard de Tiron (1046-1117), fondateur de l’abbaye et de l’ordre de Tiron.
- Dimanche de Pâques : Pâques aux Jardins de l’abbaye, grande chasse à l’œuf, jeux...
- Premier week-end de juin : Rendez-vous aux Jardins.
- Week-end de Pentecôte (tous les deux ans depuis 2014) : Cel’Tiron Pentecôte Festival, Championnat Highland games France, musique et danses celtiques, village médiéval, marché artisanal, animations, rassemblement historique des anciens sites de l’ordre de Tiron...
- Dernier week-end de juin : Festival Vintage dans les jardins de l’abbaye.
- Tous les samedis soir du samedi le plus proche de la fête de la musique () jusqu’au dernier samedi d’août : Les samedis de l’été dans le jardin Imbert .
- : retraite aux flambeaux et feu d’artifice' dans les jardins de l’abbaye.
- : Fête Nationale, brocante et vide-grenier dans les rues du bourg et salon du livre dans les jardins de l’auberge de l’abbaye.
- Troisième week-end de septembre : Journées Européennes du Patrimoine.
- Troisième week-end d’octobre : Rando Thi’Perche' (pédestre et VTT) , Festival d’automne, dans les jardins de l’abbaye, animations, marché artisanal, fabrication de jus de pomme...
Économie
Thiron-Gardais réunit :
- une vingtaine de commerces, artisans et services, dont une auberge et une maison de retraite faisant partie de la fondation Texier-Gallas ;
- la Société de Mécanique de Thiron-Gardais (SMTG) acquise en 1989 à Renault par le holding Bassano Industries[34]
Culture locale et patrimoine
Abbaye de la Sainte-Trinité de Tiron
L'abbaye est composée de l'église, Classé MH (1912), des façades et toitures du presbytère, Inscrit MH (1962), de la grange dîmière, du collège royal militaire, du pigeonnier, de la tour de guet, des communs et des vestiges, Inscrit MH (2001)[1].
Collège royal et militaire
Créé en 1630, le collège royal et militaire de Thiron-Gardais abrite aujourd'hui un musée retraçant l'histoire des lieux et des personnages l'ayant fréquenté.
Presbytère
Datant du XVIIe siècle, dans un premier temps officialité, puis demeure du prieur de l'abbaye de la Sainte-Trinité de Tiron, la commune achète le bâtiment en 1818 pour en faire le presbytère de la paroisse[35].
Grange aux dîmes
La grange aux dîmes est un bâtiment réhabilité en 2006, qui comme son nom l'indique servait de grange lors de l'époque monastique de la ville au (XIIe siècle). La bâtisse est aujourd'hui un lieu proposant des services et des locaux très utiles aux thironnais : office de tourisme, entrée des jardins de l'abbaye, accueils d'évènements, d'expositions, de réunions, maison des services publics, cyber emploi, rencontres, activités diverses...
- Gravure représentant l'abbaye (XVIIe siècle).
- L'église vue du jardin.
- Le porche principal et le presbytère.
- Le clocher.
- La nef de l'église.
- Le jardin de l'abbaye et la grange dîmière.
Autres lieux et monuments
- Chapelle Sainte-Anne des Bois, sur la route de la Gaudaine au bord de l'étang Sainte-Anne[36] ;
- Chapelle de la Croix Saint-Jacques à Gardais[36] ;
- Cimetière et sépultures des « Morts pour la France » ;
- Étang, avec la possibilité d'y pêcher : des chalets sont à la disposition des personnes voulant y passer la nuit ;
- Terrain de football et plateau multi-sports, deux terrains de tennis et un complexe sportif ;
- Piscine municipale, ouverte tous les jours en période estivale : activités aquagym, bébé nageur, femmes enceintes, scolaires.
Personnalités liées à la commune
- Bernard de Tiron (1046 - 1117), fondateur de l'abbaye qui porte son nom.
- André Guillaumin (1885-1974), botaniste, ancien propriétaire du collège militaire de l'abbaye.
- Stéphane Bern (1963 - ), chroniqueur radio et télévision, y possède sa résidence dans l'ancien collège militaire depuis 2013.
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
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Anecdotes
Il est souvent fait référence aux anciens moines de Thiron dans le « Roman de Renart » ; en effet, les moines de Thiron étaient victimes de la satire dissimulée de cet ensemble de récits médiévaux.
Des recherches sur le collège militaire ont permis de découvrir qu'un dénommé Napoléon Bonaparte aurait dû venir faire ses études au collège militaire de Thiron-Gardais.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Thiron-Gardais sur le site de l'Institut géographique national.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Abbaye de la Sainte-Trinité et son collège », notice no PA00097223, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Miermaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Thiron-Gardais et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Miermaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Thiron-Gardais et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
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- Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « SMTG La précision à toute épreuve », sur http://www.smtg.fr/ (consulté le ).
- Laurence de Calan, Presybtères du Perche, éditions des Amis du Perche, collection "Présence du Perche", juillet 2012, p. 169. [ (ISBN 978-2-900122-983)].
- Paroisse Saint-Lubin du Perche (préf. Abbé Daniel Rambure, curé), Ces 36 églises ont quelque chose à vous dire..., , 101 p..
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