Tignac

Tignac est une commune française située dans le sud-est du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale.

Tignac

La mairie.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Foix
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Ariège
Maire
Mandat
Joseph Ferrand
2020-2026
Code postal 09110
Code commune 09311
Démographie
Gentilé Tignacois
Population
municipale
22 hab. (2019 )
Densité 6,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 44′ 48″ nord, 1° 47′ 45″ est
Altitude Min. 720 m
Max. 1 440 m
Superficie 3,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Haute-Ariège
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tignac
Géolocalisation sur la carte : France
Tignac
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Tignac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Tignac
Liens
Site web http://www.tignac.com

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par divers petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Tignac est une commune rurale qui compte 22 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 238 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Tignacois ou Tignacoises.

    Ses habitants sont les Tignacois et les Tignacoises[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Tignac se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, et à km d'Ax-les-Thermes[3], bureau centralisateur du canton de Haute-Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ax-les-Thermes[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Perles-et-Castelet (0,7 km), Vaychis (1,0 km), Unac (2,3 km), Bestiac (2,5 km), Savignac-les-Ormeaux (2,6 km), Caussou (2,7 km), Luzenac (3,2 km), Ignaux (4,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Tignac fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale[5].

    Carte de la commune de Tignac et des proches communes.

    Située dans les Pyrénées, la commune fait partie du terroir historique du Sabarthès.

    Géologie et relief

    La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma (millions d'années). La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1087 - Vicdessos » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et sa notice associée[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 3,53 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 3,66 km2[8]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 720 mètres. L'altitude du territoire varie entre 720 m et 1 440 m[13].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Tignac.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Vigne, Rec de Barex, le ruisseau de Guissou, le ruisseau de Maleich et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[15],[16].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune est du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[18].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[17].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 7,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 958 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[20] complétée par des études régionales[21],[22] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ascou Lavail », sur la commune d'Ascou, mise en service en 1959[23] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[24],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 9,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 270,9 mm pour la période 1981-2010[25]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 62 km[26], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[27], à 12,3 °C pour 1981-2010[28], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[29].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[30] : les « montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » (9 524 ha), couvrant 20 communes dont 16 dans l'Ariège et 4 dans l'Aude[31] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[30] : « le bassin versant de l'Oriège et montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » (18 551 ha), couvrant 25 communes dont 18 dans l'Ariège, 4 dans l'Aude et 3 dans les Pyrénées-Orientales[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Tignac est une commune rurale[Note 8],[33]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (57,1 %), forêts (26,8 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), prairies (0,1 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 41, alors qu'il était de 38 en 2013 et de 39 en 2008[I 5].

    Parmi ces logements, 27,9 % étaient des résidences principales, 72,1 % des résidences secondaires et 0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 5].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tignac en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (72,1 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

    Le logement à Tignac en 2018.
    Typologie Tignac[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
    Résidences principales (en %) 27,9 65,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 72,1 24,6 9,7
    Logements vacants (en %) 0 9,7 8,2

    Voies de communication et transports

    Le village est desservi par la RD 44.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Tignac est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[36],[37].

    Risques naturels

    Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Tignac.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[38].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Tignac[39]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[40].

    Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Tignac[39]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[40].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Tignac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[41].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Tinhaco en 1272[42],[43],[Note 9].

    L'origine du nom de Tignac remonterait à un nom de personne latin Tennius ou Tineius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à *Tiniacum, « domaine de Tineius »[44].

    Histoire

    Le Registre d'inquisition de Jacques Fournier[45] (évêque de Pamiers) et futur pape Benoît XII relate en date du 5 novembre 1322 le témoignage de Bernard Laufre, fils de feu Pierre Laufre de Tignac, qui avait été suspect en matière d'hérésie et qui dénonce alors Raimond Delaire :

    « ...pour les erreurs et hérésies suivantes, tant sur la place de Tignac qu'ailleurs :

    • que l'homme n'a d'autre âme que le sang, et qu'après la mort, l'âme de l'homme n'éprouvait pas le bien et ne souffrait pas le mal ;
    • que les bêtes ont une âme aussi bonne que les hommes ;
    • que notre Seigneur le Christ avait été engendré par le coït d'un homme et d'une femme, comme le sont communément les autres hommes ;
    • que ce monde visible était Dieu, et qu'il n'était d'autre Dieu que ce monde visible ;
    • que la messe, ni rien de ce qui se fait à l'église, n'ont une valeur quelconque ; qu'il n'y avait ni enfer ni paradis dans un autre monde ;
    • que ce n'était pas un péché que de connaître charnellement des femmes, à moins qu'elles ne fussent les mères de ceux qui le font, ou leurs filles ou leurs sœurs. »

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Tignac est membre de la communauté de communes de la Haute Ariège[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Luzenac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[46].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Haute-Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[47].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 En cours Joseph Ferrand DVG Retraitée Fonction publique

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].

    En 2019, la commune comptait 22 habitants[Note 10], en augmentation de 10 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    186149187211222216200232238
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    215216203195178160163155164
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    156158155114109101886557
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    362321141015282819
    2015 2019 - - - - - - -
    2322-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 10]0 %0 %0 %
    Département[I 11]8,9 %11,1 %11,2 %
    France entière[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 11 personnes, parmi lesquelles on compte 70 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 30 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 13]. Elle compte emplois en 2018, contre 2 en 2013 et 2 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 8, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,8 %[I 14].

    Sur ces 8 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, aucun ne travaille dans la commune[I 15]. Pour se rendre au travail, la totalité des habitants utilise un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues[I 16].

    Activités hors agriculture

    Aucun établissement[Note 12] relevant d’une activité hors champ de l’agriculture n’est implanté à Tignac au [I 17].

    Agriculture

    198820002010
    Exploitations622
    Superficie agricole utilisée (ha)413137

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[52]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[53]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 14] de 2010 (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 37 ha[53].

    Équipements, services et vie locale

    Les services de proximité et l'enseignement sont à Savignac-les-Ormeaux et Ax-les-Thermes.

    Culture locale et patrimoine

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
    3. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Lu Linhaco du texte latin d'origine sur certains ouvrages.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Tignac » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Tignac - Section LOG T2 » (consulté le ).
    6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Tignac - Section LOG T7 » (consulté le ).
    7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
    8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
    9. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Tignac » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Tignac » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Tignac » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Tignac » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de l'Ariège », (consulté le )
    2. Stephan Georg, « Distance entre Tignac et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Tignac et Ax-les-Thermes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Tignac », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 365-366.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Carte géologique de Tignac » sur Géoportail (consulté le 23 avril 2022).
    8. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Tignac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    9. « Notice associée à la feuille n°1087 - Vicdessos de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Tignac », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    13. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    14. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Tignac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    16. « Carte hydrographique de Tignac » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
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